03Oct07
68C1
J'aime énormément ce nouvel envoi, fait de grand
amour et de grande pensée. Merci.
Denis H. |
03Oct07
68C2
Bravo!
Du fond de ma fraternité et de ma foi
régulièrement enthousiasmées par
votre vérité et par la manière dont
vous exprimez la Vérité.
D. Faber |
03Oct07
68C3
La Vérité est que le monde doit changer
(Rév d'Arès 28/7).
Ce passage du Livre
est si
capital.
Quels que soit les reproches que vous avez reçus du monde,
le Message
de ce Livre
Unique éveille la
conscience de bien des femmes et des hommes. Et rien
n’arrêtera la
diffusion de son Message qui fertilise
les têtes vides et qui sera retransmis aux
générations des
générations qui viennent.
La Parole du Créateur de l’Univers a toujours
traversée les tempêtes de
l’histoire des hommes, et cela, grâce aux divers
messagers que sont les
prophètes.
Cette Parole, puisse-t-elle être à nouveau accomplie
afin que
le créateur ne
souffre plus de se réduire à un gosier
d’homme, mais qu’enfin nous
retrouvions l’Image
et Ressemblance
Positive du Père, et que nous vivions
perpétuellement dans Son
Eau.
Il y a trente ans commençaient les Théophanies !
Patricia |
03Oct07 68C4
Nous vous sommes reconnaissants, car vous nous avez donné
la
Parole
même du Père telle qu'Il vous L'a
révélée lors des
théophanies en 1977
— langue abrégée mais
primordiale, originelle, qui va à
l'essentiel sans s'encombrer des astuces de la langue humaine
chargée
de subtilités, de mensonge, que Dieu nomme "le bruit." Vous
avez dû
grammaticaliser et compléter par le jeux de
parenthèses pour faciliter
la prière dans le Livre (2ème partie de la
Révélation d'Arès). Dieu
vous
en a donné les clefs. Il a veillé à ce
que le sens exact passe par la
pensée du juste prophète
qu'Il donne au monde.
Cela est évident, lorsqu'il vous fait vivre le double
phénomène
d'entendre la Parole qu'il vous dicte en d'en comprendre
simultanément
le sens. Vous en avez fait le récit dans votre
témoignage, disant que
votre "intelligence est dans le moment violemment
éclairée et avivée,"
et que vous vous en "comprenez parfaitement le sens." Ainsi, les divers
styles et
expressions des messages laissés aux prophètes
trouvent leur
explication: Ces messagers de Dieu étaient contraints de
transposer en
langage accessible aux hommes du temps la Parole du Créateur
entendue
comme vous l'avez entendue, car Dieu n'a pas changé sa
façon de parler.
Sans quoi, combien d'hommes comprendraient-ils d'emblée
cette Parole
lapidaire?
Or, c'est à vous,
l'homme de Son
Dessein, qu'il donne le sens précis de la
Parole (que vous avez
transcrite mot à mot), entendement qui s'inscrit
simultanément dans
votre esprit, ne laissant aucune confusion. Le Père ne prend
pas le
risque de livrer son Message en pâture à toutes
les interprétations
déformatrices du sens de la Parole, pour en arriver
à une cacophonie étrange,
incompréhensible. Il ne
veut pas laisser l'homme délirer
dans ses discours changeants et enseignements
trompeurs de son cru — d'un
Mot de Lui, ils écriraient de nouveaux
livres.Il ne laisse pas
se construire une tour de Babel faite d'inventions et d'erreurs qui
créeraient des schismes, des divisions aux mêmes
conséquences que ce
que les églises, religions et sectes ont
engendré: la domination et
l'exploitation de l'homme par l'homme loin de la Vie
spirituelle qui
donne le vrai Bonheur.
Cela entraînerait un effet
similaire à ce qu'on perçoit
déjà dans la Bible où la Parole de
Dieu
pure gît sous un amas de vues erronées
où, de prime abord, on ne peut
rien retrouver de juste — Raison pour laquelle, d'ailleurs,
Dieu
demande au Frère Michel de purifier l'Ecriture.
Comme la Sagesse du
Père se suffit à
Elle-même et rafraîchit les intelligences,
la parole
du Prophète suffit
à donner la bonne explication de La
Révélation d'Arès (10/12).
Ne pas y accorder sa confiance est
finalement ne pas croire en cette Parole qui désigne le frère
aîné comme prophète,
cela serait une méprise
du Créateur et de celui qui doit conduire la marche du
peuple — Qui
donc as-tu insulté, blasphémé? Contre
qui as-tu parlé haut et levé ton regard altier?
Vers le Saint
d'Israel! (Isaie, 37/23) — et de qui
Il dit: ta
parole est Ma Parole.
C'est donc que la juste
pensée du
témoin d'Arès, pensée
qui va haut,
est celle qu'il faut/vaux mieux suivre pour bien comprendre parce que Mikal
a le Vent (l'Esprit
saint), il est le gardien
de l'Eau, le lieu haut, l'angle à
quatre renforts (XIX/25). Il nous l'a encore
démontré contre le
site pirate qui jetait "aux chiens" La
Révélation d'Arès, ainsi
mise à la merci de tous les
détracteurs, déformateurs,
interprétateurs, falsificateurs, avec les
dangers que cela induit. La pensée
juste qui nous permet d'écourter le temps de
l'expériences est
celle du prophète
choisi par
Dieu, et le frère
à cinelle
qui écrit ces lignes bénit Mikal
qui nous donne la Vie
en nous
permettant de bien lier l'acte à la pensée
juste. Existentialisme où l'on chemine pour
retrouver l'image et
ressemblance du Père et
pour changer le monde,
parce
"qu'on n'accomplit
que ce
qu'on veut" et que ce qu'on comprend correctement. C'est
très important
car "la Parole est créatrice, elle
détient les clefs du monde, de
l'avenir, du bonheur à restaurer:" Elle fait le tour de
l'histoire.
Elle nous permet de dépasser notre pouvoir de comprendre,
toujours
limité au passé culturel, au présent
immédiat, et à nos idées
personnelles" ("Le Pèlerin d'Arès" n°35)
en suivant l'enseignement
du prophète,
sinon on
prend le risque de s'égarer dans la religion que Dieu
réfute.
Danny G.
PS.:
Je
vous ai déjà communiqué des sites de
personnes qui interprètent La
Révélation d'Arès
à leur façon:
Toujours vigilante sur la toile internet, je vous mets au courant
d'extraits de textes de La
Révélation d'Arès.
Voici de ces extraits de La
Révélation d'Arès
trouvés sur le site http://assoc.orange.fr/re.source
C'est le site de Mr B. qui a créé l'association
Re-Sources. Il se sert
d'extraits de La
Révélation d'Arès
pour justifier ses visions "psycho-spirituelles“ pour mener
à la
conscience alchimique…
Quelle est votre position sur l'alchimie ? |
Réponse
:
Merci de rappeler la vérité non par des
éloges, mais telle que la
Parole la fonde. La Parole insiste de différentes
façons sur
l'importance de laisser au témoin, en plus de la charge de
transmettre
les mots, la charge de transmettre le sens. J'essaie de m'en acquitter
le mieux possible et, comme vous dites, ceux qui trouvent anormale ou
incongrue l'intervention de ma pensée n'ont tout simplement
pas très
bien lu La
Révélation d'Arès.
