21déc10
114C1 Merci,
frère Michel, pour ce beau texte qui évoque avec une vigueur stimulante
l'espérance libératrice arèsienne. Pour les pèlerins
d'Arès la fête de Noël n'est pas la commémoration de l'incarnation de
Dieu, incarnation à laquelle ils ne croient pas. Mais elle peut être
pour chacun d'entre nous le rappel de la nécessité d'incarner la Parole
du Père en l'accomplissant — Prononcer Ma Parole pour
L’accomplir,
voilà la vraie piété (Rév d’Arès 35,6). Que le
Verbe de
Dieu prenne chair en chacun d'entre nous par nos vies pénitentes et que
le monde se métamorphose car le Père de l'univers fait de chacun
d'entre nous un co-créateur, donc un sauveur du monde. Sauver
c'est
re-créer Eden ! Joyeux Noël à tous ! Thierry
(du Dauphiné)
|
21déc10 114C2 Vous
n'êtes pas qu'un blasphémateur. Vous êtes LE blasphémateur. Quand
nous parlons de vous entre amis, nous disons "le blasphémateur d'Arès". Ce
blog n'est qu'un blasphème étendu et l'intelligence avec lequel il est
fait et écrit n'est que la preuve que vous êtes inspiré par Satan, mais
aujourd'hui c'est le bouquet. Vous n'avez pas peur de vous
attaquer à l'un des fleurons sacrés du christianisme: Noël. Vous
dites "Noël d'espoir" (je dis "d'espoir négatif") mais croyez-vous
qu'il y a une autre espoir réel, actif, que celui que Dieu s'est
incarné, a envoyé son propre Fils sur terre pour racheter par la croix
les péchés de l'homme? Qu'est-ce que vous laissez espérer du
Ciel
à vos lecteurs? Rien. Je veux dire rien d'autre que de se prendre par
la main et de faire pénitence... pour en arriver à quoi? À rien, parce
que l'homme est mauvais et le restera — et vous le savez bien — et les
hommes bons ne sont pas des christs, mais des hommes un peu moins
mauvais que les autres. Grâce à Dieu, vous allez mourir.
Vous
allez sur vos 82 ans. C'est ça, mon "Noël d'espoir": l'espoir que vous
n'en avez plus pour longtemps, tout au plus quelques années si vous
avez la peau dure, selon l'espérance de vie d'un homme en France. Mon
"joyeux Noël" à moi, c'est que vous disparaissiez! Jean
|
Réponse
: Je suis à Nice où je participai jusqu'à dimanche à la
mission. C'est avec une foi joyeuse
et festive que nous avons prêché, comme nous ne cessons de
le faire, le salut
de l'humain et du monde des humains par la pénitence (Rév d'Arès 30/11),
la pénitence
que prêchèrent déjà les prophètes
jusqu'à Jean le Baptiste qui en lança l'appel et Jésus qui en expliqua
le mode par son Sermon
sur la Montagne.
Je reste encore quelques jours ici pour me reposer avant de reprendre
la route. Ce voyage a été assez fatigant. Vous avez raison, allant "sur
mes 82 ans" je suis moins costaud qu'il y a quelques années, mais je
vais vous décevoir: Je me débrouille encore assez bien. Noël,
ou solstice d'hiver, quand les jours commencent à rallonger
est une fête de lumière — de Lumière
qui revient — qui remonte à la plus haute antiquité et c'est
traditionnelement un moment d'amour, donc, entre autres actes d'amour,
un moment de pardon. Je vous pardonne donc, avec plus de
chaleur
que jamais, le commentaire fâché et même — excusez du peu ! — misérable
et agressif, que vous m'adressez et qui m'étonne quand même de votre
part. Je vous sais catholique très engagé, grand défenseur
de la
doctrine de votre église, mais jusqu'à me prétendre "inspiré par Satan"
et jusqu'à me souhaiter une mort prochaine... Faut-il que vous soyez si
fanatiquement traditionnaliste ! Je vous pardonne,
mais de la
part d'un homme comme moi "inspiré par Satan", mon pardon est infernal,
allez-vous dire, le comble du "blasphème". Passons ! C'est
quand je vois des frères humains comme vous, que l'échec patent de leur
religion enrage, et qui pour se consoler de cette déception ne
trouvent rien d'autre que de chercher des boucs émissaires et de les
envoyer à la mort dans le désert qu'ils espèrent de l'oubli, que je me
dis qu'il nous faut moissonner
plus de pénitents
encore, plus que jamais. Satan,
que d'aucuns appellent aussi le diable, les démons,
etc., n'est autre que l'arrogance, l'auto-satisfaction, l'esprit de
domination ou de clocher, l'avidité, la bêtise, etc., bref, le mal au
fond de l'homme qu'aucun diable n'a besoin de lui inspirer pour qu'il
se manifeste hélas volontiers aussi souvent qu'inconsciemment. Ce Satan qu'il est
lui-même, l'homme doit en prendre conscience et pour s'en délivrer entrer en pénitence. C'est
le Message de La
Révélation d'Arès et franchement, je ne vois pas en quoi Satan, s'il est
autre chose que le cœur malade et même s'il est quelque chose en plus
du petit démon
qu'est lui-même chaque homme, trouverait son compte à cette pénitence par
laquelle l'homme s'éveille à l'amour,
comprend la sagesse du
pardon, fait la paix,
recherche l'intelligence
spirituelle et se rend libre
de tous préjugés envers les autres hommes: Tu ne jugeras pas pour ne pas
être jugé (Matthieu 7/1). À
votre place, je me demanderais ce que j'ai fait de ma vie dans
l'église. L'église a échoué, non du fait d'hommes comme moi qui,
poussés par le Père, sont partis dans une autre direction,
mais du
fait de ses erreurs. Je ne doute pas que La Révélation d'Arès
est le coup le plus dur porté à cette église mourante en Europe, et qui
ne survit que provisoirement dans d'autres parties du monde. Mais
n'oubliez pas que La
Révélation d'Arès, en dépit des gros problèmes pratique d'accomplissement
qu'elle pose, est un fait. Elle est survenue, elle est là, elle est
réelle. Rien ne prévaudra contre elle, ni Satan qui ne l'aurait
inspirée que contre lui-même (Jésus disait déjà cela avec d'autres mots
il y a 2.000 ans), ni l'église, qui passe, comme sont passées et
passeront toutes religions, toutes politiques, toutes lois. Un
désenchantement peu à peu empoigne le monde. Si vous êtes
missionnaire catholique comme je suis missionnaire de La Révélation d'Arès,
vous vous en rendez compte chaque jour au contact du public. Vous
n'êtes pas missionnaire ? Comment cela peut-il se faire de la part d'un
homme aussi armé de certitude ? Au milieu de ce
désenchantement
général je crois plus opportun que jamais mon "Joyeux Noël !", que je
crie après des années de silence, des années de silence parce que j'ai
voulu respecter vos convictions, vous mes frères chrétiens d'églises. Mais
qu'avez-vous faite de ce temps de respect que je vous ai
laissé ? Rien! Votre église persiste dans ses
erreurs et continue de décliner. Alors, il est temps que
nous sortions de nos catacombes. Nous sommes, Pèlerins
d'Arès, des pécheurs
certes, mais les vrais premiers chrétiens, je le crois en toute
modestie.
|
21déc10 114C3 Le
monde et la mondialisation n'évolueront que par la pénitence ! Ce
challenge a besoin d'hommes et de femmes d'une détermination forte,
[des hommes et des femmes d'une] foi qui ne peut pas faire semblant. Être pénitent(e) à
chaque moment se fait, quelles que soient les imperfections ou les
erreurs. Le principal est d'avancer. Et la
recherche d'autres hommes ayant compris et accomplissant ce
challenge demande de vivre cette pénitence
à plusieurs, et ce n'est pas un petit défi. Bonnes fêtes aux
dynamiques moissonneurs
! Bonhomme
|
22déc10 114C4 Pour
moi, ayant reçu une éducation musulmanne, Noël ne signifie pas grand
chose. Mais pour ceux qui se prétendent chrétien Noël doit
être un symbole de paix, de pardon et de partage avec son prochain. Et
le commentateur 114c2, qui se prétend "un vrai chrétien", désire votre
mort pour Noël ? Il la souhaite parce qu'il ne partage pas
les mêmes idées et les mêmes convictions que les vôtres qui sont celles
de La Révélation d'Arès. Ce
n'est pas être un chrétien que de souhaiter la mort de
quelqu'un
juste parce qu'il n'a pas les mêmes opinions que les siennes. Il
y a beaucoup de travail à faire auprès de nos frères et sœurs humains,
pour transmettre le message de Dieu. La Révélation d'Arès
m'a permis de comprendre qu'en décidant de choisir de faire le bien, de faire pénitence, le
monde changera en bien,
que le mal n'est pas une fatalité et que l'humain est maître de son
destin. Malika (de Lorraine)
|
Réponse
: Espérer
la mort prochaine de "l'infidèle" ou du "blasphémateur" comme Jean,
commentateur 114C2, l'espère pour moi, ou même provoquer cette mort
(j'ai reçu un nombre important de menaces de mort depuis 37 ans bientôt
et j'ai frôlé cette mort deux ou trois fois dans le même laps de temps)
n'est pas propre à ceux qui "se prétendent de vrais chrétiens". C'est
aussi propre, voire même plus souvent propre, à certains musulmans
comme ceux qui ont provoqué ce massacre dans une église chrétienne il y
a quelques semaines ou il y a quelques années comme les "justiciers
d'Allah" lancés, suite à une fatwa, sur la trace de l'écrivain Salman
Rushdie, qui aurait manqué de respect envers Muhammad. Bref,
c'est la solution barbare que de nos jours encore les fanatiques et/ou
les haineux
jugent appropriée à ceux qui ne partagent pas leurs radicalismes et
cela dans tous les domaines religieux, politiques, etc. Merci,
Malika, pour ce commentaire. Comme beaucoup de vos frères et
sœurs d'origine musulmane La
Révélation d'Arès
vous permet de mieux comprendre le sens profond et dynamique du saint
Coran, tout comme beaucoup de nos frères et sœurs juifs ou chrétiens
comprennent mieux le sens profond et dynamique de la Bible. La Vérité, c'est que le monde
doit changer (Rév d'Arès 28/7). |
22déc10 114C5 Cette
souffrance qui consume les cœurs blancs, noirs ou neutres ! [Cette
souffrance qui] nous bleuit
les bras au lieu de les serrer au delà des préjugés pour
avancer ensemble dans la joie de la liberté ! On vous
insulte, on souhaite votre mort, mon frère bien aimé et le Père trop Aimant nous
dit d'embrasser la
lèvre d'où sort le pus et qui cache l'hameçon, parce que
du femier sort le jardin. Nous
sommes l'humanité et refaire la traversée de ce déserts ravagé en est
le prix, celui d' une reconnaissance de cette humanité en soi abritant
peur, maladie, mort, erreur et mensonge, pour le salaire d'une
gratitude, une joie de la Vie
donnée une fois
dans ce que le tamis de nos faiblesses laisse passer, pour
épouser la promesse potentielle du joyaux futur de la transformation,
du monde que chacun fait chaque jour en lui et autour de lui, à chaque
instant, dans chaque choix. Je ne peux aimer et épouser la
Vie qui
pointe à la lueur de l'aube
qu'en ne condamnant pas mon prochain, dont je suis le prochain. La
lutte de l'amour est bien étrange. L'épée
n'est pas le Bras qui la tient. Je lutte
encore. Pas de répit, car le fils
de l'homme n'a nul par où poser sa tête, il doit veiller
et ne jamais retourner
en arrière, comme le pénitent
de l'amour conjugal, filial et évangélique doit lutter, comme pour
honorer le père et la mère de cette vie biologique, mais aussi cette
promesse de gemme en devenir, joyaux qui croît et dont l' aboutissement
gonflera la voile du
vaisseau quand le moment sera venu de sourire à la voie
d'or du levant que le Père tracera sur la Mer de Grâce en Son Jour. Je
suis tombé, je me suis relevé et je lutte encore comme j'aime ceux qui courent
à leur perte sans la dureté de l'indifférence,
plus fort dans la pénitence,
comme l' humilité remplace l'arrogance et la douceur, la violence
potentielle, pour qu' elle me réapprenne à écouter la poussée qui
Souffle dans le cœur et rester droit devant les fils et les filles d'Adame et Aouha, père
et mère dont je fus et suis descendu, pour reprendre le chemin d'Éden,
dans la résolution de la victoire de la Vie sur la mort, pour inviter
le Père et la Mère de la Création à entrer dans notre sang afin que la
transfiguration de nos vie illumine l'étoile du Pardon et de la Paix dans notre changement intérieur. Joyeux
Noel pour tous mes frères et sœurs de la terre ! Guy I.,
|
22déc10 114C6 Votre
parole vient à nouveau réchauffer nos âmes. Merci
infiniment. Je lis actuellement un livre intitulé "Un Cours
En Miracles" C'est un livre qui, lu à la lumière de La Révélation d'Arès,
réchauffe aussi mon âme. Il
y a peu de temps, je suis allé voir sur la toile un blog ou se
réunissent quelques frères connaissant ce livre. J'ai eu la surprise de
lire qu'il est possible de trouver son propre "salut" sans entrer dans
la dualité du bien et du mal, afin d'être comme Dieu tout en étant Son
Fils. Quand je leurs réponds qu'il est possible de rejeter le mal pour faire le bien pour que le
monde change en bien,
je passe pour un hérétique un égaré. Je suis en train de
lire ce qu'ils ont lu et je me demande comment il est possible d'être
comme Dieu et ignorer la force du Bien.
Être amour sans faire le bien...
