22avr09 95C01
Quelle émotion ce 22 avril 2009 !
Je t'aime et suis si fière de ton accomplissement prophétique...
Ça va cartonner !
Bravo !
Ann Fairyhand
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Réponse
:
Merci, ma fille. Que ton commentaire soit le premier tombé dans ma
boîte de messagerie m'émeut beaucoup.
|
22avr09 95C02
[...] Permettez-moi de
profiter de ce Mail pour vous embrasser de nouveau chaleureusement,
avec cette fois, en plus de mon amour fraternel, ma reconnaissance
immense pour votre travail immense (entrée 0095).
J'offrirai un des premiers exemplaires de cette nouvelles La Révélation d'Arès à
Y. A. B., rencontré un peu par hasard, avec qui j'avais échangé
quelques mots, et, comme promis, un autre à un homme un peu bohême,
vivant de trois fois rien au cœur des Landes, entouré d'amis
hétéroclites et plus ou moins altermondialistes et surtout
aux cœur d'or.
Jérôme LH.
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22avr09 95C03
Lire cette entrée 0095 me rend un peu plus heureuse et fière d’être un
Pèlerin d’Arès, heureuse et fière de notre frère aîné (Rév d'Arès 16/1).
Merci.
Peut-être que je parviendrai à faire suffisamment rajeunir mon cœur par
la pénitence
(un jour vous avez dit lors d’un atelier à Arès que la pénitence recule
les limites de l’impossible) pour aller avec enthousiasme et énergie
pour le Père jusqu’à 80 ans et des...
J’aime la couverture du livre, elle est agréable à l’œil.
J’aime aussi le stand de nos frères Suisses.
Merci à tous.
Madeleine
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22avr09 95C04
Merci et re-merci frère Michel,
déjà
avec les photos et le commentaire que vous en faites: formidable, la
présentation, le format, les couleurs, de ce Livre.
Magnifique !
Et
le stand qui le représente à Genève, formidable ! Et votre
travail
pour y parvenir, et le travail d'Adira... Un grand merci pour la
mission, pour la prière et pour le monde qui va découvrir cette perle
de l'homme et de la vie au milieu de l'océan de la création et des
idées !
Merci d'avance, j'ai hâte de l'avoir en mains.
Le frère
bénit Mikal. Tu (leur) donnes la Vie. (Rév d'Arès xix/25-26).
Je vous bénis, vive la Vie avec
vous. Bon anniversaire toujours et toujours.
Bernlouby
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22avr09 95C05
Je guettais la sortie de la nouvelle édition de La Révélation d'Arès
et l'entrée qui l'annoncerait dans votre blog, et la voilà !
J'ai
hâte d'avoir dans les mains ce nouveau livre, mais déjà la couverture
que vous nous présentez est très belle et moderne. Bravo aussi pour le
stand de Genève. Les travaux |sur les saints lieux d'Arès], la nouvelle
édition, tout ceci me rempli de joie. Vos 80 ans un peu moins, même si
c'est extraordinaire et merveilleux de vous voir arriver à cet âge là,
surtout avec l'enthousiasme, le courage, la jeunesse, la magnifique Vie qui vous habite.
Merci
pour votre gros travail et pour l'aide de celles et ceux qui
vous
l'ont apportée. Je sens déjà que ceci apporte un nouveau souffle à
notre mission. Même si nous avons encore beaucoup, beaucoup à faire, je
crois vraiment que rien ne pourra arrêter qu'une autre Histoire se
fasse.
Oui quelle année particulière !
Marie-Odile
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22avr09 95C06
Quelle joie de voir tous ces aboutissements !
J'ai bien hâte d'aller sur mon marché avec plusieurs exemplaires à
diffuser.
B. dlF
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22avr09 95C07
Et voici un équipement de plus à ajouter a la Vie qui doit passer
dans les hommes et
femmes du temps qui vient !
80 ans et pourquoi pas les 120 ans de Moïse ?
Votre travail est prophétique à n'en pas douter.
Bruno H.
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22avr09 95C08
Le voici, le livre tant espéré pour la mission "populaire" !
Merci encore et toujours, cher prophète, pour cet
immense et nouveau travail parallèle au grand chantier des Saints Lieux.
Telle
que se présente la couverture sur l’écran, couleurs et formes du fond
sont dynamiques, joyeuses, lumineuses, populaires, mais votre
visage grave et le titre sobre font imposer le coté puissant,
primordial, du sujet.
Bientôt la joie d’en voir la composition intérieureet la parole de Mikal, "inséparable
sillage du grand Vaisseau," choisie pour
l’accompagner. Au Pèlerinage ?
En attendant, saluons le Salon du livre de Genève: Quel beau stand !
El L
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22avr09 95C09
Frère Michel, ce 23 avril 2009 est celui de mon anniversaire: 45 ans.
J'avais 28 ans, lorsque, je lus La
Révélation d' Arès. Depuis lors, des joies, des bonheurs,
des rencontres; des crises existentielles !
J'en ai passé et j'en aurai certainement d'autres. La pénitence me permet
de changer
mon péché en Bien, me permet d'être refait un Dieu (Rév d'Arès 2/13),
de réveiller la Grande Âme
au fond de moi.
Cela demande des efforts, mais quelle joie d'être un pénitent, de
vaincre le péché, le mal en soi, de transmettre la Parole, votre enseignement,
partager notre vie, nos expériences avec la vie des êtres que l'on
rencontre, chercher d'autres pénitents.
J'en témoigne, la pénitence
nous transforme. Pour moi vaincre le péché, le mal par la pénitence, c' est
une renaissance, nous
revêtons le manteau neuf ( Rév d'Arès 1/1).
Nous sommes à une étape charnière de l' humanité où il est temps que Mikal soit reconnu,
aidé dans sa mission de spiritualisation, où il est temps que nous
soyons plus pénitents,
nous sommes un peuple prophétique avec Mikal encore
vivant, la première génération. Nous sommes l'honneur de Dieu
et de Mikal :
Nous sommes la pieuse
gente (xLv/13), nous devons transmettre la vie spirituelle.
Merci, frère Michel, pour votre éternel dévouement à toutes les femmes
nos sœurs, tous les hommes nos frères.
Merci pour cette belle photo du
Salon du Livre de Genève, la superbe image de la nouvelle édition de La Révélation d'Arès.
J'attend qu'elle soit en librairie. Je me prépare pour mon Pèlerinage
de feu 2009. Merci pour tout. Je prie avec vous.
Didier Br.
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22avr09 95C10
Nota préliminaire:
Ceci n'est pas arrivé avec les commentaires, mais dans une autre boîte
de messagerie. Je ne pense pas que son auteur se formalise de la
publication de cette communication intéressante à divers égards:
Je
ne sais plus qui a dit: "Qui penserait à la paix sans la
guerre ?"
Ce soir en parcourant sur mon ordinateur les sites que j'ai pris
l'habitude de visiter réglièrement, je suis tombé sur votre entrée de
blog 0095 (Vous placez deux zéros avant le numéro de l'entrée, c'est
parce que, même à 80 ans, vous comptez arriver à 1000 ?) et je
me
dis que ce livre d'apparence très belle et attractive va vous attirer
autant d'hostilité que de satisfaction, autant de guerre que de paix.
Je
ne vous cache pas que, connaissant ce monde, et sachant qu'il réagit à
ses peur et à ses jalousies par la férocité, je me doute que vous avez
sûrement soigné le texte autant que la couverture et que vous allez de
nouveau attirer sur vous, qui êtes "tout seul dans votre petit coin"
(vos propos mêmes) des méchancetés, sans aucun doute.
Je
crois que je vous admire plus encore pour votre courage et votre paix
que pour ce que vous arrivez à faire seul ou quasiment seul et que déjà
cela provoque la réflexion: Cet homme ne peut pas être vraiment "seul",
une "force" est avec lui.
Il y a un an je passais,
pour affaires administratives, à l'Hôtel de Ville de Bordeaux et j'y
posais la question de votre personne. Les premières personnes
interrogées ne savaient même pas de qui il s'agissait.
Sur le
moment, je suis estomaqué, je l'avoue, qu'on ignore à Bordeaux
quelqu'un — approuvé ou désapprouvé — qui a reçu ou
qui
prétend avoir reçu un message surnaturel dont il n'a pas caché le lieu
d'origine: La Révélation d'Arès
en Gironde, et qui n'a pas tari dans ses déclarations de foi depuis 35 ans
et dont j'ai entendu parlé même au Mexique.
Je
tiens quand même à savoir si vraiment vous êtes à ce point ignoré.Je
trouve finalement quelqu'un, proche du cabinet du Maire, qui semble non
réellement bien informé à votre propos, mais qui me dit des choses
intéressantes: "C'est une affaire qui n'est pas prise au sérieux dans
la région et le signalement par l'UNADEFI de l'homme dont vous parlez,
a montré qu'il était douteux." Elle commence à me parler d'un Michel
Potay à la recherche de profit et de luxe...
Je la coupe, je
réagis: "Cet homme, aujourd'hui âgé, n'a jamais eu de problèmes avec la
justice, ni même fait l'objet d'un examen judiciaire sans suite. On n'a
rien à lui reprocher. Il paie ses impôts. Il a eu deux contrôles
fiscaux sévères en moins de vingt ans sans que rien d'anormal n'ait été
relevé contre lui, qu'on accuse d'accumuler les richesses et qui n'est
même pas soumis à l'lSF [Impôt sur la Fortune]. Ce n'est pas à
l'honneur
de l'ADFI que de discréditer un homme honnête et modeste."
Finalement,
la personne me dit des choses plus éclairantes: "L'archidiocèse, tout
le milieu religieux, protestant, israëlite, certaines instances morales
(franc-maçonnerie, Rotary, Lyons?) sont très montées contre Michel
Potay. Nous préférons ignorer ces tensions. Bordeaux abrite une gentry
agglomération [?] intellectuellement très fermée. Les problèmes
philosophiques ne sont pas l'affaire d'une municipalité. Dans la mesure
où l'on n'a, en effet, rien a reprocher à Michel Potay qui n'est même
pas notre administré, pour nous il n'existe pas."
Je réponds:
"Mais il habite Bordeaux?" La personne commence alors à montrer qu'elle
vous connaît mieux qu'elle ne paraissait quelques instants avant: "Oui,
il habite tout près d'ici, mais il reste électoralement et
administrativement domicilié à Arès. C'est un citoyen tranquille, qu'on
voit toujours seul ou avec Madame. C'est assez curieux de la part d''un
homme qui semble soulever un problème philosophique ou
idéologique
socratique. Les gens ne savent pas comment interpréter cette
discrétion: A-t-il quelque chose à cacher ou est-il seulement
insignifiant?" [...]
Tout à l'heure je repensai à
tout cela en lisant votre entrée de blog 0095. Je me disais: "Tout à
coup, avec ce livre et ce stand au Salon du Livre de Genève (Je sais
que le Salon du Livre de Bordeaux n'a jamais accepté votre
participation Bien triste société que la nôtre!), Michel Potay va
surgir de l'ombre et s'attirer quelques malveillances. Ce stand à
Genève, c'est comme une provocation, non? J'ai toujours peur pour vous,
je ne sais pas pourquoi, je ne devrais pas, car je vous crois un
authentique homme de Dieu. Les
anges sont avoir toi cata! (Rév d'Arès xxxvi/10).
Peut-être
la guerre que vous allez déclencher enfin (oui j'ose dire: Enfin!)
devra-t-elle être "saluée comme une vertu" selon Hegel. Si cette
nouvelle est une déclaration de guerre contre le monde impie et
médiocre, que n'ont pas été les éditions précédentes, parce que vous
n'aviez pas souci d'être lu, mais seulement souci d'informer, ce qui
est tout à fait différent. C'était votre rôle, je le comprends. C'était
à vos frères de produire l'édition lue, populairement lue. Ils ne
semblent pas vous avoir proposé quelque chose qui aille dans ce sens,
alors vous vous êtes levé
à leur place (Rév d'Arès 28/12). La Révélation d'Arès n'est
pas nouvelle, mais peut-être qu'elle entre seulement aujourd'hui dans
l'Histoire.
J'ai
hâte de prendre connaissance de cet ouvrage nouveau. Il est 23h45, je
vais me coucher. Que Dieu veille sur votre sommeil, frère
Michel!
X.X.
|
23avr09 95C11
Formidable mais…
La couverture est très belle, très lumineuse, le reflet exacte de la
parole d’Arès mais...
Pourquoi ces lunettes noires ? La même photo sans lunettes serait mille
fois plus belle.
Vous vous montrez en signant de votre image, mais pourquoi ne
pas signer de votre nom ?
Michel Potay, je sais bien que La
Révélation d'Arès n’est pas votre parole, mais Dieu vous a
dit parole de Mikal ma
Parole (Rév d'Arès i/12) donc dans la prochaine édition
osez signer de votre nom et cela facilitera le classement en librairie,
car comme prophète
vous êtes moulé à cette parole comme
l’arbre poussé contre le mur du temple (Rév d'Arès 1/11).
À la FNAC de Paris les Halles, La Révélation d'Arès
est classée au rayon ésotérique à la lettre A comme Arès car il n’y a
pas de nom d’auteur. C’est dommage. J’en profite pour vous dire qu’il
faut absolument faire une relance publicitaire auprès des FNAC pour ce
nouveau tirage même si (ne vous déplaise) La Révélation d'Arès
est classée au rayon ésotérique, ce qui à mon humble avis n’est pas
plus mal, car il y a beaucoup plus de monde au rayon ésotérique qu’au
rayon religion — Les églises se vident mais la croyance en
Dieu et
dans l’au-delà ne faiblit pas.
Un autre commentaire: Si la
nouvelle révélation ne fait que 160 pages c’est que vous avez dû
supprimer des introductions et commentaires. Il serait donc bien de
pouvoir trouver une édition avec toutes ces introductions qui
contribuent à mon avis énormément à la compréhension de la Parole.
Une
autre question: Qu'en est-il de la mise en ligne de la Parole (tout au
moins les Veillées qui peuvent se passer d’explication). Est-ce un
sujet tabou ?
Une autre suggestion, cela serait formidable de vous voir et entendre
raconter dans une vidéo sur votre site l’histoire de La Révélation d’Arès.
Ne négligez pas l’impact de votre parole vivante sur les générations
futurs. Internet est un outil fantastique qui n’en est qu’à ces
balbutiements.
Pouvez vous nous communiquer quelques chiffres sur le tirage de
l’ancienne édition ?
À quand
la révélation des versets cachés ? Peut-on savoir les
circonstances qui doivent permettre leurs révélations ?
Patrick R.
P.S.
: Juste pour
avertir que le site d’Adira n’est pas
à jour avec la nouvelle édition
|
Réponse
:
Vous parlez de la FNAC des Halles
à Paris. Je suppose que vous habitez Paris ou la région parisienne.
Pourquoi n'allez-vous pas poser toutes vos questions à notre Mission de
la Rue Raymond Losserand "L'Eau Bleue"? Vous m'épargnerez la corvée de
vous répéter ici des réponses bien connues à des questions bien connues
et déjà anciennes.
Aucune des réponses aux questions que vous posez ne vous aidera
beaucoup à accomplir
ce que La Révélation
d'Arès demande d'accomplir:
le changement de votre
vie par la pénitence
(Rév d'Arès 30/11) et le travail à la moisson de pénitents pour changer le monde (28/7).
Quant
aux "lunettes noires" que, selon vous, je porte sur la couverture, je
ne vois pas de quoi vous parlez. Je ne porte pas de lunettes
de
soleil sur la couverture 2009. Je porte simplement mes lunettes. Il y a
trente-cinq ans que je porte des lunettes et j'ai eu des montures de
lunettes de différents types, plus ou moins épaisses. La photo de la
couverture 2009 est celle de la jaquette de l'édition bilingue de La Révélation d'Arès
(l'artiste a trouvé que c'était la meilleure et qu'il fallait la
réutiliser pour la nouvelle couverture... il faut laisser faire les
artistes, ils ont un coup d'œil que nous n'avons pas), une jaquette que
vous connaissez sûrement déjà depuis longtemps, celle
d'une toujours disponible édition avec toutes la
introductions,
préfaces, annotations, etc. dont vous craignez à tort la disparition
totale). Vous ne m'avez jamais reproché cette photo sur l'édition
bilingue.
Quant à Adira, c'est une association qui se gère comme
elle l'entend. Si elle ne s'es pas encore mise à jour" avec la nouvelle
édition 2009, elle a sûrement ses raisons, que je ne connais pas.
|
23avr09 95C12
Voilà une étape
importante d'envol avec cette nouvelle édition, à laquelle vous avez
consacré beaucoup de temps, et nous vous en sommes très reconnaissants.
J'ai
hâte d'avoir le livre dans les mains, de le lire car nous allons
certainement en apprendre encore beaucoup tant votre capacité
prophétique est puissante, autant dans le développement que dans la
concision. Avoir un ouvrage qui s'assimilera facilement va faciliter la
moisson des
pénitents.
Le stand est très attrayant, et le livre respire la beauté (Rév d'Arès 12/3).
Avec ce livre une émotion me parcourt, c'est un moment historique: Que partout la glace
redevienne l'Eau! (Rév d'Arès xLiv/8)
Merci du fond du cœur.
Danny
|
23avr09 95C13
Oui, ça va cartonner comme dit votre fille Anne !
Je
souhaite également vous exprimer toute mon émotion et ma joie pour
cette nouvelle édition si belle à voir et pour les travaux effectués à
la Maison de la Sainte
Parole.
Quel prophète
nous avons! C’est du béton armé d’un cœur énorme, la bâcle, un pic (Rév d'Arès
iii/4) face au mensonge et au mal, mais aussi le doigt de la jeune-fille
tremblante qui rappelle tant la Main du Père (qui) tient la
main (de l’homme souffrant, comme) la mère mouille (s)a gorge de
(larmes (Rév d'Arès xvi/9).
Cher papa spirituel, je vous aime profondément pour ce souffle qui vous
anime et qui m’a réveillé et ne cesse de m’éveiller à la Vie comme tant
d’autres.
Pour un vieux, comme vous dites, vous êtes bougrement décoiffant et
rajeunissant. Comme quoi le Souffle
de l’Éternel qui vous traverse n’a pas d’âge ni de limite.
Alelouya !
Yaël
|
23avr09 95C14
Je remercie le Père en lisant votre nouvelle entrée de blog 0095.
Je
le remercie de nous avoir donné un homme comme vous pour porter son
message: Un homme de travail, de constance dans l'effort, d’obstination
confiante…
Les fruits sont là, devant nos yeux! Vous incarnez
cette Révélation, qualifiée par vous de "révélation de l’effort".
Formulation difficile à entendre dans notre culture de la facilité et
du loisir…
Comment faire passer ce message de l’effort et du
travail dans une humanité occidentale qui aspire de plus en plus à
consommer sans produire (et qui charge les autres de produire ce
qu’elle consomme, quitte à tuer sa propre économie)? Comment
ré-associer dans l’esprit commun la joie de créer et le sens de
l’effort, du dépassement?
Et, plus fondamentalement, comment retisser le lien entre matière et
spiritualité, entre l’âme
et la vie concrète, sociale, historique?
Je plante ta
jambe (Rév d'Arès viii/10),
nous dit le Père pour nous rappeler que c’est ici bas, dans la chair et
la matière que se transforme et se transfigure le réel et non dans le
rêve, la mystique et les idées.
Ce n’est pas le moindre défit lancé par La Révélation d’Arès
à notre civilisation de la cérébralité et du rêve (Rév d’Arès ii/14),
mais vous nous montrez la voie, frère Michel…
Thierry M.
|
23avr09 95C15
J' ai acheté
trois éditions de la Révélation d'Arès. Les deux premières m'ont été
volées (heureux voleurs), ou plus exactement, ne m'ont jamais été
restituées. La troisième est partie à la poubelle, comme tous les
livres auxquels je tenais beaucoup. Grondez-moi, frère Michel! Je le
mérite.
Constatant que La
Révélation d'Arès
n'intéressait personne autour de moi, je m'en suis séparé car je suis
devenu subitement malvoyant. La lecture est pour moi mission
impossible, car je décrypte les mots lettre par lettre. Toutefois, pour
La
Révélation d'Arès, et pour elle seule, je m'étais amusé à
faire une version audio avec des moyens rudimentaires au temps où je
voyais encore.
N'étant
qu'un comédien de pacotille, je ne savais pas que c'était si dur de
lire un livre. Au point même que je me suis résolu à effacer la bande
concernant le Livre:
C'était
inaudible, horripilant. Je me souviens que la lecture était assez
rocailleuse, malgré votre travail phénoménal de nivèlement pour rendre
les passages accessibles. Ce texte est manifestement réservé à des
sensibilités très particulières (heureuses soient-elles!). C'est ainsi
que je me passe en boucle sur mon ordinateur uniquement La Révélation d'Arès de 1974.
Et croyez-moi, cela suffit largement à mon bonheur: à chaque audition,
je suis littéralement scotché, comme on dit.
J'ai
remarqué, comme d'autres sans doute, que vous apparaissez enfin sur la
couverture de votre livre: L'homme le plus célèbre du monde accepte de
montrer le bout de son nez dans les bas-fonds de la couverture d'un
petit livre. C'est un début, après 35 ans de mission. Dans quatre
générations, l'édition montrera frère Michel en entier, avec une
ribambelle de pèlerins d'Arès derrière lui.
Bien sûr, le Père vous
a dit que vous n'étiez plus rien pour vous-même (Rév d'Arès 40/6), mais
pour les autres... Pour les autres, vous êtes tout.
Jacques P.
|
Réponse
:
Pendant les années
90 un de nos frères malvoyants comme vous, qui était de Mulhouse, si ma
mémoire est bonne, avait créé une édition de La Révélation d'Arès
à très gros caractères pour les handicapés de la vue. Cette édition,
reproduite en plusieurs exemplaires je crois, a été longtemps à la
disposition des pèlerins malvoyants au Pèlerinage. J'ignore si elle
existe toujours, car il arrive malheureusement que des pèlerins
emportent sans rien demander à personne certains documents mis à leur
disposition. J'en parlerai à la Présidente de L'Œuvre du Pèlerinage
d'Arès que je dois voir jeudi prochain. Si cette édition est
disponible, je verrai comment nous pouvons en faire une copie.
|
23avr09 95C16
Même s'ils sont légion, je me permets, bien aimé Prophète, de joindre
mes remerciements à ceux de tous les frères.
C'est
à l'évidence la JOIE qui déborde et jaillit de tous les cœurs qui
reçoivent ce jour la nouvelle de votre grand travail pour rendre encore
plus accessible aux hommes de notre temps le Grand Message dont vous
êtes garant et responsable.
Je pense particulièrement aux jeunes
auxquels cette édition sera sans aucun doute plus familière d'accès.
C'est un immense cadeau que vous faites à notre humanité que d'avoir
condensé cet Appel
au Bonheur
dont la colonne vertébrale ne peut être que l'épanouissement de notre
Vraie Nature: l'Image
et la Ressemblance de notre Créateur .
Tout
dans l'époque actuelle, de la crise économique qui ne vient que de la
négation de la réalité de l'Homme aux ravages du mensonge, de tous les
mensonges qui veulent faire croire à l'homme qu'il n'est qu'un animal
intelligent, fruit de multiples hasards (vraiment hasardeux), sur terre
pour manger, consommer le plus plaisamment possible, au besoin
s'entretuer, produire... puis finalement mourir... ( quel
beau"programme de vie", dites-moi!!) , l'ensemble bien dirigé et
encadré par des pouvoirs politiques et religieux qui eux "savent ce qui
convient"
Oui, vraiment tout aujourd'hui démontre, de façon criante, que l'homme
a une toute autre vocation: être un Créateur de sa Vie, avec Celui Qui
a fait couler l'Eau
des Hauteurs
en vous (Rév d'Arès veillée 30).
Tout l'Amour du monde est descendu à nouveau à travers vous à Arès, et,
par chaque gerbe invisible de chaque pénitent-moissonneur
rejaillit sur les hommes. Revivifiés par l'Eau Vive, un par
un, ils se recréent et se recréeront par millions.
Le chemin est très long, mais la pénitence
transformatrice est accompagnée de tant de joies qu'elle est possible.
Vous le démontrez tous les jours, encore en ce grand jour, et il
faudrait créer un autre mot que merci, extensible à l'infini, pour vous
dire notre reconnaissance.
Chacune de nos âmes
bat avec la vôtre... C'est peut-être ce qui peut vous remercier le
mieux... pour aujourd'hui.
Pascale B.
|
23avr09 95C17
Les mots ne me
viennent pas pour dire à quel point cette leçon de courage, de
constance dans l'Amour de l'Œuvre à construire perpétuellement touchent
l'Être total.
Merci pour cette leçon de beauté
(Rév d'Arès 12/3), de "grandeur d'âme" pour servir le Bien.
Danièle G.
|
23avr09 95C18
C’est tournée vers l’avenir que je lis cette entrée "2009, une grande
année," qui aborde les trois éléments sans lesquels La Révélation d’Arès
n'aurait pas de réalité physique :
Un jeune prophète
de 80 ans dans le sens de jeune
(Rév. d’Arès 33/21),
Un Lieu [le Pèlerinage],
Une Parole, mis à la disposition de tous, sous la forme d’un livre.
Comme beaucoup, j’ai hâte de découvrir la nouvelle édition.
J’ai
eu l’occasion d’observer [sur le grand chantier sur les Saints Lieux
d'Arès] les ouvriers de ces corps de métiers que vous citez.
Ils
formaient des tableaux vivants. Tout en me sentant proche d’eux, donc,
en les aimant, je me suis souvent demandée combien parmi eux ont la
conscience de participer à l’Histoire grâce à leur
travail ?
De voir ces activités, j’ai fait le lien entre la Construction du Temple (1Rois
15/32) et l’agrandissement, l’embellissement des Lieux
Saints — Halte et lieu de ressourcement du pénitent
d’aujourd’hui et de tous les pénitents
à venir (Rév d’Arès
34/9).
Bénis soient Le Créateur et son prophète ! Merci
Nicaise
|
23avr09 95C17
Quelle émotion de
découvrir cette édition ! Ne doutant pas de l'énormité de ce
travail au milieu d'autres travaux tout aussi conséquent — c'est
bouleversant ! — comme je pressens qu'elle pourrait
bouleverser
quelquechose dans ce monde.
Vos mains lourdes et
riches de bons grains (Rév d'Arès 31/7) me renvoient et
nous renvoient indiciblement à notre propre accomplissement.
80 ans ! Tant de travail et d'amour. Sachez, prophète, combien
votre exemplarité et l'espérance que vous représentez m'aident chaque
jour dans l'accomplissement
de ce Livre: Tu seras
fort dans le vrai (xxviii/21).
Un
immense merci d'être toujours là sans faille, au milieu de tant
d'épreuves et j'ai hâte d'avoir ce livre entre les mains !
A.-C. B.
|
23avr09 95C19
Nina m'a apporté hier soir la nouvelle édition de La Révélation d'Arès, sujet
quasi quotidien de nos conversations depuis bien des mois maintenant,
et j'ai passé une partie de la nuit à parcourir ce texte... avec
l'émotion et l'excitation qui m'avaient traversé quand j'avais
découvert en 1983 l'édition populaire de L'Évangile donné à Arès
alors que j'étais étudiant à Grenoble. Merci, Frère Michel, pour ce
travail qui, j'en suis sûr, va dynamiser la mission et faire venir de
nouveaux blés mûrs. Vous êtes vraiment un grand prophète, un
exemple pour nous tous et je loue le Créateur pour le Soutien qu'il
vous apporte.
La
présentation de cette nouvelle édition d'abord tranche avec la
"Bilingue" [éd. 1995]: une couverture moderne, colorée, un format
réduit, facile à transporter (237 g), une présentation facilitant la
lecture et la prière (texte sur 2 pages), une très jolie police de
caractères. La police des annotations est lisible bien que les
caractères soient un peu petits.
Sur le fond ensuite, j'ai été
frappé par la simplicité de votre style aussi bien dans la préface que
dans les annotations: Des mots choisis, des phrases claires, courtes,
apportant un éclairage nouveau sur cette Parole Sublime. Je trouve que
votre style se rapproche ainsi de Celui du Père et, à cet égard, je le
trouve encore plus prophétique — si l'on peut dire — dans
cette
nouvelle édition que dans les précédentes. Je craignais que les phrases
"résumées" ne perturbent la lecture ou la prière, mais elles
synthétisent magnifiquement le sens des quelques versets auxquels elles
se rattachent.
Pour le lecteur néophyte, moyennant une lecture un
peu attentive et honnête, aucun malentendu possible sur le fond du
message Le Souffle du Père et son Espérance en une humanité
changée traversent ce Livre de la 1ère à la dernière lettre. Les
immenses perspectives pour l'homme sont évidentes. Cette nouvelle
édition réaffirme le caractère original, nouveau, primordial et
dynamique du Message d'Arès.
Pour le Pèlerin d'Arès que j'essaie
d'être, cette nouvelle édition me pousse d'abord à l'humilité: Je
découvre le sens de certains versets, ou plutôt, les extensions de sens
que je n'avais pas perçues. Elle redonne aussi une dynamique à ma
mission, m'invite à accélérer mon changement.
Ne te lasse
pas de leur parler ! (Rév d'Arès 26/15)
Vous
montrez aussi par ces nouveaux commentaires et cette nouvelle
présentation que tout doit sans cesse évoluer, s'adapter, s'élever:
Notre mission, notre pénitence.
Tout le contraire de la religion et de la politique.
Bref, vous offrez au monde un nouveau et Beau guide vers
l'Essentiel. Oui grande année 2009 en effet. Loué soit le Père !
Je vous embrasse de toute mon affection fraternelle.
Gérard.
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Réponse
:
Mon cher Gérard,
quelle émotion pour moi de trouver ce matin parmi les nombreux
commentaires (je ne peux hélas n'en publier qu'une sélection) le
commentaire de mon propre gendre, l'époux
de ma fille Nina, le papa de mes petits enfants Samson et Agar, et un
Pèlerin d'Arès pieux et actif à la pénitence
et à la moisson.
Je connais votre droiture et votre sincérité tellement que votre
opinion, qui donne à tous ceux qui n'ont pas encore ouvert ce livre une
bonne idée de ce qu'ils vont y trouver, pour prendre cette opinion
comme un grand compliment.
J'ai trop travaillé sur ce livre pour y
voir clair moi-même, je n'ai plus d'opinion sur ce qu'il vaut. Merci de
m'en donner une, une opinion de lecteur, la première que je reçois.
Concernant
la police qui compose les annotations, je sais qu'elle est un peu
petite. J'ai essayé un grand nombre de polices de caractères. Il
fallait tout à la fois une police de caractères qui "chasse" peu (pour
dire ce qu'il me faut dire sur une petite surface) et qui soit claire
et moderne. Au début j'ai composé ce livre en format de poche 10x17,
mais j'ai pensé à tous ceux qui n'ont pas très bonne vue (comme moi qui
deviens vieux) et j'ai dû grossir le corps du caractère et adopter le
format 14,8x21 (A5). Ce que vous me dites sur la taille un peu juste
des annotations me confirme que j'ai eu raison d'abandonner le format
poche. Néanmoins, il serait souhaitable que ce fût d'une lecture plus
confortable, mais là on tombe dans le problème de la
quadrature du
cercle.
Encore merci. Comme vous le savez, je n'ai travaillé que
dans le but de diffuser au maximum la Parole du Créateur et en
faciliter la lecture à une population qui ne lit plus et qui, surtout, ne comprend plus.
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23avr09 95C20
Dans l'amour du Père, merci frere Michel !
C'est la première fois que j'écris sur ce blog. J'ai besoin de partager
ma joie avec vous et tous mes frères et sœurs.
Je
danse intérieurement et je chanterais bien un hymne a la joie: "Tu
ouvres la voie, frère Michel, à tous les pèlerins en chemin. Messager
de Dieu, tu nous donnes sa Parole, Mickaël, Mickaël, Mickaël."
C'est sûr qu'il
pourrait y avoir un hymne a mettre en musique. Celui-ci je le paufine
et le fais passer!
Vive la Parole ! Eurêka ! Alleluia !
Anne B.
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Réponse
:
Quelle émouvante
surprise pour moi que de trouver, venant du fond de sa retraite des
Cévennes, ce commentaire enthousiaste d'une grande artiste, dont j'ai
toujours près de moi la superbe video présentant son œuvre
picturale, que j'apprécie beaucoup.
"Eurêka !",
ce cri de "J'ai trouvé" poussé par Archimède entrant dans sa baignoire
et comprenant tout à coup pourquoi "tout corps plongé dans l'eau reçoit
de bas en haut une poussée, etc." Vous vous exclamez
"Eurêka !" en
double de "Alleluia !", ce qui à la première seconde est
plutôt
inattendu, mais qui à la seconde suivante apparaît comme logique et
lumineux. "J'ai trouvé le Créateur et sa Vérité et la Voie du Salut,
Alléluia!"
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24avr09 95C21
Comme bien d'autres, j'attends avec beaucoup d'enthousiasme de
découvrir cette nouvelle édition.
Mais je voudrais profiter de cette chronique qui touche à l'édition de
vos livres pour vous posez une question:
"Comptez-vous un jour les mettre (du moins certains d'entre eux) au
format "poche" (10,7 x 17,7)?
Je
confesse avoir beaucoup d'empathie pour ce format auquel je trouve
plein de qualités. Il est pratique, moins "gros bouquin", discret,
facilement transportable "dans la poche" et bon marché, aussi
passe-t-il plus facilement de main en main, s'offre plus facilement et
circule mieux.
N'y voyez pas une quelconque critique de ce nouveau
format 14,8 x 21 que vous avez choisi pour l'édition 2009, sûrement
très confortable pour la lecture, et d'avance je ne doute pas que
l'ensemble soit très soigné.
N'y voyez pas non plus une sorte de
déclassement de la valeur de l'ouvrage, certains pourraient peut-être
penser que cette Parole mérite mieux qu'un vulgaire petit format sur
papier de qualité médiocre, mais du contenu ou du contenant, lequel est
le plus important?
Peut-on espérer un jour une édition de la
Révélation d'Arès au format "poche" ? Je me le demande après
toutes ces années. "L'Edition 89 Intégrale" au moins, ainsi que vos "Et
ce que tu auras écrit"... car si vous voulez populariser vos écrits, il
faut aussi populariser vos prix. La majeure partie des éditeurs font
passer leurs publications à ce format assez rapidement, souvent au bout
d'un an environ. Il m'arrive parfois d'attendre quelques mois la sortie
"en poche"... parce qu'une vingtaine d'€uros, c'est trop! Un prix
"populaire", ça compte aussi, et encore plus dans les familles de
grands lecteurs ou l'on finit par faire attention à ces détails
budgétaires.
À quand ? Peut-être aussi pourquoi pas ?
Pour les amateurs de belles reliures, une édition "plus luxe", avec
couverture cuir et La Révélation d'Arès en lettres dorées, sur
papier-machin-truc-très-beau, avec enluminures, illustrations etc. (il
y a peut-être moyen de lancer une souscription ... pour voir s'il y
aurait une demande dans ce sens, et quel tirage il faudrait).
Mais ces questions techniques et commerciales ne relèvent peut-être que
des seules décisions "marketing" d'Adira.
Jacques F.
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Réponse
:
Concernant l'éventualité en
format poche de la présente édition 2009, je vous invite à lire ma
réponse au commentaire 95C19.
Ceci
dit, vous ne devez pas être un Pèlerin d'Arès de longue date, puisque
vous semblez ignorer que la première édition, celle de 1974, tirée par
Delmas à Bordeaux, était au format poche 10,7x17,2. Il fallut ensuite
passer à un format plus grand à la demande générale... Comme quoi, ce
qui vous convient à vous ne convient à d'autres. Il est toujours très
difficile de satisfaire tout le monde. Par exemple, quand vous venez au
Pèlerinage, vous constatez que le Coran mis à la disposition des
pèlerins est au format poche (la traduction de Denise Masson)... Eh
bien, beaucoup de pèlerins s'en plaignent. Tout le monde n'a pas bonne
vue comme vous.
Les grands éditeurs, en effet, passent leurs
"classiques", les livres de diffusion sûre, en format poche, mais ils
peuvent accéder à des tirages sur rotative avec papier en bobine (type
journal, afnor 2 ou 3, gris à prix imbattable en bobine) et
pliage-reliure automatique en sortie de machine, ce qui abaisse
considérablement le prix du livre. Un petit éditeur comme Adira, qui
recourt à des imprimeurs qui travaillent sur machines à feuilles (par
opposition aux rotatives à bobine) arriverait à une prix de revient
aussi élevé, sinon même plus élevé que pour un format plus grand, car
la reliure traditionnelle d'un livre ayant inévitablement plus de pages
est plus couteuse qu'un livre de 160 pages. Le format poche de "La
Révélation d'Arès" ne pourra vraiment exister à un prix intéressant que
quand il intéressera un grand éditeur disposant de moyens de
fabrication du livre considérables, et qui achète le papier par
centaines de tonnes (des wagons) en bobine (de loin le moins coûteux).