Concernant Mr B., dont le prénom est Robert, on peut
être dérangé par
sa façon de chercher dans la Parole d'Arès les
preuves de ses
recherches et convictions alchimiques et, comme vous les qualifiez,
"psycho-spirituelles," mais est-il en cela plus choquant que ne le
serait un savant atomiste ou un astrophysicien (je dis toujours
"astronome" mais je me corrige parfois) qui chercherait dans la Parole
du Créateur la réalité
métaphysique de la physique qu'il étudie dans
ses oscillogrammes ou dans son télescope? Nous serions
même peut-être
flattés qu'un savant se réfère
à La
Révélation d'Arès sans
même nous donner la peine de vérifier
s'il a tort ou raison. Pourquoi serions-nous choqués par ce
que cherche
de son côté Robert B. dans La
Révélation d'Arès
à laquelle il croit, même si nous ne sommes
pas d'accord avec le sens qu'il prête par endroits
à celle-ci? Il ne
pense pas à mal et nous ne saurions l'assimiler à
d'autres sites
hostiles et injurieux, que je ne cite pas.
Je ne connais pas, je n'ai jamais ouvert, je l'avoue, le site de Mr B.
que vous citez. J'ai autre chose à faire que de m'occuper
d'alchimie, à
laquelle je ne connais quasiment rien, sinon deux ou trois choses, de
surface, et probablement incorrectes. Mais il peut être bon
que
quelques uns continuent de chercher dans une voie abandonnée
depuis
longtemps par le gros des scentifiques. Je ne vois rien de mauvais,
dans le fait quelques alchimistes modernes continuent de se dire: "La
physique et la chimie de la matière, bon! Mais le
mystère de la
matière? Pourquoi existe-t-elle? Pourquoi cet univers
n'est-il pas que
de pur esprit?" C'est du moins le sens que je donne à
l'alchimie. Je
pense que la quête alchimique plonge aussi (sans doute
inutilement,
mais est-ce illégitime?) dans ces profondeurs pour l'heure
obscures et
sans écho. Personnellement, je ne suis pas
intéressé par le choix que
fit le Créateur, mais par ce qu'il fit et qui demeure, mal
en point
d'ailleurs. C'est tout. Ma vie ne suffira déjà
pas à m'en occuper.
Certes, je préfèrerais que Robert B. soit un
missionnaire engagé, mais
il l'est peut-être à sa façon. Je ne
sais pas.
L'évocation de cet homme, qu'on peut discuter, mais qui est
sûrement
estimable, me ramène un souvenir. C'était en
1988, dans le premier
local des pèlerins d'Arès de Paris, dont j'ai
oublié l'adresse. Une
réunion d'une trentaine ou quarantaine des nôtres.
Robert B; était là.
Nous parlions de mission: Où missionner et comment
missionner à
Paris? Je donnais quelques conseils, mais je
déclarais aussi
qu'en maintes matières d'ordre pratique je pouvais me
tromper. Robert
B. me coupa et me demanda: "Comment? Vous, frère Michel
pouvez vous
tromper?" Je répondis: "Bien sûr!" Il n'ajouta
rien, mais je me
souviens encore du regard intensément curieux et
intéressé qu'il me
jeta. |
03Oct07
68C5
Allons-nous continuer l’histoire pénible du
balancier entre "le mal
rendu acceptable et le mal rendu plus cruel que les barbares ne
l’ont
jamais fait"? Nous avons l’occasion à notre
époque et dans notre langue
de recevoir un éclairage très vif sur les moyens
de sortir de ce
mouvement de balancier et d’emprunter de façon
déterminante le chemin
de la libération et de l’intelligence
humaine. Nous serions trop bêtes de ne pas saisir
l’occasion d’ouvrir
cette porte sur le monde et l’avenir, de prendre cette main
paternelle
(celle du Créateur de l’univers et celle de
l’homme fait son Messager,
Mikal en l’occurrence,
pour nous rappeler à la Vie),
de recevoir cette lumière qui révèle
notre fond. Et nous serions bien
bêtes de n’être pour une telle occasion
qu’exceptions éparses au lieu
de former au moins ce petit
reste
libre, aimant leur prochain et "déterminants"
qui rouvrira la
vie à toute sa force dans ce monde.
Faire le bien (ou être bon) est un choix existentiel
fondamental: Ce
que chacun qui a reçu la vie, fait de sa vie, de
lui-même, aucune
domination ne peut l'assumer. Pas même Dieu ne peut
l'assumer, qui
n’est pas dominateur mais
Créateur de l’homme à son Image
et
Ressemblance. Dieu, qui l’a fait libre,
ne peut l'accomplir
à sa place. Ce choix de
soi-même — Sois
un dans toi! (Rév
d’A XXIV/2-5) — appartient
à l’homme
libre de toute domination, de tout
préjugé.
À la question "Faire le bien, c’est quoi?" ou
"Faire quoi de ma vie?" La
Révélation d’Arès
et son témoin
apportent un éclairage puissant, plein de perspectives
profondes, mais
elle ne répond pas à notre place.
À vos côtés et aux
côtés de tous nos frères humains pour
tirer le
meilleur de moi et partager cette espérance avec le monde,
bernlouby |
03Oct07 68C6
Peut-être vais-je paraître simplette face a une
argumentation
intellectuelle du roi
noir (Rév
d'Arès, Le Livre X/6), mais en tant que
contemporaine d'un prophète,
et en tant que personne
simple, je pense qu'il est essentiel que la Parole donnée
à Arès soit
accompagnée des annotations, car celles-ci permettent aux
gens simples
et honnêtes d'avancer à pas de géant
dans leur pénitence
et dans leur moisson
(mission), de ne pas se
perdre dans les friches (Rév d'A 5/5),
d'éviter les délires
égocentriques et intellectuels.
Notre tâche est bien un
labeur pour
des géants des temps anciens (31/6) et je ne
vois pas comment ce labeur
serait
applicable sans l'enseignement
du prophete
qui a reçu cette
Parole.
Katia, Royaume Uni |
04Oct07
68C7
Ces mots résonnent avec beaucoup de force et
d’espérance en moi,
j’espère que vous resterez encore très
longtemps parmi nous pour
continuer à nous éclairer sur le sens
précis de cette révélation: Ne
te lasses pas de leur
parler... ta
parole, Ma Parole,… toi tu vas haut, bonne
pensée, le Bien est dans le
creux de ta langue... Je lave ton cœur, et toi tu laves le
cœur du
frère.
Je crois que je ne prends réellement conscience de
l’importance d’avoir
un prophète vivant à nos
côtés que depuis très peu de temps.
Ceux qui refusent la Lumière, parce qu’Elle
contrarie leurs intérêts,
ne peuvent que refuser les précisions que vous apportez
à cette
révélation, remettant
toujours à
demain de renoncer aux vanités, oubliant qu’ils
peuvent se perdre,
alors que la voie droite est là, si belle et exaltante,
même si elle
demande des efforts. Les efforts se font dans la joie profonde de l’accomplissement.
J’espère qu’un jour tous ces
détracteurs voudront nous rejoindre dans
l’espérance sincère
d’un autre monde, en acceptant de suivre,
tels des petits enfants la Voix
du Père qui s’adresse à eux et Qui
les attend sur les Hauteurs.