Comme ce monde me paraît bien étrange ! Une
nouvelle fois je me trouve confronté à la spécificité des Pélerins
d'Arès et de la pénitence. Nous
savons ce qu'est la pénitence
et nous la laissons forger nos individualités. La flotte du Roi se
rassemble derrière vous, frère Michel. Le signal est-il
proche ? Votre appel à la pénitence
et à la
moisson est sans cesse plus fort, toujours le même mais
toujours plus puissant sous votre souffle qui ravive nos braises. Soufflez
encore afin que nous nous embrasions d'amour pour l'homme notre frère ! Tony
du Val de Loire.
|
22déc10 114C7 Qu’est-ce
qu’il lui a pris à ce Jean, entrée 114C2, pour vous parler comme
ça ? ! Il ne sait pas, le malheureux, que,
même s’il
est bien plus jeune que vous, il peut mourir avant vous ? Il
verra alors si son dieu
à trois têtes : père, fils (et) fumée (Rév
d’Arès XVIII-1) le sauvera. Certains pourraient
alors avoir des
surprises. Je dis bien pourraient, car nul ne sait qui est sauvé, qui
n’est pas sauvé. Il ignore également que vous
avez une armée devant
vous (Rév d'Arès xxxvii/12) : Nous tous ! Prophète bien-aimé,
longue vie à vous et
bon Noël en famille ! Dominique F.
|
22déc10 114C8
Tout
d’abord je vous souhaite à vous et à votre famille un très bon noël,
rempli d’amour, de joie, de sincérité. Je le
souhaite aussi à ce pauvre Jean [114C2] qui comprendra un jour ses
erreurs de pensée. ô combien vous avez raison de
rappeler que Satan
est d’abord en nous et qu’il ne tient qu’à nous de choisir d’être bon. Permettez-
moi une critique sur votre entrée. Je vous trouve très religieux d’en
votre manière d’exprimer votre pensée, c'est-à-dire qu’il me semble que
vous voulez vous fier uniquement à La
Révélation d’Arès,
qui, bien sûr, est véridique — je n’ai aucun doute sur votre témoignage
et sur l’immense pouvoir que Dieu a de vous faire apparaître Jésus en
chair et en os s'Il le souhaite pour délivrer son message d’amour aux
hommes —, mais je crois que votre manière d’aborder, de comprendre La Révélation d’Arès
est fonction de votre vie d’homme, de votre expérience et de votre
connaissance limitée (comme chacun d’entre nous). Par
exemple, pour vous parler de mon expérience, je continue de
m’intéresser beaucoup aux témoignages écrits par des médiums qui ont
cette chance incroyable de communiquer avec le monde des esprits, car
je continue de m’interroger et de me poser des questions où je ne
trouve pas de réponse dans La
Révélation d’Arès où dans la Bible où dans le Coran. Je
sais maintenant qu’aucun livre ne possède lesle réponses à
mes
questions, d’autant que ce qui est extraordinaire est qu’une fois qu’on
a trouvé des réponses, d’autres questions nous viennent à l’esprit et
ainsi de suite. D’après ce que j’ai compris de votre
parcours,
vous avez rejeté l’idée de réincarnation, c'est-à-dire la possiblité
que nous aurions d’accumuler des expériences humaines dans le but de
nous parfaire et de ressembler de plus en plus au fil des vies à notre
créateur. Vous voyez dans ma manière de parler que je n’ai
pas
rejeté cette idée malgré que Dieu lui-même semble vous avoir dit que la
réincarnation n’existait pas. En fait il n’a pas dit çà, il a dit que
nous n’avions qu’une vie au soleil ce qui, vous l’avouerez, est
complètement différent. Je ne cherche pas à vous démontrer
que vous vous trompez. Je cherche juste à vous montrer qu’en
décidant d’exclure l’idée de réincarnation de votre réflexion, vous en
arrivez à extrapoler (ce que je fait aussi, je vous rassure) uniquement
sur la Parole très courte et très brève de La Révélation d’Ares. Par
exemple, si je vous pose la question sur pourquoi la maladie et la
souffrance chez un enfant de deux ans, vous serez d’accord, si je vous
dit que La Révélation
d’Arès ne répond pas à cette question. Je ne
vous pose donc pas la question, car je sais que vous n’êtes pas en
mesure de me répondre. Pourtant,
vous conviendrez avec moi de ce qu’il y a d’extraordinaire dans
l’aventure humaine est que j’en arrive à me poser cette question et que
je cherche à y répondre contre vents et marées. Je ne sais
pas si
vous avez le temps de vous intéresser à la musique, mais — par exemple
— on dit que Jean-Sébastien Bach est l’ancien testament et que
Beethoven est le nouveau. Je crois donc que par le courage que vous
avez eu de témoigner de votre expérience vous avez fait murir un
nouveau bourgeon sur lequel Dieu souffle pour qu’il donne des bons
fruits et je vous rappelle que la musique de Bach a attendu patiemment
plusieurs siècles avant d’être dévouverte par le grand public. Patrick
R. (des Yvelines)
|
Réponse
: Vous prétendez que La
Révélation d'Arès ne répond pas à vos questions, mais à
l'évidence vous ne la connaissez pas. Si
vous la connaissiez, vous ne consulteriez pas les médiums, ceux qui,
selon vous, "ont la chance incroyable de communiquer avec le monde des
esprits," À ce propos, La
Révélation d'Arès dit clairement : Tu t'adresseras à Moi seul, tous
feront de même... Mets-les en garde ceux qui s'adressent à d'autre
esprit que Dieu (39/4) ! Quant
à la question des souffrances d'enfants en bas âge, c'est une question
qui m'a été posée des centaines de fois depuis bientôt 37 ans et à
laquelle j'ai répondu de nombreuses fois verbalement ou par écrit. Si
vous étiez des nôtres, vous en auriez beaucoup entendu parler. C'est
dire le Fond
même de La Révélation
d'Arès que dire que la solidarité, la mutualité ou
l'interdépendance humaine joue dans le péché et la
perdition générale comme elle jouera dans la pénitence et le
salut général au Jour où
le temps s'arrêtera. Si même les meilleurs d'entre nous, les hommes
bons ou les petits enfants, souffrent et meurent sans l'avoir mérité
personnellement, c'est parce que l'ensemble de l'humanité est
pécheresse. Si, inversement, même les mauvais trouvent le salut et la
rédemption, un Jour,
c'est parce que, schématiquement, un petit reste
suffisant de pénitents aura
fait basculer le plateau du Bien
de la balance du Bien
et du Mal
vers le salut
général. Voilà pourquoi La
Révélation d'Arès ne dit pas que la Vérité, c'est que
l'homme doit changer, mais dit la
Vérité, c'est que le
monde doit changer (28/7). Tous les hommes,
qui constituent le monde, sont interdépendants. Quant à la
réincarnation, La
Révélation d'Arès est très claire: Ce n'est pas sur ce
schéma superstitieux que la grande chaîne de la Vie
s'étend des origines de la vie à son apothéose qui surviendra à la fin
des temps. Certes, nous descendons tous d'une parenté très lointaine et
en subissons les conséquences par l'atavisme, mais c'est autre chose. Je
ne vais pas m'étendre ici sur un point du Fond bien connu des
Pèlerins d'Arès dont à l'évidence vous n'êtes pas. Vous
suivez vos idées et je respecte vos idées, et si vous êtes un homme
meilleur que moi vous serez plus sûrement sauvé que moi qui ne suis
qu'un pécheur,
mais vous ne serez pas sauvé par vos idées ou par vos médiums. Ne
dites pas que La
Révélation d'Arès ne répond pas à vos questions. Je crois
plutôt que ses réponses ne satisfont pas vos attentes.
|
23déc10 114C9 Cette
entrée de blog est sous-estimée sous le titre de "mémo de Noël". Elle
serait mieux nommée "Manifeste de La
Révélation d'Arès." Il
y a une dizaine d'années j'avais été interpellé mais pas intéressé par
un propagandiste de votre mouvement à Nice. Ce qu'il me dit devait être
ce que vous appelez "mission sociale" dans des réponses à des
commentaires (je lis le blog en diagonale depuis deux mois), mais que
j'aurais appelé "mission morale". Un samedi d'octobre
[2010], j'ai
répondu à votre invitation au siège local de votre mouvement, rue
Biscarra, où je vous ai écouté. Je me suis demandé s'il s'agissait bien
de la même chose, pas parce que vous avez changé votre devanture (très
bien) mais par l'exposé que j'ai entendu de votre bouche, Michel Potay. J'ai
compris que, tout en étant différent du catéchisme catholique, le fond
de votre foi était vraiment spirituel. J'ai été frappé par
vos mots: "Pénitence...
le mot paraît fossile, mais c'est tout le contraire..." dans votre
petite video (c'est votre tableau noir pour enseigner, techniquement
"bricolé" comme vous dites, mais très vivant). Vous avez une façon
inattendue de déterrer ce mot pénitence
de la mystique et des emmerdes habituelles de la religion pour en faire
une source créatrice. Vous dites même: "La pénitence peut
faire des miracles..." On est toujours dans le spirituel — pénitence, miracles... —, mais
on réalise que vous ne parlez pas de
pénitence
comme de recette de bonheur ou d'extase, mais comme une correction ou
discipline intérieure voulue, pas facile, un vécu, peut-être ce qui
provoque le miracle de votre dynamisme hors du commun. Avez-vous
vraiment 81 ans ? Ou bien suivez-vous un traitement de
jouvence
(injection de cellules) ? Je ne me suis pas fait connaître,
mais
je reviendrai peut-être. En vous écoutant on sent bien que vous ne
parlez pas pour le plaisir d'être écouté. Vous recherchez des
disciples. Vous prêchez. On sait au moins à quoi s'en tenir. Il
faut d'abord que je lise La
Révélation d'Arès.
Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année à vous et à votre chère
épouse, que j'ai été heureux d'apercevoir (Vous me paraissez de bien
honnêtes gens... je trouve déplorable tout ce qu'on raconte sur
vous, mais je ne vous apprends sûrement rien). L'observateur
|
Réponse
: Oui, j'ai bien 81 ans et je ne reçois aucun "traitement de
jouvence". Merci pour ce commentaire qui me touche beaucoup. Il
n'est pas facile de faire le passage. Je le sais d'autant mieux
qu'après les apparitions de Jésus et son message en 1974 je mis
moi-même du temps pour faire le passage entre ce que j'étais, que je
pouvais libement rester, et les rivages
de la Mer
auxquels j'étais appelé à me rendre pour une mission qui ferait de moi,
j'en avais conscience, une sorte de "mort social". Mais il
n'en serait
pas de même pour vous, vous pouvez être un pénitent et un moissonneur de pénitent,
un des nôtres, et vivre votre vie citoyenne habituelle. Vous
devez, bien sûr, d'abord lire La
Révélation d'Arès,
mais ils ne sont pas rares, les cas où la lecture et plus exactement la
connaissance de ce livre n'a pas marqué le début, mais au
contraire marqué la fin du cheminement, des hésitations, des
difficultés, de l'éveil. Si c'est votre cas, revenez
m'écouter !
Cela vous aidera à ouvrir le livre. Vous pouvez m'entendre à
nouveau à Nice en janvier, février, mars ou
plus tard. Téléphonez au local de Nice ou passez-y, les
jours de
permanence. On vous donnera les dates et les heures où je projetterai à
nouveau mon petit diapovideorama "bricolé" et où nous pourrons parler,
le public et donc vous et moi. Je
suis d'ailleurs encore à Nice
aujourd'hui pour reposer mon dos qu'en portant mes bagages j'ai
"bistourné". Comme quoi je ne suis pas aussi jouvenceau que vous me
croyez être. Mais ça va mieux, je m'en tirerai avec un mal de dos, rien
de plus grave (j'ai déjà été opéré d'une hernie discale en 2001 ou
2002, je ne me souviens plus exactement) , je reprendrai la route
demain pour
Bordeaux où m'attend comme toujours beaucoup de travail, surtout en fin
d'année. Merci pour vos vœux de Noël. Je vous retourne les
miens,
je vous souhaite aussi pour ce Noël de voir le temps s'améliorer à
Nice. Ce froid,
cette pluie, ne sont pas habituels dans la région. Je vous espère en
2011. |
23déc10 114C10 Je
suis ému et heureux de lire "mémo de Noël". J'y retrouve le
souffle frais et vivifiant de la pénitence. Un
retour aux "fondamentaux", ça fait du bien, à savoir que nous devons aimer, pardonner, changer, faire
le Bien, etc. C'est
une piqûre de rappel dont nous avons tant besoin et ce, tout au long de
notre vie spirituelle, pour la continuité de notre changement
individuel, appelé à grandir avec d'autres, de rester et d'avancer sur
le chemin de la pénitence,
afin que nous ne nous égarions pas... Grippé ou non, il
existe réellement, au fond de nous, le moteur spirituel qu'est la pénitence. Chaque
jour, nous devons redémarrer cette pénitence,
pareil à un vieux moteur de tacot d'antan que l'on relançait à la
manivelle et ainsi de suite, par temps froid, comme par temps chaud. Descendant
d'Adam j'ai conscience que le moteur de ma pénitence tombe
souvent en panne spirituelle. De
ce fait, nul besoin de faire semblant de tomber, d'en rajouter... à
moins d'être maso, d'avoir un penchant aiguë, voire pathologique, pour
le suicide de l'âme ! Certes, nous sommes tous
pécheurs. C'est pourquoi, chaque jour, le moteur de notre pénitence doit
être relancé constamment afin d'avancer petit à petit, vaillamment. Aussi,
en ayant conscience du temps qui passe et de celui d'un autre temps,
encore inconnu, mais qui s'approche, il n'est plus vraiment temps, plus
vraiment crédible de notre part de nous demander, de façon
récurrente : "Qu'est-ce que je veux être ?" mais
plutôt :
"Suis-je ou, ne suis-je pas ?" Je pense à cet illustre bonhomme qui a
dit: "To be or not to be, that is the question." Salut à toi,
Shakespeare, si c'est bien toi l'auteur (car d'après des historiens, il
semblerait que non). "Mémo de Noël" m'aide à redémarrer le
moteur de ma pénitence. Je
pense à votre précédente entrée "surpeuplement" (0113). Je peux dire
que ça m'a remué l'esprit comme ça m'a enrichi spirituellement dans ma
réflexion, tout compte fait. Au début, je me
disais : "Ça
sent le vieux relent de préjugés, sinon enfouis sournoisement au plus
profond d'eux-mêmes... Chez certains commentateurs, à les lire j'en ai
eu la nausée. C'est ainsi que, de prime abord, je l'ai ressenti.