C'est un problème que je connais bien, car, comme vous savez, tous les
éditeurs consultés ont toujours refusé d'éditer La Révélation d'Arès
et j'ai moi-même imprimé, relié, diffusé ce livre et les ouvrages
connexes: Le Pèlerin
d'Arès,
etc., pendant quinze ans, de 1978 à 1993 (cette année-là la maladie me
terrassa, je fus opéré deux fois et passai six mois au lit ou à
l'hôpital, et je dus abandonner mes machines), période pendant laquelle
j'ai côtoyé les métiers de la papèterie et de l'imprimerie auprès
desquels j'ai appris beaucoup, à commencer par le métier d'imprimeur et
de relieur.
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24avr09 95C22
Quel bonheur cette nouvelle entrée !
Je devrais dire quels bonheurs !
Vous
aurez 80 ans bientôt, frère Michel, et vous ne les faites vraiment pas.
Vous êtes un miracle vivant. Le Père dans sa Promesse a toujours relevé votre genou quand il a
plié de fatigue (Rév d'Arès xii/10).
Jamais vous ne vous êtes plaint en quoi que ce soit, vous avez toujours
travaillé (aidé par sœur Christiane à vos côtés) sans regarder
votre peine.
À preuve, cette nouvelle édition: Magnifique !
La couverture est un doux appel à notre frère humain: La première photo
rappelle le verset Ta voix sonne à la cloche (Rév d'Arès xxxvii/1),l'appel
à la prière et au pèlerinage qui va bientôt s'ouvrir. La seconde (on
devine un gros travail, merci aux concepteurs) rend bien l'ambiance à
l'ombre des pins dans laquelle le pèlerin est plongé en arrivant sur la
route d' Arès. Enfin, la troisième photo montre le prophète dans toute
la gravité de sa tâche, vous êtes l'Honneur
de Dieu (Rév d'Arès
xxxvi/16), vous posez votre œil sur le lointain.
Vous êtes l'exemple vivant du magnifique verset: Suis l'Eau, ta jambe aura quatre
âges (Rév d'Arès xxxi/18) !
Merci à vous, cher frère Michel, pour TOUT ce que vous nous donnez.
Merci
à tous les frères et sœurs qui ont œuvré à cette nouvelle
édition,
notamment Nina et nos frères et sœurs de Suisse, travail de
belle
qualité, à la hauteur de l'Événement.
Merci aussi pour le stand exemplaire que vous avez installés à Genève.
Mille vœux pour ce salon.
J'ai
la foi que, dans ce contexte de crise de l'homme, cette nouvelle
présentation touchera les cœurs de nombreux frères humains, de tous les
âges.
Chantal C.
|
24avr09 95C23
Je me réjouis d'apprendre la parution de cette nouvelle édition. Je lui
souhaite beaucoup de succès.
Je
suis quand même surpris d'apprendre que vous avez recouru à une aide
suisse, notamment pour la couverture conçue en Suisse, alors que Dieu
est venu parler en France et qu'on pouvait espérer que vous recourriez
à une aide française.
Cette petite déception avouée, je réitère mes voeux de grand succès
pour ce livre.
Jacques G.-H.
|
Réponse
:
Quand en France je
demande à un frère ou une sœur de me faire quelque chose ou
quand un frère ou une sœur me propose quelque chose
spontanément, les relations entre eux et moi s'arrêtent
malheureusement très vite. Il suffit que le projet ne me convienne pas
ou qu'il me soit soumis à un moment où je ne peux pas lui consacrer
assez d'attention, ou que je demande des corrections, ou que je demande
d'autres projets parce que le premier jet ne correspond pas à mon
objectif, etc., pour que le concepteur français se lasse et se lasse
parfois très rapidement, considèrant son travail comme clos, quand il
ne se répand pas auprès des autres frères en propos du genre: "On ne
peut pas travailler avec le frère Michel. Je lui ai proposé ceci ou
cela et il n'en a pas voulu (sous-entendu: Il ne doit pas se plaindre
d'être tout seul)," sur le ton qui devait être celui de Michael Ange
disant: "J'ai proposé à sa sainteté Jules II tel projet de
sculpture ou de fresque et il n'en a pas voulu. Ce pauvre pape n'y
connaît rien."
Nos frères suisses, même jeunes, sont par chance
pour moi très démodés: Ils travaillent avec patience, persévérance
et modestie tout comme j'ai été moi-même dans ma jeunesse,
maintenant lointaine, éduqué à travailler.
La jeune sœur suisse qui a
conçu la couverture de l'édition 2009, qui semble unaninement
approuvée, a travaillé près de deux ans et fait plus de trente projets,
tous très discutés, avant de tomber sur ce qui a paru être le bon
projet pour des raisons très précises et parfaitement conscientes et
pas seulemet des question de coup d'œil.
Je n'ai jamais trouvé
jusqu'à présent en France de frères ou sœurs avec la patience
et
la constance nécessaires à une tâche aussi systématique. Nos frères
et sœur français sont des génies, mais des génies très vite
fatigués. Ce n'est pas un reproche. C'est tout simplement comme ça.
C'est tout.
Je pense, d'ailleurs, que c'est toute notre culture
française qui prend ce pli et que, pour cette raison, la crise sera
peut-être plus douloureuse dans notre pays que dans d'autres où l'on
est plus patient et stoïque.
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24avr09 95C24
X.X. [95C10] nous fait part ici de ce qu'il a entendu à l'Hôtel de
Ville de Bordeaux: "L'archidiocèse (de Bordeaux), tout
le milieu religieux, protestant, israëlite, certaines instances morales
(franc-maçonnerie, Rotary, Lyons?) sont très montées contre Michel
Potay. Nous préférons ignorer ces tensions. Bordeaux abrite une gentry
agglomération [?] intellectuellement très fermée. Les problèmes
philosophiques ne sont pas l'affaire d'une municipalité. Dans la mesure
où l'on n'a, en effet, rien a reprocher à Michel Potay qui n'est même
pas notre administré, pour nous il n'existe pas."
Je
ne comprends pas. Qu'est-ce qui peut conduire "l'archidiocèse de
Bordeaux" (un cardinal archevêque, je crois) qui appartient à une
église de dimension mondiale (1.300.000.000 fidèles) à être hostile au
frère Michel qui ne représente pour ainsi dire rien, tout au plus
quelques dizaines de milliers de fidèles? C'est comme si Citroën ou
Peugeot avait peur du garagiste de st-Martin-les-Épinettes. C'est aussi
ridicule et incompréhensible. Qu'est-ce qui a pu conduire 47 éditeurs à
refuser d'éditer La
Révélation d'Arès, comme vous avez eu soin d'en informer
le lecteur dans vos introductions de 1987, 1989 et 1995 ?
Au passage, je dis bravo pour
cette nouvelle édition de La
Révélation d'Arès que nous attendion tous.
Thierry L.
|
Réponse
:
La réponse est très
simple. L'archidiocèse de Bordeaux, c'est l'Eglise Catholique et même
bien plus que cela, c'est derrière elle toute la Chrétienté
traditionnelle,
catholique, protestante, orthodoxe, dont la foi repose fondamentalement
et uniquement sur un seul critère qu'elle s'est fabriqué dès ses
premiers siècles: "Jésus est Dieu lui-même qui s'est fait homme et est
mort sur la croix pour la rédemption des péchés."
La
Révélation d'Arès
dit exactement le contraire: Jésus est un prophète et non Dieu et s'il
est mort sur la croix, c'est simplement parce que la religion (le
Sanhédrin) l'a assassiné avec la complicité de la politique (Ponce
Pilate), parce qu'il la gênait, parce que Jésus était manifestement
contre la religion et pour la vie spirituelle pure. De plus, la
rédemption des péchés est tout simplement entre les mains de tous les pénitents, de
toutes les hommes de bien,
sans besoin de recourir à la religion. De même, tous les hommes de bien
peuvent s'autogérer sans recours à la politique.
Autrement dit: Toutes les idées qu'apportent La Révélation d'Arès
contrarient toutes les idées du système, côté religieux comme côté
politique.
De là, le souci très grand des pouvoirs, religieux ou politiques, de
passer La Révélation
d'Arès
et son témoin sous silence. Ils font tout ce qu'ils peuvent pour les
étouffer dans les limites de la Constitution Française
qui défend la liberté de conscience et d'expression. Pour eux La Révélation d'Arès
et le frère Michel, c'est le ver dans le panier de fruits qui,
si
on le laisse se multiplier, sapera tout le système sur lequel reposent
tous les pouvoirs.
La Révélation d'Arès
n'a pas besoin d'appeler à la révolution. Elle porte en elle un
bouleversement bien plus important qu'une révolution. Sa Sainteté, sa Puissance et sa
Lumière (Rév d'Arès 12/4) sont bien au-delà de toutes les
forces révolutionnaires possibles. Cela, les pouvoirs religieux et
publics et leurs media serviles
l'ont parfaitement compris depuis longetemps.
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24avr09 95C25
Je pourrais aisément et spontanément m’ajouter à la longue liste de
celles et ceux qui applaudissent, mais je pense à celles et ceux qui
dénigrent, qui ne comprennent pas l’importance de l’évènement arèsien,
pris dans leur culture d’habitudes, dans leur incapacité à accepter non
seulement un événement surnaturel, mais davantage un évènement qui
vient surprendre et balayer les grandes certitudes construites par
leurs pairs et leurs prédécesseurs laïques ou religieux.
Je sais ô combien tout cela est difficile, pour l’avoir moi-même vécu.
Il faut la patience,
la constance
du coureur de fond, du chercheur, pour avancer, ne serait-ce que d’un
pouce, mais la récompense est grande.
Je voudrais dire à ceux qui dénigrent ce qu’ils ne voient pas dans
l’action arèsienne qu’ils considèrent comme une mise en avant
d’opposition, ou de séparation, ou de division.
Ils ne voient que la remise en question de leurs points de vue, érigés
par des siècles d’habitudes de pensée, de culture , d’obéissance, de
conditionnement.
Mais qu’ils se rendent compte qu’il vaut mieux se conditionner à
l’énergie de la Vie
qu’est l’amour, à la justice, à la paix intérieure toutes ces grandes
valeurs de la Vie
qui sont des forces constructrices, d’harmonie. On ne construit pas du
bonheur sur des sentiments négatifs comme la peur, la haine, la
violence, mais à l’inverse sur tout ce qui rallume cette énergie de Vie, comme ce feu
d’aujourd’hui que les Pèlerins d’Arès ressentent en eux —
mêmes quand le guide devant eux écarte les ronces par son travail et
par sa foi et par sa persévérance, et qu'il ranime la motivation et la
joie.
Ils verront avec La
Révélation d'Arès ou sans elle que le chemin universel est
bien celui-là, la voie dans la liberté, dans l’amour, dans le
bien actif, dans la droiture et puis peut-être se
demanderont-ils pourquoi se priver d’un outil descendu du Ciel, cette Révélation d’Arès? Pourquoi
se priver des années de recherche et de réflexion du frère Michel?
Ppourquoi se priver des reflets
des Pèlerins d’Arès? Pourquoi se priver intérieurement du
rapport qu’ils peuvent établir eux-mêmes avec la Parole d’Arès?
Alors peut-être commenceront-ils ce long et patient travail, un travail
contre l’ego, contre l’égoïsme, le parti pris, le lent passage de
l’animal pensant conditionné au créateur de Vie, c'est-à-dire
créer tout ce qui est constructif de Bien
intérieurement, la paix, l’amour, le respect, l’intelligence du tout,
la liberté face aux divers enfermements, mais aussi ce qui est
constructif de Bien
extérieurement, les objets de progrès, de développement, de sagesse
(dont par exemple cette nouvelle édition ici est un témoignage, et ce
stand de Genève également), en fait, vivre la Vie spirituelle
aimante sur terre.
Ce Que J’ai
dit s’accomplira pour les générations qui sortiront de ta descendance.
Toi, homme Michel, tu connaîtras seulement le petit reste (Rév d'Arès
29/1).
Si les détracteurs acharnés ou passifs doutent encore, Dieu ne
doute pas .
Charlie F.
|
24avr09 95C26
Belle présentation de la nouvelle édition de La Révélation d'Arès:
Les couleurs sont reposantes et je remarque que le rouge en est
absent.....
J'ai remarqué une petite erreur dans la description au-dessus de la
couverture: Épaisseur 1cm... Vous vouliez peut-être écrire
10 cm? Un temps viendra sûrement où les livres seront si peu
épais.
Olivier G.
|
Réponse
:
Non, il n'y a pas d'erreur.
L'épaisseur du livre est bien de 1 cm. En toutes lettres: Un centimètre
ou si vous préférez dix millimètres. Le temps est venu "où les livres
sont si peu épais".
Vous pouvez le mettre dans votre poche ou l'expédier dans une enveloppe
A5.
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24avr09 95C27
J’ai honte frère Michel, pas honte de mon comportement spirituel, bien
qu’en ce moment je ne puisse me déplacer en voiture et aller missionner
en ville (je dois stopper l’évolution dangereuse d’une escarre ce qui
me demande de faire très attention sur quoi je pose mes pauvres fesses).
J’ai honte pour la France, mes frères humains, honte pour les Salons du
Livre Français qui se croient pleins de sagesse en refusant de nous
accepter
sous leurs chapiteaux.
J’ai honte pour les religieux, les politiques, les mouvements en tous
genres, les hommes qui ont fermé leur cœur et mis sous silence la Voix
du Père de l’Univers, car ils tiennent sous silence Mikal, prophète
contemporain, parce que oui, Jésus, comme le Sermon sur la Montagne n’a
pas été accompli,
bien que tout le monde en ait entendu parler, ou ait vu un film sur
Jésus, ou ait lu la Bible. Mais tout ça, c’est de l’histoire ancienne,
tandis que frère Michel, c’est vivant, c’est maintenant !
Que vont penser
les générations après vous de vous avoir laissé dans cette quasi
solitude ?
Et que pouvais-je faire d’autre, moi, petit bonhomme, sinon
entrer en
pénitence, moissonner,
prier, aimer ?
Je souhaite que des
milliers à nouveau découvrent ce besoin spirituel qui remplit le cœur
de joie !
Je suis fier de vous, je vous rends hommage, frère Michel, je
vous aime de toute la force de mon âme
et que "les nuages" vous reçoivent
le plus tard possible... Je ne serai pas loin d’ailleurs, enveloppé de
ma
voile pour vous rejoindre, 21 ans nous séparent, une broutille.
Ceux qui seront en colère de votre nouvelle édition, seront moins, bien
moins nombreux que ceux qui en sont déjà et d’autres heureux de la voir
sortir de l'imprimerie, des mains passer dans les cœurs et changer, oui,
changer
pour asseoir les fondations du monde que le Père nous appelle
encore à changer.
Ceux qui semblent dérangés par le message du Père feraient
bien de réfléchir à deux fois avant d’envisager je ne sais quoi contre
vous. Ils ne croient pas qu’une légion
d’anges est prête à vous défendre
et nous aussi, si nous sommes au Champ,
je ne souhaite pas pour ces
homme que les nuées du
Ciel leur tombent dessus, pour le moins, ils en
pisseraient dans leur culotte, mais je suppose que ce serait plus grave
pour eux. Qu’on ne touche pas à Mikal !
Merci pour les travaux et les transformations apportées aux Saint Lieux
d’Arès, terre du Père où des générations viendront prier pour s'emplir
de la force d'accomplir
la Parole et créer Éden enfin.
Merci mes sœurs, mes frères, merci à
ceux qui lisent ce blog et qui reconnaissent frère Michel comme un
Juste.
Aux contradicteurs je dis: Sachez que seul l’amour éteint les préjugés!
Si vous ne voulez pas vous forger librement à la Vie spirituelle, au
moins adoucissez-vous! Lâchez prise pour votre bien, pour nous, pour la
Création!
Et grandissons ensemble, spirituellement parlant, dans la
merveilleuse diversité de notre unique image et ressemblance
au Père !
Michel J.
|
Réponse
:
Je suis très touché par ce
commentaire. Honte pour la
France? Oui, nous avons tous, nous tous citoyens honnêtes de ce pays,
qui payons nos impôts, nous dont les casiers judiciaires sont vierges,
nous qui ne cassons pas les vitrines ni ne brûlons les voitures dans la
rue, nous
qui respectons tous les citoyens de France, ou nous qui comme moi avons
servi sous les drapeaux, nous avons honte pour les Salons du Livre de
France qui refusent un livre simplement parce qu'il contrarie
l'establishment politique, religieux, intellectuel, etc.
Heureusement,
il y a des pays, comme la Suisse, qui sont tout simplement plus
honnêtes à l'égard de leurs engagements moraux, à savoir qu'un salon du
livre est fait pour recevoir tous les livres et s'en tient à ce contrat
social, y compris envers les livre qui contrarient le pouvoir et les
idées générales. Mais la France n'aime pas trop la liberté de pensée et
de conscience. Quand elle proteste qu'elle est le pays des droits de
l'homme, elle ment, c'est évident. Je hoche la tête avec tristesse et
je me dis que quand la Chine réplique aux représentants de la France à
l'ONU qu'ils devraient se regarder dans la glace avant de donner des
leçons aux autres, je me dis que la Chine n'a pas complètement tort.
La
France est bien le pays de la st-Barthélemy qui massacre tout ce qui
"n'est pas catholique" ou la France de la Terreur qui guillotine tout
ce qui prétendument "menace le Salut Public".
La
Révélation d'Arès
est un livre honnête et moral et son témoin, le frère Michel, est un
honnête homme. Personne ne peut le nier et c'est bien pourquoi ceux
qu'ils dérangent ne veulent pas voir paraître.le livre et ne peuvent
que calomnier le Frère Michel, parce que s'ils n'en disaient pas de
mal, on ne comprendrait plus pourquoi ils veulent le faire taire. Ces
persécuteurs doivent se consoler en arguant de la "direction
d'intention", ce point de la théologie catholique qui signifie que
"pour la bonne cause" tous les mensonges, voire même tous les
crimes, sont permis.
Je ne porte pas de jugement sur ceux qui nous font taire et je leur
pardonne leur injustice, mais je les plains.
|
25avr09 95C28
Je suis très heureux
de cette édition, telle qu'elle ressort de votre présentation, et des
précisions de vos propres commentaires.
Je suis aussi très touché de la plupart des commentaires, tant par la beauté vraie de
leurs louanges que par leur pénétration prophétique.
La
Révélation d'Arès est un livre primordial et vous en êtes
le prophète.
Cette nouvelle édition peut sans doute constituer une ouverture
décisive sur l'incroyable richesse prophétique de votre enseignement
écrit — "Et ce que tu auras écrit" —, enseignement que je
perçois
comme un véritable enracinement de toute la Parole révélée.
Quel
gain spirituel, quel apport complet, quand nous saurons vivre ensemble
comme individuellement à la hauteur où nous sommes conviés !
À vos côtés sans être des vôtres, je suis de ceux et celles
qui se redressent immanquablement à vous lire.
Bien fraternellement
Laurent C.
|
25avr09 95C29
En lisant votre entrée
de blog 0095 je regarde ma bibliothèque de l'autre côté de mon écran
d'ordinateur et je vois tout ce que vous avez publié qui prend déjà
tout un rayon: "Le Pèlerin d'Arès" trimestriel — quarante
parutions, dont certains en photocopie... à quand une réimpression des
grands articles de ce périodique? — et "Le Pèlerin d'Arès" en livres
périodiques, et les différentes éditions de La Révélation d'Arès
et quelques classeurs dans lesquels j'ai placé vos lettres, dont
certaines sont à mes yeux de véritables trésors de spiritualité
michelique ou potayenne, je ne sais lequel de ces épithètes
s'installera dans le langage, comme on dit socratique pour Socrate.
C'est
curieux ce que vous raconte X.X. [95C10] qui vous rapporte les paroles
d'une fonctionnaire municipale de Bordeaux qui lui a dit: "C'est assez
curieux (la discrétion) de la part d''un
homme qui semble soulever un problème philosophique ou
idéologique
socratique. Les gens ne savent pas comment interpréter cette
discrétion..." Cela vous honore beaucoup. Socrate quand même! Mais pour
moi vous êtes autre chose que Socrate, qu'on ne connaît qu'à travers
Platon, qui en a peut-être ajouté un peu. Vous, on vous connaît bien à
travers vos écrits, auxquels vous joignez une nouvelle édition
expliquée de La
Révélation d'Arès, que tout le monde attend de lire avec
curiosité.
Pour
moi, si l'establishment et l'intelligentzia s'acharnent à vous ignorer
depuis trente-cinq ans, ce n'est pas pour votre pensée, mais parce que
vous avez vu et entendu Jésus.
On voudrait bien de vous comme
Bernadette Soubirous [la voyante de Lourdes], mais pas comme le témoin
d'une apparition céleste qui réfléchit à ce qu'il a vu. Il est
religieusement correct qu'un témoin du Surnaturel soit un bénêt qui
laisse les autres réfléchir à l'événement, mais il est incorrect qu'il
soit tout à la fois le témoin et le commentateur, le penseur. La
France, "fille aînée de l'Église", a horreur du mélange des genres: Le
voyant voit et l'autorité explique. Elle ignore ou assassine ceux qui
oublient cela (rappelez-vous de Tapie!).
Il y a plus: Si vous êtes en même temps le témoin et le penseur, c'est
parce que vous êtes prophète,
vous avez l'indépendance du prophète
en possession totale de la Vérité
reçue. Cela, ce monde moderne ne peut le tolérer, si ce monde l'a déjà
toléré un jour. Ce n'est pas sûr.
En somme, à travers vous on ré-assassine Jésus, parce que lui aussi prophète,
était témoin-commentateur de Dieu et de la société organisée de son
temps. Il était une gazette à lui tout seul. Il apportait la bonne
nouvelle du Royaume
spirituel
réapparu et écrivait en même temps l'éditorial, ce que les
propriétaires de la presse se gardent de mélanger. Vous, frère Michel,
vous avez tout fait de A à Z, vous avez même fait l'imprimeur et le VRP
[représentant de commerce] pour diffuser la Parole de Dieu. Rien que
pour ça vous êtes déjà une sorte de légende vivante.
Il y a en France comme partout dans le monde des gens en bonne place,
les dominateurs,
les princes du culte
religieux, politique et intellectuel, qui s'attribuent le droit de
fixer la pensée et de faire les discours (ou les sermons), qui ne
laissent aux autres que l'humble fonction d'apporter de l'eau à leur
moulin.
Vous, vous ne vous contentez pas d'être le torrent vous êtes
aussi à vous tout seul la
pieuse gente, l'orage, le fouet, que le torrent apporte,
vous coupez les jambes
et le cou des chefs (Rév d'Arès xLv/16-18),
bref, vous êtes intolérable comme Jésus l'était. Comme votre délit
n'est pas de ceux qui de nos jours peuvent être poursuivis
juridiquement (et les deux contrôles fiscaux sévères mais inopérants
que vous avez subis montrent qu'on a cherché à vous attaquer sous
l'angle juridique), il est puni par l'étouffement ou par la calomnie.
Les constitutionnels qui ont garanti le liberté de conscience et de
pensée ne croyaient pas que Moïse, Isaïe, Jésus ou Muhammad
réappaîtrait sous le nom de Michel Potay. Dieu les a pris au piège de
leur propre incroyance. C'est plutôt amusant et très réconfortant.
Jésus,
je vous dis! C'est absolument le sort de Jésus dans des circonstance et
des temps différents. Il était charpentier, vous étiez ingénieur (deux
métiers techniques), il était rabbin dans les synagogues [Luc
4/16-28] et vous étiez prêtre dans des églises, il a prêché la
Parole du Père et vous faites la même chose depuis trente-cinq ans.
Non, rien d'étonnant à ce que
vous soyez traité par le mépris et le silence.
Je
vous l'ait déjà dit et je vous le redis: J'admire votre courage et
votre humilité dans une obscurité sûrement pas toujours facile à vivre
pour un homme chargé d'une mission universelle. Nous comprenons moins,
nous Pèlerins d'Arès, pourquoi nous vous avons laissé à cette pénible
solitude, mais c'est une autre question.
Et voilà que vous ajoutez une
nouvelle édition de La
Révélation d'Arès, que j'ai hâte de lire, parce
que rien de ce que vous faites ne laisse indifférent l'homme sincère.
Voilà un démenti à ceux qui répandent le bruit que le mouvement d'Arès
dépérit comme une mode
et disparaîtra avec vous. Ils en sont clairement pour leurs frais. Vous
apportez la preuve qu'il est plus vivant que jamais. J'ai aussi appris
en ouvrant le site d'Adira qu'il existait maintenant une édition
allemande. Preuves d'expansion.
Jésus, je vous dis!
J'aimerais que vous cessiez cette humilité qui vous cache trop, que
vous me disiez franchement que Jésus et vous c'est tout à fait la même
chose.
Que Dieu vous bénisse, frère Michel !
Ray
|
Réponse
:
Non, Jésus et moi, ce n'est pas
"tout à fait la
même chose." Ce qui est "tout à fait la même chose", c'est le
prophétisme, mais ses manifestations varient selon le temps et les
possibilités de perception du monde, qui changent.
Le Fond
reste, mais la Sagesse
l'adapte aux époques, aux lieux, aux mentalités.
Certes, Jésus, qui m'apparut en 1974, n'est pas Dieu et La Révélation d'Arès
précise même à ce propos que ceux qui
croient qu'il est Dieu sont impies (Rév d'Arès 32/1).
En ceci, je veux dire en tant que mortel, en tant qu'homme avec une
tête, deux bras et deux jambes qui seront un beau jour changés un
cadavre, je suis bien "tout à fait la même chose" que Jésus ou
Muhammad. Ce qui a fait des noms de ces deux prophètes des oxymorons
sous forme de "Jésus-Fils de Dieu" et de "Muhammad-Sceau des
Prophètes", leur attribuant la Parole finale, après laquelle Dieu se
serait engagé à se taire, n'est qu'une déclaration, une interprétation
de la religion, ce n'est pas la réalité. En cela, je suis "tout à fait
la même chose" que Jésus et Muhammad, je ne prétends pas être l'ultime
porteur de la Parole.
Dieu est vivant, le monde est vivant, la
façon dont le Premier s'adresse au second est donc vivante, adaptative,
et comme Jésus et Muhammad je ne suis que l'annonceur d'une Parole qui
ne sera jamais close, parce qu'elle est de toute éternité, ce qui ne
veut pas dire de toute fixité.
Le Jésus de l'Eglise n'est plus le Jésus de Nazareth depuis quelque
dix-sept siècles, il est le Jésus des théologiens.
Je
sais tellement bien cela que je m'arrange pour que la théologie n'en
ajoute pas plus tard à la Vérité que je suis chargé de transmettre. Une
précaution que Jésus et Muhammd n'eurent pas le temps de prendre, le
premier parce qu'on le crucifia sans tarder et le second parce qu'il
dut faire face à une adversité belliqueuse qui lui prit beaucoup de
temps. Ma vie prophétique, qui a déjà duré trente-cinq ans —
contre un an seulement
pour Jésus (Rév d'Arès
32/4), vingt ans pour Muhammad) — me donne le temps de
poser mon enseignement.
En
cela je ne suis pas "tout à fait la même chose" qu'eux. Une religion ne
pourra pas sans soulever beaucoup de doutes prétendre combler des
lacunes que je n'aurai pas laissées.
Ce qui permet de faire de
Jésus une sorte de star, c'est qu'on ignore à peu près tout de l'homme.
Les stars sont des produits de l'invention humaine, des icônes, qui
n'ont pas grand chose à voir avec leur réalité quotidienne. On a fait
de Jésus une star, l'imaginant sous toutes les coutures: théologiques,
artistiques, etc. On l'a tellement imaginé que lorsque je vis Jésus
pour la première fois le 15 janvier 1974, il était tellement différent
de ce que cette imagination séculaire m'avait transmise que je crus
qu'il s'agissait de quelqu'un d'autre. À l'inverse, puisque
les
spéculations qu'ont engendrées Jésus et Muhammad (et à plus raison
Moïse et Isaïe) ne me sont pas applicables, je suis un homme qu'on peut
observer dans sa vie quotidienne et en cela non plus je ne suis pas
"tout à fait la même chose."
Je suis, comme chacun des prophètes l'a été tour à tour, une
singularité dans une continuité prophétique.
|
25avr09 95C30
Comme beaucoup, j'ai
envie de crier: Alleluia ! Car, comme je l'ai souvent dit, cette
nouvelle édition marquera certainement une nouvelle étape vers les
Hauteurs, en nous permettant, grâce à l'option que vous avez choisie et
parfois douloureusement vécue dans sa rédaction, d'aller à l'essentiel
de notre foi et d'apprendre peut-être à mieux communiquer à notre monde
moderne.
Je regarde la couverture [de cette nouvelle édition] et,
une nouvelle fois, les premiers sentiments et pensées qui me traversent
sont les mêmes que depuis le premier jour où j'ai commencé à aborder La Révélation d'Arès:
un mélange, étonnant car unique, de traditionnel et de futuriste.
Cette
couverture en est l'exemple. Elle allie l'élégance du classicisme à un
je ne sais quoi de nouveau, mais un nouveau qui n'est pas figé, mais
regarde vers l'avenir. Et, en disant cela, je ne projette pas des
pensées préconçues par ma connaissance du message d'Arès. Elles
m'avaient frappées dès mon premier contact avec ce message, dans le
cadre d'une exposition-conférence donnée à l'Hôtel de Ville de Tours il
y a maintenant vingt ans — Eh oui, en ce temps-là, les édiles
étaient moins méfiants que maintenant —. Je m'étais alors dit,
en
regardant de superbes photos exposées avec un commentaire pour chacune
tirée de la Parole, puis en écoutant la conférence: C'est très étrange,
cela parle du futur, c'est très moderne sur plein d'idées que même des
progressistes n'oseraient pas proposer, et pourtant cela transmet une
tradition immémoriale (j'avais déjà à l'époque une assez bonne
connaissance de la Bible), en expliquant de plus certaines choses
restées obscures d'une manière qui ne peut paraître qu'évidente. J'ai
compris ensuite que c'est parce que La Révélation d'Arès
porte en soi le Fond
de la Parole
de Dieu.
Pour
revenir à la couverture (puisque je ne peux juger pour le moment de
l'intérieur du livre), elle est belle, avec cette fusion fameuse du Beau et du Bien (Rév d'Arès 12/3),
c'est-à-dire qu'elle allie l'esthétique à la vie. Claude Debussy,
compositeur que vous appréciez beaucoup, parlait parfois, pour une
musique qu'il estimait généreuse, d'une musique "qui sent bon". Cette
couverture sent bon, Frère Michel, elle invite à ouvrir le livre, en
rassurant et intriguant le lecteur à la fois, bref, elle attire.
Longue vie à vous pour que vous puissiez continuer à nous accompagner
dans notre cheminement et très fraternelles pensées.
Denis H.
|
25avr09 95C31
Je ne saurais vous
remercier assez pour ce magnifique travail d’une limpidité presque
déconcertante tant ce message semble soudainement évident.
Non
qu’il manquait de limpidité auparavant, mais c’est une nouvelle
évidence, comme si un nouvel éclairage nous permettait de
voir
des reliefs jusqu’alors pressentis mais invisibles. Comme si un nouveau
maillon de [la chaîne de] l’ancre de la Vérité nous était
donné.
Je
n’ai pas fini de lire cette nouvelle édition et déjà, à la Veillée 2,
j'assimile "enfin" certaines phrases qui étaient intuitivement
comprises jusqu’à présent, mais que mon intellect ne saisissait que de
manière floue. Notez que cela ne me contrariait et ne m’inquiétait pas
trop — soyez
comme les enfants (Rév d'Arès 33/9) —, si ce n’est que
cela m’empêchait de les expliquer et d’avoir une compréhension
peut-être plus globale.
Décidemment,
je sens les prémisses d’une ère nouvelle à travers cette édition et
l’effervescence qu’elle génère [à Genève], sans oublier cette
représentation graphique des Pèlerins d'Arès. Et cela grâce à vous et à
35 ans d’un constant et exemplaire dévouement, dont aucun mot ne
saurait traduire l’importance et l’impact pour la Vie.
Encore mes félicitations, merci et plein succès, qu'il tient à nous de
concrétiser.
Frédéric
(alias Colbert mais ça faisait un peu trop royaliste je crois. Et
pourtant tout à fait dans le ton à Bordeaux)
Nota
Bene
: Je trouve que vous avez remis au goût du jour de façon spectaculaire
le concept de "démodé" [réponse à 95C23], qui ne va plus l’être
maintenant, par définition.
|
Réponse
:
Vous êtes de ces frères suisses
qui, à cause du Salon du
Livre à Genève où elle est présentée pour la première fois, peuvent
lire la nouvelle édition de La
Révélation d'Arès. Merci pour vos bonnes appréciations.
J'en suis profondément touché.
|
25avr09 95C32
J'ai passé la première moitié de ma nuit à lire La Révélation d'Arès
achetée par quelqu'un de la famille au Salon du Livre [Genève] et
l'autre moitié à la relire, en revenant sur les passages qui m'ont le
plus marquée, et à parcourir votre site michelpotay.info que l'éditeur
a eu le bonne idée de rappeler. Je sors d'un nuit d'insomnie.
Je
ne sais pas ce qu'étaient les éditions précédentes, évoquées en face de
la page de titre, mais en lisant la présente édition mon sentiment est
que, chargé de répandre une Révélation
qui, presque à chaque page, ne peut que soulever des antagonismes
religieux et sociaux, vous vous en sortez avec dignité et optimisme.
On m'avait parlé d'humanisme à propos de La Révélation d'Arès,
mais ce n'est pas ce que j'y trouve. J'y trouve une évidente Parole sacrée. Un Appel d'une envolée
lyrique qui s'inscrit dans l'éternité. Le surnaturel est évident. D'un
point de vue rationnel, La
Révélation d'Arès est un opéra, mais non une diatribe.
Nous vivons une époque de conflits et même d'agressivités politiques,
écologiques, économiques.
La Révélation d'Arès
apparue en 1974 et 1977, années plutôt insouciantes, quand ces conflits
étaient à peine sensibles, les évoque très bien même dans son langage
intemporel qui prend les choses de haut. Vous pourriez traduire cette Révélation
en termes pessimistes ou apocalyptiques et vous auriez tout de suite
beaucoup de succès, parce que le prophétisme catastrophiste ou agressif
est à la mode, mais vous n'écrivez pas en termes de combat.
En
mots simples, vous arrivez à vous tenir à la Hauteur de Celui qui vous
envoie (oui, je le crois, ça ne s'invente pas) et vos commentaires, qui
accompagnent cette Révélation verset par verset pour ainsi dire, n'ont
rien du style déprimant ou alarmant à la mode. Chaque phrase,
dont
la concision frappe, y est soulevée par l'encouragement à "recréer ce
monde." C'est finalement un livre enthousiaste qui part d'une base
qu'on pourrait lire dans le découragement ou l'inquiétude, si vous n'y
apportiez dans les marges quelque chose d'extraordinairement stimulant,
difficile à analyser. Certains le feront, je n'en doute pas.
Vous appelez à l'effort, au travail, ce qui sonne drôle à notre époque
de recettes de bien-être par les allocations.
Il
reste à comprendre comment quelques consciences peuvent exprimer tout
ça face aux mégaphones et aux gueulements des manifestants de la rue.
En un temps où seuls les gueulards semblent être entendus, que
pouvons-nous faire avec "la mesure en toute circonstance et toute
action" (un titre p.34) ? Je me sens intimidée jusqu'à la
paralysie. J'ai assez lu de La
Révélation d'Arès
cette nuit pour comprendre qu'elle n'appelle pas à une spiritualité
vécue dans la tranquillité privée, mais appelée à un apostolat
"musclé". Je ne sais pas ce que je vais faire. Je suis bouleversée,
mais aussi dépassée.
Marie-Jeanne
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25avr09 95C33
Tous ces merveilleux témoignages de gratitude et moi... je ne sais pas
décrire l'émotion qui m'inonde.
Ce sont peut être les prémices du bonheur.
Puissions nous, tous les Pèlerins d'Arès, être à la hauteur du
prophétisme de Mikal.
Merci du fond du cœur.
Thierry B.
|
25avr09 95C34
Que dire? Félicitations,
frere Michel !
C'est un aboutissement, un nouveau depart pour La
Révélation d'Ares.
Le Bon Livre
(Rév d'Arès i/5-11) devient plus accessible à tous et
c'est
tant mieux.
Dieu doit s'en réjouir, comme nous, j'en suis sûr, et tous
ceux qui veulent plaire a Yawhe, Jehova ou Allah vont bien être obliges
de l'acheter cette fois-ci. Nous en serons les herauts.
Pas de traduction en anglais de votre blog cette fois ci. Il y a
sûrement une raison a cela.