François et Pascal |
05Oct07 68C8
Il y a tout juste 20 ans, j'ai trouvé La
Révélation d'Arès dans
une librairie d'une petite ville de
Dordogne (merci à ceux qui étaient
passé par là pour y déposer quelques
exemplaires en dépôt). Je n'en avais jamais
entendu parlé auparavant.
Très vite je fus gêné par vos
annotations. Elles ne correspondaient pas
à ma culture ésotérique de
l'époque. J'avais alors recopié Le
Livre (les 5
théophanies de
1977) sur un cahier, pour me retrouver face à la Parole
seule. Mais
finalement, je n'avançais pas, il me manquait la clef pour
entrer dans
ce texte qui me fascinait par son langage, sa profondeur, son origine
surnaturelle.
J'ai cherché cette clef
désespérément pendant des mois. Et
puis je suis
venu à Arès pour vous rencontrer, afin de voir
avec vous ce qui
clochait dans tout cela. Vous n'avez pu me recevoir (j'étais
passé sans
prévenir, irréaliste que j'étais). Par
contre, votre épouse m'a proposé
de rencontrer des pèlerins qui habitaient à
Arès à l'époque. Ils m'ont
très généreusement accueilli et m'ont
donné quelques fascicules que
vous aviez rédigé (le périodique Le
Pèlerin d'Arès). Peu à
peu, en pénétrant dans votre pensée,
j'ai
compris que c'était vous la clef de La
Révélation d'Arès. J'ai
alors décidé de vous faire confiance.
J'ai alors relu intégralement ce livre en me fiant cette
fois à vos
annotations. C'est à ce moment que je suis devenu
Pèlerin d'Arès, c'est
à dire que j'ai commencé à comprendre
la teneur de ce Message,
notamment en me délivrant des enseignements
illusoires (23/3) ou trompeurs
(7/4). Il m'a fallu du temps, mais grâce
à votre éclairage,
cette Parole venue du Ciel est parfaitement claire. Depuis, j'ai du
apprendre à accomplir,
mais
là, c'est une autre paire de manche, la route est encore
longue.
Vincent L. |
05Oct07 68C9
Dieu par Jésus vous dit: ...et
ce que
tu auras écrit (Rév d'Arès 33/10). L'enseignement
du prophète!
Heureusement que vous
avez annoté L'Evangile
donnée à Arès
et Le Livre. Ce sont des Lumières qui
enrichissent notre faible
lumignon. Vos annotations
et enseignements nous permettent de mieux comprendre, nous enrichit la
conscience. Je témoigne que lorsque, je fais l'effort de
lire vos
enseignements, il en reste quelque chose en moi, je ne comprend pas
tout, mais, au fur et à mesure que je prie, moissonne,
m'efforce d'être un pénitent,
cet enseignement
vie dans tout mon
être. Qoëlet disait
"L'homme est un
oublieur." Bien sur, surtout si je laisse le tentateur me dominer, il
connait mes faiblesses, il sait comment me faire tomber, tuer mon
âme: Le
menteur assure le mauvais, (pour qu’)il
ne jeûne pas, (pour qu’)il ne pleure pas "
(Rév d'Arès, Le Livre IV/6)
[...]
Il est nécessaire de prier
pour
accomplir La Parole, il est nécessaire de sans
cesse ramener à
nos lèvres La Parole de Dieu, Dieu. Il nous parle
à travers Sa Parole,
Il nous parle par le prophète et ses écris: Tu écris, le
frère parle, (il) rend la
pustule de sa bouche, la fièvre (en) sort, le cœur
entre (en lui) " (
Rév d'Arès, Le Livre XXXIII/13 ) [...] Je
suis en train de lire "Les gens du
mensonge"
(Scoot Peck). Cet ouvrage me dérange beaucoup. Pourquoi!?
Parcequ'il
met en Lumière certains de mes péchés,
que mon corps cache, il ouvre ma
conscience, parce qu'il touche des points très sensibles. Je
me mets à
la place d'une personne qui lit La
Révélation d'Arès.
Là c'est pas Scoot Peck qui parle, mais Dieu
et son prophète
qui par ses
écrit s'efforce de nous aider à la construction
de notre
âme.
Ce qui me fait le plus peur, je
dois bien l'avouer, c'est de prendre conscience, car celui qui est
conscient connait sa responsabilité, les effets de ses
actes. Il y a
plein de choses dont je ne mesure pas la portée, il y en a
que je
commence à comprendre réellement. Je fais un lien
entre la conscience
et l'âme
et l'hâ,
conscience collective des âmes,;
je réalise l'importance
des sœurs et frères. La vie spirituelle appelle la
vie spirituelle.
Nous rappeler de la vérité et la constance est
très important.Il y a
ceux qui ne croient pas en Dieu, qu'importe s'ils sont d'actifs
serviteurs du Bien,
Dieu
Lui-même le dit: L’abusé
devient
prudent. Pourquoi enverrais-Je des prophètes à
ceux qui furent visités
par les faux prophètes? C’est
d’eux-mêmes que Je fais des prophètes.
C’est pourquoi Je n’ai pas envoyé
à ces hommes Ma Parole dans les
Livres, mais en secret J’ai conduit leurs pas vers la
Vérité, qui
gisait comme un aigle blessé dans les cœurs de
leurs pères et de leurs
frères ployés sous les puissants et les riches,
et ils ont libéré la
Vérité et ils ont libéré
leurs pères et leurs frères ; et Je Me cache
encore d’eux parce qu’on les avait
fatigués de Moi, Je souffle en
silence dans leur poitrine ( Rév d'Arès 28/5-6
).
Nous, soeurs et frères, en
marche
vers les Hauteurs Saintes, avons été
touché par La Parole de
Dieu Bible, Coran, La
Révélation d'
Arès et les enseignements
des
prophètes. Nous avons librement choisi d'accomplir
cette
Parole, de
prouver que nous pouvons vivre sans chefs, créer un monde de
bonheur,
de paix en sœurs et frères, quelle que soit notre
état de conscience
nous devons nous aider les uns les autres vivre et transmettre LA
PAROLE DE DIEU au plus nombre d'hommes possible, car les
héros attendent
(Rév d'Arès, Le Livre
XXXV/10). [...]
"Le mal se fait sans effort, naturellement (nous y sommes
conditionnés), le bien est toujours le produit d'un
art" (Charles
Baudelaire.) Soyons les artisants d'une civisation, humble, sage,
réfléchie, aimante, libre, unissons-nous,
sœurs et frères,
unissons-nous autour de Mikal.
Didier Br. |
05Oct07
68C10
Je suis de ceux, sauf que je ne savais pas qu'on était
nombreux, qui
pensent que La
Révélation d'Arès
doit être éditée sans
préfaces, sans commentaires et sans annotations.
Je crois que ce que Dieu vous demande de faire: Écarter les
livres
d'hommes de
l'Écriture, vient que les livres de Dieu ont tous fini par
être édités
avec les commentaires et les prédications des
prophètes mélangés à la
Parole et c'est exactement ce qui va se passer avec La
Révélation d'Arès.
Aujourd'hui
elle est éditée avec le texte saint et les
explications bien séparés,
mais je parie que dans deux générations tout sera
mélangé. Avez-vous
remarqué que dans
La Révélation
d'Arès abusivement
éditée sur le web en août les
annotations
étaient déjà sur la même
page que la Parole elle-même? De là à
ce que
tout soit mêlé, il n'y a qu'un pas. Je ne discute
pas la supériorité de
votre interprétation, encore que je pense qu'il peut y en
avoir
d'autres. Je dis qu'elle doit être
éditée séparément.