Intérieurement j'ai eu un malaise pour nos sœurs et frères noirs, pour
mes amis et collègues d'origine africaine et que j'avais en pensée. J'aimerais
juste dire qu'en France, notre "surpeuplement" ne sera pas comme sur la
photo (0113) surpeuplé de "têtes noires" — photo qui m'a d'abord
surpris, puis ému, car nous sommes la chair d'un même monde — mais
surpeuplé de "têtes grises" que sont déjà et seront plus encore par
millions les personnes âgées vivant en France à l'heure actuelle. Dans
un avenir proche on prévoit, en France, 20 millions de vieillards, si
je ne m'abuse. Alors, je me dis que là aussi, plus que jamais, nous
devrons faire preuve de pénitence,
ne pas "faire semblant" de les aimer spirituellement nos chères petites
"têtes grises" que l'on parque allègrement (mais financièrement, pour
combien de temps encore ?) dans des Maisons de retraites (j'y ai
travaillé et j'ai démissionné sans regret) sans oublier tous ces petits
vieux nationaux qui poussent comme des champignons dans les rues des
villes et des campagnes de l'Hexagone... N'oublions pas
qu'un
jour nous allons tous devenir des petits vieux exposés à la merci des
gérontophobes... Les boules ! "Qui peut
juger ?
Personne, parce que nous sommes tous pécheurs." écrivez vous dans cette
entrée. Mais je ne peux m'empêcher d'imaginer certains commentaires aux
relents xénophobes que vous avez dû recevoir et que vous avez, par
sagesse peut-être, renoncer à publier. J'aurais aimé envoyer
un
commentaire dans le temps prévu, mais j'ai séché sur ma feuille de
brouillon avec ce thème du "surpeuplement" (0113), d'ailleurs, thème
pour lequel il y a eu moins de commentaires que les précédents. Puis
est arrivé "mémo de Noël" comme un présent de Noël. Enfin,
aider à (re)démarrer le moteur de la pénitence pour des
hommes, des femmes, afin qu'ils et elles puissent changer en Bien,
alors, n'est-ce pas là, en effet, le plus beau des cadeaux de
Noël ? Merci Frère Michel pour vos
thèmes ou entrées toujours salvatrices. Joyeux Noël
à vous, Frère Michel et à tous les pénitents
arésiens, invisibles, silencieux, mais non moins actifs, afin que le
monde change en Bien. David
Patati et patata.
|
23déc10 114C11 Jean
dit en 114C2 : "Vous n'avez pas peur de vous attaquer à l'un des
fleurons sacrés du christianisme: Noël." Je
ne le comprends pas, car il n’est pas besoin de chercher bien loin pour
savoir que Noël a été instauré par les catholiques pour remplacer les
fêtes du culte de Mithra et les saturnales romaines. Et cela [pas avant
le] IVe siècle.. Je ne lis nulle
part, dans les Évangiles, que les Apôtres souhaitaient son anniversaire
à Jésus. Pourquoi impliquer Jésus dans une fête
païenne ?
Catholique
par éducation, [scoralisé] dans un collège religieux, enseigné aussi
par un "curé de campagne", j’ai compris, à ce moment là, que quelque
chose clochait dans le mythe du "fils de Dieu" en lisant notamment ces
versets (il y en a d’autres dans les Évangiles) : Matthieu
4/10 Jésus lui dit : "Retire-toi, Satan ! Car il est écrit :
Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul"
et
Matthieu 5/9: "Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront
appelés fils de Dieu !" Matthieu 16/27: "Car le fils de
l'homme
doit venir dans la gloire de son Père avec ses anges, et alors il
rendra à chacun selon ses œuvres."
Jésus
dit aux
Apôtres : "Et n'appelez personne sur la terre votre père; car un seul
est votre Père, celui qui est dans les cieux" (Matthieu 23/9). Il
est clair que Dieu est le Père de chacun de nous. Il est à
remarquer que l'Église Catholique donne le titre de "Père" à tous ses
prêtres, et celui de "Saint Père" au Pape. Pourquoi
n’écoute-t-elle pas la recommandation de Jésus ?
Pas
plus que Jean, du 104C2, n’écoute Jésus quand celui-ci dit (Matthieu
5/43-48): "Vous avez appris qu'il a été dit: Tu aimeras ton prochain,
et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis,
bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui
vous
haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous
persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les
cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons,
et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."
Dans
les Dix Commandements Dieu dit: "Tu ne te feras pas de statue, ni
aucune forme de ce qui est dans les cieux la haut, ou sur la terre,
ici-bas, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne
te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas.»
Pourquoi [dans ces conditions] les Catholiques se font-ils des dizaines
de statues (saints) qu’ils adorent ?
Jean
[le commentateur 114C2] dit encore: "L'homme est mauvais et le
restera." Le bébé qui naît a en lui toutes les potentialités pour être
bon. Ce sont les
aînés qui le pervertissent. Une expression, copiée des Protestants me
plaît beaucoup, c’est "Renaître en Dieu." Quand je ne mens pas, quand
je partage, quand — comme vous le faites — je refuse le conflit, quand
je pardonne en incitant mon prochain à ne pas se mettre en position
d’avoir à être pardonné, etc, alors je me sens renaître en Dieu.
"Grâce
à Dieu, vous allez mourir," dit il. Mon frère Jean, vous
allez mourir aussi. Peut-être même avant le frère Michel.
Réfléchissez-y un peu ! Je ne voudrai pas être à
votre place quand Jésus vous dira: "Tu as jugé et insulté un homme de
bien."
Quoiqu’il en soit, si être Catho c’est
être comme vous, je remercie Dieu de m’avoir offert La Révélation d’Arès. Berni
Zacharie
|
23déc10 114C12 Lorsqu'on
lit les évangiles, Marc, Matthieu, Luc, on voit que jamais Jésus ne
critique, juge,
ment, triche, vole, etc. Il appelle sans cesse à la pénitence, au
pardon de toutes les offenses, à faire la paix en toutes circonstances,
au non jugement, à l'amour évangélique qui n'est pas un amour
sentimental, mais constructif qui nous met ainsi que notre
prochain face à nous-mêmes. Jésus enseignait la Parole, la
recherche de
l'image et ressemblance,
Le Royaume
(Spitituel) en nous (Genèse
1/27),
l'identification avec le Créateur. Jésus est celui qui a atteint le
plus
haut niveau de pénitence,
transfiguré de son vivant (Matthieu
17/1-3). Jésus a mis ses pas dans les Pas du Père
de l'Univers en
s'embrasant
d'amour pour l'homme son frère, celui qui a accompli en un an, le
temps d'un battement d'ailes, ce que le monde pour son salut accomplit
dans les siècles des siècles (Rév d'Arès 32/4) et qui pour
cela a été
fait un Dieu (Rév d'Arès
2/13), le Christ de référence, Jésus le
prophète de l'amour. À mes yeux, le Frère Michel
est aussi prophète
de
l'amour à l'image du
Père de l'Univers, ce qui confirme que la matrice
originelle, tout l'univers, est en chacun nous, filles et fils sacrés
pouvant régner sur la
mort et l'enfer.(Rév d'Arès 3/9). Père de
l'Univers Toi Seul es Saint (Rév d'Arès 12/4). Le
pire homme reste ton
image et ta ressemblance. Qu'il mette ses pas dans Tes Pas (Rév d'Arès
2/12, 32/3) et il devient analogiquement saint (Lévitique 19/2).
Ton
analogie est un christ, ton fils, ta fille: Tu es seul Saint,
mais tout
homme est appelé à devenir christ" (Extrait su 3Pèlrin d'Arès 1991/92",
"Pia" p.170). Jamais, je n'ai entendu le Frère
Michel dire du mal de qui que ce soit,
critiquer, juger, etc. Le Frère Michel nous montre toujours
l'exemple. Il est notre modèle de pénitence
(Rév d'Arès16/1). À sa
suite, avec nos personnalités, nous nous appliquons à suivre son
exemple par la pénitence,
la prière, la moisson d'autres pénitents. J'aime
beaucoup l'affiche de nos sœurs et frères suisses0160: 2.000
ans d'histoires qui séparent ces deux prophètes, deux vies,
deux personnalités, deux vécus, deux éducations différentes et tous
deux prophètes de
l'amour. Abraham, Jésus, Mahomet étaient des hommes vivant
la vie de
leur temps au quotidien. Ils ont montré que la vie ordinaire n'empêche
pas la pénitence
et qu'elle est le seul cadre dans lequel le peuple
atteindra la transfiguration (Inspiration,
Pèlerin d'Arès 1993/96, p.446) c'est ce
que nous montre Mikal.
Cela confirme que toutes femmes, hommes, quels
qu'ils soient, pour le simple prix
d'une pénitence (30/11) peuvent aussi
atteindre l'état de transfiguration. Nous allons tous mourir
pécheur,
oui, mais, l'important est de cesser de pécher, tous les jours de notre
vie le plus possible, de résister aux tentations, de travailler sur
nous-mêmes en bonifiant notre cœur, car nous aussi par la pénitence
sommes des prophètes
de l'amour en puissance. Nous sommes dans un monde
qui fabrique des dieux, [les dieux] de la télévision, radio, publicité,
cinéma,
chanson, politique, religieux, économique, juridique, gastronomique,
journaliste, sportif, sociaux, etc. Ils ne sont que des idoles de
l'esprit (Rév d'Arès 23/8). Nous sommes tous des pécheurs,
capables du
meilleur, comme du pire. Le Père nous a créés pour une vie
existentielle
et non pour une vie sous la domination des uns par les autres,
l’idolâtrie,
l'adoration de semblables, etc. L'homme est devenu un
prédateur. Le
Père l'appelle à devenir un christ
(Rév d'Arès 2/13, 12/4, 32/2-3).
La Révélation d'Arès invite chaque homme, croyant et
incroyant à être
maître de son destin, en se créant l'âme
par la pénitence
qui, dans sa phase active, est l'ha,
véhicule d'éternité et d'infini (Rév
d'Arès 17, 18, xxxix). Non pas un homme montre la Voie
; non pas
un autre homme trouve la Vie ; mais beaucoup d’hommes se succédant au
tombeau montreront la Voie, une multitude dont les os ajoutés
dresseraient une montagne trouvera la Vie, parce que le Père ne donne
plus la Vie ; Il L’a donnée une fois, l’Oasis.(Rév d'Arès 24/3). Frère
Michel, Sœur Christiane, tous mes sœurs et frères de cette
merveilleuse terre, joyeuse fête de la pénitence, fête de
la Lumière ! Didier Br.
|
23déc10 114C13 En
répondant à Pascal G. le 23 décembre 2008 [commentaire 90C04] vous avez
dit : "Jésus
ne put pas
naître en décembre, puisqu'il naquit pendant un recensement de
population par les Romains, lesquels ne procédaient à un recensement
qu'aux beaux jours. Jésus n'avait pu naître qu'entre avril et octobre,
ce que l'église antique savait très bien. "Alors, pourquoi
ce Noël de l'église le 25 décembre ? "Cette fête de
la Nativité qui apparut et se généralisa entre le 3e et 4e siècle était
elle-même le prolongement — la récupération — d'une fête païenne qui
avait été célébrée, sous l'égide des dieux locaux, depuis la plus haute
antiquité. "C'était le moment où les jours commençaient à
s'allonger après le solstiste d'hiver (21-22 décembre). C'était en
somme une fête de la lumière, fête de l'espoir qui renaissait avec les
journées qui rallongeaient, et dans le monde antique, au cours de cette
période, les Anciens s'offraient des cadeaux, organisaient des fêtes,
etc. "Dans les régions de l'église orthodoxe (église grecque
en particulier), qui fut mon église quand j'étais dans le clergé, cette
fête de la lumière avait été naturellement celle d'Apollon, le dieu
solaire. Cette fête d'Apollon se perpétua longtemps après la
christianisation. Mais les chrétiens grecs des premiers siècles avaient
perpétué cette fête de la lumière et l'église pour les en détourner ne
put rien faire d'autre que décider de fêter la naissance de Jésus à ce
moment-là. "Ce que nous, Pèlerins d'Arès, récupérons en
somme c'est l'idée d'une fête de la lumière, qui pour nous devient la Lumière avec un
grand L, et l'idée de l'espoir, Espoir avec un grand E, dont la Lumière est un très
beau symbole. "L'avènement de la Vérité a toujours entraîné
le transfert de célébrations païennes vers la célébration de la Vérité
même. Ainsi Abraham voue à l'Éternel l'autel qui avait servi
aux sacrifices païens et plus tard Muhammad voue à Dieu la Kaaba qui
avait été un temple païen. Les exemples de telles transformations de
rites ou lieux de piété païens en rites et lieux où se célèbre la
Vérité abondent. Ces transformations symbolisent le transfert de notre
chair ou matière humaine et de nos langues humaines célébrant l'erreur
à l"homme nouveau parlant le langage nouveau de la Lumière du Créateur
et de sa Vérité enfin trouvés ou retrouvés."