José
|
Réponse
:
En effet, il n'y a pas encore
de traduction anglaise de
cette entrée 0095. La raison est toute simple: Comme vous savez, je
suis seul pour m'occuper de ce blog, donc pour traduire, et, en ce
moment, je suis à tel point débordé avec quantité de tâches et soucis
de tous côtés, je n'ai pas encore eu le temps de faire cette
traduction. Peut-être trouverai-je un moment pour ça demain dimanche.
Comme La Révélation d'Arès 2009
paraît en langue française seulement, le sujet intéresse un peu moins
les lecteurs de langue anglaise, qui sont assez nombreux, mais dont
(toujours faute de temps) je ne publie pas les commentaires, sauf
quelques rares par-ci par-là.
|
25avr09 95C35
Voilà enfin ce livre annoncé depuis deux ans et que tout le monde
attendait. Il y a d'ailleurs eu un blog qui en parlait.
Je souhaite que ce livre que vous avez étudié comme un ouvrage de
vulgarisation, facile à lire, aide la moisson!
Je suis quand même étonné que
pour un événement pareil, vous n'ayez pas davantage de commentaires!
Charles Q.
|
Réponse
:
Si, il y a eu beaucoup de
commentaires, environ 150 en trois jours, mais je n'en ai publié qu'un
échantillonnage.
Faute de temps !
Je
pense que les commentaires afflueront surtout quand un certain nombre
de personnes auront lu ce livre qui, pour l'heure, n'a eu que quelques
rares
lecteurs.
|
26avr09 95C36
Un remerciement de plus, par anticipation, pour cet exceptionnel cru
prophétique 2009 :
Édition de La
Révélation d'Arès et locaux du Pèlerinage renouvelés !
Quelle évolution !
À chaque nouvelle
édition, le prophète
nous emmène un peu plus loin et et peu plus haut dans la compréhension
de ce message. Bien sûr, les éditions précédentes suffisaient à
comprendre l'essentiel: Je dois devenir chaque jour meilleur pour qu'à
travers mon exemple et mon apostolat je donne envie à d'autres
hommes — épis mûrs — de se redresser (Rév d'Arès 1/1)
à leur tour. Je vous entends encore nous dire à l'époque où vous nous
parliez les jours d'ouverture et de fermeture de chacune des trois
périodes du Pèlerinage d'Arès: "Je peux partir demain, j'ai transmis
l'essentiel."
Alors, pourquoi tant de réactions enthousiastes,
pourrait-on se demander ? J'ai personnellement l'impression que chaque
nouvelle édition nous éloigne un peu plus de l'esprit de religion qui
imprègne tant nos sociétés modernes qu’on ne finit par ne même plus
discerner sa présence: Cette religiosité n'est pas seulement présente
dans les "sermons" des hommes politiques comme dans le cérémonial d'un
jugement (les juges trônant sur leurs autels), mais dans tout ce à quoi
l'homme moderne substitue — consciemment ou non — sa vocation
spirituelle. À cette difficulté, le Pèlerin d'Arès qui vit
dans le
monde n'échappe pas. Bien qu'elle n'ait pas été rédigé pour lui mais
pour le monde, chaque nouvelle édition — qu'il
s'agisse de la
Parole fondamentale ou de vos écrits publiés dans "Le Pèlerin d'Arès" —
vient rafraichir son intelligence
en lui permettant de mieux comprendre la fantastique aventure humaine à
quoi le Père l'appelle: Sous
ta voix, Je répandrai Mon Eau sur les cœurs altérés; ta parole fera
jaillir le sang dans les têtes vides et les fertilisera" (Rév d'Arès
23/5).
Je regarde au lointain
vers lequel ma fenêtre parisienne m'offre le privilège de pouvoir poser
mon regard et je comprends que les générations futures devront
conserver à jamais cette dynamique d'évolution pour que l'esprit de
religion ne retombe jamais sur l'assemblée
comme une chape de plomb. C'est un aspect essentiel de l'héritage
prophétique.
Jeff
|
26avr09 95C37
C'est un grand
privilège qui nous est fait que le Père vous ait permis de vivre
jusqu'à 80 ans bientôt (11 juillet, je crois?) pour concevoir cette
nouvelle édition de vulgarisation qui, si j'ai bien compris, est d'une
extrême concision;
La concision n'est pas le propre des grands
messagers à leurs débuts. Ils tombent au contraire dans la profusion et
ne gagnent la concision qu'avec le temps. En 1984 (date de la première
"Intégrale") ou même en 1995 (date de l'édition américaine dite
"bilingue"), vous ne pouviez pas être concis, parce que vous deviez
devancer — sûrement à juste titre — les mauvaises
interprétations
et beaucoup d'autres erreurs par des explications en profusion. Mais
vous pouvez aujourd'hui être concis, ce qui est normal, puisque, de
toute façon, les commentaires profus précédents sont toujours
disponibles pour ceux qui souhaitent les consulter.
Ce nouveau
livre que moi aussi j'ai hâte de lire, a été conçu sur l'établi de
trente-cinq années de mission prophétique, mûri par une longue
pastorale, et réalisé en deux ans parce que vous êtes, tout le monde le
sait, un homme débordé. Le temps ayant passé et la vieillesse venant,
je ne sais pas comment les Pèlerins d'Arès corrigeront leur esprit de
badinage ou de folâtrerie des années 1980 où vous leur proposiez de
créer avec vous "La Maison des Faucons" et de vous épargner, en
apprenant à le remplacer, les pertes de temps et les difficultés du
débordement qui privent le monde de tout ce que vous auriez pu donner
(et donner d'abord aux Pèlerins d'Arès). On en a une petite idée quand
on essaie d'extrapoler: "Même tiré à hue et à dia, le frère Michel est
arrivé à faire beaucoup de choses importantes. Que n'aurait-il pas fait
si on l'avait soulagé des corvées?!" En tout cas, c'est ce que je me
dis en frappant ma coulpe. Je crois qu'il n'y a pas d'autre raison au
fait que les Pèlerins d'Arès vous ont fait faux bond que la
superficialité, la futilité, le badinage. C'est un grand mal de notre
époque moderne. On s'engage dans les sentiers rocailleux
d'Arès comme on part en vacances et s'arrête vite, parce qu'on a les pieds écorchés (Rév d'Arès 25/5).
La réponse à tout ça, c'est vous qui la donnez
avec votre bonté et votre indulgence habituelles: Il y a un temps pour tout, comme
dit Qohélet [La Bible].
J'ai
souvent entendu grogner contre la difficulté de lire vos annotations et
commentaires très sérieusement écrits, dont la lecture demande un
effort à notre monde moderne folâtre et paresseux (les oiseaux qui virent et
paillent, Rév d'Arès 13/1).
Je pense que vous avez fait cette fois-ci ce qu'il fallait faire pour
rendre beaucoup plus large la participation à la lecture et à la
compréhension de La
Révélation d'Arès. Il y a deux ans vous m'avez écrit:
"Par manque de patience,
les lecteurs de La
Révélation d'Arès
se réduisent (et encore! quand ils la lisent) à la lecture de la Parole
d'Arès seule, mais comme leur vie spirituelle est fruste, même chez les
mieux semés (Rév d'Arès
5/1, 14/1),
elle ne les nourrit pas suffisamment. Il leur faut pour ça l'engrais de
la page droite [page des commentaires et annotations sur les éditions
précédentes], mais peu d'entre eux y ont recours." C'est à cette
carence que vous vous êtes efforcé de palier. Merci pour tous et merci
pour moi. je ne suis pas, je l'avoue, des derniers à être folâtre et
paresseux.
Je profite de ce commentaire
pour signaler qu'on trouve bien la nouvelle édition de La Révélation d'Arès
2009 dans le site d'Adira, mais pour ça il faut aller à la page
"Commander", ce que beaucoup ne doivent pas faire, puisqu'à la page "La
Révélation d'Arès" la nouvelle édition n'est pas présentée, on
n'imagine pas que le livre peut déjà être commandé. A la page "La
Révélation d'Arès" on ne voit que l'ancienne édition 1989 épuisée. On
se dit: Tiens, Adira ne présente pas encore le livre qu'elle vient
d'éditer.
Guy D.
|
26avr09 95C38
Voilà seulement quatre jours que votre nouvelle entrée du blog 0095,
annonçant la sortie de la nouvelle édition de La Révélation d'Arès,
est publiée et déjà de nombreux et beaux commentaires et toujours vos
éclairantes réponses qui donnent une dimension encore plus grande à
l'événement.
Je sens ce Feu
qui s'intensifie en chacun de nous, impatients de tenir le livre entre
les mains et prêts à aller au charbon pour appeler encore et toujours
ce monde. Ce monde qui nous donne trop souvent le sentiment qu'il est
devenu sourd et aveugle.
C'est donc avec une grande joie et une
grande émotion que j'ai pu commander ce matin la nouvelle édition sur
le site d'Adira. Il manque sur ce site un lien pour préciser
le
nombre d'exemplaires, mais j'ai trouvé la solution en cliquant sur
"Ajouter au caddie" qui crédite de + 1 à chaque "clic".
En commandant les exemplaires, je me disais "Dieu doit être fier du
travail accompli par Son Prophète".
Un
point cependant sur lequel je suis inquiet, j'ai peur que cette
édition, encore plus belle que les précédentes, soit trop rapidement
épuisée. J'espère que vous avez prévu grand !
Philippe C.
|
Réponse
:
Vous me signalez, comme le
commentateur précédent 95C37,
des anomalies dans le site Adira dont le webmaster semble avoir
improvisé au dernier moment la présence nouvelle de La Révélation d'Arès
avec des imperfections probablement dues à la hâte. Je pense que si
Adira, qui avait la possibilité de préparer à l'avance les pages qui
introduisent La
Révélation d'Arès
2009, ne l'a pas fait, c'est parce que, comme moi, son responsable
était débordé par diverses tâches ou bien parce qu'il avait une raison
précise d'attendre.
C'est sûrement une question de jours. Le Salon
du Livre de Genève absorbe beaucoup le président d'Adira et dès sa
fermeture il pourra mettre son site au point. C'est peut-être moi qui
ai péché par précipitation en donnant trop vite l'URL du site d'Adira
dans mon entrée de blog sans l'accord du responsable. C'est donc à moi
de présenter des excuses.
Vous dites "J'espère que vous avez prévu
grand !" Je vous rappelle, comme je l'ai dit dans une de mes
premières réponses, qu'il s'agit pour le moment d'une préédition
destinée à tester cette nouvelle présentation de La Révélation d'Arès auprès
des libraires dès maintenant et des pèlerins à Arès cet été (le
Pèlerinage commence dans moins de deux mois). Le tirage est donc limité
pour le moment.
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26avr09 95C39
La
Révélation d'Arès comme tout livre de la grande Révélation
de Dieu qu'on appelle l'Écriture n'est pas d'une nature spécialement
accueillante et est encore moins facile à lire. Quand elle sera à la
mode, c'est que le monde aura renoncé à beaucoup d'autres modes.
Je
veux dire que c'est tout à votre mérite que de tenter par tous les
moyens d'intéresser le lecteur à un livre qui, par nature, n'est pas
intéressant à notre époque.
Je trouve déjà magnifique qu'il ait
circulé depuis trente-cins ans à plus de 250.000 exemplaires. Certains
disent même 300.000. Je crois que le compte des réimpressions n'a pas
été bien tenu et que c'est le brouillard complet concernant le nombre
de livres donnés ou qui ont circulé par prêt à titre missionnaire, ce
qui fait qu'on n'a aucune idée réelle du "lectorat" comme vous dites.
On sait seulement qu'il est considérable, compte tenu des très faibles
moyens financiers dont vous avez disposé, que vous avez compensé par
une travail acharvé de diffusion, je dirais "de placement" comme
d'autres diraient "de promotion". Les jaloux peuvent dire que vous vous
êtes enrichi avec ce livre, ce qui n'est que calomnie évidente, car un
homme enrichi ne vivrait pas comme vous le faites, très simplement, et
aurait déjà depuis longtemps trouvé un éditeur avide de l'argent que le
livre serait censé rapporter. J'ai eu une conversation il y a environ
cinq ans avec une éditeur qui m'a dit "Ce genre de livre (La Révélation d'Arès)
diffusé pour la foi et non pour le bénéfice n'intéresse pas l'édition
commercaile, parce qu'il n'intéresse aucune revue littéraire ou de
presse sans laquelle aucun livre ne démarre, et parce qu'il ne rapporte
rien à un éditeur, sinon des critiques pour avoir aidé à se répandre
des iédes gênantes."
Les éditeurs ont peur d'éditer un livre qui
va reconfigurer universellement la spiritualité. Ce livre est un
événement spirituel, mais pas un événement d'édition et de librairie.
Il faut tout le courage des Pèlerins d'Arès pour le diffuser. Je leur
tire mon chapeau, parce que je n'ai pas ce courage moi-même, je le
confesse, alors que je souhaite à La
Révélation d'Arès
2009 la plus large diffusion. Je patauge dans ce "marasme" (ce mot est
de vous, dans je ne sais plus quel article du "Pèlerin d'Arès") où
pataugent des milliers qui croient dans La Révélation d'Arès
mais qui ne se désembourbent pas de leur peur ou de leur paresse.
C'est
le livre, selon des mots d'Église, "par lequel le scandale arrive"
(entendu en chaire dans une paroisse de Bretagne). On trouve pourtant
dans vos commentaire une grande fraîcheur critique de la
religion, Église en tête évidemment, mais jamais de méchanceté
critique. Vous tendez les bras à tous. Vous espérez en tout le monde,
pour vous tout le monde a sa place dans le concert de changement. Les
prêtres — et les pasteurs, j'imagine — qui attaquent La Révélation d'Arès
ne devraient pas être fiers des méchancetés qu'ils répandent sur votre
dos, frère Michel, mais ils ne font que suivre les directives données
par leurs diocèses.
Vous avez toujours montré que de La
Révélation d'Arès
naissent de multiples possibles et, sans même l'avoir lu, je pense que
votre nouvelle édition le montre encore mieux. On vous connaît
maintenant assez pour le deviner.
Croquebolle
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26avr09 95C40
Je sais que depuis 1974 beaucoup auraient aimé orienter votre façon de
lire La Révélation
d'Arès
vers leurs façons de la lire. Je me souviens que ces façons de lire
étaient très diverses. Dans les années 80, vous appeliez ça "l'auberge
espagnole où chacun apporte sa religion comme d'autres apportent leur
repas." Mais vous ne vous en êtes pas laissé conter et vous
avez
maintenu le cap, vous avez défendu le sens unique et profond de La Révélation d'Arès
avec une fermeté et une invariabilité qui, finalement bien observées,
se montrent très rare chez un homme de conviction après 35 ans.
Je suis sûr que vous maintenez le cap avec ce livre. Je suis sûr qu'il
ne me décevra pas quand j'aurai l'occasion de la lire.
Robert G.
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26avr09 95C41
Que de bonnes nouvelles, frère Michel !
Vos 80 ans, les locaux d'Arès [renovés et fonctionnalisés] et cette
nouvelle édition, qui déjà porte des
fruits !
Autre bonne nouvelle pour les vieux dont je suis :
Un modèle de pénitence
pour le troisième âge: Remplacer le cercle vicieux "je décline petit à
petit" par le cercle vertueux "il me reste chaque jour un peu moins de
temps, alors j'intensifie mon effort pour répondre à l'appel",
c'est-à-dire Sois un
dans toi ! Élague
pour laisser à tes héritiers l'essentiel, pour tamiser le sable du
monde et de tes propres paroles, pour y
retrouver la Vie (Rév d'Arès 24/4-5).
Élague ton cœur comme Marie
qui a broyé son orgueil (Rév d'Arès 33/14),
comme Élie qui s'est dépouillé de toute ambition, préférant à la splendeur du tombeau que
lui aurait érigé son peuple (2/10) la réduction intérieure
à sa vérité de minuscule créature comblée, un ver infime réchauffé par
l'éclat de Ma Gloire, une poussière portée par Mes Anges dans Mon
Séjour Que ne limite aucune étoile. Élie en a
retiré un privilège, être le
premier échappé à la fosse [la tombe] avant de rejoindre
son Seigneur, Jésus vous confirmant ainsi en 1974 ce que dit de lui la
Bible.
Nous lisons bien "le
premier",
pas le seul. Sa vocation prophétique nous est ouverte, à vous comme à
moi et à tous, même si le monde a besoin de plus de quatre générations (24/2) pour
retrouver cette simplicité de petit
enfant. Vous me direz que Jésus vous a annoncé votre mort: Ta tête reposera sur la dalle
du tombeau, tes fidèles pleureront sur tes mains galacées (24/1),
mais il avait aussi annoncé la ruine de Babylone et Jonas lui en a
voulu de ne pas passer à l'acte. Quand vous parlez de votre avenir avec
vos membres "changés en cadavre", relativisons humblement.
Sur
le problème des catholiques que vous gênez, le contenu anti-théologique
de votre enseignement n'est pas la seule raison de cette gêne. Pour les
Juifs et pour les Musulmans comme pour les Pèlerins d'Arès, Jésus n'est pas Dieu (Rév d'Arès
32/1).
Mais l'Église peut émousser l'éventuelle influence des Juifs ou des
Musulmans sur ses fidèles, parce que judaïsme et islam sont comme le
catholicisme des religions, avec leurs dérives évidentes, leurs
systèmes de pouvoir aussi. L'Église peut se donner l'élégance du
dialogue entre égaux, tempéré en sous-main par d'ecclésiastiques
réserves à l'égard de ceux auxquels Dieu ne se serait pas aussi
pleinement révélé qu'à elle-même.
Avec vous, ce n'est pas
possible. Vous traiter en égal serait vous faire de la publicité et
Arès n'étant pas un système religieux avec les visibles écueils du
nationalisme, de l'intégrisme, du dogmatisme etc., si un cœur est
touché par La
Révélation d'Arès,
il n'est pas protégé du divin par la prévention qu'inspirerait sans
doute un prosélytisme religieux, musulman par exemple. Au total, la
meilleure défense de l'Église contre Arès, c'est de faire le dos rond,
mais c'est frustrant pour elle.
Notre force, c'est donc de
ne pas être une religion, de mettre entre Dieu et les cœurs quelques
paroles et beaucoup d'exemple, mais le moins possible de religion, de
passage obligatoire par nous-mêmes.
François D.
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26avr09 95C42
Mon épouse et moi, apprécions beaucoup cette nouvelle couverture de La Révélation d'Arès.
Nous espérons pouvoir en faire la lecture au plus tôt.
Encore
merci au nom de toute l’humanité (elle ne s’en rendre compte
malheureusement) pour votre persévérance sans faille et votre courage
exemplaire.
Alain J.
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26avr09 95C43
Les libraires, quand ils placent La
Révélation d'Arès
dans le rayon "Religion" reçoivent très vite la visite des
ecclésiastiques du lieu: prêtres, pasteurs, etc., qui leur disent:
"Mettez ÇA ailleurs! ÇA n'a rien à voir avec la religion, rien
à
voir avec la Bible, le Coran, la Baghavad Gita, etc." Alors, les
libraires, ne sachant pas où mettre ce livre inclassable, le mettent au
rayon "Ésotérisme" où on le confond, ce qui le discrédite, avec les
bouquins des illuminés, des charlatans, des sorciers, des druides et
autres "Dialogues avec Dieu" qui constituent une évidente supercherie.
Il faudrait en fait pour La
Révélation d'Arès une place à part.
La
contact de ce livre avec ce que vous appelez "le lectorat" (comme vous
dites) relève d'une chimie mystérieuse. La chimie de la Création
initiale où le Créateur mêle le carbone, l'oxygène et d'autres éléments
et fait surgir la vie, c'est-à-dire quelque chose qui n'a plus rien à
voir avec le carbone et l'oxygène. La
Vie !
La Révélation d'Arès est certainement un Appel solennel à la
pénitence,
dont sort seul le salut, mais c'est aussi autre chose. C'est le cri
déchirant d'un Créateur qui voit sa Création s'enfoncer chaque jour un
peu plus dans la barbarie, que vous avez appelée, je me souviens, au
cours d'une allocution, "la barbarie rustique de la massue devenue la
barbarie du rationalisme, de la science, la barbarie savante." J'avais
noté les mots, mais c'était inutile, je m'en suis toujours souvenu par
cœur.
Les gens ne voient pas la négativité de la religion, de la
politique, de la raison raisonneuse, parce que la religion et la
politique savent habilement leur laisser le petit bonheur auprès de
l'épouse ou du mari avec les chers enfants dans la petite maison, avec
des géraniums aux fenêtres, la maison qu'on paie pendant vingt ans ou
même trente ans (de là la crise...) et que les gens croient que le
bonheur, c'est ça et rien d'autre... Ah si! Une petite retraite!
Les gens ne voient pas
le Fond, ils voient l'ongle du pied mais pas la jambe malade, leur œil mange leur cervelle
(xxxiv/7-9). Au mieux, quand ils ont des doutes sur le
"meilleur des mondes", il sont dans l'indécision. Ils préfèrent ne pas
voir clair.
Les gens pensent ou préfèrent penser (c'est plus confortable) que si la
religion ou la politique ou les deux disent du mal de La Révélation d'Arès
et de son témoin, comment ne pas les croire, eux qui leur donne tant de
bonheur? En effet, quel bonheur donne La Révélation d'Arès?
Elle appelle à la pénitence,
à la tristesse. Pour eux c'est à mourir de rire ou à exploser de colère!
Bref,
les gens ne voient pas qu'ils sont embarqués dans un train qui fonce
tout droit dans le télescopage, tout droit contre le train des malheurs
qui fonce en sens inverse, mais qu'on ne voit pas encore.
Vous, sans créer la panique (ça
les embête que vous ne soyez pas un épouvanteur), mais avec un courage,
une constance et une intelligence
(Rév d'Arès 32/5)
qui doivent finir par méduser... ou horripiler... la religion et la
politique et leurs supports: media, banques, etc., vous continuez de
dire, avec une énouvelle édition de La Révélation d'Arès:
"Non! Attention! Vous voyez la crise qui vous atteint? Qui, de la
religion ou de la politique, eux qui savent tout, vous a prévenus que
cette crise (qui ne fait que commencer) arrivait? Eh bien, La Révélation d'Arès
vous en aurait prévenus si vous l'aviez lue plut tôt. Mais il n'est
jamais trop tard pour ouvrir la porte et voir la Lumière, quatre générations ne
suffiront pas (Rév d'Arès 24/2) pour ça.."
C'est
vrai que l'homme de la rue peut se sentir impuissant face aux courants
du monde, même s'il les devine mauvais, mais vous vous efforcez de le
convaincre que ce que le Créateur suggère à sa créature n'est pas la
mer à boire, c'est simplement l'effort
d'être bon. Je
n'ai pas lu cette nouvelle édition, mais je sais d'avance que c'est ce
qu'elle dit. Ma curiosité porte seulement sur la façon dont vous le
dites cette fois.
Paul-Émile
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27avr09 95C44
Je vous lis et je me nourris régulièrement de vos écrits et notamment
par votre blog.
Quelle belle réalisation et je m'associe de tout cœur, touché par
l'émotion, à la joie et au bonheur de mes frères et sœurs.
Le Souffle
qui vous anime à un âge qui est synonyme de repos vous permet un
travail de géant, que vous nous livrez.
Votre
force de l'exemple, qui soulève les montagnes de l'individualisme, du
mensonge, de l'hypocrisie, vont nous permettre de nous dépasser chaque
jour un peu plus.
Merci pour tout cela et, surtout, merci d'avoir dit oui à l'Appel du
Créateur, sans vous dérober, quoique pas sans souffrance.
Il vous a fallu et il vous faut encore affronter les incrédules et les moqueurs,
les discuteurs (Rév d'Arès2/17) et les persifleurs.
Vos réponses pleines d'amour sont pour moi des leçons et un bel enseignement.
Ce
pèlerinage qui approche va revêtir un aspect particulier puisque nous
pourrons y voir entre autres travaux finis l'exposition de la tournette [le pied de fer qui
va sur le papier, la machine à imprimer, Rév d'Arès xxxvi/7-9]
d'où est sorti de vos mains le
bon livre (i/11) et la nouvelle édition d'un bel aspect
coloré et lumineux.
D'en découvrir l'intérieur je m'en réjouis d'avance, avec l'envie de le
faire partager avec le monde !
Claude B.
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Réponse
:
Merci pour ces chaleureuses
paroles qui me vont droit au cœur de la part d'un frères parmi les
grands anciens.
Mais je me permets une petite rectification: C'est d'une imprimerie
suisse, mais non de la machine à imprimer, la tournette, sur
laquelle j'ai travaillé de 1978 à 1993, qu'est sortie "la nouvelle
édition d'un bel aspect coloré et lumineux".
Cette
machine, qui ne fonctionne plus depuis les années 90, reste dans les
locaux du Pèlerinage comme souvenir insigne du défi qu'il me fallut
lancer au monde pour que la Parole de Dieu ne reste pas lettre morte.
Dieu
s'était révélé dans la Maison de la Sainte Parole, où aujourd'hui
prient les pèlerins, et c'est à vingt-cinq mètres à l'Ouest du lieu
même où s'était dressé le bâton de lumire d'où était sortie la Voix du
Créateur que je dus installer les machines (photogravure, offset format
94x70, massicot, plieuse à poches 32 pages, relieuse) d'où sortit,
noire sur blanc, La
Révélation d'Arès que
47 éditeurs m'avait refusée. De tout ce matériel L'Œuvre du
Pèlerinage d'Arès a gardé la machine offset une "Parva" Roland), parce
que c'est grâce à elle que je conjurai le mauvais sort, le silence,
auquel le monde sourd et résistant voulait vouer mon témoignage. Cette
machine mérite sa place sur ce lieu de prière et de méditation. Elle
restera pour la postérité à l'endroit même où la Parole est venue du
Ciel et d'où elle est repartie, sur le papier, vers les monde. Oui,
c'est tout le symbole permanent du défi de Dieu aux hommes sourds. Je
n'étais, moi, que le petit témoin
et le petit ouvrier
sans mérites d'un événement immense.
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27avr09 95C45
Ce
message pour vous informer que le Salon International du Livre et de la
Presse de Genève s’est terminé hier soir, dimanche 26 avril à 19h.
C’est un succès pour la nouvelle édition de La Révélation d’Arès
puisque nous avons reçu énormément de commentaires positifs sur le
stand et vendu qauatre fois plus de livres cette année que les années
précédentes; Ceci malgré la crise que traverse le livre et l’édition et
malgré la crise économique.
Et bien sûr, je profite de ce message pour remercier, frère Michel,
très chaleureusement pour le travail de géant (Rév d'Arès 31/6)
réalisé durant 2 ans pour donner à la Parole d'Arès une nouvelle
expression sans en modifier le sens.
Je
profite également du présent commentaire pour, remercier les frères et
sœurs de l’assemblée de Genève qui ont participé au Salon du Livre et
plus particulièrement Nicole, Karin, Frédéric et Bernard, sans qui
notre participation à ce salon n’aurait pas été possible.
Concernant le site Adira: http://www.adira.net
c’est par choix et par prudence
que La Révélation
d’Arès, édition 2009, n’a pas été présentée sur ce site le
jour de l’ouverture du Salon du Livre le mercredi 22 avril.
En
effet, ni l’imprimeur ni le relieur ne pouvaient garantir la livraison
de la totalité de la commande le 22 avril. Ils pouvaient seulement
garantir un lot de quelques centaines de livres pour nous permettre de
présenter l'ouvrage au Salon et d'en fournir tout de quite à quelques
grosses librairies. En fait, la livraison a porté sur une quantité
beaucoup plus importante, mais c'était inespéré. Merci à l'imprimeur et
au relieur pour l'effort exceptionnel qu'ils ont consenti. Il est
certain qu'en France avec la loi des 35 heures, l'imprimerie et
l'atelier de reliure n'auraient pas pu travailler la nuit, si
nécessaire.
Bien que tout fût prêt pour annoncer la nouvelle
édition sur le site internet d’Adira, j’ai choisi de n’activer que la
rubrique "Commande du livre" sans présentation particulière
de
l'ouvrage à la page "La Révélation d'Arès". Je ne pouvais de toute
façon pas faire face à la fois au Salon du Livre et de la Presse de
Genève et aux commandes par l'Internet. C'était l'encombrement complet.
Toutefois,
la nouvelle édition était déjà répertoriée et disponible à la commande
depuis mercredi 22 avril dans un certain nombre de librairies à travers
la France et dès aujourd’hui dans pratiquement toutes les bonnes
librairies de Suisse et de France (et dans quelques jours dans les
librairies de Belgique et du Luxembourg).
Pour nous faciliter la
diffusion je demande à tous ceux qui souhaitent se procurer La Révélation d'Arès, édition
2009, de la commander en librairie.
Dominique, ADIRA (Association pour la Diffusion Internationale de La
Révélation d'Arès), Genève
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27avr09 95C46
Frère Michel à l'heure où je vous écris je suis en train de lire la
nouvelle édition de La
Révélation d'Arès reçue ce matin dans notre boîte aux
lettres.
Elle se lit comme on boirait du petit lait.
Tout
ce que j'ai lu pour l'instant est limpide et sans ambiguïté.
L'introduction donne vraiment envie d'entrer dans le vif du sujet.
J'apprécie particulièrement le langage simple que vous avez choisi pour
cette édition. Je suis convaincu que n'importe qui peut la lire et la
comprendre.
À mes yeux vous avez trouvé un langage universel et jeune.
J'ai aussi l'impression que vous avez orienté vos annotations vers un
aspect "pratique" plus marqué, accomplissement
oblige, mais peut être aussi pour éviter qu'on fasse de la théologie à
l'avenir — Corrigez moi si je me trompe !
Très pratiques également les titres en gras qui viennent
entrecouper les versets. Ils aident beaucoup à comprendre le sens
général.
Et en plus le livre est très beau.
Félicitations Mikal, vous nous avez tellement tout dit et tout écrit
que, même si les docteurs
se lèvent de bonne heure, je ne les imaginent pas réussir à faire de la
Parole un prêchi prêcha sans queue ni tête.
Le Père nous a vraiment donné un prophète qui assure grave !
Alelouya et en route pour le carton!
Fabrice C.
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27avr09 95C47
Avec des annotations courtes et simples, tout ce qui est
caractéristique de La
Révélation d'Arès
saute aux yeux: Une Parole clairement étrangère à la religion comme à
la politique, à l'esprit dogmatique ou idéologique, axée sur
les œuvres et non sur les déclarations de foi ou plutôt qui
fait
des œuvres, pénitence
en
tête, les seules vraies déclarations de foi. Et vous dites tout ça très
simplement sans méchanceté en direction des personnes qui ne croient
pas ce que vous croyez.
C'est clair, net et précis, et pas
encombrant. Ce livre assez plat s'ajoute sans problème au fouillis qui
remplit déjà mon petit tiroir de table de nuit. Je comprends que vous
n'ayez pas pu lui donner le format "poche" [95C21], les annotations
sont bien lisibles, même imprimées en gris apparemment, mais si plus
petites, ce serait un handicap pour certains.
Pas de doute, on
sent un livre longuement étudié. Il n'enlève rien à la Parole, il lui
fait honneur, tout en la rangeant dans si peu de place et en l'adaptant
à des regards profanes sans jamais rationaliser.
Comme disait mon grand-père. Il y a trois secrets de la réussite: Le
travail, le travail et le travail.
Dieu vous bénisse, prophète!
Bernardine
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27avr09 95C48
Je viens de lire La
Révélation d'Arès 2009 pour ainsi dire par-dessus l'épaule
d'un ami (un seul exemplaire, on se l'arrache!)
Ce
n'est pas un ouvrage pour experts. C'est un ouvrage pour un croyant peu
raffiné comme moi, mais quand même pas ce que j'appelerais un livre de
vulgarisation. Il ne désacralise pas le texte et je dirais même: Au
contraire, il en fait ressortir la nature surnaturelle. Il n'est pas
conçu pour séduire les athées et les sceptiques.
Comme croyant je
manque de profondeur, je suis un mauvais Pèlerin d'Arès, mais par
formation je sais reconnaître l'intention qu'un auteur met dans la
composition de son ouvrage.
Le texte de la Parole étant de toute
façon difficile d'accès pour le profane, vous n'avez pas cherché à
séduire celui-là. Vous avez étudié ce livre pour le Champ, pour le
"beau blé" comme je vous ai entendu dire, pour le terrain humain sur
lequel est passé le
Semeur (Rév d'Arès 5/1),
mais c'est pour le "beau blé" vert, l'inconscient spirituel collectif,
si je peux dire, pour l'aider à reconnaître ses racines et à mûrir.
Vous restez bien dans le cadre de la Moisson à laquelle
vous avez été envoyé
(31/6).
Le
texte de la Parole étant de toute façon difficile, vous avez pensé à
plusieurs clés de lecture et on devine une clé de lecture
supplémentaire qui pourrait en appendice prendre place dans
une
future édition étoffée: les annotations développées des éditions 1989
ou 1995 et un index.
Mais tel qu'il est, le livre offre trois clés
de lecture, qui permettent plusieurs approches immédiates: Les titres
intermédiaires dans les Veillées et les Chapitres, les annotations en
marge qui précisent le sens des versets partout où c'est nécessaire et
qui renvoient à d'autres références avec une remarquable concision, et
des encadrés gris où se logent des indications historiques ou
générales. L'essentiel y est.
C'est court, mais vous n'avez pas trahi ce que vous appelez votre
devoir d'explication.
Je ne peux pas dire que je redécouvre La Révélation d'Arès
sous un jour neuf. J'y retrouve bien le sens qu'elle a d'un bout à
l'autre, mais les raccourcis permettent de mieux saisir des points que
les notes [des éditions] précédentes plus élaborées et étendues
n'encerclaient pas d'un coup, comme par exemple l'englobement très
important dans La
Révélation d'Arès de tous les pouvoirs désignés par princes du culte;
les princes du culte religieux comme les princes du culte politique,
les princes du culte financier, les princes du culte scientifique, etc.
Je
me souviens, à l'issue du Pèlerinage 2006, quand vous aviez déjà ce
projet en tête, vous m'aviez intercepté à la sortie pour me dire que
vous alliez vous attaquer à un travail de dépouillement auquel vous ne
vous sentiez pas destiné par vocation prophétique, qui est une
"vocation d'explication", parce que vous ne devez pas vous lasser de parler
et de parler toujours au monde. Vous m'avez dit: "Ma tendance est à la
thèse, pas au résumé. J'aurais besoin de votre secours, parce que vous
êtes un spécialiste des textes grand public." Et je vous avais répondu
que je verrais et, j'en ai honte, je ne vous ai plus donné signe de
vie. Mais je vois que vous vous en êtes très bien tiré tout seul. et
sûrement mieux que je ne l'aurais fait. Je m'absous en pensant qu'Aghéla [Rév d'Arès xxxi/13]
était mieux placé que moi pour vous aider.
André Maurice
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27avr09 95C49
Votre
belle nouvelle édition de La Révélation d'Arès montre à tous, par
rapport aux précédentes (l'Intégrale, 1987 et 1989, et la bilingue,
1995) que l'homme peut changer
dans ce sens où vous nous donnez un livre qui va devenir populaire.
Les
précédentes n'étaient pas faciles à lire pour ceux qui lisent
peu, mais celle-ci, d'après ce que nous dites, deviendra facile à
lire, à l'image de beaucoup de propos du Coran où Le Père dit
qu'Il facilite la vie aux hommes lorsqu'ils L'écoutent.
Que l'homme peut changer,
cette vérité dont il est si difficile de persuader beaucoup de
personnes rencontrées dans la mission... et d'ailleurs nous-mêmes
aussi. Il faut recommencer chaque jour et on progresse lentement.
Vous prouvez que l'homme peut changer,
vous, un frère, mais
La
Révélation d'Arès insiste sur la nécessité d'un petit reste et
[en arrière-plan] d'un reste
de frères humains, qui doivent être suffisamment importants en
nombre pour que le
monde change (Rév d'Arès 28/7).
Alors,
est-ce que, depuis les premiers pèlerins d'Arès, est-ce que le monde
peut dire aujourd'hui: "Ces hommes, ces quelques milliers, nous
montrent qu'ils sont capables de se changer" ? Peut-être.
Et
là je reviens un instant sur votre blog précédent "Quand
l'incroyable devient le nécessaire", que la crise va donner à certains
ou à beaucoup, touchés par les malheurs matériels qu'on voit tous les
jours, et inévitables actuellement, le désir de creuser plus
profondément les causes de ces malheurs pour en sortir: mais cette fois
il ne faut pas que ce ne soit comme dans les années 1940, où cela a
débouché seulement sur un progrés social, la fameuse Sécurité Sociale,
en tous cas en France, mais il faut que cela aille jusqu'à des
interrogations spirituelles. Si c'est le cas, tant mieux!
Merci encore pour tout votre immense travail.
Jean-Claude C.
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30avr09 95C50
J'ai pris connaissance hier soir de la nouvelle édition 2009 de La Révélation d'Arès.