D'ailleurs, Dieu
le dit: "Dans la marge de la Parole, pas
une glose!"
Jean-Pascal T. |
Réponse
:
Croyez bien que j'ai beaucoup médité les mots: Leur langue
(des Livres Saints)
sera sans
artifice, leur marges seront pures de toute glose (Rév
d'Arès 10/10).
Je me suis donc gardé, d'une part, d'insérer dans
mes annotations
quelque artifice,
et d'autre
part, de les placer dans une marge. Je les ai placées sur
une autre
page, en vis à vis par esprit de commodité.
J'avais songé à éditer mes
annotations séparément. Seulement
voilà, j'avais peu de moyens
financiers pour assurer l'édition d'un seul livre
déjà... Alors deux!
Et puis inciter les gens à acheter L'Evangile
Donné à Arès en un volume
n'était déjà pas facile... Alors en
deux volumes!
Il m'a fallu décider entre les alternatives: Soit respecter
scrupuleusement la séparation de la Parole et des
Commentaires
Prophétiques, soit diffuser la Parole de Dieu sans trop
compliquer
cette tâche, qui était mon prophétisme
de base! J'ai opté pour la
diffusion en un seul volume. Si j'ai eu tort, que le Père me
prenne en
pitié!
Mais je vous reconnais, mon frère Jean-Pascal. Je me
souviens de vous
comme d'un détracteur de ce que vous appelez mon
"interprétation." Je
ne suis pas sûr que votre souhait de publication de la Parole
sans glose
soit aussi innocent que cela. |
05Oct07
68C11
J'ai durant plusieurs années cheminé avec les
Pèlerins d'Arès. Si j'ai
cessé toute activité
avec eux, c'est parce que je ne trouvais pas d'enseignements qui me
permettent de me guider pour sortir de mon état
d'être humain
insatisfait, imparfait.
J'ai beaucoup lu. J'ai écouté beaucoup de
témoignages
d'expériences de
vie. J'ai beaucoup échangé sur ces
éternels questionnements: Qui
suis-je? Pourquoi ceci dans ma vie? Que puis-je faire pour que cela
aille mieux pour moi, avec moi, avec les autres. Comment participer
à un changement du monde, afin qu'il soit meilleur?
Mes problèmes m'ont beaucoup appris. J'ai surtout appris que
le monde
extérieur (qui ne me
convenait pas, bien entendu) était le reflet de mon propre
monde
intérieur. J'ai peu à peu appris à ne
plus parler des autres, à ne plus
dénigrer, à ne plus me plaindre et j'ai
commencé à m'aimer, à
reconnaître
mes valeurs (sans dépendre des autres).
J'ai encore beaucoup à faire pour avancer dans la voie du
"bon, du
beau, du juste..." mais
j'ai trouvé une école de sagesse, un
Maître qui, sans complaisance mais
avec beaucoup d'amour m'aide à oser regarder mes propres
ombres et à
les dépasser.
Merci aux Pèlerins d'Arès pour ce qu'ils m'ont
appris et apporté et qui
a contribué à mon progrès
sur le Chemin
de la Vie.
Chantal L. |
Réponse
:
Merci de m'avoir adressé ce commentaire par une
boîte d'E-mail portant
votre patronyme, qui m'a permis de vous reconnaître et de
vous dire, à
vous et à votre époux, et peut-être
à vos enfants, toute mon émotion
d'apprendre que vous lisiez mon blog et donc que vous me suiviez de
loin, bien que nous n'ayons plus de contact direct depuis
très
longtemps.
L'essentiel est là. Vous avez gardé
l'espérance qu'avait fait naître en
vous La
Révélation d'Arès. |
05Oct07
68C12
En lisant votre entrée, il me vient une question qui est la
suivante:
Et si un des messages de fond de La Révélation
d'Arès, était que
justement il pouvait y avoir plusieurs interprétations de
certaines
Paroles du Créateur suivant la sensibilité et
surtout le moment ou l'on
reçoit ces Paroles.
Ce qui voudrait dire que la Vérité ne s'ouvrirait
à nous que lentement
et suivant une progression dépendante de notre
personnalité et de notre
parcours.
N'avez-vous pas remarqué que, ce que l'on pense avoir
compris comme
Vérité intangible un jour, peut nous paraitre
moins évident, ou plus
nuancée, le lendemain?
La Parole Divine serait-elle d'une nature telle que nous en
découvririons ses subtilités que petit
à petit?
L'homme serait-il alors d'une telle nature que sa
spiritualité et ses
convictions seraient sans cesse en mouvement, ce qui lui
éviterait la
mort spirituelle que subissent les grandes religions?
À partir du moment où chacun respecterait des
convictions (et une
compréhension) différentes des siennes, la
pluralité des
interprétations ne serait-elle pas finalement un bien?
Ne serait-ce pas aussi la base de la vie en communauté?
Et aussi, est-ce qu'un homme (fût-il prophète)
peut affirmer détenir la
seule Vérité? Ou une facette de cette
Vérité?
Ne sommes nous pas tous — à chacun son
échelle — une des multiples
facettes de cette Vérité?
Les catholiques croient que le Pape est infaillible et ne se
souçient
donc guère de la cohérence de son discours, car
c'est ce qu'on leur a
inculqué depuis des centaines d'années. Les
musulmans croient que
Mahomet est le dernier
des prophètes
et que prétendre le contraire est impi; ils voient tout
nouveau message
venant du Créateur comme suspect!
Résultat: La tolérance, à ce
niveau-là, a atteint un niveau zéro!
Je sais que vous n'aimez pas que l'on compare le mouvement
Arésien à
une religion, mais c'est simplement pour illustrer mon propos, c'est
à
dire poser la question de l'interprétation des paroles
divines (quelles
qu'elles soient) et les conséquences que peuvent avoir une
interprétation unique présentée comme
la seule possible et soi-disant
voulue par Dieu même.
En politique, en religion, comme en toute chose, je me méfie
(peut-être
à tort quelque fois!) des interprétations
uniques, car je sais (et le
Créateur, bien sûr, le sait mieux que moi!)
à quel point l'homme est
faillible à ce niveau.
Pour en revenir plus précisément à La
Révélation d'Arès, il va
sans dire que je parle ici seulement du Livre et
des
théophanies, et non des paroles de Jésus, qui
parlant en bruit
comme nous tous, ne peut
souffrir de plusieurs interprétations possibles, tellement
ses paroles
sont claires et compréhensibles par tous,
dérangeantes pour beaucoup.
Je ne sais pas si ces questions sont importantes pour vous, mais je
vous livre ces réflexions.
Je vous précise aussi que je ne me définis pas
comme un de vos
détracteurs, ni comme un Pèlerin
d'Arès, du reste.
Et si vous arrivez à me percevoir juste comme quelqu'un se
posant ces
quelques questions (sans arrières pensées
machiavéliques ou je ne sais
quoi d'autres!), je pense que ce serais
bénéfique. Celà éviterait
en
tous cas de repartir sur l'éternel débat
stérile (sans grand interêt de
mon côté) partisans-détracteurs.