Je viens de
lire dans un journal gratuit (journal d'annonces) un texte presque
identique, tellement presque identique que je le crois emprunté à votre
blog, à moins que vous ayez vous-même emprunté le texte de votre blog
[réponse 90C04] à un article ou à un livre qui est alors la source
commune. C'est sans importance, de toute façon. Vous-même
maintenant vous récupérez la fête de Noël à votre tour pour le profit
des Pèlerins d'Arès après avoir récupéré le Dieu de l'église pour le
profit de votre Révélation
d'Arès. Vous fondez une nouvelle religion, ni
plus ni moins, et comme toutes les religion, la vôtre est une
récupération de religions qui vous ont précédé qui avaient elles-mêmes
été des récupérations. Si Dieu existe, il n'y a évidemment
aucune surprise dans le fait que chaque religion soit la récupération
du Dieu de la religion précédente. C'est toujours le même Dieu cuisiné
de façon plus ou moins différentes qu'on retrouve dans son assiette. Mais
Dieu existe-t-il ? Pourquoi la science se refuse-t-elle à étudier ce
qui vous est arrivé en 1974 et 1977 ? Je crois que
vous ne racontez pas d'histoire, je crois que les faits que vous avez
relatés sont vrais, mais est-ce que pour autant Dieu existe ? Vous
semblez en douter vous-même. Dans votre entrée 0065 du 6 août 2007 vous
écrivez : Quelqu'un
qui craint si peu qu'on le confonde avec un autre qu'il se désigne
simplement par Moi ou Je
(2/13, XXXVIII/3, etc.). C'est
Dieu, oui... et non! Dès que des mots humains paraissent, le mot Dieu
notamment, tout se brouille : Jésus
fut fait un Dieu (2/13), mais n'est
pas Dieu (32/2), et
le flou s'accroît… C'est un Christ qui est
Dieu né de Jésus, ce
qui, pris au pied de la lettre, paraît dire que Dieu est né de
l'imagination d'un homme nommé Jésus né d'une
femme nommée Marie
(32/2). En
fait, il s'agit d'autre chose, que l'intelligence
d'homme, faible lumignon, ne
peut plus comprendre
(32/5). "Sages étaient donc les chrétiens antiques
avec leur intuition que Jésus avait quelque chose à voir avec Dieu,
mais qui se bornaient à cette intuition. Insensée fut donc l'église qui
changea l'intuition, où nage la Vérité
vivante, en
dogme — trinité (23/7,
XVIII/1, croix rédemptrice(XXXI/1)
—, où
la Vérité n'est
plus qu'épave attendant son renflouage. "Le renfloueur est
arrivé,
c'est La
Révélation d'Arès. "Si
l'église, laplus belle récolte de
Dieu (14/2-3) avant
qu'il moissonne les
Pèlerins d'Arès, entend l'Appel
(4/4), elle
ramènera lentement à la surface l'intuition, la foi d'Abraham, de
Jésus, la foi dans le Bien
(XXXIII/1) et
dans sa servante,
la beauté des
propos et des actes (12/3). Nous
croyons que le Créateur n'a pas vainement parlé à Arès et que la
religion s'abandonnera, d'une façon ou d'autre autre, aux mille
soleils du
Souffle qui fondent
(2/14) l'obscur
langage du dogme en un langage
d'intelligence (23/4), la Vie qui
pour l'heure se cache encore sous ledésert des
mots (24/3-5). "L'idée
même de Dieu, aujourd'hui largement réfutée, est la première concernée
par ce renflouage. "En attendant, nous allons voir qu'il
n'est pas
toujours faux de dire que Dieu sort de l'imagination, mais que Dieu
n'en est pas moins vrai. "Avant
1974 je croyais savoir ce qu'était et qui était Dieu. Depuis que j'ai
reçu La
Révélation d'Arès je
ne sais plus. Je sais seulement, à travers ma faible jugeote
spirituelle (32/5), certaines
choses qu'il dit comme: La
Vérité, c'est que le monde doit changer (28/7),et
certaines choses qu'il fait comme trop
aimer (12/7) l'homme
et créer l'univers sans s'arrêter : Je
cours (encore et tout en courant) Je fais mille nouveaux soleils
(XXII/12), mais
je le soupçonne d'être, de faire et de pouvoir nous donner beaucoup
plus."
J'ai
discuté de ce texte avec un prêtre catholique,
qui m'a dit à peu près ceci : "Michel Potay est un pauvre homme qui a
sûrement foi en Dieu, mais qui est tombé dans une aberration telle
qu'il ne sait plus qui est Dieu, le Dieu de la Bible qui s'est incarné
en Jésus pour la rédemtpion du monde. De toute façon, Dieu n'est pas
son souci. Son souci est sa propre personne de Michel Potay qui s'est
dit que l'église déclarerait qu'elle se mettait à l'étude de sa
Révélation dite d'Arès. Il espérait comme ça être vénéré vivant comme
un nouveau prophète biblique et pouvoir circuler dans le monde avec une
auréole sur la tête." Qu'est-ce que vous en pensez ? G.
G.
|
Réponse
: Ce que je pense de ce que vous a dit ce prêtre catholique ? J'ai
entendu prononcer à mon propos beaucoup d'hypothèses: imposture
volontaire ou imposture involontaire sous diverses variantes, mais je
n'avais pas encore entendu cette variante-là, peut-être la plus stupide
de toutes. Selon
ce prêtre j'aurais inventé "la Révélation dite
d'Arès" dans l'espoir d'être honoré de la considération, voire même de
la vénération, de l'église qui se serait, selon mes sinistres calculs,
officiellement mise à l'étude de mes inventions que seraient
l'événement
d'Arès et son Message ? Ce pauvre prêtre n'avait
pas lu La Révélation
d'Arès,
parce que, de même que celui qui la prétend inspirée par Satan verrait
bien en la lisant que Satan n'en tirerait aucun profit, il n'y a pas un
seul lecteur sérieux qui verrait l'église en tirer profit de son côté,
sauf évidemment le profit de se réformer de fond en comble ou même de
disparaître, ce que sa nature absolutiste même lui interdit de faire
pour le moment du moins. Cela
dit, votre commentaire soulève un certain nombre de questions auquelles
il répond lui-même en citant deux entrées de mon blog. Les questions
soulevées sont, de toute façon, du type inépuisable: "Dieu
existe-t-il ?" Votre commentaire reprend ici la trace laissée
par
quantité d'agnostiques. Il faudrait plus que l'espace d'une réponse
dans ce blog pour reprendre un tel sujet. Je dirai quand même
ceci : La question que soulève La Révélation d'Arès
n'est pas: "Dieu existe-t-il ou non ?" Quiconque a bien lu cette Parole
voit que le premier souci de son Auteur n'est pas de décider les
hommes à croire en Lui, mais de voir les hommes échapper au mal qu'ils
ont eux-mêmes généré et généré contre eux-mêmes et retrouver le bonheur
pour lequel ils furent
créés. Autrement dit, La
Révélation d'Arès est avant tout la Parole généreuse d'un
Père toujours prêt à s'effacer pourvu que son enfant trouve le Bien. Cet
effacement du Père trop
aimant (Rév d'Arès 12/7) devant
les hommes, devant nous aussi donc, est même tel que nous pourrions,
d'une certaine façon, nous considérer, nous Pèlerins d'Arès, plus près
des agnostiques réfléchis que de croyants primaires confits en dévotion
et certitudes sans se poser de questions. Pour nous le Fond n'est pas
connaissable en ce monde, mais un point d'orientation, le lieu vers
lequel il vaut mieux se diriger. Nous
sommes donc plus proches de vous que vous ne pensez peut-être, sauf que
sans tout savoir de Dieu et de la Vérité, nous avons pris la direction
indiquée par La
Révélation d'Arès
en toute sérénité, tandis que vous semblez toujours hésitant de votre
côté, vous en êtes toujours à piétiner à la croisée des chemins. Suivez-nous
! Nous avons pris la bonne direction.
|
24déc10 114C14 Il
m'est indispensable de réagir aux déclarations de guerre de
Jean : 114C2 Nous autres, chamans, prenons rarement
la parole sur les sites tels que le vôtre. En effet, contrairement à ce
que croient bon nombre d'ignorants, les chamans — les guérisseurs — ne
sont pas liés à une religion. Nous ne sommes pas prêtres non plus. Ce
n'est pas notre rôle, mais dans l'univers, nous avons, au regard de
l'Éternel, notre place. Que cela plaise ou non ! Nous ne
sommes en fait
que les gardiens de l’équilibre de la vie, et face aux destructeurs,
notre tâche n'est guère aisée ; nous ne sommes que des
guérisseurs des
âmes. Je n'utilise le terme de chaman que parce qu'il est
devenu, au fil des temps, le plus représentatif de tous
les autres noms utilisé pour définir ce que nous sommes ; c'est à ce
titre que j'interviens ici. Nous autres, nous "n'adorons"
point d'idoles ou de "dieu(x)". Nous nous contentons de faire ce
pourquoi le Créateur de toutes choses nous a placé ici bas, à savoir
préserver la vie et faire s'élever les âmes. Pour
ce faire,
nous demeurons le plus souvent entièrement dévoués, cœur, corps et âme
au créateur de l'Univers. Nous étions là au commencement des
temps,
contrairement aux religions, et nous serons là à la fin, pour vous
aider à passer le cap de la fin des temps cachés dans les temps [?]. Pour
nombre de croyants, nous sommes des hérétiques comme le furent
déclarés en leurs temps les indiens des Amériques,
les peuples d’Afrique noire, d'Asie, d’Australie et d'ailleurs, aux
croyances si éloignées — en apparence — de la religion chrétienne. Mais
quand on pense que la religion chrétienne, loin de s'en tenir à
critiquer — et massacrer — nombre d'hérétiques, s'en est pris à ses
propres rejetons ! Je n'en veux pour exemple que le massacre
des
protestants, des bogomiles, des cathares, et même des plus fidèles
serviteurs de la foi chrétienne : les templiers. Réétudiez
l'histoire,
rappelez-vous de l'histoire, M. Jean, avant qu'elle ne se rappelle à
vous: La mère
qui mange ses enfants. Comme il est aisé de rejeter
l'anathème sur ceux que l'on ne comprend pas et que l'on voit
s'éloigner, peu ou prou, des canons de la "vraie foi" ! Comme il est
aisé de vouloir la mort de ceux qui vous font peur, parce qu’ils sont
autres, différents en leurs pensées ! Même si les formes que prennent
les pensées sont comme l'univers, infinies... Alors quand je
lis qu'un "chrétien" souhaite le mort d'un autre homme, quel qu'il
soit, je ne puis que prendre ma plume à l'encontre de celui-ci, n'est
ce pas, Jean ? Est-il donc si difficile de ne pas
craindre qu'une opinion religieuse diverge de la vôtre ? À
croire que
"l'autre", quel qu'il soit, vous fait peur ! On
ne veut tuer, en la haine, que ce que l'on ne connaît pas. Où
est, en vous, l'Amour prôné par celui que vous appelez le Christ et que
nous appelons "Grand frère" ? Dois-je vous
rappeler ce
qu'est l'Amour ? Cet Amour qu'il prôna ! [...] Bonnes
fêtes de noël à vous tous, Pèlerins, bon noël frère Michel. White
Tiger Shaman (Chaman Tigre Blanc)
|
Réponse
: J'ai dû écourter votre commentaire, non par esprit de
censure, mais parce qu'il est terriblement long et parce que la très
longue tirade sur l'amour que vous adressez à Jean ne l'intéresserait
et ne le convaincrait pas, car il a de l'amour le point de
vue de sa théologie qui, comme son commentaire 114C2 le prouve, n'est
ni le nôtre ni le vôtre. C'est la première fois que ce blog
reçoit un commentaire de shaman, encore que le shamanisme qui est le
vôtre, Tigre Blanc, ne me paraisse pas vraiment venu des rivages du
fleuve Amour au fin fond de la Sibérie. Autrefois, quand j'étais dans
l'église, j'étudiai le chamanisme des psychopompes Toungouzes, Tchouks,
Ostiaks, etc. Mais je sais que, par analogie on a appelé également
shamanisme, quoiqu'improprement, les pratiques des
medicine-men amérindiens. J'ignorais par contre que le mot
avait fini par s'appliquer aux guérisseurs de nos régions européennes. Il
me semble, par ailleurs, que les Indiens d'Amérique et leurs shamans
n'ont jamais été considérés par l'église comme des hérétiques, mais
comme des païens pratiquant la sorcellerie. Les hérétiques sont les
déviants ou les réformateurs d'une même religion, ce qui n'était pas le
cas des Améridiens et de leurs shamans qui n'étaient pas chrétiens. La
défense que vous prenez de ma personne à l'encontre de ce pauvre Jean
me touche. Ceci dit, merci, Tigre Blanc, pour vos bons vœux
de Noël. Je vous adresse les miens, chaleureux. |
24déc10 114C15 Je
souhaite à tous les hommes de cette terre paix et réflexion pour
trouver la face cachée de l'iceberg, c'est-à-dire leur cœur. Voici
une chanson en arabe dédiée à la mère de Jésus, chantée par la grande
chanteuse libanaise Feirouz, de confession chrétienne. http://www.youtube.com/watch?v=SrKPP4FU8fE&feature=list_related&playnext= 1&list=MLGxdCwVVULXfVqfCFSaJkBdpmEDg-Z1mR En
écoutant cette merveilleuse chanson une grande quiétude se créée. La
chanson dit : "Ya oum Allah, toi la mère de Dieu." Les
paroles sont un dialogue de cœur à cœur avec Myriam [Marie], la femme
courageuse qui a su avec intelligence
vaincre sa peur. À l'adresse de Myriam, elle chante : "Toi
le trésor du Miséricordieux", parce qu'elle fait partie du grand projet
du Plus Juste. Je souhaite faire ce rappel à cause de tous
ceux qui sont en train d'attiser la haine entre les Musulmans, les
Chrétiens et les Juifs. Mouhammad était un frère des plus
sincères avec les descendants d'Abraham et maintenant, grâce à Mikal [Michel],
l'humanité réussira à retrouver le chemin qui mène à l'accomplissement
du dessein du Matriciel. Un
Joyeux Noël à toute l'humanité, Hakima
|
24déc10 114C16 Bien
que tou[te]s les [entrées de] blogs contiennent une part de votre
pensée spirituelle, je pense à tort ou à raison que, depuis le l'entrée
de blog 100, Mikal lave
ses frères ; il donne l'Eau (Rév.d’Arès I/14). Ce[tte
entrée de] blog 114 et la réponse au Commentateur 114C2, me semblent un
condensé important de tous vos dires et sa conclusion est un nouveau
rappel pour les frères : "Il est temps que nous sortions de nos
catacombes" et que nous cherchions obstinément le petit reste que Je t'envoie
rassembler et que nous le voyions accomplir la Parole Que Je te
livre (Rév d’Arès 24/1). Malgré l’Appel d’Arès
relayé par ses moissonneurs,
malgré le fait que la plupart des gens prennent conscience que la
politique, les religions, les prédications télévisuelles des mystiques
— si c’est pas passé à la télé, c’est nul ! — peu d’hommes de foi
comprennent que le mal ne reculera pas dans le monde, s’ils ne font pas
alliance fraternelle
entre assembles (Rév d’Arès 35/11) nettoyées des princes, de leurs
prêtres et de leurs docteurs, que Je n'ai pas établis sur elles (Rév
d’Arès 7/4). Vous écrivez dans cette entrée
114: "Certes, ce n'est pas sans une longue et rude lutte intérieure que
j'ai cheminé, pénitent,
pour me rendre libre
de tous les harnais qui me domestiquaient, jusqu'aux rivages de la Mer de Bien."