Moi qui rêvais d'une édition de poche depuis longtemps, je vous dis que
c'est loin devant mes espérances.
Mais bien au-delà de la praticabilité. Ce que j'ai ressenti très
rapidement, c'est sa fluidité.
Vraiment, j'avais la sensation que le livre allait me couler des mains,
comme s'il partait irrésistiblement vers d'autres mains.
Il va circuler comme l'Eau.
Oui, la pierre de feu
coule... couvre
la terre (L/6), définitivement !
La mission n'est pas facile mais nous sentons bien à quel point nous
sommes portés.
Louange à Dieu, merci à son prophète !
P. B.
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30avr09 95C51
Trois évènements majeurs pour cette année 2009 !
Événements qui nous projettent vers l'avenir comme toute La Révélation
d'Arès !
Événements par lesquels beaucoup d'hommes et de femmes
percevront les lueurs d'un monde
qui change (Rév d'Arès 28/7)
J.-C. D.
|
30ave09 95C52
J'ai découvert la nouvelle édition 2009 de La Révélation d'Arès.
Rien de particulier à signaler. En toute simplicité, je dirais que je
trouve le résultat obtenu
Magnifique, Superbe, Remarquable, Extraordinaire, Enthousiasmant...
Je m'arrête là.
Je continue de ne pas bien comprendre pourquoi vous avez dit qu'un
frère aurait pu se charger de ce travail ?
Je me suis dit qu'après tout, c'est vrai que moi j'aurais pu le
faire... avec 50 ans de pénitence
de plus et en y travaillant plein temps pendant 10 ans de
plus. À moins que vous n'ayez pensé à un frère qui existe
quelque part, mais que personne ne connaît, ou peut-être qui n'est pas
encore né ?
Et
en admettant qu'un frère s'en soit chargé aussi bien que vous,
imaginons les réactions : "Mais qu'est-ce que c'est que ça, rajouter de
la parole d'homme (Rév
d'Arès 16/12, xix/9-10) dans le texte, c'est un sacrilège
!
Et
puis ce logo, [les réactions seraient]: "On n'a jamais vu un truc comme
ça. Ça ne ressemble à rien et puis ces annotations, pourquoi elles sont
si petites et pourquoi y'a plus d'introduction et qu'est-ce que c'est
que cette couverture ?"
Le pauvre frère en aurait bavé, je suis content pour lui qu'il ait
échappé à ça.
En tout cas, reconnaissance éternelle, merci, bravo.
Patrick B.
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30ave09 95C53
J'ai passé une partie de la nuit à lire cette nouvelle édition 2009 de La Révélation d'Arès.
Je
suis franc: Je ne l'aime pas du tout. Je regrette les éditions à
annotations développées, surtout l'édition 1995, dite "bilingue". C'est
avec cette édition que j'ai découvert le sens profond de La Révélation d'Arès
et c'est elle, malgé son encombrement important, que je continuerai à
lire et à étudier.
Vous
me direz: "Mais cette édition à annotations développées et annexes
nombreuses et intégrales existe toujours. N'importe qui peut la
commander chez Adira. L'édition 2009 est une édition d'accroche."
Justement, c'est bien ce qu'on
peut lui reprocher. La
Révélation d'Arès dit: Tu veilleras à ce qu'on répande
mon Enseignement pour nourir, mais non pour séduire (20/2). Et
là vous montrez le mauvais exemple d'un livre fait pour plaire, pour séduire, en
résumé, pour accrocher..
Sans
vous vouloir de mal, frère Michel, car je crois que vos intentions sont
toujours pures et vraiment apostoliques, je souhaite dans votre intérêt
et dans l'intérêt des Pèlerins d'Arès, dont je suis, que cette édition
soit un flop [mot anglais pour échec, four, bide].
Arsène
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Réponse
:
Vous n'êtes pas le seul à me
dire ses regrets que dans la nouvelle édition 2009 de La Révélation d'Arès
les abondantes annotations et annexes (liminaires, préfaces, récits,
etc.) aient disparu au profit de notes courtes, vite lues. J'ai déjà
reçu nombre de regrets similaires. Je m'y attendais de la part de
beaucoup de mes vieux frères.
Vous avez sur la
plupart d'entre eux la supériorité de comprendre qu'il s'agit en fait
de deux objectifs différents: L'édition 1995 pour létude, toujours
disponible, et l'édition 2009 pour "l'accroche", mot que vous utilisez
par erreur dans le sens préjoratif de séduction (Rév d'Arès 20/2).
Il ne s'agit pas ici de séduire.
Il s'agit seulement de permettre à des âmes potentielles
dormant dans les sillons de
chair et d'esprit (Rév d'Arès 17/7) du Champ de Dieu de
se réveiller sous la pluie légère d'une Parole mince et
rafraîchissante au lieu de s'enfouir davantage dans l'obscurité du sol
sous l'averse torentielle d'une Parole
alourdie par des commentaires juste mais trop bavards. Cette Parole
lourde, à notre époque de frivolité, ne peut que faire germer les semailles faites (Rév d'Arès
14/1) sur des Champs
humains ayant déjà une soif caractéristique du Tout Autre, mais ces
humains qui ont soif sont de plus en plus rares et, inversement, le mal
les menace de plus en plus.
J'adapte ma mission prophétique, comme le Père m'en a laissé la
prérogative — Tu tiens
la perche, tu la coupes longue ou courte (xx/6)
— aux nécessités du temps. Un tiers de siècle a passé depuis le début
de l'ère arésienne et la capacité d'écoute et de compréhension du
public s'est considérablement réduite. Je dois en tenir compte. C'est
ma mission même.
Au reste, une édition faite
pour séduire
aurait promis monts et merveilles aux lecteurs de La Révélation d'Arès.
Or, si vous avez bien lu, vous avez constaté que je n'ai rien changé à
la nature de la foi arésienne qui est une foi d'effort, de pénitence.
L'édition 2009 aide seulement à mieux comprendre, sinon à comprendre
tout court, le grand Message d'Arès.
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30ave09 95C54
Je me joins
chaque jour, avec bonheur, à vous Frère Michel, et à mes frères et
sœurs, sur votre blog, et je savoure cette belle émotion qui m'envahit
quand vous partagez avec nous tous, cette immense Espérance et cet
amour d'une force paisible et rayonnante .
Un grand merci.
La
Révélation d'Arès, je pressens l'aide précieuse qu'elle
m'apportera dans ma pénitence
et ma moisson.
Encore
un grand merci, frère Michel, pour ce que vous êtes et ce que vous
faites et merci à nos sœurs et frères suisses pour leurs actions
exemplaires.
Claudine F.
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30avr09 95C55
La source de
l’espérance et de l’évolution spirituelles des siècles à venir dans 310
centimètres cubes et 237 grammes de papier! C’est un miracle de la
co-création, quand l’homme accomplit la Parole et que Dieu met Son Bras au bout du bras
d’homme (Rév d’Arès xxx/6).
Après la prise de conscience nécessaire des risques considérables qui
pèsent sur notre mission et sur la vie spirituelle et physique de
l’humanité, ces victoires de l’intelligence
sur la bêtise et la peur et de la force de Vie sur les fragilités de la
chair (votre capacité et votre excellence de travail à votre âge sont
très supérieures à ce que beaucoup d’entre nous sont capables de faire)
sont une démonstration claire de la reconquête possible par l’homme de
sa divinité.
[...]
Je voulais aborder ici un autre point de
votre entrée qui nous tient tous à cœur: Votre prochain anniversaire et
vos années à venir. Vous parlez de vos 80 ans comme d’une rareté au
regard de votre génération, mais si l’on considère "l'enthousiasme et
l'entrain" qui vous habitent et qui vous habiteront certainement
jusqu’au bout, cette rareté vous caractérise probablement, toutes
générations confondues.
Or, je pense à cette Parole de la Bible: Le Seigneur dit: "Mon
Esprit ne dirigera pas toujours l’homme, étant donné ses erreurs: il
n’est que chair et ses jours seront de 120 ans (Genèse 6/3)."
Cela se passait avant le déluge et le constat de Dieu se pose sur un
peuple qui ne s’oriente pas vers le Bien, mais dont
l’espérance de vie dépassait pourtant de loin la nôtre.
Vous qui, depuis trente-cinq ans, avez mis vos pas dans les pas de Dieu
(Rév d’Arès 2/12)
ne serait-il pas de bonne logique spirituelle que votre vie se prolonge
jusqu’à l'âge auquel mourut Moïse que sa vitalité n’avait pas quitté
(Deutéronome 34,/7) ?
Je ne sais pas s’il est correct d’aborder le sujet de cette manière — qu’on ne sonde pas Mes Desseins
(Rév d’Arès 36/8)! — ,
mais je voudrais juste dire que je vous souhaite du fond du cœur la
même longévité et santé qu’à Moïse, peut-être autant pour vous que pour
nous, d’ailleurs.
Compte tenu de ce que vous avez été capable
d’accomplir en trente ans, que ne pourriez-vous réaliser si vous
disposiez de 40 années supplémentaires ! Avec l’aide peut-être
d’une assemblée
qui
apprendrait à vous assister par un travail "patient, persévérant et
modeste", comme savent le faire des frères et sœurs de Suisse.
C’est peut-être folie de rêver ainsi, mais n’est-ce pas aussi une
espérance spirituelle légitime ?
De tout mon amour fraternel, je souhaite qu’il vous soit accordé une
très longue vie, frère Michel, une vie passée à donner la Vie (Rév d’Arès
xix/26).
D. Faber
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30avr09 95C56
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Réponse
:
Ces images m'ont été adressées
dans la boîte des
commentaires par une sœur des Alpes agissant au nom d'un de nos frères
pami les anciens de l'assemblée, habitant dans les Hautes Alpes.
C'est
avec une émotion immense que je vois réapparaître ici ce frère, artiste
de peintre de grand talent, que la maladie a terriblement éprouvé, mais
qui travaille toujours, à ce que je vois, avec la précision du graveur
sur acier qu'il fut de formation.
Je vous adresse, mon frère
Marc, mon salut fraternel très ému.
Je ne vous ai jamais oublié
dans mes pensées. J'ai de loin chaque jour prié avec vous.
Je
crois comprendre que vous avez voulu ici reproduire le Jésus qui
m'apparut en 1974. Il y a de cela dans les proportions générales du
visage, mais le Jésus qui m'apparut et me parla en 1974 était tout à la
fois moins beau, je veux dire plus rude de traits, plus oriental et
plus noble. Son regard n'avait pas cette fixité iconographique. Il
était très vivant.
Si ces indications peuvent vous servir pour une œuvre future...
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30avr09 95C57
Hier, j'ai eu la nouvelle édition de La Révélation d'Arès
que m'a offerte notre sœur N. P.
Il
n'y avait que vous pour faire un travail aussi beau. L'introduction:
simple et nouvel enrichissement, ou vous utilisez le "tu" qui touche
directement au cœur, qui parle.
Votre pensée prophétique, votre
plume à la fois souple, pénétrante, spirituelle, fécondatrice, me porte.
Cette
nouvelle édition est d'une grande fraicheur, la mise en page simple,
facile de lecture, les nouvelles annotations sont enrichissement
permanent de connaissance.
Didier Br.
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01mai09 95C58
J’en ai les larmes aux yeux.
Je ne crois pas avoir déjà été aussi impatiente. Cette nouvelle
édition… Je l’aurai attendue !
En effet, je l’attendais pour faire découvrir le Message à mon copain,
très intéressé par la foi arésienne.
J’estime
que l’ancienne édition est trop dure pour lui, il a beau avoir
[quelques années de plus que moi], il n’aime pas lire ! Voilà pourquoi
j’attendais cette nouvelle édition avec une impatience sans précédent.
Je voulais aussi vous demander, prophète
bien aimé, il se trouve que j’écris en ce moment un paragraphe
argumenté sur l’entrée de la Turquie dans l’Europe, et j’aimerais avoir
votre avis sur la question, serait-il donc possible que vous écriviiez
un article dessus ? Merci d’avance.
Sacha
|
Réponse
:
Moi aussi je suis ému en vous
lisant, parce que j'ai beaucoup pensé à la jeunesse en préparant cette
nouvelle édition de La
Révélation d'Arès.
Je publie votre commentaire parmi d'autres commentaires de jeunes que
je ne peux pas tous poster ici, faute de place et au risque de rendre
cette page de commentaires trop longue, trop abondante, trop répétitive
aussi.
Concernant l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne,
c'est de la politique et de l'économie pures et simples et je ne
souhaite aborder la politique et l'économie que sur des sujets
conduisant à une réflexion spirituelle spécifique. Or, concernant la
Turquie, je ne crois pas que l'Islam qui est sa religion soit le
problème principal qu'elle pose dans l'éventualité de son entrée dans
l'Europe. Il y a en Europe d'autres pays musulmans, comme la Bosnie,
qui ne posent pas de problèmes d'éthique européenne.
Ce
n'est pas manquer d'amour pour l'humanité hors Europe que de mettre de
la sagesse, c'est-à-dire du temps et de la réflexion dans la gestion de
la communauté humaine. Par exemple, le Khurdistan Turc crée un lien de
telle importance avec le Khurdistan Irakien et le Khurdistan Iranien
qu'introduire trop tôt la Turquie dans l'Europe est sans aucun doute
introduire l'Asie en Europe. Par le canal du Khurdistan Turc toute
l'Asie va déferler sur l'Europe. C'est un canal incontrôlable, parce
que la Turquie elle-même ne le contrôle pas. C'est dépasser trop tôt le
projet Europe qui n'a pas la possibilité d'accueillir toute la misère
du monde. Il faut de la sagesse.
J'ignore si, outre le retard
économique de la Turquie et le poids financier qu'elle va faire peser
sur l'Europe que celle-ci risque de ne pas pouvoir assumer, le problème
du Khurdistan est un des gros points d'hésitation sur le projet, mais à
mes yeux, c'est le point d'hésitation n°1 et je comprendrais que les
hommes qui y réfléchissent y réfléchissent en profondeur. Il ne faut
rien faire à la légère dans ce domaine. Aimer les hommes, c'est comme
aimer les enfants, c'est aussi les aider à se changer
et attendre quand il le faut. On ne comble pas en quelques années ou
même quelques décennies des abîmes qui se sont creusés au cours des
siècles.
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01mai09 95C59
La
Révélation d'Arès
est un livre moisi que vous avez essayé de passer à l'eau de javel,
mais la moisissure réapparaît très bien sous votre travail. J'ai très
bien vu ça dans le bouquin que ma fille X. a laissé traîner. C'est un
livre pour les cons comme la Bible et, je suppose, le Coran (Je n'ai
jamais ouvert ce missel pour [mot illisible] envoûtés qui prient le cul
en l'air au lieu de s'écorcher les genoux sur des prie-dieu).
Comment au XXe siècle [ou plutôt XXIe siècle?] peut-on encore
s'attarder à ces conneries?
La Constitution prévoit la liberté de conscience, mais la liberté de
connerie?
C'est
vous l'homme au regard de futurologue sur la couverture? Vous scrutez
l'horizon de la connerie. Je ne comprends pas qu'une culture pareille
se développe encore dans la bouquinosphère [mot probable].
J'ai
pris des renseignements sur vous. On m'a dit: "Aucune contravention à
la Loi n'a été relevée chez Michel Potay depuis 1974." Bon, mais la
contravention au bon sens et à l'honnêteté morale? Et puis avant 1974
combien de "contraventions à la Loi" avez vous commises?
Vous
éditez un blog dont la portée contestatrice est sûrement importante,
mais vous êtes assez malin pour ne publiez que les louanges. Vous ne
publierez sûrement pas ce commentaire.
Remarquez, ce
n'est pas la peine de criez "Crevez tous, charlatans des âmes, qui
amputez vos victimes de leur raison!" parce que votre bouquin, la
soit-disant Révélation
d'Arès,
est un réquisitoire contre la religion, qui vous le rend bien. Un jour,
je revenais de la teinturerie en portant à bout de bras des cintres
avec des fringues pour ma femme et je passais devant l'église au moment
où le curé sortait. "Dites-moi, Monsieur le Curé," je lui ai dit,
"Qu'est-ce que vous pensez de La
Révélation d'Arès?
Si vous connaissez..." Les fringues pesaient et mon bras peinait, mais
ça valait la peine. Il connaissait! Il me dit: "C'est un pâle pillage
de la Bible (pillage, je crois était le mot), un mensonge qui a sa
vogue, mais ça ne durera pas." Je lui dis: "Peut-être, mais en
attendant ça duuuuuure. Ma fille est complètement envoûtée. Et vous, ça
fait combien de temps que ça dure?" Il a compris que je le chambrais.
Il est parti, le cul serré. Vous vous dévorez entre vous! Pas la peine
de vous descendre, vous vous descendez entre vous.
Badiou
|
Réponse
:
Non seulement je publie votre
commentaire, mais j'en ai
même corrigé les innombrables fautes d'orthographe et de français (j'ai
remplacé récusatoires, qui n'est pas français, par contestatrice,
était-ce bien que vous vouliez dire?) pour que les visiteurs de ce blog
vous lisent clairement.
Contrairement à ce que vous croyez j'ai de
moins en moins de commentaires négatifs comme le vôtre. Sa rareté fait
que je peux vous donner une bonne place dans cette page de commentaires
comme la femme à barbe ou le veau à deux têtes de la Foire du Trône (si
une baraque leur est encore consacrée au XXIe siècle). Chacun
appréciera votre rare finesse d'esprit.
Je ne sais pas qui est votre fille, mais je rends hommage à son
courage. J'imagine que vous ne la ménagez pas.
Ah,
j'allais oublier: "Avant 1974 combien de "contraventions à la Loi"
ai-je commises?" Aucune. J'ai toujours été "assez malin" pour échapper
à la loi depuis ma naissance. Mon casier judiciaire est absolument
vierge.
Ça vous la coupe, hein, de la part d'un con?! Je vous
pardonne et vraiment sans difficulté, je vous pardonne en riant même un
bon coup. Salut et à la prochaine !
|
01mai09 95C60
Je viens de lire de larges passages de La Révélation d'Arès
2009 dans une librairie de Paris. Je ne connaissais pas.
En cherchant sur l'Internet j'ai trouvé votre blog. Le n°0095 parle
justement de ce livre.
La
Révélation d'Arès c'est le Mai 68 de la grande république
humaine, en somme. La révolution de l'âme.
Rentré
chez moi, j'ai regretté de ne pas l'avoir acheté. J'ai replongé dans le
métro pour retourner à la librairie, mais ils n'avaient déjà plus La Révélation d'Arès
en rayon. Je vous la commande [...]
Ludovic T.
|
Réponse
:
Je ne commercialise plus La Révélation d'Arès.
C'est notre association ADIRA (Association pour le Diffusion
Internationale de La Révélation d'Arès, http://www.adira.net/)
qui s'en
charge, qui procède notamment à la distribution chez les libraires. Je
pense que le mieux est de la commandez en librairie.
Je ne crois pas du tout que "l'insurgeance" qu'élèvent contre le
système La Révélation
d'Arès
et la révolution dite de Mai 68 soient de même ordre. S'il y a
certaines similitudes dans la préconisation de la fin de
l'autorité et du système, de la fin du politiquement et de
l'intellectuellement correct, il n'y a pas de similitudes dans
d'autres grandes mises en doute, la mise en doute de la
vertu,
des valeur travail et spirituelles, dans la tendance au chacun pour soi
et au cynisme, peut-être dans un mépris de l'humanisme, que j'avais
pour ma part senti à l'époque.
Ce dont Mai 68
manquait dans sa logique, c'est d'un moteur, d'une plate-forme active.
Mai 68 tendait même à dépolitiser plus encore qu'à critiquer la
politique. C'est pourquoi, selon mon sentiment du moins, il y avait là
une tentation de nihilisme qui ne pouvait aboutir à rien, sinon à une
critique à l'infini.
La
Révélation d'Arès lance, au contraire, un moteur
extrêmement puissant qui, si l'homme l'adopte, peut renverser tout le
sytème, c'est la pénitence.
L'homme absolument bon
devient absolument libre,
il n'a plus besoin de système, plus besoin de religion ou de politique,
que La Révélation d'Arès
assimile à une religion. Mai 68 ne préconisait aucun
moteur équivalent. La contestation préconisée par Mai 68
n'avait
pas de moteur civilisateur, qui dans la Parole d'Arès est le changement de soi (Rév d'Arès
30/11) qui, par multiplication, aboutit au changement du monde
(28/7).
On pourrait aller beaucoup plus
loin dans les comparaisons, mais ce n'est pas l'endroit ici pour un tel
développement.
|
01mai09 95C61
Tout homme qui a un fond de croyance ne peut qu'être touché par La Révélation d'Arès
et, à plus forte raison, par cette présentation 2009 de La Révélation d'Arès,
parce que quand on n'a plus qu'un fond de croyance, on a la paresse de
lire des textes spirituels. Ici tout se lit facilement. Enfin, pas trop
difficilement.
Quand on n'a qu'un fond de croyance, on est bien en peine de donner un
contenu précis à sa foi vague, mais La Révélation d'Arès
y aide puissamment. C'est son génie, que vous avez très bien su
circonscrire dans des notes simples et brèves.
Y
a-t-il une école arésienne comme il y a une école biblique ou une école
coranique? Je sens que vous n'aimeriez pas cette question, parce
qu'elle pousse à réduire ces Écritures à leurs origines
linguistiques (hébreu, grec, arabe, français), alors que pour vous il
est clair qu'il n'existe qu'une seule Parole.
Pourtant, je crois
pour ma part que naît une école arésienne et que vous en êtes le
promoteur inconscient. C'est encore plus sensible dans cette édition
2009. Il y a dans ce livre une subjectivité cachée derrière les mots,
qui fait qu'il ne ressemble à rien d'autre. Dans la librairie où on le
découvre, des quantités de livres: romans, essais, études, manuels,
etc., se ressemblent. La subjectivité singulière de cette édition 2009
ne ressemble à rien. Vous avez produit un ouvrage unique en son genre.
Si on ne le lit pas, on ne trouvera rien, absolument rien d'équivalent.
On passera à côté de l'histoire spirituelle.
Je n'ai jamais aussi bien
compris ce que Dieu voulait dire par parole de Mikal Ma Parole (Rév
d'Arès i/12).
Gilbert S.
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01mai09 95C62
J’ai découvert hier la nouvelle édition de La Révélation d’Arès
venue de Suisse, avec beaucoup d’émotion.
J’ai aimé la nouvelle couverture et j’ai découvert le fond bronze
(métallisé) qui ne se devine pas sur la photo de votre entrée.
J’ai
aimé l’introduction courte, réduite à 7 pages (presque rien par rapport
aux autres éditions) mais j’y ai trouvé une invitation à l’ouverture
d’esprit, à la persévérance, adaptés à l’homme d’aujourd’hui.
J’ai beaucoup aimé la dédicace: à vos sœurs et frères de foi ; à sœur
Christiane ; à vos filles.
Une
véritable déclaration d’amour et de tendresse qui m’a beaucoup ému,
particulièrement pour ces femmes méritantes qui vous entourent.
Je vais découvrir les nouvelles annotations au rythme de mes prières,
mais je sens aussi de la fluidité.
J’ai aimé la présentation moderne, les encadrés gris, les titres
(nouveauté).
J’ai
également aimé l’idée du logo. Mais mon imagination part quelques fois
dans tous les sens et je souhaiterais savoir quelle est l’utilité que
vous avez imaginée pour ce logo. Cela m’aidera à ne pas l’utiliser à
contresens.
Dans cette année de vos 80 ans, je me régale de chaque
jour que nous vous avons à coté de nous vivant et témoignant de l’amour
du Créateur. Merci à vous pour vous mettre au milieu de nous avec les
moyens dont vous disposez.
Il me tarde également de me recueillir
sur les lieux saints pour toucher de ma main, de mes yeux les
aménagements que vous y avez faits.
Je vous embrasse du fond du cœur, bien affectueusement et
fraternellement.
B. B.
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02mai09 95C63
Cette nouvelle édition 2009 de La
Révélation d'Arès,
contrairement à la plupart des commentaires de votre blog, ne soulève
pas mon enthousiasme .Je reste résolument attaché à l'édition de 1989
que je trouve visuellement — comment dire? — "plus ronde" et avec
laquelle j'ai fait mes premiers pas de Pèlerin d'Arès, qui datent
d'ailleurs de cette même année.
Bien que mon niveau scolaire soit
juste un cran au-dessus du niveau du primaire, je n'ai pas rencontré de
difficultés particulières pour comprendre les annotations, celles-là
mêmes qui ont permis à un homme très moyen comme moi de faire et de
continuer son ascension. Que demande le peuple?
Retravailler vos
textes comme vous l'avez fait pour aller chercher les hommes là où ils
se trouvent, vous avez dû, comme le Père, serrer comme le clou (Rév.
d'Arès ii/21).
Lecteur, auras-tu jamais assez d'humilité et de sensibilité pour
comprendre et sentir tout l'amour que cet homme (un prophète de Dieu)
déploie pour toi ?
Dominique F.
|
Réponse
:
Je publie votre commentaire que
je trouve ce matin dans
ma boîte de commentaires avec une douzaine d'autres qui comme le vôtre
ne sont pas enthousiastes à l'égard de cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès
et vantent les éditions précédentes, notamment celle de 1987-1989, que
vous citez, comme meilleures. Tous ces commentateurs comme vous disent
qu'ils devinrent Pèlerins d'Arès après lecture de ces anciennes
éditions et qu'ils y restent attachés aujourd'hui.
Ne sont mises en question que les annotations que j'ai non pas
"retravaillées", comme vous dites, mais réécrites entièrement.
Le texte de la Parole elle-même n'a absolument pas changé.
Parmi
les Pèlerins d'Arès critiques, que j'ai lus ce matin, certains
déplorent les titres placés entre des groupes de versets pour aider
ceux qui ne font que parcourir le livre à comprendre l'importance de
cette Parole, importance qui échappe à ceux qui lisent en
diagonale. Mes frères critiques estiment que ces titres coupent
"l'envolée" ou "l'unité" de la Parole. Je leur rappelle ce que j'ai
souvent dit et probablement écrit: Jésus en 1974 ne dictait
pas
comme un instituteur. Il parlait normalement et parfois se taisait
quelques instants, parois quelques longs instants, avant de reprendre
le fil de son message. Donc l"envolée" n'est qu'une vue de l'esprit,
car de temps en temps le bel oiseau de la Parole se posait avant de
repartir;
De toute façon, ce nouveau livre n'est pas vraiment
conçu pour les Pèlerins d'Arès chevronnés, mais pour aider le public à
découvrir La Révélation
d'Arès dans cette édition d'un abord et d'un maniement
relativement plus facile.
Je
rappelle à ceux qui préfèrent les longues annotations qu'on peut
toujours trouver celles-ci dans l'édition 1995, dite "bilingue",
toujours disponible.
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02mai09 95C64
L'intention propagandiste mise dans cette nouvelle édition n'échappe
pas à l'observateur.
Si
vous ne vous êtes pas contenté de rééditer ce qui existait, notamment
d'effectuer une réimpression de la seule partie française de la
bilingue (éd. 1995) — qui me paraît souhaitable —, c'est que vous
pensez à une nouvelle campagne de prosélytisme.
En somme, c'est une nouvelle faux
que vous affûtez (Rév
d'Arès 31/6) pour lancer les moissonneurs sur le
Champ
de Dieu.
Je n'ai rien contre ça. Bien au contraire. Je suis moi-même un épis moissonné par La Révélation d'Arès
trouvée en librairie en 1997. Mais cette nouvelle faux se
montrera-t-elle plus efficace que les précédentes pour engranger des pénitents?
La pénitence
reste la pénitence,
un effort sur soi, que vos nouvelles annotations non seulement ne
cachent pas, mais montrent beaucoup plus vite, puisque le livre est
physiquement conçu pour être vite lu? De ce point de vue, je pense que
c'est un livre d'une très grande honnêteté spirituelle et vous avez
raison de dire dans votre Introduction que "ce présent livre ne
manipule pas" (p.18).
Je ne veux pas dire que les précédentes
éditions "manipulaient" le lecteur. Je veux dire que c'étaient des
forêts et non des petits bois vite parcourus et qu'en abordant ces
forêts le lecteur était d'abord attiré par une sorte de charme général,
le fait surnaturel d'Arès, et ne sentait pas tout de suite que La Révélation d'Arès
s'écartait radicalement des perspectives religieuses traditionnelles du
Dieu providence et miséricorde des hommes. Pour La Révélation d'Arès
la providence et la miséricordes des hommes n'est pas en Dieu, mais en
eux, elles sont laissées au seul et total pouvoir des hommes (images du
Créateur, Genèse 1/26)
par le seul effet salutaire du Bien
accompli, autrement dit de leur pénitence. Comme
vous dites, frère Michel, l'homme est co-créateur du monde.
Avec cette nouvelle édition, la découverte de cette Vérité
fondamentale, qui désenchante beaucoup de gens, ne sera pas aussi
progressive et à mon avis c'est préférable. Mais je me demande quand
même si, en laissant au prosélyte le temps de la découverte on ne lui
laisse pas le temps de se faire à la vraie (mais nouvelle pour des yeux
religieux) perspective du salut.
Vous allez me dire qu'on nage dans une mer de "si", "si", "si".
Je souhaite un franc succès apostolique à cette édtion 2009.
Marcel D.
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02mai09 95C65
Faut-il lire un livre
vite ou lentement? C'est une très vieille question à laquelle aucune
réponse définitive n'a jamais été apportée. Je pense qu'il faut les
deux comme il faut le Grand Robert et le Petit Robert comme
dictionnaires. L'un n'a pas le même usage que l'autre.
Il y a une
pensée de Pascal qui dit: "Quand on lit trop vite ou trop doucement on
n'entend rien." Mais il pensait à un seul et même livre. Vous, vous
nous offrez maintenant deux livres différents. Pour ma part, je vais
les utiliser tous les deux.
Je note quand même que l'édition 2009
n'est quand même un éclaté d'explications comme les maximes de La
Rochefoucauld, qui exposent l'œuvre au zapping , c'est-à-dire à glaner
ici et là.
Je pense que les nouveaux lecteurs de La Révélation d'Arès
suivront votre intention, bien détectable, de les faire progresser dans
la bonne compréhension de cette sainte Parole. Vous avez fait là un
travail qui ne paie pas de mine, mais très habile et très travaillé en
profondeur.
Merci de nous donner les moyens de relire La Révélation d'Arès
sous un angle différent de lumière. Vous enrichissez
cette Œuvre de Dieu, c'est indiscutable.
Ingrid
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02mai09 95C66
C’est mon épouse qui a fait le bref commentaire 95C51 que vous avez
signé JCD, mais ce n'est pas très important.
Par
contre, j’en profite pour dire qu’ayant commencé à lire la
nouvelle édition dans le train, je ne suis pas de l’avis d’Arsène
(95C53) et de ceux qui pensent que la version de 1995 soit plus
convaincante pour tous public. Elle est encyclopédique, lourde en poids
de papier, pas du tout appropriée aux besoins de la brièveté et des
déplacements, bien qu’elle soit sans conteste une référence.
Le style de la nouvelle édition rappelle bien quelque chose de neuf et
pourtant qu’on connait.
Une synthèse essentielle.
Elle
a aussi comme le calme après la tempête. Elle était une nécessité.
Comme pour le printemps qui ne cesse pas de m’émerveiller chaque année,
comme devant l’éclat des tulipes et des lilas, des fleurs et des
parfums, des chants des oiseaux... Enfin, cette saison est
extraordinaire ! La
Révélation d’Arès perce le sol gelé du monde, cette Parole
nous connecte à la grande maison qu’est l’univers.
Et
je pense à ceux qui, de façons variées, pourront se reconnaitre au
travers de cet ouvrage et tout ce qu’il charrie de divin et d’humain.
Quelque chose d’une profonde expérience. Car cette édition a quand
même, me semble t-il en première lecture, quelques formulations neuves
dans vos annotations par rapport aux précédentes éditions. J’en relève
deux au passage qui m’ont frappé : p.25 veillée 2: "Le Créateur ne dit
pas qu'Adam rejeta la Vie
spirituelle mais décida de la subordonner à la vie matérielle de telle
sorte qu’elle allait tourner en superstition ou religion et
déspiritualiser l'humanité."
Et sur la problématique complexité de l’homme capable d’être Dieu ou bête, au travers de
l’évocation en 10/4 p.37 du pain
du vin et de l’huile: "pain et huile qui
nourrissent et vin qui enivre."
Preuve à mon sens que le prophétisme évolue lui aussi. Je suis assez
d’accord à ce propos avec le commentaire de Patrick 95C52.
Pardonnez
moi de finir sur une note moins enthousiasmante et un peu rigolote.
Pour la couverture nous ne sommes pas les seuls avec mon épouse, a
priori, à avoir vu au premier coup d’œil un morceau de gruyère sur la
bande jaune à la place de la photo qui représente les cloches de la
Maison de la sainte Parole. Mais nous avons la vue qui baisse
sérieusement. Ce n’est qu’une anecdote pour "le prophète du fromage"
(Le Pèlerin d’Arès 1986).
Cela étant la mise en page aérée est parfaite.
Merci encore à vous pour le grand travail que vous avez accompli.
Jean-Claude
|
Réponse
:
Il n'est pas d'être humain qui
n'évolue; Le prophète
évolue donc, comme vous dites.
Néanmoins,
dans les deux citations où vous croyez voir une évolution, je n'en vois
pas, sinon dans la formulation, que nécessitait la brièveté. Je n'ai
jamais rien dit d'autre à propos d'Adam, à savoir qu'il "ne
rejeta
pas la Vie
spirituelle, mais la subordonna à la vie matérielle de telle
sorte qu’elle allait tourner en superstition ou religion et
déspiritualiser l'humanité." Quand au vin, dont la nature alcoolisée
est d'enivrer, cela m'a toujours paru aller de soi et, dans mes
allocutions, j'ai quelquefois parlé du vin de la Mémoire du Sacrifice
en ces termes. Ici je l'ai seulement rappelé expressément.
Quand
à la tranche de "gruyère" que vous, votre épouse et vous-même, n'êtes
"pas les seuls à avoir vu au premier coup d'oeil sur la couverture
avant de remarquer le clocher et les cloches", c'est une variante qui
ne m'avait pas encore été donnée. Quelques autres, hier et
avant-hier, dans des commentaires que je ne publie pas pour ne pas
encombrer cette page, parlent de "beurre" et l'un d'eux parle de "jaune
d'œuf". On est vraiment dans les produits fermiers!
C'est moi qui
ai souhaité que cette couleur jaune apparût sur la couverture,
parce que l'ancienne couverture des éditions 1987 et 1989 de La Révélation d'Arès
a laissé dans le regard des chalands de librairie le souvenir d'une
grande tache jaune au point que certains croyaient que ce jaune cru
était devenu la couleur de prédilection des Pèlerins d'Arès comme la
couleur safran l'est pour les bouddhistes ou le vert pour nos frères
musulmans.
Si la couleur jaune avait pu remplacer le gris p.11 je l'aurais
utilisée pour le parallèlogramme.
Je
pense que l'artiste qui a créé cette couverture lit les commentaires et
que, sans supprimer le jaune, travaillera à faire ressortir davantage
le clocher et les cloches pour que la confusion avec un morceau de
gruyère, une plaquette de beurre ou un jaune d'œuf dans la poêle
survienne plus rarement.
Merci pour toutes ces remarques.
|
02mai09 95C67
Je
ne sais plus où le frère Michel a écrit que les livres d'édification
chrétienne étaient généralement des livres de consolation, mais que La Révélation d'Arès
n'était pas un poème consolateur mais un appel vigoureux à l'action, à l'accomplissement.
Cet Appel
à l'accomplissement
est encore plus clair dans sa nouvelle édition.
Combien, en le lisant, auront envie de se prendre en main et en même
temps de prendre le monde en main en changeant leurs vies (Rév d'Arès
30/11)? Nous verrons.
C'est
vrai que ce monde qui ne connaît plus le bonheur par la vie spirituelle
s'efforce de le trouver par le rire, la gourmandise, le sexe, les
voyages, bref, l'insouciance, dont il est difficile de lui montrer les
dangers, sans doute parce que le système qui prétend tout faire pour
faciliter le sort de l'humanité n'a jamais autant fait pour lui donner
des soucis.
Avec La Révélation
d'Arès on est conduit dans une tout autre direction. Le
frère Michel le montre bien dans ses notes.
Il
n'essaie surtout pas de démontrer que les apparitions et le message
d'Arès ne peuvent être que vrais, parce que, même s'il pouvait le
prouver, il sait que les preuves ne démontrent rien, elles ne sont
qu'accumulation suspecte d'arguments pour trouver des adeptes. Il ne
tombe pas dans ce travers. Le livre reste noble, respectueux du
lecteur. Mais il implicite clairement que la Salut du monde a
grand besoin d'apôtres et de défenseurs et que si le lecteur peut
rejoindre une mission, il est le bienvenu.