Mais évidemment, n'étant pas à votre
plaçe, je n'ai pas le même point
de vue sur les questions de formes et de fond concernant la diffusion
de La
Révélation d'Arès, et
je respecte tout à fait votre point de vue
là-dessus, même si, je vous
l'avoue, je ne comprends pas tout! Sur vos préoccupations de
la
diffusion par internet qui n'est qu'un outil comme l'imprimerie en est
un autre.
D'ailleurs, les diverses "fausses" ou mauvaises
interprétations du Livre
n'ont pas attendues Internet,
n'est-ce pas?
Internet n'est qu'un outil de partage d'idées, qu'elles
soient bonnes
ou mauvaises, mais ce n'est qu'un outil.
Il est vrai que le partage n'est pas une valeur de notre
société
habituée à faire de l'argent avec tout et
n'importe quoi!
Pour vous, j'ai l'impression que c'est un problème de fond,
alors que
pour moi, ce n'est qu'un problème de forme, de cadres
juriques et
législatifs, de copyright..etc...qui ne justifient pas une
non-diffusion en ligne de mon point de vue.
Dans quelques années, les lois auront sûrement
changé. Elles changent
au gré de l'humeur et du
porte-monnaie de nos "chers dirigeants." Est-ce pour cela qu'il faudra
supprimer le Livre
d'Internet
s'il vient à exister sous cette forme?
Voulez vous prendre en compte toutes les lois existantes et
à venir à
ce sujet?
Des lois qui se contredisent mutuellement?...
Bon courage!, une armée d'avocats à plein temps
n'y suffirait pas!
Pour finir, je comprendrais — et je ne suis
peut-être pas le seul —, je
comprendrais sûrement mieux vos préoccupations sur
la diffusion (ou la
non-diffusion) du Livre,
si
vous exposeriez vos raisons, car toutes les raisons que vous
évoquez ne
sont pas si évidentes que ça, comme vous le
dites. Du moins pas pour
moi.
Et encore une fois, je ne pense pas être le seul dans ce cas,
sans pour
autant penser être un détracteur du Livre
ou de vous-même, je vous le précise encore.
Je comprendrais vos raisons, si vous les évoquez clairement.
Je ne
pourrais pas vous suivre sur ce point autrement.
Olivier G. |
Réponse
:
Je vous sais gré de dire que vous n'avez pas compris grand
chose à ce
que dit mon entrée #0068, car en effet votre commentaire
d'un bout à
l'autre montre que vous n'avez rien compris au
véritable Fond
de La
Révélation d'Arès. Vous
ne
connaissez pas cette Parole ou vous croyez la connaître. Ipso
facto,
nous ne parlons pas du tout des mêmes choses. Par
ailleurs, et cela concerne
plutôt mon entrée
#0067, j'ai largement expliqué pourquoi j'ai fait
retiré La
Révélation d'Arès du web
sous
une forme "libre de tout droit," autodéterminée
par le "pirate"
informatique. Vous êtes libre de ne pas être
d'accord avec mes raisons.
D'ailleurs, ne publié-je pas votre commentaire in extenso
par respect
de votre liberté?
Vous ne comprenez rien à ce que je dis... ou vous faites la
bête. Je ne
tranche pas. Je dis seulement que ces alternatives occupent logiquement
mon esprit. De toute façon, si vous êtes un homme
de bien,
de pardon, d'amour,
de paix,
de liberté
spirituelle, même en
désaccord avec moi ou dans l'incompréhension,
vous serez plus justifié
que moi, qui suis un pécheur
qui a bien du mal à être le pénitent
qu'il voudrait être. Là est le fond de La
Révélation d'Arès. Je ne
sais
pas comment mieux expliquer les choses.
|
06Oct07
68C13
Lecteur attentif de
votre enseignement depuis près de 20
ans, j'avoue que je n'ai
jamais très bien compris les arguments de ceux qui
souhaiteraient voir
La Révélation d'Arès
publiée sans annotations ni préface. D'abord,
parce que cette demande contredit le Message auquel ces
détracteurs se
réfèrent: Parole de
Mikal, Ma Parole! (Rév d'A I/12)*
Où donc se situe la logique de celui qui dit: Je veux la Parole
(celle où il est écrit Parole
de Mikal,
Ma Parole!), mais sans la parole
de Mikal?
Je ne parle de liberté — chacun est libre de lire La
Révélation d'Arès comme il
le souhaite —, je dis simplement: La
logique de vos détracteurs n'est pas... logique.
Ceci
étant, comment sortirons-nous de ce débat sans
fin? Vous donnez ici la
réponse: par l'existentialisme. Ceux qui s'appuient sur
votre enseignement
comme rampe de lancement pour la compréhension et l'accomplissement
de La
Révélation d'Arès ont la
responsabilité de démontrer au monde par
les faits (plus que par le débat à mon avis) que l'enseignement
de
Mikal donne la Vie (Révd'Arès XIX,/26).
Ils ne le font pas
par défiance envers
ceux qui rejettent votre enseignement, mais par
conscience de
leur responsabilité prophétique et historique,
parce qu'ils accompliront
— ou
ne n'accompliront
pas —, ils
donneront tort ou raison
à ces détracteurs.
Votre article motive plus encore ma volonté de
devenir bon, aimant, juste, vrai, lumineux — et donner envie
à d'autres
hommes de le devenir à leur tour — pour ce monde
et le monde
à
venir.
Jeff
*De nombreux versets de L'Évangile
donnée à Arès et du Livre
évoquent la complémentarité
nécessaire de la Parole
du Père et de la parole du
prophète. Ils sont déjà
cités
dans de précédents commentaires de cette page. Je
ne les
redéveloppe pas ici. |
06Oct07
68C14
Personnellement je me suis senti frustrée par votre
édition de La
Révélation d'Arès avec
annotations et explications et anecdotes de différentes
sortes, parce
qu'elle m'a frustrée de la preuve de l'Appel,
de la preuve de ma vocation, si vous préférez.
J'aurais voulu lire la
Parole nue, puis ensuite et ensuite seulement vérifier si je
l'avais
comprise comme le prophète
l'avait comprise.
Si je l'avais de moi-même comprise comme il faut la
comprendre,
j'aurais eu la preuve que Dieu m'appelait personnellement à
son
service. Si je ne l'avais pas naturellement comprise comme le prophète
l'avait comprise, j'aurais
eu la preuve que je n'étais pas
désignée pour le prophétisme et je ne
serais pas devenue Pèlerin d'Arès, par pudeur. Je
me serais contentée
de passer une vie convenable dans le reste
(appendice Nous
Croyons, Nous Ne
Croyons Pas, dans La
Révélation d'Arès
éd.1995) au lieu de le faire dans le petit reste.
Gerti |
Réponse
:
Rarissime est cet argument-là en faveur de
l'édition de la Parole
d'Arès nue, sans aucune explication. Je l'ai entendu deux ou
trois fois
en trente ans, pas davantage. Mais votre commentaire manque de
précision. Je ne sais pas de quelle "preuve de l'Appel" vous
parlez,
parce qu'il peut y en avoir plusieurs, dont deux au moins que voici,
l'une différente de l'autre:
La première preuve serait la preuve que vous êtes
bien devenue un blé
mûr, bon pour être fauché,
gerbé, battu, étalé dans la
grange, bref,
moissonné.