Il est certain que cette première génération met beaucoup de temps pour
se déculturer, mais j’espère que nos enfants sauront plus facilement
séparer le bon du mauvais de la culture.
Mais l'homme traite ce danger à la légère,
parce qu'il voit le visage du péché et du Mal
aussi doux et séduisant que le visage du Bien.(entrée de blog 100)
Ce(tte entrée de)
blog 114 est notre présente feuille de route ! B. R.
|
24déc10 114C17 Je
ne sais pas si la pénitence
est le Bien
incarné
(panneau du local suisse). D'accord pour la pénitence,
nécessaire, mais parler de Bien
incarné ! Qu'entre
chez eux le fort, l'illuminé ! (Rév d'Arès 23/2) Croire
et/ou aimer Dieu, c'est s'obliger à l'humilité permanente. Récemment,
je relisais: "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas" (appendice de La Révélation d'Arès
éd.1995 dite bilingue), texte d'une soixantaine de pages qui s'adresse
au néophyte mais autant au frère en manque de repères et de
sens, aux médias, aux sociologues, aux administrations, aux
religieux, aux journalistes, etc ... Longtemps, les pèlerins
d'Arès se sont posé la question : "Un prophète, pourquoi et pour faire
quoi ?" Certains trouveront une réponse en lisant ce présent
blog. Pour ma part, j'ai trouvé une amorce de réponse à
cette question, en posant une autre question : "Dieu pourquoi,
et pour
faire quoi ?" "La quête de Dieu ne peut qu'être
infinie". Actuellement, je réutilise le mot Ha [âme], le seul
qui me fasse envie. Cet état qui permet d'analyser en profondeur les
problèmes et ainsi de trouver la solution créatrice que l'on sera
soi-même, individuellement, capable de mettre en oeuvre. Et
cette fin de l'épilogue de Frère Michel dans "Dieu recréé" ("Le Pèlerin
d'Arès" 1991/1992) : "Par
là nous sommes, pour ainsi dire, créateurs de Dieu lui-même" Encore
du blabla, diront certains, mais un blabla que j'offre quand
même aux autres pour ce Noel 2010 où je n'irai ni
réveillonner à Réveillon ni en avion sur de belles plages
ensolleillées du bout du monde et pour finir passer
lamentablement les fêtes de Noël allongé dans les coursives
des aéroports. Non, je mangerai seulement des crêpes au
sucre en continuant d'essayer d'avancer dans ma réflexion. Ah
oui, il est beaucoup question d'explosion dans votre texte, Frère
Michel. Voici une expression qui ne figure pas encore dans
les dictionnaires ; "Je m' ex-plod la tête", que j'offre
aux jeunes, qui sont, comme chacun sait, l'avenir. Guy
P. (de région parisienne)
|
Réponse
: Mon frère Guy, ne vous en prenez pas à notre mission
suisse ! C'est moi l'auteur de la phrase: "Le Créateur
appelle le Bien
incarné pénitence"
dans leur vitrine. Plutôt
que fêter l'incarnation de Dieu dans l'enfant Jésus le jour de Noël, ce
qui est faux, n'est-il pas opportun de rappeler que, s'il y a une
incarnation à fêter ce jour de Noël, c'est l'incarnation du Bien dans le pénitent ? Car,
quand je fais pénitence,
que fais-je d'autre qu'incarner le Bien
en moi ?
|
24déc10 114C18 "Jésus
n'est que le plus illustre d'entre les pénitents,
le christ de référence pour tous les christs que sont les hommes
bons," écrivez-vous, ce
qui fait sursauter certains
esprits conditionnés par une croyance, maintenus — maintenus par qui et
pourquoi ? on
peut y réfléchir mais ce n’est pas le but de ce thème —
dans l'idée de la supériorité
de leur croyance sur
l’action de Bien, d’amour
, de bonté, d’intelligence
du cœur, comme on le voit dans
le commentaire 114C2.
Pourquoi donc cette attitude, ces
certitudes religieuses,
partisanes, qui font soupirer ou hocher la
tête à un
agnostique ou un athée, ou font pleurer un Chrétien qui aime son
prochain comme
lui-même ?
Pourquoi ces certitudes dont les
conséquences ont déjà été tellement
dramatiques dans le passé — passé pas si vieux — de l’inquisition, des guerres de religion.
Restent-elle encore
présentes tout en restant aussi dramatiques
pour le monde d’aujourd’hui qui
s’enfonce de plus
en plus dans
l’individualisme, l’inhumanité,
la
division contraire à la Parole de
Dieu
qui est union, amour, bonheur ensemble ?
Parce que l’esprit humain a perdu son
intelligence,
sa
liberté et
sa force
comme vous le dites encore — "L'humanité
fut créée forte,
intelligente et libre et peut le
redevenir..."
Le cercle vicieux du mal a
enlevé l’intelligence,
et ce mal
est
entretenu par la
force de l’habitude,
de la tradition dont les systèmes de croyances ne sont pas étrangers,
mais dont
il faut s’extraire et d’une seule façon : en faisant le
bien sans esprit de récupération, de
domination,
sans esprit de clan, sans esprit partisan, c’est cela que
nous demande La
Révélation d’Arès.
Le cercle vicieux du mal est
entretenu parce que court encore l’idée,
depuis des générations, de
la nécessité d’institutions, de systèmes pour que le bien se fasse
entre les
humains. Et ces systèmes détournent, comme
le prouve ici même le
commentaire 114C2. On peut regarder
ailleurs,
par exemple, dans les lois athées, les politiques qui sont censées
organiser le bien
de la société. On y
retrouve sous une forme différente la
division, la haine, le rejet, la violence. Le
bien ne se fait pas par une
religion, une politique, une loi , qui dit ce qu’il faut faire et
penser,
mais par la volonté individuelle de ne pas faire le mal.
La direction de certitude que vous
transmettez, c’est celle
là, l’action de bien plus
que la foi quand elle est passive, l'action de bien n’empêchant
pas la
foi [créatrice], bien
entendu .
Je pense que l’on ne croit pas assez
fort, assez profondément
que l’action de bien
que l’on
fait entraîne une
action de bien
chez
l’autre, que
l’action de bien que l’on
fait est chez l’autre une réparation d’une blessure infligée par des
circonstances malheureuses, qu’elle déclenche à son insu, une réflexion
ou une
approche profonde de la nature de l’humain, qu’elle lave les fautes,
les erreurs
que l’on s’inflige mutuellement à
cause
des croyances que l’on a tous, chacun croyant en quelque chose même si
c’est
moins extrême que le commentaire ci dessus .
Pourquoi par intuition aime-t-on
les gens qui font la
charité ? Parce qu’ils témoignent de la bonté et qu’au fond on
sait que cela est
juste, vrai, beau, bon et qu’au fond
de notre conscience on n’échappe pas aux besoins absolus de vrai, de
juste, de
bon, de beau
inscrits au fond de nous. Même malgré le pire, il faut le croire et
s’en faire une
règle de vie. C’est
plus facile quand
on l’a vécu. Ce qui n’empêche pas de
dénoncer ce qui détourne de l’essentiel .
Croyez vous qu’il n’y ait que les
marchands de
divertissements, de sexe, qui nous détournent ? Il est permis d’en
douter face
à certains commentaires que l’on a lus ci-dessus.
Noël, étymologiquement
nouvelle lumière, qu’elle
soit la plus éclairante pour tous ! Charlie
|
25déc10 114C19 Hier
dans votre réponse à L'Observateur 114C9 vous disiez: "Je
suis d'ailleurs encore à Nice
aujourd'hui pour reposer mon dos qu'en portant mes bagages j'ai
"bistourné"... Je reprendrai la route
demain pour
Bordeaux où m'attend comme toujours beaucoup de travail, surtout en fin
d'année." Vous
devez être rentré à Bordeaux à l'heure tardive où je vous adresse ce
commentaire. J'espère que la route s'est bien passée (j'ai téléphoné:
on m'a dit que les autoroutes du Sud étaient OK, pas de
neige!) et
que vous allez passer ce Noël en famille. Il n'y a pas très
longtemps que je m'intéresse à votre mouvement. Le
blog m'aide à me faire une idée de son fonctionnement, et je note que
vous vous déplacez beaucoup pour la mission depuis un certain temps,
notamment dans le Sud-Est. Mais je pensais que vos
déplacement étaient assurés par des frères plus jeunes et plus
vaillants. Ce n'est pas le cas. Nice
est quand même loin de Bordeaux (près de 900 Km) et conduire à 81 ans,
surtout en hiver, sans personne pour porter vos bagages, changer une
roue si vous crevez, faire face à des intempéries, ce n'est pas très
prudent. C'est un peu le monde à l'envers chez vous: c'est "le vieux"
(vocabulaire militaire) qui a la corvée des voyages. Vous
dites: "Le fils de l'homme n'a pas où reposer la tête", mais Jésus
avait 30 ans quand il disait ça. D'un
autre côté, je comprends que la mission se fait sur place suivant les
spécificités de l'endroit et de la population et que ce ne sont pas des
problèmes qu'on peut régler par téléphone ou par emails. Il
y a quand même quelque chose qui me fait l'effet de clocher dans votre
organisation. C'est, j'ai l'impression, l'occasion plus que
jamais de vous adresser mes meilleurs vœux de santé, de force, de
mission réussie. Éloi
|
Réponse
: Merci
de vous soucier de ma santé pendant mes déplacements,
mais je ne me déplace pas toujours en voiture. Quand je vais
à Paris, par exemple, je prends le TGV. De toute façon, en train, en
avion ou en
voiture il faut toujours assumer les bagages. Il n'y a plus depuis
longtemps de porteurs ou bagagistes en France dans les
aéroports,
les gares ou les hôtels. On n'est pas aux USA où on trouve à peu près
partout des porteurs pour vous aider. En France, quand il
nous faut, sœur Christiane et moi, emporter des bagages
pour plusieurs jours, des vêtements de rechange, des livres et de la
paperasse pour
travailler, des dossiers, etc. nous ne pouvons pas éviter de les rouler
et de les porter nous-mêmes (pour les mettre dans le coffre de voiture
et les en sortir, les monter dans la chambre d'hôtel, etc.) et un tour
de reins survient inévitablement de temps en temps. Tant
qu'il ne s'agira pas d'une sciatique paralysante comme celle que j'eus
en 2001 ou 2002 (toute la jambe droite paralysée; j'ai définitivement
perdu le réflexe du jarret et la sensibilité du pied droit malgré
l'opération) et qu'il ne s'agit que de maux de dos, de lumbagos, etc.
ce n'est qu'embarras et douleur temporaires. Non, je ne suis
pas encore à Bordeaux ce soir. Nous sommes en effet partis
de Nice ce matin, mais nous devons faire étape. Nous
ne passerons pas Noël en famille, mais priorité à la mission ! Si
surviennent des
problèmes de dos (ou d'autre sorte: vertiges de Ménière, angine de
poitrine,
hypertension, ah! ah ah! j'ai l'impression de chanter: "J'ai la rate
qui s'dilate, j'ai le foie qu'est pas droit, etc...") ou si une crise
d'arthrite surprend ma pauvre Christiane, ce sont des peines dont nous
préfèrerions
nous passer, mais que nous considérons comme devant être supportées
quand c'est pour la mission. Dans les années 1986-1988,
l'idée de "La Maison des Faucons" était d'amener vers moi une noria
lente mais régulière de frères et sœurs. Le projet ne s'étant pas
réalisé, c'est l'inverse qui m'a été imposé: La solitude et
l'obligation pour moi d'aller vers les frères et sœurs. Les
deux plus gros problème: L'impossibilité de visiter tout le monde et,
lors d'urgences, d'aider en plusieurs lieux à la fois, les coûts aussi,
mais
surtout les pertes de temps que les déplacements induisent, parce que
j'ai toujours beaucoup de travail chez moi. C'est mon lot De
ce fait, j'apprécie davantage vos bons vœux et je vous adresse les
miens en retour. J'en
profite aussi pour vous suggérer de ne pas trop traîner les pieds avant
de rejoindre une de nos missions, si vous avez en projet de vous
engager auprès de nous. Notre "organisation" a besoin de monde, de
toujours plus de monde. Dites-moi où vous habitez,
envoyez-moi un
courrier.