Ce livre n'est qu'un abrégé bien présenté de ce que j'ai toujours
compris dans la conduite prophétique du frère Michel.
Rien de neuf sur le fond, donc, mais quand même une présentation neuve
qui s'imposait.
Franz
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03mai09 95C68
Quelle joie de découvrir et de lire cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès !
Un livre vraiment pas ordinaire.
Ce que La Révélation
d'Arès révèle au monde encore sourd à son Appel, c'est qu'il doit changer (Rév d'Arès 28/7)
vraiment en profondeur.
Nous tous, nous devons changer
nos vies (Rév d'Arès 30/11) pour que ce monde devienne
meilleur.
Cette
nouvelle édition est d'une clarté encore plus grande que les
précédentes: Des annotations entièrement réécrites par le témoin
lui-même 35 années après les premiers évènements qui bouleversèrent sa
vie et qui n'ont pas fini de bouleverser la vie de milliers de
personnes et bientôt des millions d'êtres humains épris de liberté
spirituelle et désireux de porter très haut l'Amour pour la vie et
envers les autres créatures.
Ce livre nous appelle à la Vie
(Rév d'Arès 24/5) vraie pure et droite.
Que
cette populaire édition puisse ravir ceux qui la liront et ainsi nous
aider à ouvrir enfin les portes de la vieille prison ancestrale où nous
nous sommes enfermés tous seuls avec le péché, le mal et le malheur.
Reconstruisons le bonheur
(Rév d'Arès 26/23) avec nos mains, avec nos jambes, avec
nos cœurs... d'éternelle jeunesse.
Merci, Michel pour ta parole — http://michelpotay.info
— Merci Créateur pour Ta Parole. Merci mes frères et mes sœurs de foi
et d'action.
J'ai déjà commencé à diffuser ce livre dans ma région.
Thierry Al.
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03mai09 95C69
Merci, frère Michel,
Nina et tous ceux qui ont travaillé pour cette belle édition pratique,
légère, simple, facile à transporter, à offrir. À chaque page,
d'un seul regard, on a tout à disposition pour prier, méditer,
comprendre, bref on a une vision générale, rapide, tout est vivant, oui
vivant, c'est le mot qui me vient en premier.
Désolé, je n'ai pas
remarqué le gruyère [95C66], mais une belle volée de cloches et je suis
très heureux de vous voir en couverture. Je crois que cela sera
important pour le monde d'avoir l'image du prophète, car de
toute l'histoire sainte nous n'avons aucune image des prophètes.
Jean-Louis C.
|
03mai09 95C70
Je rejoins tous ceux qui ont aujourd’hui la chance d’avoir entre les
mains la nouvelle édition de La
Révélation d'Arès;
Je vous en remercie. J’en profite pour
remercier aussi les
distributeurs qui m’ont permis de la trouver dans mon épicerie du coin,
un Leclerc au fin fond de notre banlieue parisienne cela après le gros
travail des membres de l’Association Adira qui fait suite au nouvel
accouchement du prophète. Toute une chaine d’hommes et de femmes qui
œuvre à la suite de Mikal
et déjà lors de ce grand week-end les oisillons du faucon (Rév d'Arès
xLv/14) battaient l’asphalte pour faire connaître cette
édition.
Ce nouvel "enfant" de Mikal
a tous les traits de ses aînés, mais pour moi il a une finesse
supplémentaire, liée au dégagement d’un trop de concret, parlant
carrément dans les annotations de l’éd. 2009, au deuxième voire au
troisième degré (ex : tout ce qui a trait à la mère ou à Marie, et bien
d’autres choses), amenant le lecteur à entrer plus directement dans la
symbolique spirituelle.
C’est toute une éducation, une gymnastique conceptuelle dont le but
est, bien sûr, de toujours mieux accomplir
cette Parole.
Il nous a fallu passer par les précédentes pour bien comprendre
celle-ci, être à l’aise pour faire le pas vers la marche supérieure que
nous impose cette lecture et qui est un régal pour l’âme. Une vitesse
supérieure dont nos âmes
ont besoin. Comment sera la prochaine?!
Je retrouve bien tout ce qui vous nous disiez pendant votre enseignement à
Paris (1995-1997).
Vous êtes le frère ainé
qui ne se lasse pas
de tirer ses frères par vers le haut, Vous donnez des deux Mains (Rév d'Arès
xxviii/18).
Quelle chance de vivre à votre époque!
Christine M.
|
03mai09 95C71
Je viens de recevoir
les deux exemplaires de "L'essentiel de la Révélation d'Arès" que
j'avais commandé, dont un exemplaire est destiné à un membre de ma
famille.
J'espère que cette nouvelle édition 2009 ainsi que mon
changement spirituel qu'il observe depuis des années l'inciteront à
lire ce Livre jusqu'au bout.
J'ai, pour ma part, commençé la
lecture. Je n'en suis qu'au début, mais il m'accroche vraiment. C'est
léger mais profond, c'est sobre, clair et concis, un peu comme la
Parole du Père. Puissent les frères encore trop intellectuels en
prendre exemple.
J'ai pourtant une petite critique à faire concernant le logo en forme
de parallèlogramme.
Tout
d'abord, je ne savais pas que les Pèlerins d'Arès avaient un logo, je
l'apprends donc. C'est nouveau. Bon, soit! Mais ce parallèlogramme,
lui, par contre, ne m'accroche pas. Je ne sais pas si vous avez
demandez conseil à des frères à ce sujet?
Il y avait peut-être quelque chose de plus recherché à proposer?
Mais
je sais que demander conseils aux uns et aux autres peut finir par vous
stériliser. Il faut donc trouver les bons conseilleurs. Bien que je
comprenne cela, je ne comprends pas trop pourquoi les avis sur cette
édition se font après qu'elle soit publiée. Ne fallait-il pas les
prendre avant ?
Cela aurait été plus logique, il me semble.
Je me demande bien à quoi servent tous les avis émis sur votre blog une
fois le travail terminé.
Cécile.D
|
Réponse
:
Je n'entends plus parler de
vous depuis tellement
d'années. Je vous croyais partie vers d'autres horizons, ce que je
regrettais, mais n'aurais su vous reprocher, car il n'y a pas que
chez les Pèlerins d'Arès qu'on trouve la foi (Luc 7/9) et si
vous êtes femme d'amour,
pardon, paix, intelligence et liberté
spirituelles, vous serez plus justifiée que moi, qui ne suis qu'un
pécheur. À l'automne dernier, au milieu de mes frères et sœurs
de
la mission proche de votre résidence, je ne vous y ai pas trouvée et,
comme je m'enquérais de vous à tout hasard mais avec espérance,
personne ne semblait vous connaître.
Bref, j'ignorais après votre longue; totale et libre disparition
que vous portiez autant d'intérêt à notre mission et jusqu'aux détails
les plus accessoires de l'assemblée
comme le logo, ce parallèlogramme que vous estimez critiquable sans
dire pourquoi.
Critiquable
ce logo l'est peut-être. Je vous aurais été reconnaissant de m'en
donner les raisons ici même, puisque, le concernant, vous êtes mieux
placée que personne pour savoir qu'ayant librement disparu depuis
longtemps, je ne pouvais pas vous pas compter parmi les "bons
conseilleurs" auxquels vous me recommandez de recourir.
Donc,
vous réapparaissez par ce blog. Je ne cache pas la joie que j'en
éprouve, mais je ne cache pas non plus que vous m'intriguez.
Un siffleur qui
chante avec moi (rév d'Arès xxxi/19) ou quelqu'un du reste (voir "Nous
Croyons Nous Ne Croyons Pas", appendice de La Rév d'Arès 1995), je vois que vous
l'êtes encore et je m'en réjouis.
Mais quelqu'un du petit reste,
un Pèlerin d'Arès au sens spécifique que je donne au terme? Je veux
dire ceux sur lesquels je peux compter, simplement parce qu'ils sont
présents, et dont je peux prendre conseil à l'occasion?
Allez-vous me dire: "C'est à cause de ma santé"?
Vous
savez, nous avons nombre de frères et sœurs qui n'ont pas la santé,
mais qui, chacun et chacune selon ses moyens, est actif dans l'assemblée,
comme ceux et celles dans leurs chaises roulantes ou avec d'autres
grands handicaps, et moi-même avec mes 80 ans dans deux mois et une
santé qui n'est pas toujours brillante, mais tous nous restons debout
face au monde et pas seulement en nous cachant derrière l'Internet.
Vous
êtes des rares frères et sœurs que j'ai longuement accueillis moi-même
à Bordeaux, que je me suis donné le temps et la peine de rencontrer
personnellement et d'enseigner
personnellement semaine après semaine pensant une longue période. De ce
fait, vous n'étiez pas n'importe qui à mes yeux et, si je suis bien le prophète de La Révélation d'Arès,
vous n'étiez pas n'importe qui au Regard
de Dieu. Il vous avait tendu sa Main
Lui-même. Je ne vous fais pas de reproche. Je ne vous juge pas. Je
respecte votre liberté totalement. Je réponds seulement à un
commentaire dont le ton sermonneur me surprend.
Merci, après une si longue éclipse, de me donner l'occasion de vous
dire fraternellement tout cela.
|
03mai09 95C72
Tout d'abord laissez vous dire que je n'ai aucun doute sur l'origine
divine de La Révélation
d'Arès.
La preuve, elle m'a fait découvrir la parole de Dieu à travers le
Coran, les Évangiles et certain passage de la Bible et ce que
les
hommes n'ont pas retenu dans le choix des écrits de la parole divine
qui reste à découvrir au hasard des découvertes que l'on peut faire
dans les bibliothèques du monde entier ou plus simplement au coin de la
rue dans les yeux d'un enfant qui ritn avide de découvrir le monde, ou
dans le sourire d'un pauvre heureux de la maigre obole qu'on lui a
donné. Bien sûr, cela ne suffit pas mais c'est un premier et simple
geste d'amour que beaucoup oublient !
L'éducation laique que
j'ai reçue m'a permis de développer m'a propre reflexion et de trouver
dans la Parole d'Arès des idées fortes (pas besoin de princes ni de prêtres, ni de docteurs pour
croire en Dieu, il n'est pas nécessaire de croire en Dieu quand on vit
selon sa Parole
sans le savoir, qui permettront de bâtir enfin sur cette terre un monde
d'amour à l'image et
ressemblance du Créateur (Genèse 1/27).
Ne soyons pas pessimistes! Ce monde est en construction, Dieu lui-même
nous le dit:
Abraham son
frère le lézard
Moché son
frère le chat
Yéchou son
frère le bélier
Mouhamad,
son frère le cheval
[et Mikal
qui mange dans la Main de Dieu, son frère est large et haut comme
l'aigle] (Rév d'Arès
28/7-11).
Vous le soulignez dans votre commentaire de
cette Parole, le monde s'est quand même amélioré.
Mais
je ne suis pas d'accord avec vous dans votre réponse au commentaire
95c60, quand vous dites que l'homme absolument bon n'aura
plus
besoin de système, de religion, de politique.
Pour la religion,
c'est m'a propre expérience qui me fait dire que vous avez raison, mais
pour le système et la politique je n'adhère pas à votre pensée.
Par
exemple pour éduquer les enfants il faudra toujours un système, un
cadre pour les faire grandir harmonieusement en cherchant à appliquer
le plus possible la parole de Jésus: Aimez vous les uns les autres!
(Jean 13/34, Épitre1 de Pierre 1/22).
Ce système ou cadre d'éducation est forcément le reflet du cadre ou du
système plus grand dans lequel fonctionne un pays ou un ensemble de
pays à un moment donné. L'important est donc que ce système puisse
changer ses règles et ses lois en fonction de l'évolution des
consciences individuelles. Il semble qu'il y est un consensus mondial
sur le système démocratique qui seul permet à chaque individu d'être
respecté dans son intégrité corporelle et spirituelle.
Pour la
politique je ne suis pas non plus d'accord. Choisir de construire des
résidences de luxe ou des HLM, cela s'appelle faire de la politique je
ne vois pas où est le mal. L'homme
noir
à mes yeux serait plutôt celui qui choisit de construire des résidences
de luxe en oubliant que des milliers de personne vivent dans des taudis
ou tout simplement non pas de toit pour dormir. Je note d'ailleurs que
pas une fois dans la parole de Jésus ou de Dieu le mot politique n'est
prononcé.
C'est vous qui interprétez l'homme
noir
en choisissant d'employer pour le qualifier les mots politique,
scientifique, religieux. Ce que je veux dire c'est qu'il me semble
qu'il y a une contradiction entre le fait que vous alliez voter (vous
êtes donc un homme impliquer dans les affaires terrestres heureusement)
et en même temps vous parler d'un futur où à la limite il n'y aurait
plus besoin de voter!
J'espère que mon commentaire sera publié car
malgré tout l'amour que j'ai pour vous et l'immense reconnaissance que
l'on vous doit d'avoir accepter douloureusement de déposer votre habit
de prêtre orthodoxe pour devenir le premier messager de cette Parole, je ne veux
pas que mes frères et sœurs se mettent à vous idolâtrer en pensant que
ce que vous exprimez en tant que premier
à avoir reçu l'enseignement du Père (Rév d'Arès 16/1) ne
puissent pas être discuté.
Patrick R.
|
Réponse
:
J'imagine qu'il n'y a pas très
longtemps que vous avez découvert La
Révélation d'Arès et que vous n'avez pas de relations ou
bien seulement des relations lointaines avec l'assemblée des
Pèlerins d'Arès.
Non seulement mon enseignement
peut être "discuté", mais il n'a pas cessé de l'être depuis trente-cinq
ans, et discuté par d'âpres et parfois agressifs discuteurs auprès
dequels votre fraternelle courtoisie m'attendrit.
Concernant l'homme noir
(Rév d'Arès xxvii/4-11, xxxiv/15-16, etc.),
que suis-je pour vous interdire de refuser le sens que j'en donne? Vous
avez votre conscience. Je ne suis qu'un transmetteur. Le sens des
Théophanies m'a été donné en même temps que leur message et je ne fais
que transmettre. Je n'ai pas d'opinion personnelle sur la question. Je ne suis plus rien pour
moi-même (Rév d'Arès 40/6).
Le
nombre de personnes qui, depuis trente-cinq ans, ne sont pas d'accord
avec cette interprétation (et ont d'ailleurs d'autres interprétations
que la vôtre) et avec un grand nombre d'autres points de la Parole
d'Arès est considérable. Vous n'en avez pas idée.
Le Père m'a dit: Toi,
homme Michel, tu connaîtras seulement le petit reste (Rév d'Arès 29/2)
que Je
t'envoie rassembler (24/1). Ne pas faire partie de ce petit reste est
votre droit et, d'ailleurs, si vous êtes un homme d'amour, pardon,
paix, intelligence et liberté spirituelles, vous
serez sûrement plus justifié que moi, qui ne suis qu'un pécheur.
Refuse
discussions et compromis, me dit le Père (Rév d'Arès 15/6).
Il ne dit pas cela par intransigeance, mais par sagesse, car de
discussions ressortent beaucoup de vérités, mais aucune Vérité seule. La Vérité ne sort que
de la Parole du Père qu'il charge un messager ou un témoin de
transmettre et qu'il appelle lui-même juste prophète (Rév d'Arès
xxxvii/2).
J'ai une mission spécifique: rassembler
un petit reste de frères et sœurs fidèles au prophète, à son enseignement, à sa
mission prophétique spécifique dont ils sont le fer de lance. Je
remplis cette mission et cela occupe déjà toute ma vie.
Vous, vous trouvez votre place dans le reste ou parmi les siffleurs qui chantent avec
moi (Rév d'Arès xxxi/19) — voyez ma réponse à 95C71 — et
je m'en réjouis. L'important, c'est que beaucoup d'hommes changent leur vie (Rév d'Arès
30/11) et qu'ainsi de proche en proche le monde change (28/7).
J'ose penser que vous souhaitez vous joindre à
cette grande moisson de
pénitents
et je vous en dis merci au Nom du Père.
|
04mai09 95C73
Vendredi 1er mai j'ai
reçu cette nouvelle édition des mains d’XX qui vous porte comme vous le
savez une immense affection. Depuis, j’ai passé plusieurs heures à lire
et à regarder ce livre. Il y aurait beaucoup à en dire et avec un peu
plus de recul, mais ma première impression qui se conforte de plus en
plus en plus au fur et à mesure que je lis est que c’est vraiment une
réussite.
La couverture (et le 4ème de couverture) est belle,
agréable, vivante par ses couleurs vives, on y sent une dynamique à
travers ces pins et ces cloches en mouvement et même un lien avec la
création terrestre. Votre présence apporte aussi quelque chose en tant
qu’homme et prophète. Donc félicitation à la sœur qui a conçue cette
couverture, je la trouve très bonne.
Le format, la mise en page les polices de caractères sont bien aussi.
Concernant
le contenu: les annotations, j’ai beaucoup apprécié vos explications,
précisions et reformulations en langage à la fois clair, simple et
fort. Vos insertions [de titres] dans le texte ne m’ont pas gêné. Au
contraire, je pense qu’elles aideront celui qui lit ce livre pur la
1ère fois.
Bien que quelques aspects me posent encore questions,
il en ressort une grande puissance de persuasion et d’éclaircissement.
C’est le sentiment que j’ai, bien que mon œil ne soit pas neuf et que
cela s’ajoute à tout ce que je lis de vous.
Quel sera l’effet sur
le nouveau lecteur? On le saura rapidement je pense, car ce livre va
être beaucoup plus facile à diffuser que les précédents.
Une
remarque sur le logo ! C’est un peu surprenant pour un visuel. Il
correspond bien à sa signification, et d’autres que l’on pourrait lui
associer comme le symbole de l’unité intérieure (sois un en
toi)
et l’unité humaine (une seule humanité), le coté penché symbolisant
aussi l‘humanité en marche. J’y vois aussi le bâton de lumière
[jet de lumière d'où sortait la Voix
du Créateur lors des Théophanies de 1977], un bâton qui marche!
Par
contre je me demande à quoi cela sert-il? Quelle est votre intention
dans la création de ce logo? Je n’en vois pas très bien l’utilité et je
ne suis pas sûr que sa place soit la bonne en ouverture du livre cela
peut faire penser à la création d’une organisation qui revendique une
marque.
Une fois encore merci beaucoup pour ce bon et beau travail qui va être
très utile à ceux qui courent les rues pour porter cette grande lumière
(Isaïe 9/2). Une Lumière
suffisamment forte pour s’opposer à la menace du rationalisme (ténèbres
et confusion sur ce qu’est la nature humaine).
Le
contenu de ce livre est une immense espérance redonnée à tous
les
hommes, on y sent bien la simplicité, l’ouverture, l’universalité du
message de Bien.
Daniel C.
PS
: Je suis un lecteur occasionnel de texte sur la spiritualité
bouddhiste et hindoue et j’ai beaucoup apprécié que vous y jetiez un
regard fraternel. J’apprécie entre autre particulièrement les
Upanishads (Mundaka upanisads en particulier) et l’enseignement de Shrï
Aurobindo (un personnage tout à fait étonnant inspirateur de la cité
d’Auroville).
À la lumière de La
Révélation d’Arès on discerne beaucoup de vérité dans les
divers textes de spiritualité hindoue et de points communs avec la Vérité redonnée à
Arès. Le mot Véda
signifie connaissance, connaissance spirituelle il s’entend.
Face
au rationalisme dominateur de l’Occident qui regarde cela d’un air
supérieur, je trouve que l’Orient, la tradition spirituelle de l’Inde
en particulier, offre un refuge à une vision de l’homme
différente — Même si la société indienne est très loin d’être
idéale évidemment, notamment avec son système de caste,
et elle
n’est pas dénuée de fanatisme, d’obscurantisme religieux, de dogmatique
stérile — Néanmoins, la quête de la vertu, la pénitence,
la quête de la transcendance y sont acceptées et reconnue socialement,
ce qui en fait un pays ouvert et attirant de ce point de vue malgré ses
énormes inégalités sociales. J’espère qu’Arès va devenir ce refuge de
la spiritualité en occident. Cependant, je ne perds pas de vue que
l’Inde est hors du Champ
de notre mission.
|
04mai09 95C74
J'ai passé une partie de samedi à lire votre nouvelle édition de La Révélation d'Arès.
J'ai dû me forcer.
C'est
une sorte de brochure qui sera pratique pour la mission, mais son
contenu est très nettement en recul par rapport à la richesse des
éditions précédentes.
Je ne vous cache pas que je ne l'aime pas du
tout. La couverture est tapageuse, en contraste avec la sobriété et la
dignité de la bilingue (édition 1995) ou de l'évocation lumineusement
spirituelle, tout en étant populaire, de la couverture jaune des
éditions 1987 et 1989. Cette nouvelle couverture est du maquillage (je
n'ose pas dire bariolage) moderniste. Ce livre est à La Révélation d'Arès
ce que la prostituée est à l'honnête femme. Vous allez oublié tout ce
que les livres prophétiques [de la Bible] disent contre la grande prostituée:
la religion.
Salomon
devenu vieux tomba sous la séduction de belles étrangères qui
apportèrent leurs dieux étrangers et il se détourna de Yahwé pour
adorer des idoles. C'est un peu ce qui semble vous arriver, frère
Michel.
Ce livre criard ressemble plus à un catalogue de La
Redoute (ou des 3 Suisses, puisqu'il est imprimé en Suisse) avec ses
légendes et ses références en style télex.
Tout ça sent trop la
stratégie missionnaire. Je ne suis pas sûr d'oser offrir cette brochure
à des profanes qui, au minimum, s'attendent quand même à un quelque
chose de sérieux et de sobre. Je continuerai de lire vos éditions
antérieures mieux inspirées.
Patrick H.
|
Réponse
:
Je trouve un certain nombre de
commentaires ce matin
dans ma boîte webmaster@freesoulblog.net, mais j'en publie seulement
deux, qui s'opposent radicalement.
Celui de Daniel C. (95C73), qui apprécie. Le vôtre, qui désapprouve.
Qui
a tort et qui a raison?
Je n'ai pas fait le compte exact des pour et
des contre parmi tous les commentateurs, que tous je remercie de toute
façon.
Je suis quand même heureux de pouvoir dire que, dans
l'ensemble, les approbateurs sont plus nombreux que les
désapprobateurs, quoique dans un large concert de nuances, qu'il me
faudrait analyser.
J'ai malgré tout quelques
raisons raisonnables de penser que tout ce travail n'est pas perdu.
|
04mai09 95C75
Bonjour frère Michel, j'espère que vous allez bien: 80 ans !
C'est une révélation hors d'âge ! Bravo.
J'ai
votre nouvelle édition entre les mains. Merci de la part du petit
moissonneur que je suis pour ce nouvel outil plus maniable.
D'abord,
j'ai été déçu que cette nouvelle édition ne soit pas au format poche
parce que c'est le format le plus populaire, totalement accepté
aujourd'hui, et qui permet les prix les plus bas. Bien sûr je me suis
douté qu'il y avait des raisons, pratiques (grosseur des caractères) ou
économiques (quantité et reliure) ou autres encore et vos réponses dans
ce blog le confirment. On ne peut pas vraiment le mettre dans une poche
normale et je continue à le regretter.
Pour autant,
depuis deux ou trois jours que je dispose de l'ouvrage, je commence à
l'affectionner. Il est à l'évidence beaucoup plus pratique et
manipulable, transportable par exemple, postable par courrier, et avec
un look sympa — J'aime bien votre photo en couverture.
Mais bien au-delà du format, j'attendais La Révélation d'Arès
sur son contenu, et c'est bien le contenu des notes qui m'apparaît en
quelque sorte comme une révélation dans la révélation.
Je suis loin d'avoir tout lu et, déjà, j'ai été frappé par l'unité des
notes entre elles. L'injonction du Père: Sois un dans toi ! (Rév
d'Arès xxiv/1), m'ait apparu dans toute sa lumière.
Dans
les éditions précédentes, je trouvais toujours un petit côté disparate
aux annotations, comme d'une part aspirées par le verset qu'elles
commentaient et d'autre part alourdies par les nombreuses références
explicites au reste de l'ouvrage. Dans cette édition les notes réfèrent
toujours à des versets précis mais leur style, concision, légèreté et
simplicité nous donnent un bel exemple du frère conscit (néologisme
créé par La Révélation
d'Arès sur le mot conscience, xxii/14).
De toute évidence, le frère aîné a totalement incorporé la Parole. En fait,
les annotations n'ont cessé de se perfectionner à chaque nouvelle
édition, témoignant en quelque sorte du témoin, de sa pénitence, et par
conséquent de son ascension,
que ces termes de la Parole ne sont pas de vains mots faisant ainsi de
sa vie la preuve vivante de la vérité de son message et du Père.
Votre existentialisme vers le Bien
est sa propre démonstration. Il me renvoie à mes propres déficiences
sans leçons, sans mots, sans morale, par la seule force muette et
joyeuse de l'exemple, et me stimule dans mes propres ascension (plus
poussive que la vôtre) et moisson.
Merci.
Claude René M.
|
04mai09 95C76
Les précédentes éditions de La
Révélation d'Arès, c'était l'étude du texte. Cette
nouvelle édition, c'est la Lumière !
Je ne trouve pas d'autre mot.
Il
fut une époque où vous citiez fréquemment Paul Valéry, montrant que
vous aviez lu et apprécié sa pensée. Il n'était pourtant pas croyant,
vous le saviez sûrement. Je vais ici le citer, à propos de cette
édition 2009 de La Révélation d'Arès: "Rendre la lumière suppose une
morne (ou sombre) moitié." Les éditions 1987, 1989 et 1995 sont la
"morne moitié", qui était et qui demeure nécessaire, le pensum
travaillé à la lueur du faible
lumignon (Rév d'Arès 32/5). Cette nouvelle édition est le
soleil.
D'annotations
très courtes comme celles-là on peut craindre qu'elle disent trop ou
pas assez. Ce n'est pas le cas pour cette édition. On sait tout, même
si, comme dans toutes les grandes œuvres littéraires, ces
annotations ne sont pas que clarté; elles gardent leur part
d'obscurité, ce qui fait leur charme. Elles suscitent une inlassable
fascination. Je ne suis pas devin, mais vous verrez, ce petit livre
sera une réussite.
Le logo? Un chef d'œuvre de
simplicité, comme la croix l'a été, ce qui a fait son succès
historique. On oublie qu'au débit du christianisme, le logo chrétien
n'était pas la croix, mais tantôt l'ageau, tantôt le poisson. La croix
n'apparut que vers le Vème siècle, je crois. Le parallèlogramme
arésien, chrétien aussi au fond, n'apparaît que 35 ans après les
apparitions de Jésus.
Il faut que tout mûrisse.
Je me suis
découpé un parallèlograme dans du papier et je l'ai scotché devant moi
au mur. Je l'ai sous les yeux en l'écrivant et, sachant que votre
pensée l'a conçu comme signe
annonçant le grand Signe (Rév d'Arès xLiv/5),
je capte votre pensée. Je me relie à vous par ce rectangle qui penche,
qui penche comme "l'humanité en marche", dit Daniel C. [95C73]. Il est
si simple ce logo qui me dit: "Pourquoi se compliquer la vie, pourquoi
compliquer la foi? Elles sont si simples." Ce rectangle penché comme
l'homme en prière, qui pense parce que, je ne sais pas si c'est votre
cas, moi quand je prie, je pense en fait. "Nous pensons toujours
ailleurs," disait Montaigne, qui lui non plus n'était pas vraiment
croyant.
Merci. Un agnostique comme moi
ne se sent
pas gêné avec ce livre sur sa table de salon. Vous avez réussi là un
dosage subtil, que vous seul pouviez concevoir. Dieu vous a bien
choisi. Vous savez parler à tous, ceux dans l'ombre et ceux dans la
lumière.
Martial
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08mai09 95C77
Je suis de l'assemblée
proche du lieu où réside Cécile D. (95C71) J'étais allé la rencontrer
dans sa ville suite à son bref passage à notre local. J'avais découvert
une personne très imprégnée de l'enseignement de la Parole et qui y
consacrait beaucoup de son temps. Je me réjouissais à l'idée de la voir
se joindre à nous, même occasionnellement, en raison de sa santé, en me
disant voilà quelqu'un qui va nous secouer le cocotier et ça nous fera
du bien. Mais un jour je lui adressai un mail en réponses à
ses
questions sur notre mission où je lui reprochais en substance d'être un
peu trop enquêtrice sur notre fonctionnement. Je reçus en retour une
volée de bois vert et j'avoue ne pas avoir très bien compris car je ne
voyais rien dans mon courrier qui puisse provoquer une telle réaction.
J'en conclu à une hyper susceptibilité chez cette personne et comme
nous sommes tous pêcheurs et devons pratiquer le pardon, je m'excusai
auprès d'elle de l'avoir blessée. Mais je ne reçu jamais de réponse.
[...]
Cependant, je peux affirmer pour avoir revu des personnes
qui s'étaient isolées que l'isolement n'est pas la solution. C'est dans
l'assemblée
que l'homme se construit et c'est dans l'assemblée
qu'il aide ses frères et sœurs à se construire. En dehors il croit
grandir mais en réalité il végète et il s'éloigne du plan de Dieu.
À
l'inverse, je suis admiratif devant les frères et sœurs isolés malgré
eux, sans personne avec qui partager les peines et les joies de l'ascension et de
la moisson,
cherchant inlassablement parmi
les jambes (Rév d'Arès i/15-17).
J'espère donc que Cécile n'aura pas la même réaction en vous lisant
qu’elle l’a eu avec moi et qu'elle surmontera sa sensibilité et nous
rejoindra. Qu'elle sache que nous l'accueillerons avec beaucoup de joie
et nous apprendrons à faire table rase du passé.
Enfin je suis
quand même surpris qu'elle n'aime pas le logo, elle qui travaille
beaucoup sur ordinateur. Moi qui y passe quelques heures par jours, je
trouve mon clavier changé depuis la nouvelle édition. En effet, chaque
fois que je tape un slash / j'ai une pensée pour le logo des
Pèlerins d'Arès et c'est bon pour mon esprit de se tourner vers Arès.
Philippe C.
|
08mai09 95C78
Martial [95C76] a fait la plus juste remarque à propos de cette
dernière édition de La
Révélation d'Arès: "Dieu vous a bien
choisi. Vous savez parler à tous, ceux dans l'ombre et ceux dans la
lumière."
Sûrement
que tout le monde ne sera pas touché par ce livre, parce que c'est
impossible. Il n'y a que ceux qui son prêts qui réagissent
favorablement. Ceux qui sont semés,
dit La Révélation
d'Arès.
Je me souviens quand je faisais du syndicalisme et que je distribuais
des tracts à la sortie des usines, dans les années 80, la plupart des
ouvriers que les tracts concernaient, les fourraient dans leur poche
sans même jeter un coup d'œil et même il y en avait qui nous
engueulaient. Les gens concernés ne sont pas toujours ceux qui
réagissent bien au souci qu'on prend de les informer.
Ce qui
manquait à ces tracts [syndicalistes] était comme un espoir général ou
une idée générale et généreuse de la question du jour. Ces tracts
étaient toujours pour ceci et contre cela au lieu de dire: "Oublions
les pour et les contre et avançons!" comme vous aviez un jour réécrit
un de nos tracts dans les années 90 — arésiens, pas
syndicalistes
(sourire) — et j'avais trouvé ça simple et bien trouvé et vous avez
retrouvé cette façon directe de dire dans vos annotations de 2009.
Malheureusement,
des frères qui croient qu'on n'est bien compris qu'en se positionnant
par rapport à ce qui est contraire ont vite supprimé ce tract. Ils
pensaient qu'il n'était pas percutant. Moi, j'avais eu de bons contacts
avec lui.
Des contacts ne sont pas des
frères qui entrent dans le petit
reste, mais c'est un début. J'espère que votre nouvelle
édition produira des effets heureux aussi. C'est un livre intelligent.
Steff
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08mai09 95C79
Je viens de recevoir par l’intermédiaire d’une sœur la nouvelle édition
de La Révélation d'Arès,
parallèlement à la lecture du blog et des nombreuses réactions qu’elle
suscite.
Je
voudrais vous faire part de mon plaisir à recevoir cette édition qui,
pour moi, me semble bien plus facile à transmettre dans mon entourage
et dans la mission mais aussi ma réaction face à cette nouvelle
présentation.
Tout d’abord, par expérience, j’ai souvent vu dans
le regard de ceux à qui je présentais la bilingues tantôt un
découragement manifeste face à un pavé, tantôt un signe signifiant: "Ah
oui! Encore un gros bouquin genre Bible!" Comme si la forme véhiculait
ou réveillait des images poussiéreuses de cohortes d’officiants
liturgiques soutenant le lourd missel des célébrations dominicales à
bout de bras face aux fidèles sagement alignés.
Cette nouvelle éditions ne retranche ni n’annule rien des
précédentes. À mon sens, elle apporte un nouvel outil aux moissonneurs sur le
Champ. Elle
leurs permet d’ouvrir une nouvelle porte à tous, celles et ceux qui
fuyant religions et églises n’en reste pas moins imprégnés d’un
imaginaire bel et bien religieux, n’oublions pas qu’en France notre
culture trouve sa source dans le judéo-christianisme.
Je pense et
cela n’engage que moi, que cette nouvelle édition correspond beaucoup
plus à notre temps et qu’elle permettra à de nouveaux épis
de se faire connaître, de découvrir la Parole ou de la redécouvrir pour
ensuite pouvoir ouvrir la bilingue [édition 1995 avec abondantes
annotations] sans y voir le pavé que j’évoquais plus haut dans mon
commentaire.
Cependant je n’ai pas eu de suite cette réaction et
si maintenant je suis triste de lire des commentaires hostiles à cette
nouvelle édition, je comprends aussi que l’on puisse être troublé par
une présentation très novatrice en comparaison des éditions précédentes.
Moi-même
lorsque j’ai découvert la première de couverture, je me suis dit: "Où
est le Bâton de Lumière? Que veut dire cette mise en page? Pourquoi le prophète
apparaît-il en couverture (nos Frères Musulmans ne font pas de
représentation du prophète)
et ce jaune ou j’ai d’abord crus discerner des bulles, comme celles
montant et descendant dans les lampes de décoration vendues dans tous
les commerces de déco.
Lorsqu’après quelques temps de réflexions
j’ai pu dépasser mes préjugés je me suis dit: "En fait, je ne suis pas
déculturé du tout. Le prophète
à travaillé des mois, sinon même des années, à cette éditions pour nous
livrer un nouvel outil et moi, j’ai une réaction de rejet!" C’est comme
si je m'étais dit: "La Révélation est close à jamais.
La
forme de la "bilingue" [edition 1995] est l’ultime forme aboutie et
hors de cela point de Salut!
De nouveau, la Bête
pointe à l’horizon (Rév
d'Arès 22/14)."
Après ce temps de réflexion je vois tout autre chose dans cette
première de couverture.
J’y vois un prophète au
regard perçant, droit, le torse raidi comme un chêne
par la Parole (33/4)
qui regarde loin à travers les pins ou il mâche la poussière pour les
Frères (xii/4-5), jusqu'à ce clocher, simple chapelle, ou
Le Créateur s’est réduit à la dimension d'un clou (ii/21) pour
rencontrer son prophète
et rappeler son Espérance pour les hommes.
Et au-dessus de cela le titre La
Révélation d’Arès écrit sur fond or, un monde devenu nuage d’or où les nations
s’embrassent (xix/22).
Merci, prophète,
de m’avoir bousculé, de m’avoir rappelé que, si la forme et la
présentation peuvent changer, le Fond
reste inchangé depuis Adame,
car c’est la Grandeur et la Force du Père d’être fidèle dans son Amour
pour sa créature.
P.P. Aime
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08mai09 95C80
Nouvelle Edition de la Révélation d'Arès !
Nouvelle conception !
Nouvelle co-création !
Nouvel espoir !
Nouvelle naissance !
Nouvelle Nativité !
Nouvelle Fête !
Nouveau Sourire !
Nouvelle génération !
Nouvel élan !
Nouveau pas dans l’évolution spirituelle !
Nouveau Monde
La Vérité
c'est que le monde doit changer (Rév d'Arès 28/7).
Toutes mes félicitations aux heureux parents!
Tous mes vœux au nouveau livre!
Qu'il trace son beau
sillon et engrange sa belle récolte d’âmes dans
l'humanité!
Tous mes encouragements aux moissonneurs
pour le présenter et qu'il puisse ainsi faire découvrir aux hommes la
Parole d'Amour,
la Parole de Vie
et la nécessité de la pénitence
sur terre.
Dominique C.
|
08mai09 95C81
Conquis par les annotations de cette nouvelle édition après lecture
complète, où le Vrai
apparait dans une simplicité époustouflante !
Un grand merci du fond du cœur, Frère Michel.
Dominique F. [commentateur
95C63]
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08mai09 95C82
Après avoir parcouru les commentaires positifs et négatifs de cette
entrée j'apporte le mien.