La seconde preuve, d'ordre mystique, serait le preuve que Dieu vous
appelle à une mission prophétique
singulière, distinguée, comme par
exemple il m'appela en 1974 et 1977 sans que je n'eus rien
demandé.
À propos de cette seconde preuve, qui fait
référence implicite à l'Appel
que je
reçus moi-même en
1974 et 1977, n'oubliez pas que je pouvais m'y dérober
totalement comme
d'autres en grand nombre
l'avaient fait (Rév
d'Arès 2/16)
ou je pouvais l'entendre d'abord, mais revenir en arrière
ensuite (Rév
d'Arès 39/6). Autrement dit,
ma liberté était totale et l'est toujours.
L'Appel dont vous parlez
n'entraîne pas du tout une fatalité
d'obéissance de l'appelé, comme
vous l'imaginez peut-être. La décision de
l'appelé reste totalement
existentielle avec toute la complexité de cet existentiel
(J'y
reviens). Autrement dit, comprendre la Parole est une chose, suivre la
Parole en est une autre.
À propos de la première preuve: Suis-je bien un blé mûr
bon à moissonner? Vous
ne pouvez
découvrir cette maturité au fond de vous qu'en
soumettant votre
spiritualité virtuelle à l'épreuve du
sens, de la signification exacte,
de l'Appel, que
cette
signification soit une découverte spontanée de
votre intuition ou
qu'elle vienne de
l'enseignement du
prophète. Une bonne compréhension
du sens par vos propres moyens n'ajoute aucun mérite
à ce test de votre
état spirituel latent, de votre maturité
spirituelle. Elle seule
importe.
Dans les deux cas, connaître le sens de La
Révélation d'Arès par les
explications du témoin,
qui a
pour rôle de transmettre et d'expliquer, n'enlève
rien aux mérites de
votre engagement, quand vous le prenez. Quels que soient vos moyens de
perception du sens de La
Révélation
d'Arès, la preuve de l'Appel
personnel ne vous est pas donnée par Dieu, qui lui appelle
tous les
hommes sans exception et qui tous sans exception savent, sans le
moindre besoin de preuve, Qui
les appelle (Rév
d'Arès 1/9).
La preuve de l'Appel vous est donnée par votre propre
acceptation, plus
exactement par votre propre capacité de l'accepter qui
prouve votre
filiation divine, par le réveil en vous de l'image et
ressemblance
du Créateur (Genèse
1/27) qui
est en vous.
Cela vous détache résolument de l'esprit
traditionnel de religion.
C'est pourquoi je dis que La
Révélation d'Arès est
profondément existentialiste. La véritable
frustration viendrait de votre refus d'être une croyante
existentielle,
maîtresse de son destin spirituel, à l'inverse de
ce que sont encore
des milliards de croyantes passives, juives, chrétiennes ou
musulmanes,
qui attendent tout de Dieu par l'interméidiaire de la
religion "comme
les oies attendent la pâtée," disait Charles
Péguy. Elles devraient
tout attendre d'elles-mêmes, de leur volonté
d'être, sauf la Parole
(l'Appel) et son sens qui ne peuvent être donnés
que par son Auteur
Divin par l'interméidiare de l'homme unique qu'il
désigne à cet effet:
le prophète. Vous
ne
déméritez pas en écoutant le prophète,
bien au contraire. |
06Oct07
68C15
J'estime indispensables vos commentaires, vos
éclaircissements et vos
chroniques accompagnant La
Révélation d'Arès. Je ne
crois pas qu'on puisse de bonne foi
vous demander de les supprimer ou de les éditer
séparément, ce qui
reviendrait à les supprimer, car le vécu de la
lecture serait, sans
eux, rompu, brisé. Non, non, ceux qui vous demandent de
publier La
Révélation d'Arès nue,
sans
explications, sont évidemment rongés par quelque
contrariété ou
antipathie à votre égard. Cette antipathie peut
avoir diverses causes,
mais je pense que la principale vise votre personne.
Vous vous plaignez quelquefois de votre solitude, mais je crois qu'elle
vous a permis d'acquérir, sans que vous l'ayez voulu, une
indépendance
extrêmement rare chez les hommes de notre temps, tous plus ou
moins
étiquetés par la système. Vous? Pas
d'étiquette! Une indépendance
extraordinaire, dont vous semblez même ne pas avoir
conscience. C'est
cette indépendance qui a très vite
été insupportée par des gens qui
voudraient que vous livriez au système ce Message dont la
garde vous a
été confiée. Ils voudraient que vous
rentriez dans le moule de la
moutonnerie générale, alors qu'en lisant vos
commentaires, on comprend,
dès la trentième page, que vous vous en
êtes définitivement libéré.
C'est vous, homme libre,
qu'ils trouvent insupportable en trouvant vos notes insupportables.[...]
Des gens qui ne vous connaissaient pas, qui n'avaient jamais pu ou
voulu évaluer votre personnalité solide et unique
et tellement hors du
commun, vous avaient au début pris pour un petit malin, un
aventurier,
un opportuniste pour le moins. Ils vous avaient rangé parmi
les escrocs
religieux. Ils s'étaient concentrés sur le fait
que vous aviez reçu une
Révélation de Dieu, donc pour eux un fait
invraisemblable, forcément
faux, et non sur la Révélation
elle-même qu'ils avaient négligé
d'étudier. L'étude de la
Révélation les aurait fait
réfléchir, parce
qu'en lisant de très près La
Révélation d'Arès on voit
les vrais problèmes qu'elle pose et
avant tout le fait qu'elle ne peut pas être d'invention
humaine et que,
de toute façon, elle ne peut pas servir un ambitieux, parce
qu'elle
l'accable d'une mission très difficile.
Le problème de l'authenticité mis à
part, il s'avérait, que vous soyez
un faussaire ou que vous soyez Moïse, que vous aviez
gagné en plus de
la paternité d'un nouveau courant spirituel une
insupportable
indépendance à la tête de ce mouvement
avec l'appui de vos disciples,
les Pèlerins d'Arès. Cette légende
noire de l'homme qui a pu échapper
au système tout en vivant dans le système et non
sur une île déserte
est, j'en suis sûr, à l'origine des reproches qui
vous ont été faits de
vouloir être, en plus du témoin de La
Révélation d'Arès, son
théoricien ou son théologien. Vous vous
êtes donné une stature historique et ceux qui
veulent vous voler le
rôle d'initiateur total cherchent d'abord à
réduire cette stature. Mais
il est trop tard pour eux. Ils n'y parviendront pas. [...]
Vous êtes devenu l'épouvantail, pour le moment
petit épouvantail pas
très remarqué, mais il grandira et fera de plus
en plus d'ombre au
monde. L'épouvantail de ceux qui croient aux valeurs et aux
principes
du tout à tout le monde, parce que, disent-ils, Dieu est
à tout le
monde et donc La
Révélation d'Arès
a par principe autant d'adaptations qu'elle a d'adeptes, parce que si
son témoin, qui est à l'évidence un
homme comme tout le monde, a placé
très haut sa liberté personnelle, il n'y a pas de
raison que tout
croyant n'ait pas à son tour la liberté
personnelle de l'interpréter et
ne s'affranchisse, comme Mikal
l'a fait, des lois ordinaires de la religion pour fabriquer sa propre
religion. [...]
François D. |
Réponse
:
J'ai effectué des coupes dans votre commentaire, qui est
vraiment trop
long, mais je n'en ai réduit ni le sens ni la
portée.