|
25déc10 114C20 Je
me joins à tous ceux qui souhaitent une plus grande lumière, pas
seulement celle des antiques, qui se réjouissaient toujours de
la voir revenir avec le mouvement des astres. Que cette
lumière ne soit pas seulement celle de l'esprit, quand les discuteurs
n'ont pas passé le nez à travers les rideaux de leur pensées, pour
découvrir qu'un peuple est là, à attendre qu'ils se mettent enfin à
jouer sérieusement comme des enfants... ceux que le père
aimerait voir briller de joie non feinte... Comme des héros qui se
lèvent pour se joindre à la fête, de sorte qu'entre la scène et la
salle, il n'y ait plus de différence... Qu'il n'y ait plus de scène ni
de salle, en fait, pour jouer le spectacle de la délivrance... Pour que
les acteurs abandonnent leurs artifices séculiers, leurs faux-semblants. Je
souhaite que la lumière qui vient soit assez brillante ! Qu'elle brûle
et que disparaisse le voile de nos illusions ! Je ne doute
pas de cette lumière. Elle est celle du regard créateur, celle qui
expose les tueurs de prophètes
sous la lumière informatique de ce blog, par exemple, celle qui explose
d'une force encore impensée. Je pense à ce Jean, le "bien
nommé" ?! Jean était le prénom de mon père. Celui
du Baptiste aussi, lequel a marché devant Dieu avec l'esprit et la
puissance d'Élie, le
premier échappé au vœu d'Adam (Rév d'Arès 2/10) et donc à
la mort en renonçant à faire semblant d'être dieu lui même pour ramener
le cœur des pères vers leurs enfants (Luc 1/16 entre autres). Mon
père biologique a tenté lui aussi de "s'effacer" dans son éducation,
pour laisser à ses enfants le maximum de liberté... Mais un
jour que je l'interrogeais à ce sujet, il m'a dit qu'il était toujours
lui-même libre de choisir la colère (ou non). Je l'ai vu un
jour à l'œuvre : Réalisateur d'un film sur la prison la plus
honteuse de France, le bagne de Cayenne, des dizaines de figurants
s'amusaient d'une scène tragique, le meurtre d'un bagnard par un
garde-clef qu'un maton venait d'armer de son revolver. La "prise" de
son était impossible : Dès que le coup de feu éclatait, des
rires fusaient, nerveux ou innocents. Mon père n'a pas élevé la voix,
il a juste lancé un cri d'indignation, sincère, et tout le monde s'est
tu, instantanément. Gloire à tous ceux qui s'indignent
ainsi, à l'instar du commentateur chaman ! [114C14] Gloire
aux obscurs soigneurs des steppes, de Sibérie orientale ou du fin fond
de la forêt amazonienne : Tant qu'ils panseront les plaies,
les peuples se plairont à penser à eux. Vive les "tigres
blancs", lancerait ma fillotte qui les aime autant qu'un bon bol de
chocolat chaud demain matin. La lumière s'étend, jusqu'aux
gens, aux Jeans, fussent-ils mort ou vivants. Grand bien
leur fasse ! Si mon père est mort aujourd'hui, ça ne
l'empêche peut-être pas de voir ses enfants, avec la lumière de son
cœur. Cette lumière est celle qui se partage quand, seul
devant son écran un soir de Noël, on découvre que la solitude nous
rapproche de tous les solitaires de la terre. De mon frère
jumeau peut-être lui aussi éveillé. Cette lumière est celle
qui nous rapproche de toutes les faims du monde, quand on jeûne un soir
de réveillon. Civilisation, figuration, ça rime avec
réveillon. Mais au diable les coulisses ! Plus besoin de
pièce spéciale pour mettre des masques, façonnés dans le papier mâché
des idées rabachées, agonisantes, les étincelles des défendeurs de
papis-noëls blanchis sous les harnais. Plus besoin
d'artifices pour harnacher l'amour du poulain agile, pour
arrêter la folie du Vent
lévé à Nazareth (Rêv d'Arès 10/10, 25/7), la
lumière qui s'approche à la force des sommations. Et les
balles, les glands de
fer seront bien réels pour les acharnés, les tueurs
invétérés de leurs frères sous le tranchant de leurs langues de bois (rions
un peu !) Oui, que les prétendus paternalisants de tous
poils, jeunes ou vieux, antiques ou modernes, se tournent vers leurs
enfants ou disparaissent avec l'air, la pluie et la Lumière nouvelle ! Qu'ils
deviennent enfants eux-mêmes, avant de sortir des sornettes, de taper
des inepties. Un prophète ne meurt pas, de toute façon. S'il meurt, il
s'allonge, se repose et avance, là où les faux prophètes courent
toujours et se démènent en tous sens sous les coups redoublés des
trompettes (c'est pour la rime avec sornettes). Que cette
soirée allume aussi les cœurs des musulmans, de France et d'ailleurs ! La
plus grande fête musulmane ne glorifie t-elle pas aussi le
"désourcillement" d'Abraham ? Païen rompu à l'exercice
sacrificiel, il a cru satisfaire son Père en renonçant au fruit de sa
paternité, laquelle était sacrée dans les mentalités d'alors... Il
a fallu la lumière et la parole d'un ange pour réorienter son bras. Gloire
à Sarah, Ismaël, Isaac, et paix dans les familles musulmanes ! Pour
n'oublier personne, gloire à la lumière
du buisson (Exode 3/2) et paix dans les familles
de Judée, d'Amérique ou de la rue d'à coté (l'une des plus anciennes
communautés juives d'île-de-France). La lumière de cette
nuit est bien faible, il n'y a que la fenêtre de mes voisins musulmans
qui brille. Tout le reste est noir aussi loin que porte mon regard. Nul
doute que la lumière des festivités se reflète en pâle lueur jaunâtre
dans les lourds nuages au-dessus des toits de ma ville. Je
voulais partager ma méditation sur cette civilisation/figuration, sur
l'illusion d'exister simplement parce qu'on a, un jour ou l'autre ici
ou là, fait un brin de figuration. Parce qu'on a alors
peut-être reçu des autres, un court instant, l'image d'un état
prophétique que le Père souhaite nous voir tous vraiment incarner... entre
la scène et la salle, entre la veille et le sommeil entre
le 24 et le 25 décembre 2010. Un hôte parmi d'autres pour
accueillir et être accueilli par cette lumière désormais avenue.
|
25déc10 114C21 Dans
l’entrée 112, vous nous rappelez l’existence du Surnaturel dont la
"fugacité n’est qu’apparente," qui "se matérialise et se dématérialise,
mais qui désaltère notre espérance sans discontinuer." L’évènement
d’Arès fait partie du message lui-même dont il ne faut pas oublier
l’Auteur qu’il faut avoir le courage de nommer : Dieu lui-même. Dans
l’entrée 113, vous pointez le drame d’une humanité en voie de
surpopulation s’enlisant dans le matérialisme et la pauvreté,
s’acheminant vers une survie qui réduit "les gens aux expédients, leur
attente politique à la quête de quelque main de fer et leurs soucis
métaphysiques aux espoirs superstitieux et païens", le monde du grouillis (Rév d’Arès iii/02)
où "survivre serait si essentiel que l’existentiel et le spirituel y
seraient impossibles." C’est
à l’aube de ce monde que "le Père, voyant que les hommes allaient être
plus dominés encore dans la mondialisation qu'il n'étaient dans la
parcellisation religieuse, politique et économique, est revenu leur
parler en 1974 et 1977," dites-vous dans votre entrée 114 où vous
expliquez que "l'humanité ne pourra se libérer de la gangue du mal qui
va l'enfermer toujours plus hermétiquement qu'en explosant en
individualités. En explosant par la vie spirituelle." Dans
ces trois entrées qui se succèdent, l’intelligence de votre
enseignement coule comme de l’eau de source. Ne sachant pas
si vous avez intentionnellement choisi la succession des thèmes que
vous abordez, je me dis que l’intelligence
trouve toujours les chemins pertinents qui relient entre eux des
aspects de la vie qui semblent étrangers les uns aux autres, mais qui
tiennent tous de l’Unité de la Création. L’intelligence est
cohérente. En
cette fin d’année civile, qui se termine, pour les milliards d’humains
de la civilisation occidentale, par des fêtes surréalistes au regard de
l’amoncellement des problèmes qui se profilent, je veux vous remercier
de tout ce que vous m’avez permis de comprendre et d’approfondir durant
cette année : La nature de la peur, l’intérêt du scepticisme
constructif dans la foi, la Vie du christianisme simple et vrai à faire
naître, l’intelligence
et l’amour
qui savent reconnaître et méditer le courage et l’authenticité
spirituels partout où ils éclosent, la puissance de l’existentialisme pénitent,
l’importance du tract et le rapport entre le tract et le missionnaire,
le "prêt" d’âme
par Dieu — quelle découverte ! — et d’autres leçons du grand
Livre
de Sagesse que vous ouvrez devant nous à peu près tous les mois depuis
bientôt cinq ans. Votre enseignement
m’a aidé à faire
pénitence et à changer
ma mission. Grâce à votre présence virtuelle et pourtant
bien réelle, je sais que l’âme
est l’intelligence
du pénitent (Rév d’Arès
12/10, 23/4) et que si elle pousse celui-ci sous le Souffle de
Dieu vers les Hauteurs
Saintes (Rév d’Arès 33/27), ce
n’est pas parce qu’elle est d’une certaine matière ou énergie, mais
parce qu’elle reconnaît et comprend le Créateur, ce que ne peut pas
faire l’intellect seul, même s’il peut déduire l’existence de Dieu par
le raisonnement. Cette compréhension qui tient de la
Lumière, plus
vécue que raisonnée, s’applique d’ailleurs à tout de manière
spirituelle. Ainsi, perdre l’âme,
c’est perdre l’intelligence,
c’est se remplir d’obscurité
(Rév d’Arès 16/16, 38/5) et d’ignorance (Rév d’Arès 23/4, 34/2),
c’est devenir aveugle
(Rév d’Arès 4/7), avec les conséquences catastrophiques
que nous voyons déployées dans le système d’Adam. Grâce
à vous je comprends mieux aussi la bonté du prophète : Une bonté qui
n’est pas celle du "brave type", mais une bonté qui vient de Dieu, une
bonté exigeante qui place le bonheur de l’homme au niveau du projet
existentiel que Dieu formula pour l’humanité à l’origine, la Vie spirituelle, l’Oasis donnée une
fois pour toutes (Rév
d’Arès 24/3). Alors forcément, quand Dieu descend dans le grouillis pour
rappeler Ses Fins (Rév
d’Arès 33/36), retracer les sentiers qui mènent à la Mer
Qu'on trouve les Hauteurs (Rév d’Arès 28/26, 20/4),
cela n’a pas grand-chose à voir avec l’idée que nous nous faisons de la
bonté, à travers la charité ou de l’équité à travers la sécurité
sociale ou la retraite. Sa
Main blesse l'homme, mais l'homme vit (Rév d’Arès XLi/11).
Comme c’est à travers vous que Dieu parle à Son Peuple (Rév d’Arès 23/3, 26/15),
vous avez l’air d’un "facho réac" qui conteste au peuple ses avantages
acquis. Mais pour moi aujourd’hui, prophète Mikal, vous êtes
spirituellement un des meilleurs hommes qui soient sur cette planète. Ces
trésors dans le ciel (Mathieu
6/20),
je vous les dois et d’autres encore. Je vous remercie de les avoir
déposés dans mon esprit et mon cœur. Ils sont la sève revitalisante de
mon arbre de Vie,
pour l’occasion un sapin de noël illuminé de la joie de vous souhaiter
une très belle fête de noël en famille. Joyeux noël et paix
sur la terre à tous les hommes ! Désidérius Faber
|
Réponse
: Votre commentaire m'émeut. Il m'émeut beaucoup. Un
beau nombre de frères et sœurs me disent par lettre ou de vive voix que
mon blog les aide à y voir plus clair ou même qu'il leur est
"précieux", mais très peu développent comme vous le faites ici les
raisons de leur reconnaissance. Ai-je "intentionnellement
choisi la succession des thèmes abordés" dans ce blog ? Non,
mais c'est sûrement une succession naturelle. Jusqu'au
terme de ma vie charnelle il me faudra, de toute façon, aborder tous
les thèmes auxquels La
Révéation d'Arès
nous reporte et qui ne sont pas dénombrables, puisqu'elle est
universelle et parce qu'elle apporte un nombre infini de réponses au
nombre infini de questions que la vie quotidienne autant que
l'actualité mouvante placent sous nos regards. Quels
rapports y
a-t-il entre notre éphémérité charnelle, notre aridité spirituelle, nos
étriquées et mesquines libertés de penser et d'agir, et les Vie et Liberté
absolues que la Parole du Père nous invite à retrouver ? Si jamais
tâche doit être rivée à cette question, c'est bien la mienne. De
même que La Révélation
d'Arès
ne se lasse pas de reprendre sous diverses formes et angles les thèmes
du mal et du bien, du péché et du salut, je ne dois pas me lasser de
reprendre pour mes frères, frères de foi ou simplement frères humains,
tous les thèmes qui se présentent dans l'actualité, celle des
événements de monde comme celle de ma propre vie. Les
échanges
entre nos problèmes d'hommes et les réponses de l'Absolu sont d'une
irréversibilité continuelle, interminable et je sais, connaissant
l'instabilité et la difficulté d'attention de l'homme, que ce que je
dis
aujourd'hui sous une forme qui échappera à certains leur deviendra
clair demain sous une autre forme ou parce qu'ils traverseront une zone
de meilleure attention. La variété des thèmes n'est qu'apparente, en
fait. C'est la variété des perceptions qui est innombrable. Il
faut que sans cesse je cherche un passage entre la Pensée du Père et
l'impensé humain. N'avez-vous
pas remarqué, dans votre mission, que la chose la plus frappante chez
les hommes et femmes que vous rencontrez, c'est qu'ils ne pensent pas ?