Je
n'ai pas encore lu la nouvelle édition, mais ça ne va pas tarder. Je
sais d'avance qu'elle produira chez moi un nouveau souffle positif,
quelles que soient son épaisseur ou la couleur de sa couverture.
Car
cette dernière édition est le fruit du travail prophétique, un travail
profond de prière, de réflexion, de patience, de remise en cause et de
tant d'autres qualités spirituelles mises en pratiques, ceci afin de
toucher le cœur des Hommes, en entrant par la porte étroite qui
permet de s'adresser au monde.
Un travail d'Amour que je ne pourrais peut-être ne jamais fournir tant
l'effort qu'il demande est puissant.
C'est pourtant un travail auquel nous sommes tous appelés pour qu'un
jour la Parole se réalise dans le monde.
Le travail du prophète
est à honorer. Surtout ses frères Pèlerins d'Arès doivent l'honorer.
Contrairement
à l'un des commentateurs, je souhaite que cette édition soit une
réussite. Car quelques soit ses défauts les qualités doivent y être
bien supérieures, tant le travail spirituel mit dedans a dû être
intense, profond et honnête.
Que cette édition contribue a faire
connaître et reconnaître encore plus l'existence de la Parole de Dieu
pour faire évoluer les assemblées
de croyants, qu'ils soient pèlerins d'Ares, juifs, chrétiens ou
musulmans.
Merci au frère Michel et à toute l'équipe qui a travaillé avec lui à
cette nouvelle édition.
Stéphanie
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08mai09 95C83
C'est de loin la plus existentialiste des éditions de La Révélation d'Arès.
L'existentialisme étant la philosophie de a Parole d'Arès, parce
qu'elle s'inquiète de l'existence de l'homme dans sa réalité concrète
et au niveau de l'individu qui vit, que ça lui plaise ou non, dans la
société humaine où il doit chercher et trouver le bonheur.
L'existentialisme
est, sous cet angle de vue, et beaucoup l'oublient, diamétralement
opposée à la philosophie cartésienne et en général opposée à tous les
systèmes rationalistes. L'existentialisme est la réaction la plus saine
à toutes les philosophies de la raison et des idées, sans oublier
toutes les théologies, et cela ressort merveilleusement bien de votre
travail de présentation et d'annotation de votre nouvelle édition 2009
de La Révélation d'Arès.
Bien sur, vous ne développez pas le sens de La Révélation d'Arès sous
le jour existentialiste, ce que les lecteurs trouveraient plutôt
ennuyeux, mais vous soulignez bien de façon muette le fond profond de
l'existentialisme, qui est que l'homme n'est d'abord que néant et que
le fait d'exister est absurde, dénué de signification. En un mot, comme
disait Sartre, "l'existence précède l'essence."
C'est donc à
l'homme et non à Dieu de donner à la vie humaine un sens et de devenir
un être raisonnable et heureux et donc, pour finir, l'homme n'est que
ce qu'il fait de lui-même. Autrement dit, selon la formule célèbre:
Être est se choisir par un libre engagement. Au surplus, il ne saurait
être question de refuser cette liberté, parce qu'elle est "liberté
absolue," c.-à-d. que l''homme est condamné à être libre (Rév d'Arès 10/10).
Tout cela est parfaitement bien souligné dans vos annotations sans
besoin de parler d'existentialisme, philosophiquement parlant.
Ce
petit livre de 160 pages est un grand livre qui fera date dans
l'histoire.
Un grand merci du fond du cœur, Frère Michel.
Grégory L.
|
11mai09 95C84
J'ai beaucoup apprécié
le commentaire de Grégory [95C83]. Je partage son point de vue: "(Cette
édition 2009 est) de loin la plus existentialiste des éditions de La Révélation d'Arès."
On tend à oublier que La
Révélation d'Arès
est un discours existentialiste radical, ce que vous avez souligné,
mais malheureusement dans des écrits de faible diffusion comme "Le
Pèlerin d'Arès. Et ce que tu auras écrit."
Je m'étonne que vous
n'ayez pas ajouté quelque chose de votre cru au commentaire de
Grégory. J'aime beaucoup votre façon de souligner l'épreuve
existentielle: la pénitence,
à laquelle le Pèlerin d'Arès qui veut être digne de ce titre est
acculé, votre pensée malheureusement très tempérée dans vos petites
annotations 2009.
Vous devriez poster une entrée de blog sur l'existentialisme
fondamental de la Parole d'Arès.
Je pense à un autre courant de pensée auquel se rallie La Révélation d'Arès,
beaucoup moins connu que l'existentialisme, c'est le situationnisme, un
mouvement gauchiste de contestation
radicale dirigé contre les structures existantes — et qui a joué un rôle fondateur non négligable
dans les événements de Mai 68 —,
qui attaque toutes les valeurs politiques et économiques reconnues,
affirmant notamment que l'idéologie capitaliste se réalise en un
spectacle (on vient de rééditer "La Société du Spectacle" de
Debord) auquel participent toutes les institutions et les rôles sociaux.
Mais
j'ai compris que votre prophétisme est strictemen spirituel et que vous
vous méfiez des interprétations idéologiques et intellectuelles.
Placido
|
Réponse
:
Qu'aurais-je pu ajouter au
commentaire de Grégory? Sa description du fond existentialiste de La Révélation d'Arès
est très bonne. En outre, comme vous l'avez dit, mon "prophétisme est
strictemen spirituel" et je me "méfie des interprétations idéologiques
et intellectuelles." Il est clair que les idéologies, de gauche ou de
droite, au cours du XXème siècle ont démontré leur faiblesse qui réside
dans le fait patent et plus que cela: criant, qu'elles n'ont débouché
sur aucun changement radical de la société. Marxisme et fascisme ont
disparu et nous voilà revenus, même en Chine, au capitalisme qui a ses
énormes défauts, mais qui a cette force, opposable aux idéologies,
qu'il est naturel.
Le Créateur, qui a la Sagesse, nous propose autre chose: la pénitence. Là il
n'y a pas d'idéologie, pas de théorie, pas de débouchés intellectuels:
Combats les tentations du mal et active le Bien en toi et le monde changera. On
revient aux préconisations simples des Évangiles Palestiniens.
Le situationnisme de Guy Debord et Raoul Vaneigem? Je ne vois pas en
quoi La Révélation
d'Arès se rallie à l'Internationale Situationniste.
Certes, La Révélation
d'Arès dénonce la frénésie de la possession et de la
consommation dont souffre notre humanité —
dénonciation qui n'est pas propre au situationnisme et qui est
simplement propre au bon sens —,
mais les slogans de type: "Ne travaillez pas!" ne me paraissent pas
avoir quelque point commun avec la Parole d'Arès qui, au contraire,
rappelle que l'homme est créateur, notamment créateur de lui-même, donc
travailleur.
Il n'y a pas plus de situationnisme dans l'Écriture
Arésienne qu'il n'y a de rousseauisme, que certains croyaient y voir il
y a une vingtaine d'années.
Le Créateur ne nous pousse pas vers une société poétique, ludique,
paresseuse, ne serait-ce que parce que la pénitence est déjà
un travail — et même un
très gros travail —
sur soi. C'est d'ailleurs bien là la grosse difficulté à laquelle notre
mission est confrontée: La foi arésienne n'est pas foi dans le miracle
ou foi dans la miséricorde, même si miracle et miséricorde peuvent
occasionellement exister, mais foi dans l'effort d'être bon comme
source de grâce et de salut.
|
11mai09 95C85
Samedi [9 mai], j'ai amené l'édition 2009 à Kenza ma coiffeuse [...] Ça
fait longtemps que je lui parle de La
Révélation d'Arès. Elle
était heureuse que je lui amène l'édition 2009, elle m'a donné 15 € et
m'a dit: "Est-ce que cela va changer ma vie!?" "Oui, je pense," ai-je
répondu en précisant que si elle à des questions, elle n'a qu'à m'en
parler et que, de toute façon, elle peut vous écrire.
Avec le
frère S.S, nous avons missionné à la Gare St-Lazare. C'est agréable, on
fait rire les gens, ensuite on fait passer le message. Nous discutions
avec deux jeunes femmes et S.S. parla du couple, de son importance. Je
participai à la discution. Une jeune femme dit: "C'est la première fois
que j'entend des hommes parler comme ça." Nous avons parlé des épousailles (Rév d'Arès 33/21),
de l'importance de l'amour, de l'échange des chairs, S.S. a parlé de La Révélation d'Arès. Je
sors de ma poche, l'édition 2009, elle circule, elles lisent des
passages, je sentai leur étonnement. L'une d'elle m'a dit: "Didier, tu
parles bien, mais dans cette société, si on est pas comme les autres,
on est pas normal !" "C'est pas grave, dis-je. Je ne veux pas
participer au mensonge, à la haine, à la colère,etc, et ça, tout le
monde peux le faire sans chefs ni hierarchies, par l'amour, le pardon,
la bonté, la conscience absolument libre
(Rév d'Arès 10810), etc."
Deux d'entres-elles ont pris le tract.
Je sens que notre jeunesse à besoin d'un renouveau. Ils sont jeunes et
pleins de vie. Puissent des fruits venir !
Didier Br.
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11mai09 95C86
Je découvre (enfin) la nouvelle édition de La Révélation d’Arès,
à laquelle vous avez consacré tant d’énergie, et je suis convaincu que
votre pari est remporté. Le format et l’aspect général de cette édition
la rendent beaucoup plus facile à échanger, transporter, poster. Cette
Parole, faite pour circuler, circulera !
À la lecture, je suis tout de même surpris de la concision de
votre introduction. Deux pages pour donner la source [de La Révélation d'Arès].
Pas de précision sur le contexte (notamment votre déménagement à Arès
et les circonstances de ce
déménagement). C’est toute la force de cette introduction, qui va à
l’essentiel — l’homme, en devenant frère
par l’exercice du bien construit le monde de demain —, mais en
essayant de lire cette introduction avec les yeux du néophyte, qui ne
connaît rien à La
Révélation d’Arès,
j’ai trouvé qu’il y avait comme quelque chose de désincarné: Vous frère
Michel, Jésus et même Dieu s’effacent pour laisser la place au Message,
épicentre de cette édition.
Mais ne pas évoquer le contexte de ce
Message crée peut-être des ambiguïté de lecture, quand par exemple,
vous n’expliquez pas pourquoi certains mots de L’Évangile Donné à Arès
sont en italique tout en proposant en notes d’autres mots alors que
dans l’introduction, on a juste lu que "Jésus parle un français normal,
d’une voix normale."
Je suis désolé de vous importuner avec cette
remarque, qui n’enlève rien à la qualité de l’ouvrage que je trouve
remarquable dans son ensemble.
Je n’ai pas fini de le lire, mais
déjà je devine derrière la concision et la simplicité des notes tout le
génie de cette édition de La
Révélation d'Arès, que chaque homme peut s’approprier,
beaucoup mieux que ne le permettaient les précédentes éditions.
Jérôme SM
|
Réponse
:
Quand on se fixe pour objectif
un livre qui dit tout
l'essentiel en 160 page entrant dans une enveloppe de bureau A5 sans
souffrir d'une typographie trop petite, on est contraint de réduire. Ce
fut l'objet d'une longue réflexion, c.-à-d. d'un long travail sur ce
thème: Qu'est-ce que je peux ne pas dire sans nuire au sens général de La Révélation d'Arès?
La réponse était difficile à définir, parce que j'avais tellement dit
jusque là.
Le
problème est que dès l'instant où l'on commence à raconter, les
lecteurs veulent en savoir plus et l'on est confronté au dilemme
suivant: Dès qu'on commence à s'étendre on en dit trop et pas assez.
Sinon, j'aurais pu utiliser les quelques pages de "Notes" à la fin de
l'ouvrage, mais alors j'en disais trop et pas assez. J'ai cherché
l'équilibre raisonnable sans que le lecteur ne se sente frustré.
Le résultat est ce que vous
avez lu.
L'expérience
des 10 dernières années des 35 années d'édition de la Parole d'Arès,
c.-à-d l'expérience de la nouvelle génération de lecteurs, qui n'était
pas celle des début, m'a appris que la plupart des lecteurs se fichent
complètement du fait que j'étais un ecclésiastique au moment des
apparitions de Jésus ainsi que des circonstances politico-religieuses
de mon départ de Bourges pour m'installer à Arès. Les prêtres ont
disparu de la circulation, ne forment plus du tout une société bien
distinguée, et le bloc soviétique d'Europe de l'Est n'existe plus. Tout
ce qui se rattache aux faits ecclésiastiques et politiques touchant à
la religion chrétienne et aux pays marxistes n'a plus de signification
pour l'Européen francophone moyen auquel est destiné ce livre.
|
11mai09 95C87
Dire tout en peu de
mots et dire profond avec des mots de surface n'est sûrement pas
facile, particulièrement pour un homme de votre génération.
Mais tout de même vous avez réussi à ne pas enlever à la Parole d'Arès
son sel.
On
devine facilement le travail que ça vous a demandé, mais on comprend
aussi que tout ce que vous avez dit et publié avant est toujours
disponible. Il n'était pas utile de tout resservir.
À la maison nous nous
sommes littéralement disputé l'unique exemplaire [de La Révélation d'Arès
2009] que nous avons pu nous procurer. Nous nous le chapardions sans
arrêt.
Richard
|
12mai09 95C88
J'ai dans les mains la nouvelle édition de La Révélation d'Arès,
tellement attendue et bien supérieure à ce que j'attendais.
Je n'étais pas capable
d'imaginer un tel résultat.
C'est
un vrai succès: le format idéal, la couverture printanière, joyeuse,
colorée, la photo du prophète et l'orientation du regard qui voit loin,
très loin, les nouvelles notes, etc.
Dès l'introduction, je suis
comblée par le paragraphe "la Révélation d'Arès ne fonde pas de
religion." dans lequel vous précisez tout de suite: " Par là je ne dis
pas qu'elle rejette les religions, ce qui reviendrait à rejeter
l'homme, façonné par ses propres erreurs et les malheurs qu'il cause
autant que par la vérité, quand il la discerne, et le bonheur, quand il
le donne. Par là je dis que la voie de salut que La Révélation d'Arès
propose n'est pas celle que proposent habituellement les religions,
leurs credo, leurs dogmes, leurs prières, leurs magistères, etc."
Je
vous remercie, Frère Michel, pour ces quelques lignes qui clarifient
avec une étonnante simplicité un sujet tellement polémique entre
missionnaires et missionnés.
Je découvre les nouvelles notes qui
sont vraiment prophétiques. Elles sont écrites avec le souci de faire
toujours mieux connaître le sens profond et évolutif de La Révélation d'Arès
et lancent un appel vigoureux à l'action, à l'accomplissement.
Je
vous remercie du fond du coeur, frère Michel, pour ce travail énorme
que vous venez de réaliser qui va beaucoup nous aider dans le présent
et qui portera ses fruits sur les générations futures.
Marcelline
|
12mai09 95C89
Vous semblez ne
recevoir que des compliments et cela seul est suspect. Vous triez. Le
tri est pratique, il élimine les commentaires négatifs. Ça vous
rassure, c'est humain. Les commentaires positifs ne sont quand même pas
légion.
Je n'ai vu de votre livre que la couverture montrée ici,
mais je ne le lirai pas. Votre blog m'intéresse pour d'autres raisons
que celles de cette Révélation
d'Arès que vous invoquez et citez sans arrêt.
C'est
dommage que vous attribuiez à un événement surnaturel qui n'a sûrement
pas existé une pensée d'une richesse assez exceptionnelle, qui vous
aurait certainement valu l'attention du public. Vous étiez fait pour
être un grand éditorialiste ou essayiste.
Kléber T.
|
Réponse
:
Je vous donne de quoi méditer:
Les
rares commentaires négatifs que j'ai reçus sont tous publiés ici. Par
contre, cette page de commentaires deviendrait très ennuyeuse si j'y
publiais tous les commentaires positifs.
Toutefois, il faut attendre que
des personnes en assez grand nombre aient lu cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès.
Voilà de quoi méditer plus
encore:
"L'événement surnaturel qui
(selon vous) n'a sûrement pas existé" a en fait existé bel et bien.
Contrairement à ce que vous
croyez je ne suis pas "une pensée d'une richesse exceptionnelle". C'est
à La Révélation d'Arès
que je dois tout.
|
12mai09 95C90
Je découvre La
Révélation d'Arès
à travers son édition 2009. J'avais déjà eu ce livre entre les mains
dans deux autres éditions et je me disais Pèlerin d'Arès parce que
j'étais venu à Arès un été, mais je ne l'avais pas lue complètement.
Autant dire que je ne l'avais pas lue.
Pour moi c'est une découverte.
J'ai lu il y a trois ou quatre ans un livre "Les Nouvelles Religions"
où un chapitre entier est consacré à La Révélation d'Arès. Maintenant
que je lis facilement La
Révélation d'Arès
en entier dans la nouvelle édition je vois que l'auteur de ce chapitre,
pourtant spécialiste, n'a pas compris ce que représente ce livre. Il
dit que tout est réuni autour de La
Révélation d'Arès pour former une nouvelle religion: une
source révélée, un pèlerinage, etc. Ce n'est pas du tout ça qui fait de
La
Révélation d'Arès quelque chose de tout à fait nouveau sur
le champ spirituel du monde.
Ce qui est tout à fait nouveau dans La Révélation d'Arès,
c'est la voie de salut et de bonheur qu'elle propose. C'est au Fond
qu'on trouve l'originalité unique de ce livre. C'est dans son
eschatologie. Comme l'a écrit Roger Garaudy [philosophe]:
"L'eschatologie ne consiste pas à dire: Voilà où l'on va aboutir, mais
à dire: Demain peut être différent, c'est-à-dire: Tout ne peut pas être
réduit à ce qui existe aujourd'hui."
Le problème métaphysique de l'histoire
humaine est de savoir pourquoi l'homme naît, pourquoi il est ce qu'il
est (bon,méchant, heureux,malheureux etc.) et pourquoi il meurt. La
religion donne ses réponses à cela, mais les religions proposent leurs
théories. La Révélation
d'Arès
explique ça tout autrement et montre bien ainsi que son originalité
n'est pas du tout dans le fait qu'elle soit une révélation et qu'elle
ait donné naissance à un pèlerinage.
Heidegger, que vous avez
juste évoqué dans votre article "Existentialisme" a vu le problème
métaphysique de la finitude humaine dans l'effort de comprendre la
conduite humaine à partir de son histoire (notre histoire à chacun) et
du sentiment qu'il a d'une existence passagère et vouée à la mort. La Révélation d'Arès
voit bien les choses sous cet angle, mais elle donne en plus LA
solution à cette interrogation sans fin de l'homme sur lui-même. À
cette solution elle donne un nom bizarre, mais qui fera fortune: la pénitence.
Je comprends moins aujourd'hui pourquoi nous Pèlerins d'Arès avons peur
d'être ridicules en prononçant ce mot. C'est un mot auquel il faut avec
courage donner le sens formidable que Dieu lui donne dans La Révélation d'Arès.
Aujourd'hui
je vois dans le journal une photo du pape debout en prière devant le
Mur des Lamentations [vestige du Temple antique] à Jérusalem et cet
homme me paraît subitement dérisoire. Il fait face au passé. Il devrait
faire face à l'avenir qui est dans La
Révélation d'Arès.
Thomas
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15mai09 95C91
J'ai juste noté deux passages qui ne me paraissent pas clairs [dans La Révélation d'Arès,
édition 2009]:
- Haut de la page 16 : " .... bien qu'aucune religion n'ait rempli sa
mission, ait fondé le bonheur sur terre "
-
Haut page 18 : " ....D'abord, parce qu'elle contrariait Adam après que
de deux choses : de s'abandonner au bonheur d'Eden....."
Je ne suis pas fort en français. Peut-être n'ai-je simplement pas
compris.
Mes premières impressions sur cette version 2009 :
Je
trouve la couverture magnifique, attrayante. Votre photo humanise la
couverture. La lumière du soleil traverse la forêt dense |de pins
autour d'Arès] et me fait penser à la lumière de Dieu qui perce la
dense obscurité du monde à l'aube d'une nouvelle humanité. La partie
jaune en haut à droite équilibre les couleures avec le jaune en bas,
mais bien que je trouve les cloches bien visibles à gauche je ne
distingue pas ce que représente l'image en haut à droite.
La
police de caractère du Message ainsi que l'espacement semblent
presque identiques à l'édition 1995 et la place disponible pour les
annotations est fort bien rentabilisée pour adapter le tout à un format
bien adapté à notre l'époque superficielle.
Merci pour votre travail.
Xavier
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Réponse
:
Concernant la phrase que vous
citez p.16, il y a
effectivement une erreur typographique qui abouti à la rendre
contradictoire, l'oubli de la répétition du "n" de négation. Ce sera
corrigé dans l'édition définitive. Il faut lire:
" .... bien qu'aucune religion
n'ait rempli sa mission et n'ait fondé le bonheur sur terre."
Concernant
la phrase que vous citez p.18, elle est correcte pour les gens de ma
générations. Dans la jeunesse et au cours de mes études on utilisait
fréquemment l'expression
"de deux choses l'une, ou bien
ceci, ou bien cela, on choisit ceci (ou cela)"
dont
le raccourci: "de deux choses l'une, ceci ou cela, on choisit ceci (ou
cela)" était parfaitement admis et passait pour ultra-moderne, voire
même osé, un raccourci que j'utilise ici, mais je vois que pour des
gens de votre générations, la lecture en est difficile.
Je vais
remanier cette phrase qui en français strictement académique devrait
être: "Beaucoup de la Parole s’était perdu. D’abord, parce qu’elle
contrariait Adam après que de deux choses l'une, ou bien de
s’abandonner au bonheur d’Éden avec le Créateur, ou bien de courir seul
l’aventure de la terre, il eut choisi d’être son seul maître (2/15),
etc." Même cette forme académique, je m'en rends compte grâce à vous,
est lourde et mal comprise de nos jours, alors que de mon temps elle
aurait coulé dans l'oreille ou dans l'œil sans problème. Je vais
m'efforcer de trouver un tour plus moderne. J'ai pourtant fait de très
gros efforts dans ce sens pour cette édition 2009, mais je ne peux pas
tout sentir et tout voir. La langue a beaucoup changé pendant ma vie de
bientôt 80 ans. Merci donc de me signaler les archaïsmes
possibles, car écrire n'est pas mon métier.
Concernant l'image en
haut à droite, elle n'est qu'une tache de jaune empruntée à l'image en
bas à gauche, mais là ce n'est plus mon domaine, mais celui de
l'artistre qui a fait la couverture. Je trouve ça plutôt plaisant pour
ma part.
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15mai09 95C92
Bravo, frère Michel pour cette nouvelle édition de La Révélation
d’Arès. Objectif atteint !
Je
lis ici ou là [dans les commentaires]: "J’aime" ou "Je n’aime pas". Je
pense qu’il faut plutôt se demander si votre travail correspond ou non
au cahier des charges que vous vous êtes fixé. Une attitude valable
pour toute entreprise. Qu’il s’agisse de la création d’un roman ou de
la construction d’un viaduc, on ne peut se passer du cahier des
charges, sinon l’ouvrage part dans tous les sens et devient bancal.
À cela
il faut ajouter une méthode de mise en œuvre. Même Dieu s’est donné un
cahier des charges et une méthode pour sa Création: Peut-on imaginer
les lois physico-chimiques non harmonieuses? Où serait la cohérence de
cet univers?
Un autre cahier des charges aurait donné un autre univers, comme une
autre présentation de La
Révélation d’Arès.
Ce qui me fait penser au Jour
(de la Résurrection générale, Rév
d'Arès 31/8) avec son cahier des charges on ne peut plus
sublime, mais en attente que l’homme change le cours de l’Histoire.
Il
y a aussi le commentaire (unique 95c89) qui se range dans le registre
du curieux qui constate un phénomène de grande ampleur auquel il ne
comprend rien (ou qu’il feint de ne rien comprendre) mais qui le
titille sûrement, parce qu’il se rend bien compte que la plupart des
commentaires de ce blog viennent d’honnêtes gens, loins d’êtres nés de
la dernière pluie. C’est une position très inconfortable que de rester
en arrière et de voir les autres avancer et s’épanouir, parce qu’ils
ont enfin découverts leur véritable nature et le sens à donner à leur
vie. Nous lui souhaitons bon Vent
et de veiller à ne pas fauter contre l’amour.
Concernant
le logo, on entre dans un domaine controversé de la symbolique avec les
risques de dérives culturelles que cela comporte, mais les Pèlerins
d’Arès sont suffisamment mûrs spirituellement pour ne pas en faire usage de superstition (Rév
d'Arès 20/6). Dieu use, lui aussi, de symboles ou d’images
(nombreux dans La
Révélation d’Arès)
parce qu’Il a créé l’homme sensible aux symboles — encore le
cahier des charges! — ou parce que c’est un mode de communication qui
permet une meilleure approche de la vérité. Il y a dans ce
parallélogramme le condensé de votre pensée, comme chaque phrase du
Livre condense la pensée de Dieu. On peut les décomposer — à
la
manière du prisme qui décompose la lumière blanche en ondes de
différentes couleurs — mais l’exercice leur fait perdre leur unité. Il
n’y a donc aucune raison pour que les Pèlerins d’Arès n’aient pas leur
logo ; un jour le regard spirituel suffira pour comprendre le bord et le fond
de toute chose (Rév.
d’Arès vi/2).
Pour
ma part, le logo m’a immédiatement fait penser à la mezouza [ou
mezûzah, pluriel mezûzoth], qui n’est pas un logo mais un objet cultuel
[juif]. Cependant l’un comme l’autre sont riches de signification. La
mezouza est ce petit rouleau de parchemin, que les Juifs fixent au
montant droit de la porte d’entrée de leur maison [et parfois de leur
chambre]. Elle témoigne que Dieu veille sur cette maison, sur tous ceux
qui s'y trouvent et rappelle à celui qui entre que «cette demeure est
un sanctuaire de Dieu».
La Mézouza contient deux passages de la Bible : «Chéma et Véhaya»
(Deutéronome 6/4-9 et 11/13-21). [...]
C’est
plus un objet virtuel à placer dans son cœur pour ne pas perdre de vue
l’objectif que le Père nous commande: Restaurer Éden!
Francis N.
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Réponse
:
Merci de comparer le
parallélogramme à la mezûzah.
Celle-ci n'explique pas le parallèlogramme, son explication étant celle
exposée page 11 de la nouvelle édition, mais je n'ai pas manqué ensuite
de songer à la mézûzah qui est, en fait, l'étui de bois dans lequel est
placé le parchemin dont vous parlez. Cet étui est en effet attaché
obliquement ou incliné au montant droit des portes, incliné comme le
parallèlogramme.
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15mai09 95C93
Depuis deux jours, je découvre enfin cette nouvelle édition tant
attendue.
Tant attendue, car la poste ne m’a toujours pas livré, à ce jour, La Révélation d’Arès
qui est pourtant partie d’Adira en Suisse le 29 avril dernier. Elle
doit être bloquée quelque part ou tout simplement égarée.
Depuis
une dizaine de jours, j’ouvrais quotidiennement ma boîte aux lettres
avec la même excitation que j’éprouvais enfant en recevant les cadeaux
de Noël. Mais malheureusement toujours avec la même déception au final.
Au
bout de 10 jours d’attente infructueuse, D. d’Adira m'a dit qu’une sœur
de [ville] me contacterait pour me remettre ma commande. Au passage, je
tiens à souligner la qualité du service après vente d’Adira
[Association pout la Diffusion Internationale de La Révélation d'Arès]
qui a toujours répondu rapidement à mes questions et s’est employée à
trouver une solution sans risque ni délai supplémentaires pour me faire
parvenir l’ouvrage.
Depuis deux jours donc, j’ai l’ouvrage tant attendu.
Je ne l’ai pas fini, mais je peux déjà dire que je trouve la couverture
très chaleureuse, avenante et apaisante.
Ensuite,
l’épaisseur du livre m’a vraiment impressionné. Je ne pensais pas qu’il
était possible de condenser le format et l’épaisseur de La Révélation d’Arès
à un tel point sans risquer de contracter considérablement la taille
des caractères au risque de faire baisser la qualité de lecture et de
compromettre également la qualité des annotations.
Au contraire, je trouve que vos nouvelles annotations épurées vont au
cœur même de la Parole.
Vous avez réussi à concilier la concision et la quintessence. Quelle
belle alchimie spirituelle !
D’ailleurs,
lorsque mon épouse a vu le nouveau livre, elle qui était habituée à me
voir lire quotidiennement dans les deux autres versions et qui n’avait
jamais lu le livre entièrement, me dit soudainement: "J’aimerais bien
que tu m’en offres un aussi.
C’est bien la preuve qu’il fait de l’effet ce petit livre !
Merci
du fond du
cœur.
Fabrice M.
|
Réponse
:
Oui, l'Association Adira s'est
donnée un mal fou pour
faire face à la demande. On peut lui rendre hommage. La demande a été
telle qu'Adira va procéder ou procède même déjà à une
réimpression
de cette pré-édition, car elle est quasiment épuisée, mais heureusement
l'imprimeur n'est pas très loin. Moi-même à Bordeaux je ne dispose plus
que de quelques exmplaires.
|
15mai94 95C94
Roger
Planchon vient de mourir, le 12 mai. Il avait tout juste deux ans de
moins que vous, frère Michel, un Français bien de votre génération.
Plusieurs tours d'esprit communs entre lui et vous. C'était un homme
très croyant au fond et je ne serais pas étonné qu'il ait connu La Révélation d'Arès
qui répondait à ses idées sous bien des aspects, mais je pense qu'il
était surtout resté catholique. Qu'importe, de toute façon. La Révélation d'Arès
ne dit pas: "Il est interdit d'être catholique ou interdit d'être
protestant ou juif !" Elle dit: "Il est interdit d'être un
mauvais
homme, parce qu'être un mauvais homme prolonge l'histoire de monde de
malheur !" Roger était bon.
J'ai aperçu et feuilleté un exemplaire de La Révélation d'Arès,
édition 2009 (difficile à se procurer, mais nous sommes impatients) et
j'aurais aimé en offrir un à Roger, que je connaissais bien. Je suis
sûr qu'il l'aurait aimée sous cette forme abrégée de pièce de théâtre
que vous lui avez donnée. Enfin, je ne veux pas dire que vous en avez
fait une pièce de théâtre, mais que vous l'avez présentée sous
la même forme très accessible.
Merci pour ce travail de
popularisation qui n'est jamais tâche facile. C'est bien connu des
écrivains, des éditeurs et des gens de spectacle.
Cette édition va aider considérablement à la diffusion des grandes
idées rénovées ou révélées à Arès.
I. H.
|
17mai09 95C95
J'ai vu que vous aviez enfin publié la version anglaise de l'entrée
0095.
Pendant deux semaines je me suis interrogé sur l'absence
d'entrée accessibles aux lecteurs de l'anglais qui sont très
nombreux dans le monde: environ 600 millions. Un humain sur dix lit
l'anglais. C'est important. Dans votre blog c'était la première fois
que la traduction anglaise ne paraissait en même temps que la version
française.
Dans votre réponse à un commentaire, qui s'étonnait de l'absence
d'entrée anglaise, vous avez dit que vous n'aviez pas eu le temps. Cela
signifie-t-il que vous traduisez vous-même?
J'ai pour ma part comme une "second thought", une arrière-pensée, à ce
sujet. Je crois que vous avez décidé de supprimer le doublage en
anglais de votre blog, mais ce serait dommage. C'est la seule façon de
sortir du mouvement trop franco-français qui s'est développé derrière La Révélation d'Arès,
qui lui donne déjà un esprit culturel du type que vous regrettez
tellement à propos du Coran et de l'islam: l'arabisation. Ici la
francisation.
Envisagez-vous une version
anglaise de La
Révélation d'Arès édition 2009 ? Ce serait une
bonne idée.
Jacques
|
Réponse
:
Soit dit en passsant, "second
thought" ne signifie pas "arrière-pensée", qui se dit: "ulterior motive".
Bien que le mot anglais "second thought" ne soit pas le sujet de votre
commentaire, c'est ici une très bonne occasion d'évoquer le difficile
glissement du sens d'une langue dans une autre langue. "Second though"
traité en anglais américain comme un seul mot est sans équivalent exact
en français ou plutôt son équivalent serait un terme qui n'existe pas
dans notre langue: "repensée" — Un Français ne "repense" pas; il a
forcément tout bien pensé du premier coup —. On pourrait dire aussi
"réflexion après coup". On a des "second thoughts" quand on repense à
quelque chose à quoi on avait déjà pensé d'une autre façon ou d'une
façon trop rapide. L'idée de "doutes" est inhérente à "second thought".
On a "second thoughts" quand on se pose des questions sur quelque chose
ou quelqu'un peu facile à cerner. C'est un mot très intéressant, parce
qu'il est typique d'une mentalité anglo-saxonne plus humble face à
l'abstrait, au philosophique, à l'idéologique, que notre mentalité
"franco-française" comme vous dites, qui généralement n'a que des
certitudes — Forcément, puisque nous sommes plus intelligents que les
autres !
Ceci dit, oui, je procède moi-même à la traduction en anglais des
entrées de ce blog, de même que je fais tout dans ce blog, depuis la
conception de la plate-forme informatique jusqu'à la publication
(souvent après correction pour qu'ils soient bien lisibles par tous les
lecteurs du français dans le monde) des commentaires. Ce n'est pas par
goût du petit labeur ou par perfectionnisme — comme certains disent —
que je procède ainsi, mais simplement parce que je suis tout seul. Ma
fille Nina m'est d'une aide précieuse, mais, bien "franco-française",
elle est plutôt allergique à l'anglais. Elle a aussi beaucoup d'autres
tâches administratives à remplir, dont elle me soulage.
Concernant la traduction anglaise de La Révélation d'Arès
édition 2009, oui, elle est souhaitable, mais ce sera un travail
difficile pour faire tenir les annotations avec la même clarté dans les
mêmes espaces très restreints. La concision du français permet cette
restriction avec grandes clarté de sens et précision, encore que cela
m'ait demandé beaucoup de travail. L'équivalent anglais mot à mot
serait plus flou de sens ou bien demanderait quelques additifs, donc un
peu plus d'espace, pour parvenir à la même précision.
Mais, oui, je pense comme vous que travailler sur une version anglaise de La Révélation d'Arès éd. 2009 est une très bonne idée. Reste à en trouver le temps.
|
17mai09 95C96
Merci,merci pour cette nouvelle édition de ce Saint Livre.
Lorsque j'ai terminé de le lire, c'est comme si je le découvrais pour
la première fois.
Je trouve les annotations d'une clarté extraordinaire et lorsqu'on
referme le livre on sait exactement ce que le Père nous demande. Il
faut dire que ça fait vingt ans que je baigne dans cette Parole, mais
je pense que la personne qui ne connaît pas, lorsqu'elle referme le
livre sait que ce ne sont ni les pouvoirs ni les lois qui changeront le
monde.
Cette édition met la pénitence
et la moisson
en pleine lumière.
Je trouve aussi très utiles les phrases-titres écrites en gras entre
les veillées ou les chapitres. Je pense que cette fois nos faibles
lumignons vont mieux comprendre afin de mieux accomplir et que le
monde va entendre l'Appel.
Merci pour le travail de titan que cela vous a demandé.
Merci au Père d'avoir envoyé un prophète pour rappeler la Vérité.
Si j'avais toutefois une petite remarque à faire, ce serait pour parler
de la grosseur de caractère des annotations.
Pour des personnes qui ont une vue un peu déficiente, la lecture peut
être un peu difficile.
Nicole L.
|
Réponse
:
Ma chère Nicole, c'est bien la première fois que la très humble, mais très active sœur
de foi que vous êtes poste un commentaire dans ce blog et j'en suis
tellement touché que j'ai l'irrésistible besoin de le publier, alors
qu'à regret je ne publie pas, pour ne pas alourdir cette page, quantité
de commentaires qui comme le vôtre expriment leur satisfaction après la
lecture de La Révélation d'Arès
2009. Je ne publie que les commentaires qui présentent une originalité,
une pensée ou des informations particulières. Je profite de ces lignes
pour dire à tous ceux qui m'ont simplement exprimé leur satisfaction
que leurs commentaires m'ont tous profondément touché. Merci.