Votre thèse est intéressante, mais je ne crois
pas que les motifs de
ceux qui m'incitent à réduire La
Révélation d'Arès
à son texte révélé soient
aussi élaborés dans
leur conscient.
Que les uns soient des envieux ou des jaloux primaires ou que d'autres
cherchent à remplacer mes commentaires par leurs
commentaires qu'ils
estiment mieux inspirés, aucun doute! Qu'ils trouvent mon
"indépendance
insupportable" ne me paraît pas, par contre, le vrai terrain
psychologique de leur démarche. Il est tellement patent que
je n'ai pas
"fabriqué ma religion!" Est-ce que ce modeste blog, pour ne
parler que
de lui, suggère à ses visiteurs de m'assimiler
à un psychopompe
religieux, un capteur d'âmes, un laveur de cerveaux, un homme
d'influence enviable qui ne peut que faire des émules parmi
d'autres
"ambitieux"? Non.
Je sais que je suis forcément mauvais juge de ce que je
représente et
fais moi-même, mais je ne crois pas avoir gagné
une "indépendance
enviable." Ceux qui me disent qu'ils ne "voudraient pas être
à ma
place" sont légions, y compris parmi les partisans de La
Révélation d'Arès toute
nue. |
07Oct07 68C16
Les frères super-intelligents qui peuvent comprendre sans
les
explications du
prophète (des frères qui sont sûrement
très en avance sur la mission)
peuvent aussi
comprendre que la grande majorité n'est pas dans leur cas.
Ils
devraient
aussi méditer sur la multitude de mots du Livre
qui ne
figurent dans
aucun dictionnaire.
À moins d'être Madame Soleil, je ne vois pas
comment
en deviner le sens.
Jean M. |
Réponse
:
Mon frère Jean, c'est avec un intense émotion que
j'ai lu votre
commentaire, à vous qui vous considériez parmi le
modeste des modestes,
le petit des petits du petit
reste,
et dont, par surcroît, j'ai été sans
nouvelles pendant très longtemps.
Je découvre tout à coup que non seulement vous
êtes toujours là, devant La
Révélation d'Arès
ouverte devant vous, Le
Livre
dont les annotations remplacent très avantageusement les
oracles de
Madame Soleil, mais vous visitez mon blog. Je vous salue
fraternellement. |
07Oct07 68C17
Pour aller plus loin que le cri de joie [commentaire 68C2]
que m'a fait
pousser votre entrée #0068 et que j'ai voulu vous exprimer
aussi
spontanément qu'il m'est venu, je pense que, non seulement
votre pensée
nourrie de la Parole de Dieu ne nous enlève rien ni ne nous
contraint
ou nous gène, mais bien au contraire elle s'avère
indispensable pour
nous permettre
d'acquérir la maturité spirituelle qu'il faudra
au petit reste
pour poursuivre la
mission qui vous a été confiée de
respiritualiser le
monde.
Je pense par exemple à l'enseignement que vous avez
donné à nos frères
et soeurs de Paris au début des années 2000 [en
fait de 1995 à 1997] et
qu'ils nous ont ensuite transmis quelques années plus tard.
J'ai
assisté à une des retransmissions de cet
enseignement pendant plusieurs
mois où, à votre exemple, une sœur et
un frère ont repris chaque verset
de la Parole en
exposant ce qu'ils avaient compris et retenu des réflexions
et
commentaires que vous aviez développés devant
eux, les yeux dans les
yeux et de coeur à coeur.
En écoutant cet enseignement,
j'ai redécouvert La
Révélation
d'Arès, j'en ai compris certains aspects
beaucoup plus
clairement, des perspectives insoupçonnées se
sont ouvertes. Ma pénitence
et ma moisson
ont changé. À travers cette
sœur et ce frère quelque chose de votre intelligence
et de
votre Vie
pétries toutes deux de la
Parole était passé. Votre intelligence
avait fait passer le Souffle, le sens de la Parole, ce qui leur
permettait à leur tour, chacun à sa
façon (d'ailleurs très différente)
de nous transmettre ce Souffle.
Je les en remercie et je vous remercie de cet enseignement qui m'a paru
une autre manière d'annoter La
Révélation d'Arès. Il en
va de même de vos articles, des textes
de ce blog, des homélies du Pèlerinage qui
donnent vie à cette Parole
qui sans cette vie aurait bien du mal à éclairer
notre faible lumignon.
Spirituellement, nous ne sommes probablement pas très
matures, mais
sans votre enseignement nous le serions encore moins. Dieu fasse que
vous restiez parmi nous le plus longtemps possible pour que nous
réussissions à trouver une autonomie spirituelle
suffisante, qui nous
permettra de poursuivre /droitement/comme/de
droits changeurs/ (Rév d'Arès, Le Livre I/6),
la tâche que vous
avez commencée et qui n'est rien moins que la restauration
d'Éden
D. Faber. |
07Oct07 68C18
Dans le cas de quelqu'un que je suivais depuis plusieurs
années pour
essayer de comprendre sa souffrance, je lui avais donné La
Révélation d'Arès et il
me
disait qu'il avait du mal à la lire.
C'était un homme très rationnel et intellectuel,
mais avec un cœur bon
et de culture catholique assez marquée.
Je lui conseillai alors de ne lire que les annotations et c'est
à
partir d'elles qu'il a pu se construire une vision claire de La
Révélation d'Arès.
Ensuite seulement, au bout d'un an au moins, il a pu aborder la lecture
du texte en lui -même.
JH |
07Oct07 68C19
Imaginons, dans quelques temps, La
Révélation d'Arès sans
protection du copyright [voit entrée
0067], livrée au monde profane.
Ça pourrait donner quelque chose du genre:
"Tu connais La
Révélation d'Arès?"
"Ouai, moi je suis un adepte de la version transcendantale de Bodi
Tsé
Dong, qui préconise les 18 prières quotidiennes
et le jeûne
hebdomadaire, condition sine quoi non du nirvana. Mais toi, tu as une
version qui a été
récupérée, moi j'ai obtenu la vraie
version, celle
qui comprend les écrits terribles apocalyptiques, qui
relativisent le
reste de la Parole et qui prévoit de toute façon
l'Intervention Divine
pour sauver coûte que coûte l'homme de
lui-même."
Un troisième intervenant dirait:
"Moi, je ne crois pas aux versions annotées, je suis
prêt à défendre
par le sang la vraie version sans annotations, pure, comme DIEU est
GRAND et PUR, et qui appelle à prendre les armes pour
traquer les prêtres,
à violer leurs femmes, à
dépouiller leurs enfants (28/23)."
N'est-ce pas parce que la
Parole est
devenue bruit qu'il y a autant de mensonges, de
perversions, de
modifications dans la Bible, le Coran, etc? [N'est-ce pas ce qui] a
engendré la perte de la Spiritualité? [N'est-ce
pas pourquoi] Dieu nous
ravive encore? Faibles
lumignons (35/5),
nous sommes sûrement loin d'apprécier la chance
que nous avons de
recevoir la Parole dans son Intégrité.Cela
grâce au grand Frère —
soyons humble et n'oublions pas que c'est lui qui l'a
préservée et
retransmise jusqu'à présent —, qui
s'est vu astreint à une si lourde
tâche qu'en définitive nous sommes par rapport
à lui dans une position
si confortable que chacun de nous doit remercier le Ciel d'avoir
échappé à cette responsabilite que
nous n'aurions sûrement pas pu
assumer aussi longtemps.