Ils répondent tout de suite — et c'est ce tout de suite qui révèle
l'impensé — "Oui" ou "Non", etc., parce que chacun s'est fixé, un jour,
un mode de réflexes face aux problèmes de fond et suit ce mode sans n'y
plus repenser. Ce ne sont, en fait, que les "réflexes
conditionnés" que l'éducation et la publicité (pour ne parler que
d'elles) s'efforcent de fixer pour leur profit. Rouvrir le
pensée
active, créatrice, de l'homme, remettre sa pensée, sa créativité, en
marche n'est pas une mince affaire pour notre apostolat, notre moisson. Les
sceptiques et les cyniques dont ce monde est farci ne se demandent plus
depuis longtemps s'il sera jamais possible de sortir des perspectives
consacrées par l'habitude qu'on a enveloppées sous le paquet étiqueté
"raison", qui ont forgé ses envies, ses violences, ses erreurs, ses
mensonges qu'elle ne discerne même plus. Ainsi me sembla-t-il, à
moi-même en 1974, qu'il n'y avait que le Père, les Créateur, pour
croire qu'on pouvait se sortir de cet état de fixité réflexe. Ce fut
pour moi une souffrance interrogative de presque quatre ans, jusqu'à la
mi-1977: "Le fait de l'apparition et du message de Jésus est là, mais
le fait ne résout pas les problèmes, énormes, qu'il induit. Que vais-je
faire ? Comment vais-je le faire ?" Ma souffrance entre 1974
et
1977 venait d'une très grande difficulté à sortir du marxisme qui, dans
un premier temps, avait nourri ma jeunesse et du credo d'église qui,
ensuite, avait nourri ma maturité, les deux fondés sur l'idée que
l'Histoire dans un cas, la Parole de Dieu dans l'autre cas, ne
s'éclairaient que de l'intérieur d'elles-mêmes et que seule une
formation particulière (de militant communiste ou de croyant bien
catéchisé) permettait de les déchiffrer. Il me fallut du temps pour
comprendre ce que La
Révélation d'Arès me disait, à savoir que l'homme restait l'image et ressemblance
du Créateur, c.-à-d. créateur lui-même, un homme toujours tout neuf (Rév d'Arès 1/1),
un créateur de l'Histoire jusqu'à la capacité d'arrêter l'Histoire si
nécessaire — or, c'est nécessaire —, et un créateur de la Vie spirituelle. C'est
de cette dualité que nous devons réveiller la conscience au fond de
l'homme. C'est d'un créateur de lui-même et d'un recréateur de ce monde
que nous devons refaire l'homme. C'est cela qu'à travers des
thèmes plus facilement abordables par l'esprit commun je m'efforce de
réveiller chez les lecteurs de ce blog. Merci pour vos bons
vœux de Noël, mon frère.
|
26déc10 114C22 Comme
toujours votre entrée est très bien rédigée, mais je ne vois pas son
rapport avec Noël. Je sais que vous en croyez pas que le
Dieu incarné Jésus est né le 25 décembre et même vous ne croyez pas
qu'il est Dieu incarné. Alors ? Je pense que la bonne entrée
aurait été celle par laquelle vous dénonceriez le mensonge de Noël et
par la même occasion tous les mensonges sur lesquels est basée notre
civilisation "chrétienne". Je verrais le 25 Décembre comme
la fête de la Vérité par la dénonciation de tous les mensonges. Je
ne vous dis pas Joyeux Noël, mais Joyeuse Vérité ! Jean-Paul
E.
|
Réponse
: Dans ma réponse à Desiderius Faber (114C21) je rappelle ma
"souffrance interrogative de presque quatre ans (depuis avril 1974)
jusqu'à la
mi-1977(, quand je me répétais chaque jour): "Le fait de l'apparition
et du message de Jésus est là, mais
le fait ne résout pas les problèmes, énormes, qu'il induit. Que vais-je
faire ? Comment vais-je le faire ?" Après que j'eus accepté
la mission qui m'étais confiée, acceptation à laquelle je m'étais
résolu pendant l'été 1974, je me trouvai confronté à une armée de
questions tant fondamentales que pratiques comme: ' Vais-je
rester dans l'église, entreprendre de la réformer de l'intérieur ou
dois-je en sortir ? " Décider d'en sortir me prit du temps.
Ensuite, d'autre questions se posèrent, chaque réponse entraînant
d'autres questions dans leur sillage bouillonnant, nombreuses et
difficiles. Parmi les moyens d'accomplir la
mission que j'avais acceptée il y avait notamment l'alternative
suivante: "Vais-je mettre l'accent sur ce qu'il faut accomplir ou sur ce
qu'il faut bannir (Rév
d'Arès 23/4) ? Autrement dit, vais-je plutôt appeler au changement de vie (Rév d'Ars
35/11) et au changement
du monde (28/7), ou vais-je plutôt dénoncer les erreurs
et mensonges religieux et politiques, ou vais-je faire les deux
simultanément ?" J'optai finalement pour le changement, le
positif: Voilà ce qu'il faut faire pour trouver le salut personnel et
pour sortir le monde du mal ! Je décidai de mettre la pédale
douce sur le rejet du système, de ses abus et mensonges, le négatif. Cette
position, je ne l'adoptai pas forcé par mon état de totale faiblesse
sociale et mon manque total de moyens et par la prudence qu'ils me
dictaient, parce que le seul fait d'avoir accepté la mission me
paraissait déjà le comble de l'imprudence, la témérité ou la folie
extrême, et que je n'en étais plus à me demander ce qui pouvait le plus
me nuire ou le moins me nuire. Je l'adoptai, parce que
j'estimai suffisants les rejets du système prononcés par le Père
lui-même par la bouche de son messager Jésus (L'Évangile Donné à Arès),
d'une part, et parce que je pensai que la meilleur expression de
l'amour évangélique était celle du Sermon
sur la Montagne (Matthieu ch.5 à 7) qui dit à l'homme de bien comment il
doit vivre et ne perd pas son temps à condamner ceux qui vivent
autrement, d'autre part. La grande intelligence
de Jésus fut de rester, à tous les moments de sa mission, en rapport
direct avec les réalités de son temps. Rester en rapport
direct avec les réalités de mon temps, c'est ce que je fais moi-même:
Noël est une de ces réalités. Je m'efforce donc de donner à
Noël un sens de vérité et de créativité inspiré directement par la
Parole d'Arès. C'est le meilleur moyen de faire disparaître sans
douleur et sans faire de mal à nos frères chrétiens d'église le
mensonge que Noël recouvre. Notre calendrier, où se situe
Noël, est ce qu'il est. Il représente une institution tellement
incrustée que la Révolution Française elle-même tenta en vain de le
changer, mais dut y revenir après une courte période de "calendrier
révolutionnaire". Il faut vivre avec les hommes, sinon le réformateur
se prive lui-même des repères qui lui permettent de faire comprendre
aux hommes leurs erreurs. Le calendrier et ses fêtes carillonnées
forment un phénomène empirique qui d'ailleurs aujourd'hui ne prétend
plus recouvrir une vérité ou des critères de rigueur. Les Français
prennent un congé le 15 août, fête de la Vierge, alors que 90% d'entre
eux n'y croient plus. Le sens des dates carillonnées s'avère donc
provisoire par nature est donc toujours révisable. Pourquoi
ne profiterions-nous pas nous-mêmes de cette révisabilité ? Mon
frère, profitez-en pour acheter un peu de sagesse ! Bon Noël
de sagesse !
|
26déc10 114C23 Le
Père de l’Univers avait bien raison de vous dire: "Ne te lasse pas de lui parler
(à Mon Peuple), sur Mes Montagnes entraîne tous ceux que tu peux ! (Rév
d'Arès 26/15)." Et merci aux utopistes
co-créateurs qui ont pensé et créé l’internet. Même si tous
est loin d’être bon sur le web, il vous permet à vous, prophète du
Créateur, de parler aux hommes éparpillés sur la planète. Grâce
à l’instantanéité et à l’interactivité du web, vous pouvez
mieux faire comprendre ce que le Père est venu nous enseigner. Cette
entrée est Belle (Rév
d'Arès 12/3) et les commentaires aussi. Joyeux
Noël à vous et à toutes les sœurs et frères ! Béni soit le
Créateur qui vous a envoyé et longue vie au prophète ! Daniel
C.
|
26déc10 114C24 (Si) l’homme (M’appelle), Je
lave la tache dans l’œil, J’écarte les dents (de l’homme). (Rèv.d’Arès
xxi/7). Autrement dit, Dieu, le Père aimant attend
que l’homme décide de revenir librement vers Lui. Il
(l’homme) retrouve le Bien,
la filiation, il se divinise. La Révélation d’Arès
et l’enseignement
du prophète,
le frère Michel, disent à l'homme: Entre
en pénitence ! Les efforts [de pénitence] accomplis
font de lui peu à peu, à l’exemple de Jésus, qui fut un grand pénitent, son
propre sauveur et une espérance pour l’humanité. Comment
puis-je réfléchir sur Noël, cette fête de la lumière,
qui est censée commémorer la naissance de Jésus, sans méditer
sur son message pour l’accomplir ? Nicaise
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26déc10 114C25 Ce
lendemain de Noël, que j'ai passé comme beaucoup à discuter de fadaises
et autres bêtises avec une famille que je ne rencontre qu'aux grandes
occasions, je me retrouve seul et je médite sur des choses profondes
comme le commentaire d'Éloi et sur la réponse que vous lui avez faite. Peut-être
penserez-vous que le souci qu'Éloi a de votre santé que menacent les
corvées de voyages que vous êtes forcé de faire et surtout de faire
seul n'a rien de profond. Ce n'est pas mon avis. Comme Jean-François
Meyer, spécialiste des nouvelles religions, je crois que l'assemblée des
disciples de La
Révélation d'Arès, les Pèlerins d'Arès, dispose de tous
les ingrédients qui font une religion: une Révélation, un Pèlerinage,
mais à mes yeux il manque un ingrédient de grande dimension: le chef. Je
sais que vous me répondrez que Dieu vous demande de ne pas être un chef [Rév d'Arès 16/1], mais
faut-il entendre cette instante recommandation à la lettre ? N'importe
qui s'intéressant à ce qui se passe autour de La Révélation d'Arès se
rend compte qu'il manque là une des pierres d'angle de tout édifice. Le résultat est cette bizarrerie qui intrigue
beaucoup. Vous êtes le seul Pèlerin d'Arès que je
dirais corvéable de toute votre assemblée
où personne sauf vous ne semble obligé à rien, alors que
vous devriez être au contraire le mieux servi. Dans l'armée on disait:
"Un chef ne doit pas travailler," en voulant dire : Il doit
rester disponible pour observer et penser, il doit donc être sans cesse
aidé, assisté, sinon qui verra clair dans les manœuvres de l'ennemi et
dans la stratégie ou la tactique à adopter pour le battre ?" Votre tâche ne devrait être rien d'autre que guider, pas de porter des
valises, de changer une roue crevée, de s'exténuer au volant, etc.
Surtout à votre âge ! Pourquoi les autres Pèlerins d'Arès ne
viennent-ils pas à vous ? Pantouflage ? Vous parlez de temps en temps de
cette "Maison des Faucons" où il semble que vous auriez pu, sans perdre le contact avec votre fraternité, vous
épargner toutes ces corvées, que vous appelez euphériquement "pertes de
temps", mais qui usent
l'homme. À qui est venue l'idée de la "Maison des Faucons"? À vous
semble-t-il. Pourquoi le projet n'a-t-il pas été réalisé ? La
réponse est simple, il me semble. Cela ne pouvait pas être réalisé tout
bonnement parce que dans ce monde on n'a rien quand on n'exige rien. Et
vous n'avez rien exigé. Vous avez testé ce que vous appelez dans un
"Pèlerin d'Arès" la "conscience collective" et vu se confirmer qu'elle
n'existait pas, qu'elle ne pouvait pas s'exprimer, qu'elle ne pouvait
même pas comprendre le sens du projet "Maison des Faucons", parce que
vos frères sont à peu près tous des libertaires, mais des natures
d'esclaves comme tous les humains, anciens ou modernes, incapables de
changer de nature du jour au lendemain. Si je vous lis attentivement je devine que cette conclusion ne vous a pas échappé, même si vous n'en parlez jamais. Je
lis aussi dans La
Révélation d'Arès cette recommandation: Tu te reposeras, car la fatigue
ôte l'esprit à l'homme [Rév d'Arès 35/8]. Comme cette
recommandation ne vous a sûrement pas échappé, sûrement pas plus que
que: Tu ne seras le
chef de personne [16/1], je me demande si, tout compte
fait, votre mission prophétique vous oblige vraiment à toutes ces
corvées de voyage. J'avoue
que ça me tracasse, mais je ne vois pas la solution, que vous aviez
très bien vue dans le projet de "La Maison des Faucons". Cette
infrastrucure n'existant pas, rien ne peut se faire sans elle. Sans
fourmilière la vie des fourmis est menacée, condamnée. Je devine que
vous en avez pris courageusement votre parti, mais que ça vous tracasse
autant que moi. Je me console en pensant que, tout bien considéré, Jésus s'est trouvé dans la même situation. Mais vous avez vu le résultat ? L'église ! S'il devait se tenir des états généraux ou plutôtun symposium des Pèlerins d'Arès, ce devrait être le n°1 de l'ordre du jour. Jérôme
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Réponse
: Je
ne vais pas revenir sur la question de "La Maison des Faucons", sur
quoi je me suis déjà beaucoup exprimé, notamment dans "Frère de
l'Aube" et dans ce blog par-ci par-là. Lieutenant-colonel de
réserve, vous parlez de "natures
d'esclaves" à propos des Pèlerins d'Arès et concluez, en gros, qu'en m'interdisant de
"botter le cul" de mes frères pour les forcer à créer "La Maison des
Faucons" ou en m'interdisant de créer cette infrastrucrure sans leur
accord, je me suis privé de ce que vous appelez une "pierre d'angle de
l'édifice" que j'ai à construire. Vous vous trompez. Ce n'est pas aussi simple. J'aurais pu créer "La Maison des Faucons" sans l'accord de l'assemblée,
mais alors celle-ci ne se serait nullement sentie obligée de former la
noria des frères et sœurs se succédant auprès de moi, tout au long de
l'année, pour recevoir mon enseignement
et débattre avec moi des problèmes spirituels et pratiques auxquels ils
seraient confrontés. "La Maison des Faucons" serait restée vide la
plupart du temps. Je ne crois pas que mes frères aient des "natures d'esclaves". Le problème est autre et plus compliqué. Le
problème que posait alors — et que pose encore, quoique moins, sauf
localement (par exemple à Strasbourg où il me tracasse
particulièrement) — l'assemblée était celui de sa grande hétérogénéité. La Révélation d'Arès
n'était encore pour le gros de mes frères que ce que l'étoile Polaire est pour des marins
dispersés et/ou plus ou moins perdus sur la mer des idées et des tribulations sociales. Ils se
dirigeaient vers cette étoile, mais de loin, venant de
toutes les directions possibles, naviguant sur les rafiots culturels et idéologiques les plus
disparates. Ils se voyaient à peine les uns les autres, vivaient
chacun et chacune de son côté des circonstances très différentes:
tempête ou calme plat, venaient des contrées les plus diverses ou même contradictoires de l'espérance. Ce n'était pas leur "nature d'esclave", mais parce qu'ils se méconnaissaient les uns les autres et méconnaissaient La Révélation d'Arès