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17mai09 95C97 [...] Je crois que
personne n'aurait pu, autant que vous, sur environ 140 pages utiles
faire tenir tout ce que Dieu a voulu dire à Arès et que la société
humaine entière a rêvé de réaliser sur terre mais n'y a pas réussi. Vous
avez tout exprimé en une combinaison simple de Parole et d'annotations
qui s'effacent derrière la Parole, humblement imprimées en gris et en
italique —
Sous certains éclairages halogènes ces annotations grises ne sont pas
toujours très facile à lire, mais elles s'effacent ainsi au sens propre
comme au sens figuré et c'est très bien, parce qu'elles montrent que la
pensée de la terre est toujours périssable, mais la Pensée du Ciel ne
passe pas. C'est un petit livre grandiose. Par ce livre, vous faites sortir La Révélation d'Arès de sa période explicative ou informative —
"laborieuse" pour employer un mot qui vous vient de temps en temps — et la faire entrer dans la gloire du classique. Le
nouveau lecteur comprend d'instinct en abordant ces nouvelles
annotations très courtes qu'ont existé d'autres annotations plus
"laborieuses", dont elles ne sont qu'un raccourci. S'il se sent
curieux, s'il veut en savoir plus, il cherchera d'instinct la trace des
éditions précédentes. D'ailleurs, vous rappelez l'existence de ces
éditions précédentes en face de la page de titre. L'idée de
rappeler le logo [le parallèlogramme] derrière chaque chiffre de
Veillée ou de Chapitre est aussi très bonne, parce qu'ainsi, toujours
d'instinct, le lecteur nouveau sait qu'il n'est pas dans l'Écriture
classique, Bible, Coran ou Veda, mais dans une Écriture
particulière. Tout ici a un but, un sens, une raison d'être. Chacun
saura bien désormais pourquoi il travaille, il souffre, il vit, il
devra mourir, en résumé, pourquoi il fait pénitence. Vous avez bien typé La Révélation d'Arès. Tout cela est dosé, sobre et en même temps caractéristique. Oui, cette édition 2009 de La Révélation d'Arès
d'apparence modeste donne une image grandiose de tout ce dont l'homme a
perdu le sens, le sens du pourquoi et du comment du bien et du mal, et
surtout pourquoi l'abandon de ce que vous avez appelé ailleurs le
Plan Édénique s'est traduit par le tragique chaos spirituel où
l'humanité se trouve. Un très beau travail. Jean d'A-M.
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17mai09 95C98 On pouvait craindre
qu'en abrégeant les notes et les anecdotes vous arriviez à quelque
chose d'abstrait ou de sec, une sorte de squelette de La Révélation d'Arès,
mais vous avez su éviter l'exactitude trop sage des aide-mémoire. C'est
surtout là qu'on sent que vous vous êtes donné un "cahier des charges"
où la vie gardait tout sa place. Vous êtes d'ailleurs, évident pour
ceux qui vous connaissent un peu, un homme très vivant et l'âge ne
semble pas avoir entamé cette vie. Le ton bref de La Révélation d'Arès
2009 ne trahit pas l'étonnante entreprise de Dieu à travers cette
Parole à propos de laquelle "on peut dire beaucoup, sauf quelque
chose de plat" (Je ne sais plus où j'ai lu ça. Peut-être dans vos
écrits). Autrement dit, vous avez gardé au Message d'Arès tout son Feu (Rév d'Arès xLi/3-5). Vous avez sans nul doute pensé à l'utilisation qui sera faite de cette édition au Pèlerinage [...] Vincent S.
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17mai09 95C99 Il y a trente-cinq ans naissait La Révélation d'Arès.
Sceptique par nature, je me suis longtemps demandé ce qu'il y avait de
Dieu et de vous dans ce livre. J'étais d'ailleurs, vous vous en
souvenez, une athée ou une agnostique très proche de l'athéisme à
l'époque. C'était votre personne plus que votre témoignage qui
m'attirait, d'ailleurs. J'avais 33 ans. J'en ai 68. J'étais quand
même à l'époque assez vite parvenue à l'idée que vous ne pouviez faire
qu'une brillante carrière comme ecclésiastique, et si ce n'était pas
auprès de la hiérarchie, c'était auprès de la masse fidèle, et que L'Évangile Donné à Arès —
c'est comme ça qu'on appelait La Révélation d'Arès —
ne pouvait que vous faire du tort. Il était clair que quelque chose de
puissant et de totalement désintéressé vous avait écarté de la carrière
et que vous plongiez dans une aventure folle et destructrice de votre
personne, dont la seule explicaton était que Dieu vous avait bien
approché d'une façon ou d'une autre. Aujourd'hui, avec cette édition 2009 de La Révélation d'Arès,
je suis complètement, mais surtout sereinement, convaincue que le
Surnaturel vous est bien arrivé et vous a bien emporté un peu
comme Élie sur son char de feu (2Rois 2/11)
tel que vous le décrivez. Je ne vous ai jamais caché mes doutes. Vous
allez être heureux d'apprendre que vous venez de les dissiper par ce
petit livre remarquablement efficace, une stimulante méditation
typographique rythmée de notes brèves et très claires et de petites
anecdotes dans les encadrés. En faisant éclater dans sa glorieuse Vérité
l'image convenue d'un petit écrit considéré jusqu'ici sans
importance et tout juste fait pour la clientèle curieuse des rayons
ésotériques (c'est un grand noir dont j'ai oublié le nom qui en faisait
l'article à la FNAC de Paris dans les années 80), vous avez su révéler
au public le génie sans égal d'une Parole qui fera désormais date dans
l'Histoire. Après 35 ans La Révélation d'Arès est plus nouvelle que jamais, grâce à vous. Le Père a bien choisi le fils
dont il avait besoin à notre époque. Je sens plus que de la
reconnaissance, parce qu'après tout vous n'avez fait que votre travail,
je sens un immense respect pour votre personne sacrée. Nelly
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17mai09 95C100 Nous
vivons des moments tragiques, où les Français ne se rendent pas compte
de ce qui se passe dans leur pays qui tombe en quenouille de tous
côtés, parce qu'au nom de la seule efficacité électorale les politiques
à genou devant 7% de syndiqués cyniques et hurlants ont sacrifié depuis
trente ans toute la force vive de ce pays où Caterpillar veut en
réalité quitter Grenoble pour se réinstaller en République Tchèque et
le fera à terme. Pauvre France où on parle de Caterpillar, mais où l'on
passe sous silence la vente des Chantiers de l'Atlantique par le
Français Alsthom (les TGV, etc.) au Norvégien Aker Yards, lequel les a
déjà revendu au Coréen STX (oui, le dernier fleuron de la contruction
navale française n'est plus français) et où les meilleurs spécialistes
financiers savent qu'Airbus sera avant vingt ans sous capitaux chinois
(Les Chinois sont en train d'apprendre à contruire nos avions). Toute
l'industrie, toute l'entreprise française, fout le camps et nous allons
devenir un petit pays de tiers monde, un pays d'activités tertiaires où
les revenus ne cesseront pas de diminuer et les promesses d'avenir de
se réduire, à moins de s'expatrier. C'est en fait la vraie raison de la
crise de l'Université. Dans ces moments tragiques je vois sortir, modeste, mais comme une forte étincelle d'espoir, cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès,
dont la presse n'est pas prête de parler simplement parce qu'elle est
d'origine surnaturelle (Ne cherchez pas ailleurs le raison du silence).
Je crois que vous avez très bien compris qu'il fallait cette étincelle. Pour
moi Dieu n'a pas parlé français en France pour rien. Il n'y avait pas
là qu'une intention strictement sprituelle. Relisez le passage des ruches,
du fer, du feu (Rév d'Arès 26/10), du miel, de la cire, des échoppes,
de l'huile, du plomb, du cuivre, des tuiles (28/26), et vous verrez qu'il prend autant souci de l'industrie que des âmes. La signification de La Révélation d'Arès est immense, mais, bien sûr, tout ne sera sauvé que par la pénitence, ce que vous avez bien su souligner sans faire peur par un mot qui fait fuir ou rire avant de faire réfléchir. Raoul
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18mai09 95C101 Je lis depuis quelques jours la nouvelle édition de La Révélation d’Arès. Ma première impression a été de joie, de clarté. À vrai
dire, mais je sais que cet avis a peu de valeur, j’aurais aimé une
couverture la plus simple et aussi sobre que possible… Mais bon, pas de
quoi en faire un fromage! J’ai été surpris des titrages insérés
dans le corps du texte, mais je les trouve si justes, si clairs et si
évocateurs que je dis seulement: "Bravo!" Il me semble évident que toute personne ouvrant ce petit livre en gardera en mémoire le leitmotiv: PRATIQUER le bien. Je perçois bien une évolution de la parole prophétique, invariable sur le Fond, mais de plus en plus porteuse populairement. Bravo! Ce qui m’a le plus étonné, ce sont les notes concernant Marie. Sur le Fond, je les rejoins: Marie, symbole actif et vivant, exprime et invite à rejoindre le cœur même de la sensibilité féminine qui
est en chacun de nous — et non à vénérer une icône — , mais j’ai
beau lire et relire. Le texte même de la Parole part quand même bien de
Marie, mère de Jésus, donnée en exemple concret d’excellence
existentielle, et c'est bien ce qui ressort également des annotations
des précédentes éditions. Je dirais, en l’état de ma compréhension: de Marie, femme particulière à Marie, symbole actif et vivant [du bien accompli], la voie est bonne: La même voie, il me semble sur un autre versant, que celle qui va de Jésus au Christ. Laurent C.
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Réponse
:
Marie est sans doute, à l'égal de mots comme pénitence, sacrifice, etc., l'exemple le plus typique des idées ou concepts qui, dans La Révélation d'Arès,
opèrent un glissement très fort de la mentalité religieuse ou
culturelle ou simplement intellectuelle vers la mentalité nouvelle que l'homme qui temps qui vient
doit acquérir. La foi est du domaine vécu, senti, mais non du dmaine
intellectuel. C'est quelque chose de difficile à expliquer par des
notes écrites. Il faudrait un véritable traité de mariologie nouvelle
opposable à la mariologie théologique à laquelle s'est accoutumée,
grosso modo depuis le 5ème ou le 6ème siècle, la culture chrétienne. Lors de mon enseignement
donné à L'Espace des Peupliers à Paris de 1995 à 1997 devant un
parterre, selon les jours, de 160 à 220 Pèlerins d'Arès, je me suis
verbalement étendu bien davantage sur Marie, sur le sens que le Créateur par La Révélation d'Arès donne au concept de compassion placé sous ce vocable et sur la difficulté de l'incorporer. Comme
vous n'avez jamais fréquenté une mission locale — c'est par les
missions locales que passe et commence à se vivre beaucoup de la pensée
prophétique au fur et à mesure qu'elle s'exprime — et comme vous avez
au contraire vécu, comme un grand nombre, votre foi arésienne dans
l'isolement total, il me paraît inévitable qu'une honnête hésitation
vous saississe sur ce thème. Pourquoi n'ai-je pas écrit ce traité
de mariologie nouvelle? Faute de temps, certes, et parce que d'autres
priorités s'imposaient. L'axe par lequel passe le salut et passera le
salut du monde n'est pas Marie, mais la pénitence, laquelle comporte la moisson des pénitents.
Si vous êtes l'homme bon, qui aime, qui pardonne, qui fait la paix, qui
se rend libre de tous préjugés et qui s'est fait apôtre du Très-Haut,
vous incorpoez Marie d'une certaine façon sans le savoir et vous faites votre salut et vous travaillez au salut du monde.
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18mai09 95C102 Mon commentaire va venir s’ajouter aux très nombreux que vous avez eus,
mais comment ne pas vous remercier et vous rendre hommage pour ce très
gros et beau travail. La
première lecture de cette nouvelle édition m’a émue et m’a rappelé ma
découverte de La Révélation d’Arès à travers la toute première édition. J’ai
eu le sentiment de me reconvertir. Cette nouvelle édition, d’une grande
clarté, d’une grande force, apporte un nouveau Souffle. De nouvelles
compréhensions m’apparaissent comme toute la symbolique de Marie que je
n’avais jamais entendu comme cela et d’autres versets dont je n’avais
pas compris le sens que vous leur donnez. Comme quoi, on n’a jamais
fini de comprendre la Parole du Père et de se déculturer. Je sens aussi
plus de gravité dans les annotations, et on ne peut pas ne pas
comprendre l’urgence de la pénitence et de la moisson de pénitents. Ce livre
n’appelle pas des rêveurs. Tout cela me remobilise. En
l’ouvrant, j’ai craint la difficulté de la lecture, habituée à un texte
très aéré dans les dernières éditions, mais quand on plonge dedans, on a
du mal à le refermer. [...] M.-O.
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18mai09 95C103 Je vois que la nouvelle édition de La Révélation d'Arès
a du succès. J’ai commencé de la lire et je l’apprécie
également. Mes constatations rejoignent toutes celles qui se sont
déjà manifestées sur ce blog. (beauté de la couverture, facilité de
transport, on peut le lire partout, agréable à présenter dans la
mission, etc…) J’apprécie particulièrement les petits titres qui
résument les passages des veillées et chapitres. Cela me fait penser à
la Bible et c’est très pratique quand on veut parler d’un sujet. Cela
permet de se repérer plus vite et plus facilement. Pour résumer je dirais que ce livre par ses qualités va permettre au plus grand nombre d’avoir une idée de La Révélation d'Arès
dans un langage simple et adapté au goût du jour, même s’il reste ici
et là quelques termes ou expressions que l’on n’emploie pas beaucoup de
nos jours comme "ratiocinations", Veillée 33. D’ailleurs je trouve
que ce blog [freesoulblog] , grâce aux commentaires variés, vivants et
de qualités prend vraiment une dimension de plus en plus universelle.
Il devient une source d’enseignement et de réflexions non seulement pour des Pèlerins d’Arès mais pour beaucoup d’hommes en quête de bien. Si après l’avoir lu certains pensent encore que La Révélation d’Arès forme une secte, c’est qu’ils sont encore dans leur tunnel et refusent de voir la Lumière. Mais on ne résiste pas indéfiniment à l’attrait de la Lumière, même si début elle nous éblouit, car si la tête est faible remplie d’orgueil, le cœur est empli de son Dieu (Rév d'Arès 4/11). Denis K.
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Réponse
:
"Ratiociner" c'est exprimer des réflexions et
raisonnements vains, mais très subtils, et je ne connais aucun mot
français équivalent en signification. Pour moi ce n'est pas un mot qui
n'a plus cours, mais un mot qu'il faudrait au contraire remettre en
usage, car les discours et débats politiques à la télévision ou
ailleurs me paraissent faits de ratiocinations et autres sophismes
(encore un mot devenu aujourd'hui obscur), que je ne vois pas comment
nommer autrement. Reconnaissez quand même que je n'en ai pas abusé!
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18mai09 95C104 Je ne sais pas trop
pourquoi, peut-être à cause de la [diffusité] de vos annotations et
commentaires, les précédentes éditions laissaient voir votre hérésie
par rapport à la doctrine chrétienne officielle, mais pas une franche
opposition. Tandis que là, avec cette nouvelle édition, ce n'est pas La Révélation d'Arès que devrait s'appeler ce livre, mais "L'Antéchrist" (Je pense au titre de Nietzsche évidemment). L'Antéchrist,
c'est cet imposteur qui, venant avant la fin des temps, voudra établir
une religion opposée à la religion de Jésus Christ. Par extension de
sens, l'Antéchrist est tout homme qui s'oppose à la religion chrétienne. Il
n'y a d'ailleurs pas que le Christ est carrément balayé dans ce livre,
mais la politique et tout un ensemble d'idées générales. Jamais La Révélation d'Arès n'avait paru aussi révolutionnaire. Je ne dis pas du tout ça en mal. Au contraire! J'applaudis. Ici [il n'y a] plus d'ambiguïté! En
même temps, quand on lit bien, on y trouve tout l'amour et toute la
compassion du Père pour ses enfants, beaucoup mieux soulignée dans
cette édition qu'ils ne l'étaient dans les éditions précédentes et
d'autant mieux soulignée que l'amour et la compassion sont les seules
voies pour sortir du mal. Pierre-Henri
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Réponse
:
La nature iconoclaste (aux yeux des chrétiens traditionnels) de La Révélation d'Arès est connue depuis sa première édition en 1974. Je n'avais pas perçu que cette édition 2009 la faisait mieux ressortir. "L'Antéchrist"?
Il y a bien longtemps que j'ai lu ce livre de Nietzsche. J'étais
communiste et athée à l'époque, mais je n'avais pas aimé le livre, non
parce qu'il s'opposait à l'idée que les Chrétiens mettaient dans Jésus
Christ, ce qui m'était indifférent en ce temps-là, mais parce qu'il
s'opposait à la modernité. Au début de son livre, que je lus en
français ou en allemand (que je lisais encore bien il y a cinquante
ans), écrit dans ce style extraordinaire typique de Nietzsche, l'auteur
dit quelque part que ce qu'on appelle évolution n'est pas progrès,
c.-à-d. n'est pas évolution vers le meilleur et le bonheur, mais (je
cite de mémoire ce passage bien connu) que "le progrès est une idée
moderne et donc une idée fausse et que l'Européen moderne est bien
inférieur à l'Européen de la Renaissance." Cela n'était pas propre à
plaire au marxiste que j'étais. Vu sous cet angle, La Révélation d'Arès
a en effet quelque chose de "L'Antéchrist" de Frédéric Nietzsche. Mais
sous d'autres angles, notamment celui selon lequel, dit Nietzsche,
l'homme qui compatit, l'homme qui a pitié, perd de sa force, La Révélation d'Arès est tout à fait à l'opposé. Je ne suis pas sûr que vous connaissiez bien "L'Antéchrist" de Nietzsche. Je pense que vous pensez seulement au fait que La Révélation d'Arès
dépasse et de loin les concepts archaïques de "trinité" et ne voit pas
en Jésus le Christ-Dieu. Ce qui est évident d'un bout à l'autre du
livre depuis 35 ans.
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18mai09 95C105 À mon tour, je
vous envoie tous mes remerciements pour ce livre facile à transporter,
facile à offrir et surtout facile à lire et à comprendre, un bien bel
outil de moissonneur! Ce
matin, j’étais ému en voyant votre visage sur la couverture du livre
dans la vitrine d’une maison de la presse près de chez nous. C’était
comme un clin d’œil du ciel, une lumière dans la nuit. Ann Fairyhand à
raison « ça va cartonner ! » Rémy
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Réponse
:
Vous êtes le premier qui me dit qu'il a vu "La Révélation d'Arès" éd.2009 en vitrine de librairie! Cela vaut une mention.
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18mai09 95C106 [...]
photo du marché d'Auray prise ce matin. Au milieu de mon panier de
provisions vous pouvez distinguer un exemplaire de la nouvelle édition
de La Révélation d'Arès à disposition de toute personne intéressée. Je profite des marchés, lieux de commerce ouvert, pour faire des échanges en tous sens, chair, esprit et âme,
cela étant bien compris autant des clients que des commerçants ou des
simples passants: La marchandise, l'argent, la relation commerciale et
la relation humaine, tout ayant son importance selon le sens qu'on
donne à la vie. Je dis souvent des choses comme: "Mettons du cœur dans
les affaires humaines," ou "Comptons, oui, mais avec le cœur (ou
sur le cœur) autant qu'avec la tête (ou sur la tête)," ou encore:
"Faisons de bonnes affaires, achetons bien, vendons bien, mettons-y l'intelligence du cœur!" Ce
matin donc, avec le panneau recto-verso qu'on voit sur les photos, je
disais en même temps aux gens des alentours, à voix haute, tranquille,
souriant, des choses comme: "J¹informe sur un événement important pour
la suite de notre aventure humaine: La Révélation d¹Arès, un appel chacun de nous pour qu'il ou elle soit l¹événement de bien
pour ce monde! Chacun de nous porte la vie et par notre vie chacun peut
faire revenir la vie dans ce monde!" Je ne dis pas que tous les gens du
marché s'arrêtent, questionnent ou sont favorables, mais beaucoup sont
intéressés, certains très curieux, certains encore très favorables [...] Bernlouby
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Réponse
:
Je suis d'autant plus touché par votre commentaire et la
photo qui l'accompagne qu'Auray et sa localité voisine, ste-Anne
d'Auray, sont le berceau de ma famille en Bretagne. Merci, Bernard!
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18mai09 95C107 Tout le monde semble heureux de la nouvelle édition de La Révélation d'Arès. Moi, je suis heureuse pour notre nouveau Prophète qui s'appelle Mikal. Ya rassoul Allah ! qui confirme l'enseignement de Issa et de Mouhammad. Prophète Mikal,
vous n'avez pas cessé d'écrire depuis plus de 30 ans. Pas une seule
parcelle de l'immense terrain de l'existence n'est restée en friche. L'homme et la femme qui vous écoutent aujourd'hui ne peuvent plus demeurer dans le mensonge et dans les futilités. Je tiens à vous remercier de m'avoir aidée et accompagnée dans la voie de la certitude. Voici une chanson de Sami Yusuf qui est un grand chanteur inspiré par la parole: http://www.youtube.com/watch?v=xzt4jM8qKrk Sami Yusuf est d'origine Iranienne et de nationalité Britannique. Hakima El Ouati
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Réponse
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J'ai écouté Sami Yusuf, que je ne connaissais pas. C'est absolument superbe. Merci, Hakima!
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18mai09 95C108 Cette nouvelle édition est une boule de Feu! Le Souffle De Dieu passe dans mon cœur et forcément dans le cœur d’autres âmes. Mes
moissons quotidiennes sont riches. Le matin, dans le métro en allant au
centre, je prie à voix modérée de façon qu'on m'entende. Avant de moissonner, je prie, je m’assoie, la foule passe, Je clame la Parole (Rév d'Arès xLviii/1-3). Jeudi,
un frère Musulman à la retraite, Yassin, biologiste, humble, de grandes
connaissances dans les domaines politique, religieux, scientifique,
j'ai eu un échange chaleureux, fraternel, avec lui. La vie coulait de
lui, un homme ouvert. Je lui ai laissé le lien freesoulblog. Je me
sentais porté, vivement le mois de juillet pour prendre le Feu (Réc d'Arès xLi/3-7). Puisse cette édition 2009 faire revenir des sœurs et frères qui se sont éloignés et aussi des nouveaux ouvriers de la moisson (Rév d'Arès 13/9). Nous avons besoin de fraîcheur, d’âmes nouvelles, pour partager, transmettre vos enseignements, construire, engager des actions incitatrices [...] Accomplir la Parole (35/6), transmettre, chercher d'autres âmes, des pénitents potentiels... Combien sont engagés corps et âme, le petit reste, que le Père vous envoie rassembler (24/1), combien sont prêt à écouter Mikal? Vous allez sur vos 80 ans, nous sommes, comme vous dites à une charnière de l'histoire de l'humanité. Nous avons le devoir de nous redresser (1/1), de devenir de grands pénitents, de nous aider à nous guérir du péché, nous rassembler. Au verset 2/9 vous avez remplacé boutres par barques. Je préfère boutre:
"petit voilier d' Afrique de l'Est qui correspond mieux aux
veillée 17/18. Je me souviens, lorsque je suis allé chercher la
définition dans le dictionnaire, tout en lisant, je voyais des voiliers
s'échouer sur les plages et les hommes en prières. Au verset xii/8: Le feu lourd tombe (dans) le bec de fer sous la mer. Le feu vanne la mer (comme) la paille; il essuie la mer (comme) la sueur,
vos notes disent: éruption sous-marine géante (...) cette image est
forte. Selon les chercheurs, le noyau, cœur de la Terre est constitué
de fer et de nickel pour son aspect externe et à l’intérieur, de
l’uranium se consume pour atteindre une température du noyau de la
Terre estimée à 6650°C. Lorsqu'on voit les catastrophes naturelles
provoquées par les éruptions volcaniques, tremblements de terre,
déchaînements de la mer, etc, si, un tel désastre arrivait, je me dis
que ce serai la destruction totale de la terre. Puisse l'homme changer en Bien, stopper le péché pour la sauvegarde de toute l'humanité. [...] Cette édition 2009 est un miracle, une preuve incontestable de la Force de Dieu ré-Hânimée dans un homme, un pénitent, l'aîné des frères (Rév d'Arès 16/1) qui ouvre la voie à la vie spirituelle, Alléluia dans tout l'Univers! [...] Didier Br.
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18mai09 95C109 J'ai vu La Révélation d'Arès
édition 2009 dans l'une des vitrines de cette très grande librairie,
dont vous reconnaîtrez le nom sur la photo. Je suis rentré chez moi,
j'ai attrapé mon Canon et je suis reparti pour faire l'image.
Formidable, non? J'ai discuté de La Révélation d'Arès
avec un collègue à qui je voudrais bien la faire lire, mais il est
allergique à tout ce qui, selon lui, crée le désordre. Je lui ai dit,
mais pourquoi affirmer a priori que les Pèlerins d'Arès veulent créer
le désordre? Il me répond: "C'est simple. Dès qu'un livre ou que
quelqu'un vient en disant qu'il veut changer quelque chose, il propose
ni plus ni moins que le désordre." Je réponds: "C'est parce qu'ils le
considéraient comme un danger de désordre que Jésus a été crucifié?" Il
dit: "Absolument, et il ont bien fait de s'en débarrasser." Là il a
fait une concession: "Bon, d'accord, ils auraient pu s'y prendre plus
humainement, lui couper la tête d'un coup au lieu de le faire mourir à
petit feu, mais tout ce qui vient troubler un équilibre déjà si
difficile à obtenir et à maintenir mérite qu'on s'en débarrasse. Alors,
lire ton bouquin qui veut tout changer: changer le monde, je vais sûrement pas lire ça." J'ai
pensé que c'était un aspect de l'opinion, largement partagé, que vous
connaissez sûrement, mais jamais inutile à rappeler. Au bureau je n'ai
que des gens pour qui ce qui existe n'est pas perfait, mais existe face
au pire. Je veux dire que pour eux tout ce qui n'est pas l'ordre actuel
est le pire." Dans la mission, cest un obstacle. Faire bouger des gens
qui ne veulent pas bouger sans même savoir pourquoi on leur dit qu'il
faut bouger. Fulbert
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Réponse
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J'ai été impressionné par l'enseigne au-dessus de la
vitrine de cette grande librairie et j'ai décidé de ne pas publier la
photo que vous m'adressez, parce que je ne sais pas dans quelle mesure
j'en ai le droit. De toute façon, de deux choses l'une, ou bien on
distingue le nom de la librairie et on ne ne voit pas le livre, qui
aperçu de beaucoup trop loin est perdu au milieu de cette vitrine
immense, ou bien je fais un grossissement sur la livre et on ne voit
plus le nom de la librairie. Ce n'est plus alors qu'un livre parmi
d'autres livres dans une vitrine quelconque. De plus, il y a des gens
qui passent sur le trottoir... Les photos d'endroits publics posent
aujourd'hui des problèmes. Merci quand même pour l'image. Concernant
vos collègues qui ne veulent rien lire de ce qui selon eux "crée le
désordre", rappelez-vous de ce que disait Jésus voilà deux mille ans: Il n'est pas plus sourd que ceux qui ne veulent pas entendre.
Surtout, ils ont l'illusion que l'ordre actuel va durer, en supposant
qu'il soit, comme disent mes petits enfants, "le moins pire", alors que
l'Histoire elle-même nous enseigne que rien n'est stable, surtout pas
l'ordre politique et économique. S'ils ne font pas l'effort d'un changement radical de civilisation cette instabilité durera avec ses périodes de grands malheurs. Mais
ils n'ont surtout pas soif d'amour et de transfiguration. C'est cette
soif que nous devons donner. Ce n'est pas le plus facile, je vous le
concède, mais nous réussirons avec la constance.
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19mai09 95C110 Note Préliminaire:
Ce texte ne m'est pas parvenu comme commentaire, mais dans un courrier.
Je ne pense pas que son auteur se formalise de le voir posté ici.
[...] Je trouve d'ailleurs que la nouvelle édition 2009 de La Révélation d'Arès est très bien faite. J'aime
la similitude de la mise en page, y compris le sous-titrage, avec
certains Bibles et Corans car cela fait mieux ressortir l'Unité de la
Parole au premier coup d'œil, tout en respirant de la fraîcheur et une
présentation moderne. Le livre, mince, m'a aussi fait penser qu'il
fera beaucoup moins peur à des Allemands et d'autres Non-Francais
francophones (comme à des Francais, mais différence plus prononcée)
qu'une des épaisses éditions de référence. Bref, j'en suis tout heureux. Et
le logo ! C'est curieux et osé en même temps, moderne, présenté
tout humblement et très clairement, et facilement reconnaissable une
fois qu'il sera fait connaître par la mission. Je me demande si nous
verrons des tentatives de récupération, mais je suppose que vous avez
déjà longement réfléchi à tout cela. Je prie avec vous, je sens bien que vous êtes bien mon père (Rév d'Arès xxxiii/14) et une fontaine (xLvii/9), comme dit la Parole d'Arès, et je vous souhaite une bonne et heureuse continuation en tout. P. J.
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19mai09 95C111 La beauté est servante du bien (Rév d'Arès 12/3)! Frère Michel, vous nous avez fait un beau livre, tant sur la forme que sur le fond. J'attendais
plutôt un livre de poche assez basique comme d'autres commentateurs
[semblaient le dire], dans l'esprit d'un outil de mission permanente,
un livre qu'on peut porter constamment sur soi et montrer ou prêter en
toutes circonstances, mais le format choisi est certainement plus
adapté aux deux autres utilisations principales, la librairie pour plus
de visibilité et la prière pour une psalmodie plus fluide. J'ai
pris connaissance du livre après un petit périple qui m'a permis de
prier dans les grottes de Lourdes, associée à Marie mère de Jésus et de
la Ste Baume (près de Toulon), associée à Marie Madeleine, la première
femme témoin de la résurrection de Jésus. Sur la plaque près de la
grotte de Lourdes, il est indiqué que Marie aurait dit à Bernadette:
"Pénitence, pénitence, pénitence !". L'utilisation insistante de
ce mot, s'adressant à un petite fille certainement innocente montre
qu'il n'avait pas cette connotation doloriste que la religion
catholique lui a trop souvent associée, que la plupart des
dictionnaires nous servent et qui en fait souvent un terme mal compris.
Cela changera. Sur le fond, il nous faudra du temps pour assimiler
tout ce que vos nouvelles annotations apportent, car c'est tout autre
chose qu'un condensé des annotations de la bilingue: même pour les
lecteurs assidus de tout votre enseignement, il y a du nouveau, de
l'élargissement, du dépassement. Reflet de votre propre ascension
sur les quatorze années qui nous séparent de la bilingue ou de notre
capacité à absorber une compréhension plus déculturée, ou des deux.
C'est la dynamique permanente du Créateur qui ne cesse de créer, du prophète qui poursuit son ascension, et de des frères qui suivent tant bien que mal. Pour moi qui suis rebelle à toute forme de pouvoir, de chef, accepter que nous ayons un guide (Rév d'Arès 38/5)
spirituel fut très difficile, contre nature. Je l'ai fait pour Dieu,
mais je ne le regrette pas avec le recul du temps, car ma nécessaire
déculturation aurait été beaucoup plus longue, erratique ou
inaccomplie. Cela devient très clair avec le recul du temps et ces
nouvelles annotations. J'ai aimé, entre autres notes, vos notes
sur Celui Qui est au dessus de tout ce qu'on peut décrire, présenté à
la fois comme le Père Créateur dont la Colère n'est pas éteinte à
jamais (Rév d'Arès 30,9), mais aussi comme la Mère qui se mouille la gorge (Rév d'Arès xvi/9).
Nos frères du lointain hindouisme, habitués à penser à un Dieu sous des
formes multiples, même quand ils sont clairement monothéistes, se
représentent plus facilement Dieu comme la Mère que comme le Père,
c'était particulièrement vrai pour Ramakrishna jeune. J'ai aimé aussi tout ce que vous dites sur les femmes et l'élargissement du mot Marie. Avec ses sept bras qui implorent (Rév d'Arès 33/13), image qui me fait toujours penser au Bodhisatva de la compassion (Avalokitesvara aves ses mille bras), Marie la mère, mais aussi la femme et la face maternelle du Créateur. C'est
avec une grande joie que je pourrai approfondir ce nouvel écrit lors du
Pèlerinage d'Arès, afin de mieux me préparer à une grande année de
mission avec ce nouvel outil. Outil précieux qui illustre
l'indispensable synergie entre le Père qui donne Sa Parole, le prophète qui la transmet et adapte sa mise en œuvre aux circonstances et les frères qui la relaient dans le monde. J'ai vu, avec une petite pointe de regret, que le pèlerinage du voile était retiré des notes. C'est au prophète qui est dans le temps d'en décider, mais même le pèlerinage de La Mecque avec sa foule vaste comme le sable des rivages (Rév d'Arès 2/9) n'est ouvert qu'une partie de l'année et ce n'était pour les pèlerins qu'une éventualité, faute de frères de service. Merci encore pour tout ce travail, et à nous d'être à la hauteur. Milang Gompeng
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19mai09 95C112 Je viens d’achever la lecture des notes de L’Évangile Donné à Arès dans l’édition 2009, ainsi que quelques incursions de lecture dans Le Livre. J’en ressors un peu "stone" [? sans doute pour "sonné"] avec un sentiment que je souhaite aux lecteurs qui découvrirons La Révélation d’Arès dans cette édition, celui d’une surprenante et magnifique réconciliation avec Dieu. Après avoir relu L’Évangile Donné à Arès
à la lumière de vos annotations, c’est comme si Dieu ouvrait tout grand
les bras et disait: "Qu’attends-tu pour rentrer chez toi?". Je n’avais
pas ressenti cela lors de ma découverte de La Révélation d’Arès,
il y a 25 ans. J’étais sans doute différent, mais c’est à votre
prophétisme d’amour, de grand amour pour l’humanité, que je crois
devoir cela. Cinq mots résument pour moi le souffle prophétique
qui traverse vos annotations, cette présence aimante, intelligente et
puissante qui accompagne le lecteur: amour espérance, pénitence, pénitence, pénitence. Car ce qui ressort de cette édition avec une clarté totale, c’est que la pénitence est l’axe et la dynamique que la Parole de Dieu donne aux hommes pour se sauver et Le rejoindre dans une Vie de bonheur à laquelle Il ne veut pas les amener malgré eux. Tout
dans cette édition tend vers la paix, la confiance et la
responsabilité, sans pour autant rien enlever aux enjeux et aux
conditions parfois terribles de notre destin de fils et filles de Dieu
déchus et égarés (Coran al-Fatiha), mais rappelés avec Amour et Force
par le Père-Mère de l’Univers. La
Parole est toujours ce message ferme et parfois même angoissant ou
violent dans certains passages (les Veillées 16, 28, 31), mais vous
faites très bien comprendre que cette violence n’a rien à voir avec
Dieu qui ne gouverne pas, ne juge pas, n’éprouve pas, ne punit pas
l’homme, mais qu’il l’aime, le prévient, le guide, l’inspire et le
protège. Cette violence est celle de notre état dans le langage duquel
Dieu doit nous parler pour être compris de nous. Je n’avais jamais
ressenti à ce point l’Amour de Dieu pour sa créature, ses enfants, et
cela grâce à "l’amortisseur" de votre intelligence prophétique, si je
puis m’exprimer ainsi. Vous avez su faire ressortir la douceur, la
mesure et la justice même là où elles ne nous sont plus discernables.