qu'ils ne pouvaient ni chercher ni moins encore trouver un consensus autour d'une idée comme "La
Maison des Faucons", une maison de l'unité. Ils n'étaient pas mûrs pour l'unité. Leur seul point commun était l'idéal, souvent vague, mal défini pour la
plupart d'entre eux, que représentait La Révélation d'Arès. Pour concevoir la nécessité d'une réalisation pratique bien
définie comme l'infrastructure nécessaire pour user de moi sans m'user
ou me gaspiller, si vous me permettez cette expression, il leur aurait
fallu devantage de points communs bien définis, idéaux et pratiques. Ce n'était
pas le cas. Ils étaient eux-mêmes, malgré l'air assuré de certains,
dans le trouble moral inévitable en périodes de recherche et de
découverte. Puisque je suis toujours coincé entre Nice et Bordeaux
pour me reposer le dos avant de repartir demain, empêché de vaquer aux
"corvées" (comme vous dites) de bureau qui m'appellent, je vais
m'étendre un peu sur le sujet. Je
le fais d'une façon inattendue,
voire suspecte, puisque je vais me comparer à un homme à qui, dans
l'Histoire, Dieu confia — d'autres diraient : Satan confia — une tâche
ingrate, si ingrate qu'elle lui valut un nom honni : Julien
l'Apostat. Qu'est-ce qui valut à un empereur byzantin, Julien, le surnom flétrissant d'Apostat ? Le
fait que, bien qu'ayant été élevé chrétien, il décida un jour de ne pas
laisser à l'église la dignité religieuse suprême, vu qu'elle était loin
de montrer l'exemple des vertus qu'elle prêchait. Il restaura, à côté
de l'église, la tradition des dieux protecteurs de Rome, abrogea toutes
les mesures discriminatoires prises contre les païens. Cela équivalait
à retirer à l'église et aux évêques leurs privilèges et à réintroduire
dans leurs droits de conscience tous les schismatiques chrétiens et
toutes les croyances de toutes sortes, agnostiques, etc. Il prononça
ces sages paroles: "Je pense qu'il faut éclairer les hommes qui
déraisonnent, mais non les punir." Julien l'Apostat mourut
malheureusement à la guerre contre les Perses (puni par Dieu, dirent
les bien-pensants naturellement) bien avant d'avoir achevé son œuvre de
justice envers toutes les consciences. Quel rapport cela a-t-il avec moi, sinon le fait que je sois aussi, au yeux de l'église et des bien-pendants, un apostat ? Michel l'Apostat ? Julien
l'Apostat était empereur tandis que je ne suis pas grand chose, mais
commune nous est la tâche de considérer tous les hommes comme
égaux en conscience, quelles que soient leurs croyances, aussi longtemps
que la grande et absolue simplicité de la Vérité n'est appliquée par
personne. Je
me trouvai, pour faire cohérer mon cercle minuscule de Pèlerins d'Arès
vers 1986-87, dans la situation même ou Julien s'était trouvé pour
faire cohérer son immense empire dans les années 360 ou 370. Tout
comme Julien avait compris qu'il ne devait pas imposer une religion
par-dessus les autres, s'il voulait redonner à son peuple une morale
évolutive et unifiante, je compris, quand il fut question de "La Maison
des faucons," que je ne devais pas, au nom de l'intelligence et de la sagesse, insister et forcer les choses, si je voulais garder dans notre assemblée un courant spirituel évolutif et unifiant. Même
s'il m'est souvent arrivé,
de 1987 à aujourd'hui, de maronner contre l'inexistence de "La
Maison des Faucons", cela a été de ma part bien plus de la mauvaise
humeur
que de l'inconscience. C'est sans doute dans cette période de projet
avorté que (tout en maugréant contre elle) j'ai le mieux compris
la sagesse du: Tu ne seras le chef de personne (Rév d'Arès 16/1). Dans les années 80, quand je vis — ce qui était prévisible — l'incapacité de l'assemblée
de décider par un consensus la création d'une infrastructure d'unité
autour de moi, je vis, comme sûrement Julien l'avait vu autour de lui seize siècles plus tôt, que
cela venait de l'hétérogéinité des idées et des espérances et qu'il
fallait leur donner le temps de laisser se faire une porosité entre
elles, celle de l'amour et de l'aspiration au bonheur, avant de se
relancer à l'assaut d'un Idéal supérieure, unique et magnifique. Je
compris, peut-être plus ou moins confusément, mais je compris, que nous
n'étions encore que quelques Pèlerins d'Arès, mal dégrossis, et
qu'autour de nous les frères et sœurs, alors très nombreux, formaient
un magma de terres rares, prometteuses, mais dont les richesses étaient
encore à séparer de la gangue générale, et qu'il fallait fédérer
l'amour et non tenter de fédérer des croyances, mixture qui n'a jamais
rien donné de bon. Je compris alors ce que, je crois, Julien l'Apostat avait compris, à savoir qu'un échec peut quelquefois être une victoire de l'intelligence. Je compris que
le silence de mes frères et sœurs, leur apathie inconsciente face au
projet "Maison des Faucons", étaient une victoire, plus que n'aurait
été une décision autour d'une même et seule idée qui ne pouvait n'être
que forcée. J'entrepris de laisser à mes frères le temps de comprendre
ce que leur disait La Révélation d'Arès et je me suis ensuite efforcé, au cours des années, de le leur faire comprendre. Un travail lent et ardu, surtout à distance, parce que je suis malheureusement loin de tous mes frères. Et
le temps a passé vite et maintenant j'ai 81 ans et "La Maison des
Faucons" n'existera sans doute jamais, mais je crois que, comme Julien
l'Apostat, j'ai eu le courage et la patience
sages de réunir les hommes dans des espérances hétéroclites pour que,
le temps aidant, sans rien forcer (la force tue la sincérité comme
l'amour), ils trouvent enfin un jour la Vie unique dans la Vérité et la Liberté absolues, dont la conquête demande du temps. Les "corvées" que je m'impose sont simplement un effet de ma patience et de ma prudence. Ces "corvées" vous choquent, mais elles sont finalement un moindre mal comparé au mal
qu'aurait été une "Maison des Faucons" imposée. |
27déc10 114C26 Votre Réponse à Jean-Paul E. (commentateur 114C22), fertilise (23/5) ma petite tête. Vous
dites : "J'optai finalement pour le changement, le positif :
Voilà ce qu'il faut faire pour trouver le salut personnel et pour
sortir le monde du mal !" Bien que lisant La Révélation d'Arès et pas mal de vos écrits (33/10), je n'avais pas clairement perçu — je suis vraiment un faible lumignon — cette direction "positive" que vous donnez à votre enseignement. C'est pourtant évident : Positif = réaliste = constructif = homme du temps qui vient. ?égatif = critiques = immobilisme. Vous avez par amour et sagesse pris la bonne direction. Vous entraînez le mouvement en avant. Je vous remercie par ça. Ça m'éclaire. Je vais m'efforcer d'être plus positif. En
ces fêtes de Noël, vous m'offrez là un cadeau qui — pour rire un coup —
ne vient pas de la hotte du Père Noêl mais du Blog du Frère Michel. Joyeuses
fêtes de Noêl Frère Michel, et pour la nouvelle année je vous souhaite,
vous qui êtes seul dans vos tâches et qui n'êtes pas bien riche,
d'avoir plus d'aide, ainsi que de vivre encore longtemps parmi nous. Xavier H (de Provence)
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27déc10 114C27 Je trouve votre "mémo sur Noël" ainsi que l’entrée précédente sur le surpeuplement d’une très grande force spirituelle
Je déplore que ce frère catholique [114C2] vous méprise et vous haïsse
à ce point. C’est hélas parfois les conséquences du fanatisme religieux
ou politique qui a pris le pas sur la vraie vie spirituelle. Heureusement que ce ne sont pas la majorité des catholiques et des chrétiens qui pensent ainsi. Cela
montre aussi la pauvre connaissance que certains ont des évangiles ou
Jésus enseignait d’aimer même nos ennemis, encore que je sais que vous
n’êtes pas l’ennemi des chrétiens ni des catholiques, mais que vous
essayez depuis des années de leur faire comprendre que les systèmes
dont se sont dotés les hommes, qu’ils soient politiques ou religieux,
vont à l’encontre de la vie spirituelle et de leur bonheur. C’est ce que le Créateur est venu vous révéler à Arès et vous soulignez bien que pour vous cela n’a pas été facile. Alors,
on peut comprendre que pour nos frères chrétiens qui n’ont pas vu Jésus
ni Dieu, ce n’est pas facile à admettre d’abord et ensuite pas facile à
vivre. Mais c’est à nous d’être patients, car quand Dieu parle, tôt ou tard la vérité fleurira dans les cœurs. Le plus tôt sera le mieux. Si nous savons faite preuve d’amour et de patience à l’égard de nos frères chrétiens, comme vous le faites constamment, je ne doute pas qu’ils deviennent la plus belle récolte (Rév d'Arès 14/3). En
ce moment, je pense beaucoup à vous et à sœur Christiane bloqués
quelque part entre Nice et Bordeaux à cause de votre mal de dos. N’y a
–t-il pas un frère dans les parages qui pourrait vous aider ? À défaut,
je vous envoie à tous les deux, par la pensée toute la force de mon
amour fraternel pour que vous retrouviez rapidement des forces et la
santé pour poursuivre votre périple. Je vous suis tellement redevable pour tout ce que vous m’avez enseigné depuis tant d’années et que vous continuez encore, malgré vos 81 ans, à apporter à travers ce blog et vos courriers. J’aurais aussi aimé qu’il y eu une "Maison des Faucons" pour recevoir votre enseignement de vive voix ; c’est tellement plus vivant. Ah,
si les hommes qui vous critiquent injustement, vous connaissaient ! Ils
changeraient vite d’avis, et je crois bien que s’ils écoutaient leur
cœur, ils feraient comme Paul (persécuteur des premiers
chrétiens) sur le chemin de Damas et qu’ils se repentiraient et
pleureraient. C'est ce que je souhaite à ce frère Jean [114C2] en
cette période de Noël, moment propice à la réconciliation et à la paix,
avant que celles-ci soient présentes chaque jour dans le cœur des
hommes quand ils seront pénitents. Denis K.
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27déc10 114C28 Puisse
la nouvelle année 2011 qui pointe son bout du nez apporter
l'espérance d'une civilisation basée sur l'envie d'une Paix Universelle. Que dans le cœur d'un bon nombre de femmes et d'hommes s'installe ce besoin d'aimer,de pardonner,de faire la paix, de se libérer de tout préjugé,de retrouver peu à peu l'intelligence du cœur, afin que tout ce qui apporte le malheur sur cette terre disparaisse un jour définitivement . Et que le Bonheur et la Paix deviennent perpétuels sur la Terre, notre "Oasis"de Vie.
Patricia (des Alpes) qui transmet le fichier suivant :
Je pense à vous. Dans ce fichier, les femmes sont à l'honneur, ce sont de belles photos. On peut se sentir proche d'elles. Je vous embrasse et vous souhaite à tous de bonnes fêtes de fin d'année.
https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=gmail&attid=0.1&thid=12d28505fadabc65&mt= application/vnd.ms-powerpoint&url= https://mail.google.com/mail/?ui%3D2%26ik%3Da3bf4034f4%26view%3Datt%26th%3D 12d28505fadabc65%26attid%3D0.1%26disp%3Dattd%26zw&sig=AHIEtbREm3TjNSU8XsQJrpXeZqkMJlOi2w
Denise (du Lyonnais)
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11jan11 114C29 Je
vous ai adressé un commentaire le premier janvier et aujourd'hui 10
janvier vous ne l'avez pas publié (c'est votre droit, il n'en vaut
peut-être pas la peine), mais je m'aperçois que la page de commentaires
n'a plus avancé depuis le 27 décembre. C'est mon inquiétude qui prend le relais de mon étonnement. J'espère que votre santé ne vous donne pas de soucis et que tout va bien pour vous. J'en
profite pour vous adresser mes bons vœux pour 2011 d'abord de santé
(vous entrez dans votre 82e année) et aussi de satisfactions dans votre
mission que j'imagine de plus en plus difficile à votre âge. Savorgnan
|
Réponse
: Ma santé n'est pas la cause de la panne de mon blog. Ma
santé va bien à proportion des problèmes dus à l'inévitable usure d'un
vieux bonhomme, côté cœur, côté diabète (depuis peu), côté maladie de
Ménière (vertiges), côté rachis, parfois mis à mal par les bagages
qu'il faut se coltiner en voyage, etc. J'assume, rassurez-vous. Ma
fille Nina m'aide au bureau, mon épouse Christiane m'aide en voyage.
Comme Christiane est polyarthritique, autre genre de handicap, nous
nous trouvons parfois dans des situations dont nous avons jusqu'ici
pris le parti de rire — le manchot et le cul de jatte rigolards devant
une charrette qu'ils doivent pousser — mais nous arrivons à nous en
sortir. Je n'ai pas publié votre commentaire, non parce qu'il n'en
valait pas la peine, mais parce qu'il n'avait réellement d'intérêt que
si j'avais la possibilité d'y répondre. Or, ma réponse à votre commentaires m'aurait pris le temps d'une rédaction bien réfléchie et ce temps m'a totalement manqué. Je
n'ai pas comme la plupart des hommes ce privilège, que parfois j'envie,
de pouvoir répondre à la légère. Même quand ma réponse a le ton badin,
je veille — autant qu'il m'est possible — à ce que j'écris, conscient
que tout ce que j'écris tend a former une somme déjà considérée comme
basale par beaucoup et qui le sera sans doute de plus en plus. Ceci
dit, nombreux sont les commentaires à cette entrée 114 que j'aurais pu
et même probablement dû publier non seulement depuis le 27 décembre
mais depuis son origine: le 21 décembre. En cette fin d'année j'ai été très pris par diverses tâches, des déplacements, des soucis administratifs, etc. Mon blog redémarrera sitôt que je pourrai lui consacrer du temps. De
plus, sœur Christiane et moi nous reprenons la route demain pour le
Sud-Est où m'appelle la mission que je m'attache depuis plusieurs mois
à aider le mieux que je peux jusqu'à ce qu'elle reprenne force et à
nouveau s'assume et même fasse beaucoup mieux seule qu'avec moi. Ces
déplacements mensuels, qui n'étaient pas prévu dans mon planning, me
prennent aussi du temps, mais c'est ma mission autant que ce blog l'est. Merci
pour vos bons vœux. Je profite de l'occasion pour remercier tous ceux
et celles nombreux qui m'ont aussi présenté leurs vœux dans des
commentaires que je n'ai pas pu publier et pour leur adresser les
miens tout aussi chaleureux de belle année 2011 spirituelle (et
missionnaire pour ceux attachés à al mission) ainsi que de santé,
bonheurn et réussite.
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00Xxx00 114C29
Text
Signature
|
Réponse
:
Xxxx xx xxxx xxx xx x xxxxxx xx xxx xxxxx xx xxx xxx.
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