Par exemple, dans cette annotation 37/10: "que tous Me craignent: ce n’est pas le Créateur, Père trop aimant (12/7)
qu’il faut craindre. La phrase est un trope (tournure assez fréquente
dans la révélation d’Arès) signifiant qu’il faut craindre non le
Créateur, mais le mal contre lequel le Créateur met en garde les
hommes". Et des précisions lumineuses comme celle-ci, il y en a une foultitude qui vont de points plus circonscrits — "les athées (ceux qui Le voient noir) qui ont des manières curieuses de penser au Créateur en le niant, parce qu’ils ont été scandalisés, 28/4)
— à des enseignements dessinant des perspectives spirituelles
transcendantes comme Marie (= image virtuelle de la Mère (33/16-18)
qu’est le Créateur autant qu’il est le Père (12/4) puisqu’il n’a pas de
sexe), déjà relevé par certains commentaires (95C101) ou le cycle
Créateur /Père (Le Père est le côté amour et optimisme de Dieu dont le
Créateur est le côté puissance et quelquefois colère, 30/6-9). Par
ailleurs, vous vous exprimez avec une simplicité, une pédagogie, une
patience qui ne se lassent pas de redire, dessinant de grands axes de
compréhension essentiels: le Bien, le mal, les princes du culte, l’assemblée, les Plaies de Dieu, la pénitence, la Moisson, les prophètes,
etc., en saisissant toutes les occasions que vous donne la Parole pour
définir, redéfinir et nuancer le sens de ces réalités fondamentales et
créer ainsi des passerelles entre différents mots, images, symboles qui
s’éclairent les uns les autres, par exemple, pour le mal: le péché, la
bête, le tentateur, le noir (dans le Livre), le système d’Adam, une
expression de vous qui, soit-dit en passant, réactualise de manière
très convaincante des concepts et une réalité existentielle presque
totalement évacués de la culture. Ces insistances, qui sont loin
d’être des redondances, donnent comme de la chair à la Parole qui
devient plus vite incorporable et qui nous pousse à nous mettre debout
et à partager immédiatement ce que l’on a compris, bref à aller moissonner. La mission d’ailleurs n’apparaît pas comme séparée de la pénitence, mais comme partie intégrante de la pénitence. On
ne peut devenir un être de bonté isolé des autres. La bonté ne peut se
concevoir que comme un don de soi-même à autrui, et quel plus beau
présent que d’offrir à autrui la source du bonheur perpétuel, même s’il
faut le faire avec prudence et discernement. Les intitulés qui
jalonnent régulièrement le texte de la Parole et qui seront pour
beaucoup les proverbes de demain — "Qui nie sa vocation
spirituelle nie son humanité" (4/1-5) , "Modestie et simplicité,
vraies sources de lumière" (16/9-11), "Qui aime gouverner ne peut que
feindre l’amour" (22/7-8), "Mieux vaut un impie faste qu’un pieux
néfaste", 28/10 — ainsi que les appellations données aux veillées
(Veillées 9 : Veillée de la Femme, Veillée 16 : Veillée des Préceptes,
Veillées 25 : Veillée de l’Amour, Veillée 32 : Veillée de
l’Intelligence Spirituelle Retrouvée…) sont autant de repères vivants,
liés à votre existentialisme qui nous permettent de vous suivre dans la
compréhension et l’appropriation de ce sublime message. En faisant ce travail, vous avez déchristianisé La Révélation d’Arès,
vous lui avez donné une intelligibilité universelle et l’avez rendue
accessible sans trop d’obstacles à nos frères de confession juive et
musulmane et à nos frères athées. Avec cette nouvelle édition, à
l’intérieur de la lisière du champ tracée par Dieu (Rév d’Arès 5/6),
je crois que nous sommes passés à un autre stade de la compréhension et
de la diffusion de la Parole du Père, comme vous, vous êtes passé à une
autre dimension du prophétisme. (Tu
es) l’uni, l’œil (qui s’)ouvre (et) l’œil (qui) ferme, le mêlé, la
lèvre jaune (et) la lèvre noire, la pluie (et) la grêle (Rév d’Arès
xxxvi/12). En tant que vos frères et sœurs spirituels nous
pouvons tous, comme Ann Fairyhand (commentaire 95C01), être fiers et
profondément reconnaissants de l’accomplissement prophétique du frère
aîné ! D. Faber
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20mai09 95C113 En cette veille de l'Ascension [fête liturgique des églises chrétiennes], je relève que, dans aucune édition de La Révélation d'Arès,
vos notes et commentaires ne font référence à cet événement de la vie
de Jésus Christ par lequel se clôt l'Évangile de Luc [Luc 24/51].
Un Évangile que vous citez pourtant de temps en temps. L'édition
2009, que je viens d'analyser rapidement à la demande d'un éditeur
intéressé par la concision remarquable du traitement du sens du
"message révélé" d'Arès — vous allez faire école — ne parle pas
davantage de l'Ascension. Vous avez parfois appelé "le ressuscité" le
Jésus que vous auriez vu, qui serait le messager de La Révélation d'Arès,
mais jamais de "l'élevé au Ciel" ou du "glorifié". Cependant, c'est
bien en "ascension" que vous avez décrite chaque sortie de l'apparition
[Jésus apparu à Arès] lors de vos entrevues avec elle en 1974. Pourquoi? J'entends déjà votre réponse: Parce que La Révélation d'Arès n'en parle pas spécifiquement. Je réplique qu'elle ne parle pas spécifiquement de la résurrection de Jésus, mais que vous y faites référence. Je profite de ce commentaire pour dire quelques mots de votre édition 2009, puisque c'est l'objet de l'entrée 0095. L'établissement
d'un parallèle entre écritures et commentaires correspond à un besoin
avéré constant dans la communcuté chrétienne depuis des siècles. Aussi
bien les spécialistes que les pieux croyants aiment lire en regard l'un
de l'autre le texte et le témoignage et c'est ce que vous avez fait dès
votre édition dite "Intégrale" de 1987 et quelques éditions partielles
précédentes, dont vous parlez, mais dont je n'ai pas trouvé trace à la
Bibliothèque Nationale. Il semble bien que vous n'ayez pas déposé
toutes les éditions de La Révélation d'Arès. On ne trouve aucune trace notamment des éditions à usage prosélytique, oubli fréquent dans toutes les confessions, du reste. Vos
nouvelles annotations sont sans conteste un chef d'œuvre de concision
claire dans lequel l'œil de l'éditeur reconnaît votre souci, qui a été
d'être tout à la fois progressif et absolu. Par là je veux dire que
vous avez évidemment voulu ne pas lasser par des réitérations
continuelles le lecteur qui lit le texte à la suite — on ne
s'ennuie nullement en lisant les notes en procession — et en même temps
ne pas laisser dans l'obscurité le feuilleteur, celui qui lit en
diagonale ou au hasard et qui tombe sur les notes comme elles viennent
sous son regard. On peut, en somme, lire ce livre de toutes les façons
sans que son sens n'échappe. Je crois donc que vous allez faire
école, mais ce genre de travail, quoique simple en apparence, demande
un maître. Vous l'êtes devenu et ce résultat est évidemment dû à
trente-cinq ans de fidélité absolue à un événement, dont on va finir
par douter qu'il ait été de votre seule invention. Ce qui me frappe le
plus, c'est votre fidélité et votre honnêteté. Sachant toutes les
avanies, qui ne vous ont pas été épargnées, plus d'une personne trouve
significative cette constance de la foi et de l'amour des hommes en
vous. Je ne vois pas de variation de sens dans vos commentaires aussi
loin qu'on remonte dans vos écrits. Il y a par contre des étapes de
mise en valeur. Vous aviez enchassé La Révélation d'Arès
comme un diamant dans des bijoux d'or un peu lourds et compliqués, mais
ce n'était pas votre métier de faire cela — Vous avez
toujours honnêtement rappelé que vous n'étiez pas écrivain, de là
probablement votre souci de la précision; les amateurs polissent
souvent mieux que les polisseurs professionnels —. Vous venez de
remonter ce diamant sur une bague de platine qui le met remarquablement
en valeur. Un commentateur qui veut garder l'anonymat
|
Réponse
:
J'ai fait référence à Jésus comme "le ressuscité" mais
non comme "l'élevé au Ciel", c'est vrai, mais simplement parce que
celui-ci implique nécessairement celui-là. Le fait que j'eus
devant moi Jésus en chair et en os de toute évidence ressuscité,
ressuscité puisqu'il portait dans sa chair les blessures meurtrières,
les stygmates, les preuves de sa mort, m'a toujours toujours paru
primordial et comme le premier message d'Arès: Jésus est bien
ressuscité et donc, puisqu'il n'était qu'un homme et non un Dieu (Rév d'Arès 32/1-2), chacun des hommes qui comme lui mettra ses pas dans les Pas du Père (Rév d'Arès 2/12) sera un christ et ressuscitera. Autrement dit, Jésus non seulement me dit, mais il me prouva par sa présence physique que l'homme est mortel par le péché, mais ressuscitable par le Bien, et, oui, cela m'apparut dès 1974 comme le premier message d'Arès. Comme
je n'ai jamais envisagé que Jésus eût ressuscité en vue d'une seconde
mort, ce qui serait idiot — encore que je croie qu'il reste
absolument libre (Rév d'Arès 10/10)
de dire non à Celui qui l'envoie, mais ne compliquons pas —
l'ascension a toujours été à mes yeux la conséquence évidente,
nécessaire, de la résurrection, même si j'ai toujours préféré le mot
transfiguration au mot ascension, parce que transfiguration
implique plus clairement un lien permanent du transfiguré à la terre
ou, si vous préférez, une bilocation terre/espace ou Terre/Ciel
permanente. Ajoutons, pour clore cette question et à l'usage de ceux de mes lecteurs peu familiarisés avec la Bible, que Luc (Luc 24/51) n'est pas le seul passage des Écritures qui mentionne l'ascension. Il y a aussi et surtout Actes des Apôtres 1/9. Dans Actes des Apôtres 1/9, deux hommes habillés de blanc apparaissent aux témoins de l'ascension et leur disent: "Galiléens, pourquoi fixer ainsi le ciel ? Ce Jésus qui vient de vous être enlevé reviendra de la même manière que vous l'avez vu s'élever vers le ciel." En effet, Jésus est revenu apparemment plusieurs fois déjà — J'ai voulu parler par d'autres, mais ils se sont dérobés, craintifs ils n'ont pas pu sortir du monde (Rév d'Arès 2/16) —
avant de venir à Arès en1974. Donc, non seulement l'ascension, mais la
circulation de Jésus entre Ciel et terre sont pour moi et pour
n'importe qui réfléchissant un peu des faits évidents, prouvés par
l'existence, le fait même de La Révélation d'Arès. Pourquoi l'aurais-je spécialement souligné? La suite de votre commentaire m'a beaucoup touché de la part d'un croyant en principe peu favorable aux Idées qu'apporte La Révélation d'Arès.
Je vous en remercie. À mon tour de rendre hommage à votre
honnêteté. Vous avez très bien perçu mon souci de "concision à la fois
progressive et absolue."
|
21mai09 95C114 J'aime
beaucoup cette édition 2009, mais je ne suis pas sûr que ce qui me
plaît ne soit pas la nouveauté, parce que sur le fond, ce qui ressort
de vos annotations est toujours la même philosophie. Sera-t-elle
dite, cette fois, d'une façon plus convaincante pour les incroyants?
C'est bien difficile à dire, parce que les incroyants qui sont
tellement nombreux autour de nous qu'on les observe facilement répètent
et répètent toujours les mêmes arguments de leur incroyance. Elle est
passionnelle, en fait. Elle est incapable de se remettre en cause et
tout ce qui perturbe plus ou moins son obstination, mettons cette belle
édition 2009 de La Révélation d'Arès,
est inévitablement douteux à ses yeux. L'incroyance est une névrose.
L'incroyant est un maniaco-dépressif que l'édition 2009 ne guérira
sûrement pas plus que le reste. Si la philosophie avait dû guérir
l'homme de ses passions négatives, dont l'incroyance, cela se saurait. Le texte de La Révélation d'Arès
est à éditer et rééditer, cela ne fait aucun doute, mais était-il cette
fois encore nécessaire de l'accompagner de vos notes? La philosophie
qu'elle constituent ne convaincra pas les réfractaires. Au fait,
s'agit-il de philosophie ou de métaphysique? Vous vous défendez de
faire de la théologie et je le crois, mais de la métaphysique? Pourtant
vous parlez d'existentialisme. En tout cas, mes compliments pour ce livre qui ne peut qu'être utile à tous ceux
qui ne pensent pas que le fond de toutes les pulsions soit la pulsion
de mort, comme disait Freud, c.-à-d. qu'avant comme après la vie seule
existe la mort, la non-vie. Je suis de ceux qui ont l'espérance que
l'homme est fait pour échapper à la mort, mais que pour ça il faut
qu'il retrouve son moteur divin, l'étincelle de la Création permanente.
Votre façon d'expliquer cela, sans trahir l'arrière-plan sacré de La Révélation d'Arès (on a besoin du sacré comme on a besoin de contes de fée ou de science fiction), me
paraît vraiment fait non pour convertir les incroyants, mais pour
réconforter ceux qui doutent ou qui n'ont comme moi qu'une croyance
instinctive sans doctrine. Si je vis dans
l'espérance, c'est grâce à vous. La religion qui vous attaque ne sait
pas, la malheureuse, ce qu'elle vous doit dans votre efforts de
maintenir la foi, seulement la foi, dans les cœurs de beaucoup d'hommes. Merci. Édouard
|
Réponse
:
Mes annotations de La Révélation d'Arès
édition 2009 ne forment pas un corps philosophique. Elles forment un
corps métaphysique, mais elle débouchent, simplement déduite de leur
lecture, sur une philosophie existentialiste. Si tant est, je le
souligne, que l'existentialisme soit une philosophie. L'existentialisme
est plutôt une évidence ressortant de l'observation de la vie: Nous
avons une existence et si nous avons conscience de la liberté qui nous
est donnée — opposée à l'absence totale de liberté de choix de l'animal
ou de la plante — nous pouvons imprimer à notre existence une
direction voulue qui l'arrache à la direction déterministe. Ainsi par
la pénitence pouvons-nous échapper à ce qui nous détermine comme fauteurs de mal, tous autant que nous sommes. Donc, pas de philosophie, et moins encore de théologie, bien sûr, mais une métaphysique, oui. Ce
distinguo sera toujours rejeté par ceux qui englobent la métaphysique
dans la philosophie, comme le fait toujours, je crois, l'enseignement
officiel de l'université républicaine. Il est vrai qu'on a trouvé une
telle assimilation déjà chez Aristote, mais je crois que cela démontre
seulement que tout ce qui semble transcender l'intellect mécanique, la
logique, l'argumentation, a toujours gêné les mécréants et les
sceptiques et cela au temps d'Aristote déjà. C'est comme la médecine
rationaliste pour laquelle le miracle n'existe pas: "Il y a toujours
forcément une explication scientifique," dit-elle. Elle englobe donc le
miracle dans la médecine comme relevant d'un connaissance non encore
étudiée, mais qui ne manquera pas de l'être. Eh bien,
schématiquement ou grossièrement parlant, la métaphysique est à la
philosophie ce que le miracle ou le sacré est à la thérapeutique
médicale. Pour moi, la métaphysique et la philosophie
sont bien distinguées. La métaphysique a une nature transcendante qui
la sépare d'une pensée mécaniquement intellectuelle, quelle qu'elle
soit. La métaphysique dépend de l'intelligence au sens que La Révélation d'Arès donne à ce mot (32/5),
alors que la philosophie dépend de la raison raisonnante. La
métaphysique va donc plus loin que le raisonnement, mais elle va aussi
plus loin que la foi pure. Par contre, je dénie à la dogmatique
religieuse le droit de s'appeler métaphysique, car elle n'est pas
vérité honnêtement déduite des sources, à preuve son besoin de se
rendre obligatoire, contraignante, qui démontre qu'elle n'est propre
qu'à engendrer les doutes et les discussions. La dogmatique est
théologique et par là complètement inconnue du mouvement arésien. Certains
objecteront que la métaphysique la plus pure ne se distingue pas de la
philosophie, puisqu'elle use comme cell-ci d'argumentations et semble
arriver à des conclusions, mais ce fait ne tient qu'aux apparences
puisque toute conception, à notre stade, en 2009 et pour longtemps
encore, ne peut s'exprimer que par les modes de la pensée humaine. On
pourrait alors de même objecter à Dieu que ce qu'il dit n'a rien de
transcendant puisqu'il recourt lui-même aux modes de la pensée humaine
pour s'exprimer. La métaphysique permet justement d'extirper de ces
modes de pensées ce qui échappe à la raison raisonnante. Ce
que vous dites des incroyants comme souffrant d'une "névrose", comme
étant des "maniaco-dépressifs", est si vrai que le Créateur lui-même ne
se donne pas la peine de se prouver, parce qu'il n'y a pas plus sourd
et aveugle que l'incroyant qui ne veut ni entendre ni voir. C'est
pourquoi la Parole dit: S'ils n'écoutent pas les prophètes, même si quelqu'un ressuscite sous leurs yeux, ils ne seront pas convaincus (Luc 16/31). On atteint là au nœud dramatique, tragique, de la liberté humaine et si mon édition 2009 de La Révélation d'Arès aide l'humanité à défaire ce nœud, j'aurai accompli ma mission prophétique.
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21mai09 95C115 Votre
livre est très bien. Comme dit Milang Gompeng [95C111] ce n'est pas du
tout ce qu'on attendait. Vous nous donnez là, contre toute attente,
quelque chose de très travaillé, ciselé même, et qui donne toute
l'excitation de la nouveauté. C'est donc, au fond, un
livre nouveau malgré son titre et son contenu bien connus. On peut donc
se poser la question de l'accueil qu'il recevra du public comme la
question se pose pour tout nouveau livre. Je me
souviens d'avoir entendu Jean d'Ormesson dans une émission littéraire,
qui disait que l'éditeur le plus expérimenté ne sait jamais à l'avance
si un livre nouveau, même le livre d'un auteur connu, sera un succès ou
un bide. Il citait des titres dont on attendait beaucoup, qui ont été
des échecs et, inversement, des titres dont on n'attendait rien ou pas
grand chose et qui ont fini en best-sellers. Tout le monde pense à
"Harry Potter" évidemment. Je souhaite à La Révélation d'Arès 2009 d'être le Harry Potter de la littérature spirituelle. Ce ne sera sûrement pas le cas, mais on peut toujours le souhaiter. C'est
ici que se pose le problème de la comunication, de cette alchimie
mystérieuse entre livre et lectorat. Comme vous le dites dans une
réponse à un commentaire, cela ne dépend pas de la publicité faite
autour du livre, c'est quelque chose de plus mystérieux. En
tout cas vous vous êtes donné, vous qui n'êtes pas un homme du métier
de l'édition ou même de la communication, le maximum de chances pour
que s'établisse la communication avec le public. La communication,
notre époque n'a que ce mot à la bouche, mais personne ne sait vraiment
comment ça marche. Timmy
|
Réponse
:
Je n'ai pas entendu Jean d'Ormesson le dire, mais aux
USA j'ai lu Norman Mailer qui, dans "The Spooky Art" ("L'art qui fait
froid dans le dos"), disait lui aussi que le succès comme l'échec d'un
livre était totalement imprévisible. Pour Norman Mailer c'était moins
le livre lui-même — son auteur, sa valeur littéraire, sa façon
d'intéresser, voire même de passionner — qui était en cause, qu'une
relation aussi étroite que souvent mystérieuse entre le livre et le
moment de sa parution — moment qui peut être très bref — Pour
Norman Mailer c'était le bon moment d'éditer qu'il fallait sentir pour
éviter le flop. Mais dans le cas de La Révélation d'Arès, le moment de parution ne paraît-il pas permanent, vu que l'humanité court un danger permanent face au mal qui la ronge? Je
ne suis pas du tout du métier de la communication, comme vous le faites
remarquer, mais je me suis quand même intéressé à la question. J'ai lu
quelques auteurs qui traitent du sujet, mais c'est chez Maurice
Blanchot, qui nous a quittés il y a quelque trois ou quatre ans, que
j'ai trouvé les idées sur la question qui m'ont paru les plus justes. Dans
"L'Espace Littéraire", livre fameux, fondateur de la modernité en
matière de critique littéraire, dont se sont imprégnés des penseurs
comme Barthes, Derrida, Foucault, je me souviens presque mot à mot de
ce que Blanchot disait: "Ce qui menace la lecture, c'est la réalité du
lecteur." On n'oublie jamais ce genre de pensée-force. Blanchot en
disait même davantage: "Ce qui menace la lecture, c'est la réalité du
lecteur, sa personnalité, son immodestie, son obstination à vouloir
rester lui-même face à ce qu'il lit." Depuis trente-cinq ans que je vois lire La Révélation d'Arès
j'ai vérifié ce fait un nombre incalculable de fois: La plupart des
lecteurs projettent leur personne et leurs idées dans le livre et
beaucoup moins nombreux sont ceux qui laissent la Parole de Dieu se
projeter en eux. C'est tout le problème de la communication. C'est aussi là qu'on vérifie l'immense Sagesse de l'Auteur de La Révélation d'Arès qui ne nous envoie pas convertir, mais moissonner. Il qualifie de semés ceux qui se laissent germer par la Parole. Les autres constituent la grosse masse de semis encore trop verts, encore non germinants. Mais il y a aussi, comme le pensait Norman Mailer (qui lui aussi nous a quittés voilà peu) le moment. Par moments les semis germent mieux qu'à d'autres, mais allez savoir pourquoi?! Comme on ne sait pas pourquoi, il ne faut pas se lasser de parler aux hommes. Je
me souviens encore de ceci, sous la plume de Maurice Blanchot toujours:
"Lire, ce n'est pas obtenir communication de l'œuvre, c'est faire que
l'œuvre,se communique." Autrement dit, le lecteur participe du Message
grandiose qu'il lit. S'il n'en est pas participant à quelque degré, il n'en
comprend rien. Comme disait la grande spirituelle Catherine de Sienne:
"Il faut d'abord avoir soif." C'est l'un des buts de notre mission que
de détecter ou de révéler à eux-mêmes dans le public ceux qui "ont
soif", souvent sans le savoir eux-même. Cela ne fait pas de notre
mission une ordinaire mission de propagande. Mais la mission n'est pas
le seul point de rencontre entre le lecteur et La Révélation d'Arès.
|
22mai09 95C116 Alors là, oui, j'aime
et j'approuve. Cette Parole s'adresse aux hommes comme elle s'est
adressée à nos lointains ancêtres en commençant par Adam. Il faut
vraiment faire de la partisanerie ou du sectarisme pour réfuter ce
livre qui ne s'arrête pas à une doctrine rétrécie, mais qui s'adresse à
tout le monde. Ce livre se rattache sans discussion possible à la
grande source de foi et de vérité qu'on appelle l'Écriture, d'où
qu'elle soit venue et dans n'importe quelle langue. Quand la
religion dit que pour atteindre l'homme et l'appeler au salut "le verbe
s'est incarné", elle doit reconnaître cette incarnation dans La Révélation d'Arès.
Certains me diront: "Non, là le verbe s'est chosifié, s'est paperisé,"
mais je réponds qu'il n'est pas sur le papier autrement que par
l'intermédiaire d'une oreille qui a entendu, d'un cerveau qui a
enregistré, d'une main qui a écrit. Votre oreille, votre cerveau, votre
main, frère Michel. C'est bien pourquoi le monde feint de vous
ignorer. Si vous avez vraiment été l'homme choisi par Dieu, qui s'est
donné la peine de descendre lui parler personnellement cinq fois [les
théophanies d'Arès, Le Livre] en 1977, le pape lui-même, qui n'en a pas
vu le millième, devrait se jeter à vos pieds. Disons qu'il devrait au
moins venir à Arès prier et vous saluer avec déférence. De même pour
tous les grands de ce monde. Les grands de ce monde ne sont pas prêts
pour ça, un rempart d'épines les tient loin de ta faux, un orgueil inouï dresse leurs tiges comme des lances... Mais vous, frère Michel, votre courage ne faiblit pas (Rév d'Arès 14/2-3) et vous éditez sans peur cette nouvelle présentation de La Révélation... Ici, vous me pardonnerez si je répugne à 'ajouter "d'Arès", parce que qu'est-ce que La Révélation doit à cette localité, qui ne vous a jamais fait honneur, où on s'est même beaucoup moqué de vous? Rien et même du négatif ! J'imagine que vous avez ajouté "d'Arès" pour préciser qu'il ne s'agit pas de La Révélation telle que les prêtres et docteur de la loi l'ont bricolée, falsifiée, censurée et augmentée, à Jérusalem, à Rome ou à Athène (Rév d'Arès 14/2), et surtout parce que vous êtes très modeste et vous vous êtes estimé indigne de l'intituler La Révélation Donnée à Michel ou à Mikal. Mais vous auriez pu au moins lui donner comme titre La Révélation Donnée à Arès, mais pas Révélation d'Arès qui semble dire que quelqu'un a quelque mérite dans ce village. Je veux aussi dire autre chose ici, si vous voulez bien publier ce commentaire. J'ai écouté parler de vos frères,
des grands avisés qui vous critiquaient à mots couverts, qui laissaient
entendre que vous aviez écarté leurs conseils ou que vous n'aviez pas
vu ou compris ce qu'eux auraient vu ou compris et qui sans vraiment le
dire laissaient entendre (c'est du moins que j'ai cru comprendre) que
vous les aviez écartés par légèreté, aveuglement ou souci jaloux de
garder toute la prérogative. Mais ce sont des égarés. Ils ont fait
beaucoup de vide autour de vous en agissant comme votre alter ego. Je
ne suis pas étonné que vous soyez isolé et ce qui est pire tenu isolé.
Vous faites trop d'ombre à certains. Pardonnez-moi si je vide mon
sac. Je ne comprends pas que ces grands avisés n'aient pas su se taire
pour bien vous écouter et vous dire seulement: "Parle! Nous suivrons. Ta parole est la Parole de Dieu (Rév d'Arès i/12) et tu tailles la perche courte ou longue (xx/6). Tu ne peux pas donner d'ordres (Rév d'Aeès 16/1),
mais nous pouvons te demander en toute simplicité ce qu'il faut faire
et simplement suivre sans esprit de soumission, mais avec joie" Ils
n'ont même pas vu que vous avez avec une grande modestie intitulé ce
livre La Révélation d'Arès, mais non La Révélation Donnée à Michel, comme vous étiez en droit de le faire. C'est eux qui auraient dû vous dire: Il fait appeler ce livre La Révélation d'Arès Donnée à Michel. Au lieu de ça ils ont pris pour de la basse psychologie ras des pâquerettes le fond sublime qui est en vous. Ils ont confondu le tonnerre prophétique (Rév d'Arès 33/10)
que vous avez poussé de temps en temps avec des petits sentiments qui
vous auraient fait écarter les "frères capables" de prises de décision
qu'ils étaient bien incapables d'assurer, alors que les 35 ans derrière
vous font la preuve que vous vous êtes totalement effacé derrière la
grande Cause que Dieu avait remise entre vos mains. Ils n'ont pas vu
que vous avez conduit tant bien que mal (puisqu'on vous a laissé seul)
votre mouvement avec une grande sagesse qui a épargné à tous bien des
épreuves. Vous avez dit dans une de vos réponses qu'a votre avis n'importe qui connaissant bien le sens de La Révélation (Donnée à Arès) pouvait faire le travail que vous avez fait dans La Révélation édition 2009, et moi je vous dis non, parce que vos frères
sont encore aveuglés par l'égo. Ils ne sont pas bêtes, mais ils sont
encore incapables de vous seconder, incapables de ne pas mettre leur
grain de sel ou même d'y voir vraiment clair. Encore
merci pour ce très beau et très édifiant livre. J'ai collé sur la
couverture à la place du titre un papier sur lequel on lit La Révélation (en gros) Donnée à Michel (au-dessous en plus petit). Ah mais! J. S. |
22mai09 95C117 Je souhaite à ce livre de faire naître beaucoup d'âmes nouvelles. Mais je souhaite surtout à ce livre de rassembler. Les Pèlerins d'Arès ont besoin de rassemblement. Par
rassemblement je veux dire d'abord que ceux qui sont vraiment des
Pèlerins d'Arès se reconnaissent totalement dans ce livre et s'unissent
autour de cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès
si facile à comprendre et que ceux qui n'en reconnaissent qu'une partie
ou qui en ignorent trop se disent franchemnt et modestement de la
seconde ligne que vous appelez "le reste" dans "Nous Ctoyons Nous Ne
Croyons Pas" par rapport au petit reste. Vous
avez toujours dit, comme on dit que "nul n'est censé ignorer la loi",
que nul qui se dit Pèlerin d'Arès n'est censé ignorer La Révélation d'Arès. Je l'avoue, ce n'était pas mon cas. Je
croyais la connaître substantiellement, mais je ne la connaissais que
superficiellement, peut-être parce que les éditions précédentes sans
être rebutantes ne livraient pas une connaissance d'ensemble sans
effort du lecteur. Le frère Michel est un homme d'étude, d'effort, il
sait lire en prenant des notes dans un carnet ou dans sa tête et en les
comparant ensuite, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Avec
cette nouvelle édition, il faut vraiment mettre de la mauvaise volonté
pour ne pas avoir une conception COMPLÈTE de la Parole donnée à Arès. Pour moi qui dit COMPLET dit RASSEMBLEUR. Je souhaite donc que cette édition 2009 nous rassemble. Bernard
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22mai09 95C118 J'ai commencé à lire l'édition 2009 de La Révélation d'Arès qu'on m'a prêtée. Celle-là je la lirai peut-être d'un bout à l'autre. Vous savez, frère Michel, il faut avouer que pour beaucoup La Révélation d'Arès
a été plus comme un drapeau de la protestation ou de la révolution
qu'un vrai livre de base. J'ai rencontré plus de frères ou sœurs
qui croyaient la connaître que de frères ou sœurs qui la connaissaient.
Du fait qu'il n'y a pas de vérification de la connaissance dans notre
famille libre — libre dans le mauvais sens du mot — beaucoup de
réunions ont été plus des réunions d'idées vaguement apparentées que de
réunions autour d'une volonté unique et bien conscite (Rév d'Arès xxii/14) de partir ensemble à la moisson de soi-même — la pénitence — et à la moisson du Champ. Avec cette édition 2009 on ne peut pas ne pas connaître La Révélation d'Arès. Elle ne peut pas être qu'un drapeau où est écrit "Avec Dieu sans loi", parce qu'il y a quand même une loi de prévue, c'est la loi qui vient, la loi sera (Rév d'Arès 28/6-7), qui est la loi naturelle d'amour et de volonté de s'écouter, de s'accepter, de faire ensemble pour le Bien des hommes. Merci pour cette édition. Nous en avions besoin. Alain F.
|
22mai09 95C119 Je suis heureux en
ouvrant ce livre. Pour la première fois. Avant je l'ouvrais, mais comme
un livre de classe au collège ou un livre de cantiques au temple.
C'était un devoir. Aujourd'hui c'est un bonheur. L'antique
distance entre les textes sacrés et les croyants s'efface et j'ai
l'impression que se réalise la promesse que c'est la fin de vie morte
que donne la religion. C'est cette promesse que vous réalisez en
faisant courir le regard sur les pages de La Révélation d'Arès 2009, qui n'est pas, tout en l'étant, La Révélation d'Arès d'avant. Au
milieu de la vanité des ouvrages sans nombre qu'on trouve dans les
librairie, ce livre m'a attiré (je ne savais pas qu'il y avait une
nouvelle édition de La Révélation d'Arès)
et m'a donné quelque chose d'imprévisible à notre époque où tout semble
avoir été dit et écrit, un livre de grande valeur, une lumière. Je suis
alors retourné à votre blog que je ne suivais plus depuis deux ans et
je m'aperçois que lui aussi a gagné en qualité et je peux vous proposer
ce commentaire. Ce que j'aimais, c'était vous écouter à Arès quand
on avait la chance que vous donniez une causerie. Depuis que la
médecine vous a recommandé de vous taire [2005], je me suis un peu
désintéressé de vous. L'écrit ne m'attire pas, sauf pour me distraire.
Je ne lis que des romans de bonne qualité et le début de votre blog où
vous abordiez des sujets de combat ou de surface pour plaire et retenir
les plus superficiels d'entre vous [Pèlerins d'Arès], m'a assez vite
lassé. Reste que c'est à cette nouvelle édition de La Révélation d'Arès, ici et maintenant, que je dois de retrouver le sentier
qui mène à vous et à travers vous à Dieu. J'ai des vacances programmées
pour l'été 2009, mais si je peux m'évader, je ferai un tour du côté
d'Arès. Je vois aussi qu'à partir de la page 4 vous montrez dans votre blog l'extraordinaire profondeur de votre enseignement. Vous avez enfin compris qu'il fallait vous montrer comme vous êtes. C'est ce que montre aussi La Révélation d'Arès 2009. Cette
profondeur, vous l'aviez, mais pourquoi la cachiez-vous dans des livres
difficiles à se procurer et présentés sans attrait; "Le Pèlerin
d'Arès"? Ou dans des annotations difficiles à lire en comparaison des
celles de 2009 que comme tout le monde ici je trouve remarquables? Je
n'étais pas anti-Pèlerins d'Arès au premier degré, mais je compris vite
qu'ils vous étaient tous inférieurs et que vous faisiez l'effort,
parfois ridicule (pardonnez!) de descendre à leur niveau, ce qui ne
convenait ni à votre rôle ni à votre nature. Je trouvais vraiment
dommageable votre effort pour être le prophète
de tous, abordable par tous, même par les plus bornés et les plus
libertaires, au lieu de les laisser monter vers vous — et tant pis pour
ceux qui ne pouvaient pas suivre — ce qui était la seule façon de faire
un tri naturel des frères capables de créer une assemblée. Ce
livre, à mon avis n'est pas de vulgarisation, mais un mot d'ordre,
qui dit: "Voilà! C'est ça et pas autre chose. Que les amalgameurs et
les infatigables discuteurs ou réinterprétateurs s'éloignent!" Par ce
livre vous désavouez votre dépendance à une charité mal comprise envers
des hommes et des femmes qui ne vous aiment pas ou qui pensent qu'ils
vous valent bien, qui sont avec vous parce que vous êtes trop bons avec
eux, que vous vous êtes obligé à écouter avec trop de complaisance en
vous disant: Je ne suis pas au-dessus d'eux. Mais au-dessus vous
l'êtes, c'est évident. Ce livre, tout en restant modeste comme vous l'êtes, met les choses au point. L'assemblée est termitée. J'espère de ce livre un fort détermitage. Patrick M.-T.
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22mai09 95C120 Vous travaillez votre
langue si scrupuleusement qu'on ne peut pas rédiger un commentaire sans
se dire: Attention, le frère Michel n'appréciera pas si on dit les
choses comme ceci ou comme cela. Ce travail de la langue ne m'a jamais paru aussi manifeste que dans vos annotations de l'édition 2009. Vous
n'êtes pourtant pas une plume d'une spiritualité froide. Les raccourcis
de vos annotations laissent passer beaucoup de chaleur. Vous êtes
décidément un homme de cœur. En fait, vous n'essayez pas d'être à
niveau, en parlant de la plume ou du clavier, vous esayez une fois de
plus de convaincre et vous le faites vraiment de tout votre cœur. Vous
m'avez fait sortir de l'athéisme. C'était il y a treize ans. Non
seulement je n'étais pas croyant, mais je considérais Dieu et la foi
comme de pures inventions dans lesquelles l'homme peureux et bête
projette tout ce qu'il ne peut pas expliquer. Mais je
vous ai rencontré et en vous j'ai rencontré autre chose: Un homme qui
ne se contentait pas de croire, mais qui avait vu et entendu, un
témoin. Vous m'avez montré que l'incompatibilité entre la raison et la
foi avait des failles. J'ai compris qu'en vous récusant sous le seul
prétexte que vous n'aviez pu qu'inventer La Révélation d'Arès
n'était pas très rationnel, au fond. Je vous entend et vous vois encore
me dire: "Pourquoi refuser un fait sous prétexte que tout le monde n'en
a pas été témoin? La grandeur du peuple juif est de ne pas avoir récusé
Moïse parce qu'il était le seul témoin du buisson ardent ou de
l'entrevue du Sinaï." Vous m'avez fait sortir de l'opinion que tout ce
qui touchait à la foi n'était qu'affreusement menteur, donc toxique. Je m'en suis tout d'abord tenu à une lecture littérale de l'Écriture, Bible, Bible et évidemment Révélation d'Arès. Ensuite, je n'ai plus lu que La Révélation d'Arès. Aujourd'hui je lis La Révélation d'Arès édition
2009 et je la redécouvre ainsi sous une autre lumière, mais bien
toujours la même. Il est inutile d'essayer de distinguer la part du
sublime et la part du combat prophétiques dans votre présentation:
introduction, titres, notes, parce que je crois que vous n'incarnez pas
seulement une des heures les plus brillantes du prophétisme historique,
vous donnez votre nom à la résistance aux doctrinaires de toutes
sortes, religieux et politiques. Je vous exprime toute ma reconnaissance. Alex
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22mai09 95C121 Well
done, dear brother Michel! For entering so fresh and full of
energy into your eightieth year with this victorious-looking book
and another one in English to follow. The cover looks
great, simple and beautiful. I'm happy in advance to discover the
treasure inside and to share it with all the people it will touch. I wish you the best decade in your incredible life. Bliss all around you. Rosie
Traduction: Bravo,
cher frère Michel, d'entrer si plein de fraîcheur et d'énergie dans
votre quatre-vingtième année avec ce livre d'apparence triomphante et,
en prévision, avec un autre en anglais. La couverte a un aspect
sympathique et beau. Je suis heureuse d'avance de découvrir les trésor
à l'intérieur et de le partager avec tous ceux que je toucherai. Je vous souhaite très bonne nouvelle décennie de votre incroyable vie. Béatitude tout autour de vous! Rosie
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Réponse
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Je suis profondément touché par ce message qui m'arrive de l'autre bout de la terre, de Nouvelle Zélande! Comme je sais que vous parlez français aussi bien qu'anglais, je vous fais part de mon émotion en français. Saluez
bien de ma part Peter, votre époux! Dites-lui encore combien j'ai
apprécié la photo de ce très beau Jésus en cuivre forgé. C'est sûrement
lui qui, en sculpture, s'est le plus rapproché de la description que
j'ai donnée de Jésus qui m'apparut et me parla en 1974. Je n'ose pas
poster la photo de cette œuvre ici, car c'est l'actuel
propriétaire de l'œuvre qui, je crois, en a les droits. J'apprécie
aussi énormément vos muraux, vos œuvres, Rosie, dont certaines
illustrent quelques pages de mon site michelpotay.info. Vous êtes tous
les deux des artistes estimés, une sœur et un frère aimés, dont nous
regrettons tant l'éloignement, mais vous êtes nos missionnaires là-bas
à l'autre bout du monde.
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XXxxxXX 95C00 Texte Signature
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Réponse
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Xxx xxx xxx xxx
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