Pourtant, un coup de folie nous prend. Sous prétexte de liberté,
on jette en pâture La
Révélation d'Arès au
tout-venant.
Mais il me semble que [ce que nous devons revendiquer,] c'est la liberté
(10/10)
de choisir le Bien,
la liberté
d'intelligence (32/5)
spirituelle, qui nous mènera vers le bonheur, mais pas la liberté
d'impatience — Répugne à la
hâte et à la science; ce sont les portes par
où entre le mal dans le
monde! (39/3)) — ni la liberté
d'insouciance .
Même avec La
Révélation d'Arès
non modifiée, nous faisons quand même
continuellement des erreurs
d'interprétation que le grand Frère
corrige avec patience.
Si, par hâte, par immaturisme, nous répandions La
Révélation d'Arès sans
protection [du copyright et sans les notes du prophète], qui
d'entre
nous accepterait d'en prendre la responsabilité, qui se
prétendrait
pouvoir maitriser les conséquences? La Parole ne se
transmet-elle pas
par la Moisson?
Pour ma part, je suis sûr que la transmission de la Parole
d'humain à
humain est plus porteuse de fruits, car elle se transmet vivante, avec
le cœur, le travail, le contact, l'amour, d'homme
à homme.
La fameuse phrase de Jésus: "Que celui qui n'a jamais
péché lui jette
la première pierre!.." Si par zèle l'un
d'entre nous a commis une
erreur, celle-ci ne semble pas irrécuperable — oh!
pas grâce à moi
c'est sûr!!!, mais grâce au prophète
qui veille.
Ce qui ne nous terrasse pas nous rend plus fort, n'est-ce pas?
Xavier |
Réponse
:
Pour des raisons inconnues, ce commentaire daté du 01/10/07
vient
seulement de me parvenir. En le lisant — non sans
difficultés, parce
que certaines parties du texte original, sans doute lui-même
écrit à la
hâte sans être relu et corrigé, sont
altérées — je trouve qu'il
convient autant à l'entrée 0067, à
laquelle vous le destiniez, qu'à
cette présente entrée 0068. Après
quelques hésitations, c'est dans
#0068 que je le place. C'est un commentaire très
intéressant. |
07Oct07 68C20
La lecture du commentaire de J-H [68C18] me fait bondir.
J-H cite l'exemple de quelqu'un qui n'aurait compris le sens de La
Révélation d'Arès qu'en
lisant
les annotations de l'éditeur — qui se
prétend l'ayant-droit Michel
Potay© — et qui n'aurait abordé le texte
de la Parole qu'ensuite.
Mais c'est précisément là qu'est le
problème!
En lisant d'abord les préfaces, commentaires et autres notes
et annexes tout
est faussé
dès le départ!
La culture est véhicule de sagesse. Celui qui lit avec sa
culture La
Révélation d'Arès, un
livre du
Très-Haut ô combien sacré, sans s'enivrer
(Rév d'A 32/9) du vin capiteux des explications
de l'éditeur,
[celui-là] captera toujours mieux le sens de l'ouvrage. Plus
tard un
peu de méditation et de concentration l'aideront
à comprendre les
passages qui ne lui semblent pas encore très clairs.
R.V. |
Réponse
:
Je suis très touché par la façon dont
vous appréciez La
Révélation d'Arès: "un livre
du Très-Haut ô combien
sacré."
J'aurais donc été, selon vous, le
récepteur purement physique d'une
transmission de texte venu du Créateur et mon rôle
aurait dû se limiter
à ces audition et transciption du texte, point final. En
somme, au
moment où le Père voulait transmettre un Message
aux hommes, j'aurais
été sur la terre le seul talkie-walkie ou
walkie-talkie réglé sur la
bonne longueur d'onde? Aucune espèce d'ambition ne m'enfle
la tête et
me ferait refuser cette hypothèse, si le texte
lui-même du Message
limitait mon rôle à cette hypothèse.
J'y reviens plus bas.
Selon vous, si j'avais respecté ce que le Père
attendait de moi,
j'aurais transmis le Message et ensuite je serais tranquillement
retourné à mes occupations
ecclésiastiques contraires au sens même du
Message, prêtre
et docteur et
même prince
du culte,
proclamant au cours de sa liturgie
les livres de Jean et de Paul, qui ne sont pas paroles de Dieu?
Non, allez-vous me dire, vous auriez au moins
quitté
l'église, car le sens du Message était
là, bien tombé dans vos oreilles
et dans votre cerveau, quand même.
Ah bon! Mais en quittant l'église je n'aurais
déjà plus été le
récepteur tout neutre sans la moindre
interprétation ou pensée que vous
auriez souhaité que je fusse... Ma seule attitude m'aurait
trahi comme
partie prenante du Très-Haut descendu parler à
Arès. Étant aussi
l'auditeur d'un Message qui aurait à ce point changé ma vie,
on serait venu à moi
sans cesse pour en savoir plus... J'arrête la liste des
hypothèses pour
ne pas tomber dans l'absurde.
Surtout, en me limitant à un rôle
mécanique d'auditeur-transcripteur,
j'aurais trahi le Message lui-même, qui m'assigne, c'est
très clair, un
rôle beaucoup plus étendu que celui d'estafette ou
de standardiste se
bornant à répéter mot à mot
le message destiné à l'état-major des
hommes, auquel vous appartenez probablement, mon cher ou ma
chère R.V.
Je pense tout simplement que vous n'en êtes pas encore
arrivé(e) à ce
stade de "méditation et concentration" qui vous feront
comprendre ce
que je veux dire ici. |
07Oct07
68C21
La première fois que j’ai lu La
Révélation
d’Arès, je l’ai
dévorée sans les annotations. Je voulais aller
vite dans
ma découverte. Je reconnais volontiers que je
n’avais pas compris
grand-chose. Comme beaucoup, je pense, je n’avais retenu que
ce qui
m’intéressais avec
énormément de subjectivité.
Après l’effet puissant de cette lecture
j’ai
repris ce livre et vos notes.
Celles-ci m'ont fait découvrir la diversité
et l’immense étendue humaine et universelle
à travers laquelle cette
Parole
révélée nous emmène et nous
fait découvrir. Voila quinze ans que je
prie dans ce livre, mais souvent, il me
faut revenir aux annotations pour me remettre sur le chemin du bon
sens.
Il me parait difficile de comprendre ceux
qui, dans leur lecture, vous séparent ou refusent vos
écrits. Comment
vous éloigner de ce Message ?
Pour moi, il est impossible et inimaginable
de vous dissocier du message du Père et encore moins de ne
pas prendre
en compte votre transmission et vécu de cette
événement.
De toute façon,
chacun est libre de lire ou de ne pas lire vos annotations.
Où est le
problème ?
Ne pas reconnaître Mikal et ses
écrits
revient à rejeter une part importante du Livre et surtout,
à défier le
choix du Père en n’acceptant pas son
prophète.
Alain J. |
Réponse
: "De
toute façon,
chacun est libre de lire ou de ne pas lire vos annotations.
Où est le
problème," demandez-vous?
Le problème varie. Il se situe souvent, comme dans le cas du
commentateur 68C20, dans l'opinion apparemment fébrile de
ceux qui se
sentent libres de refuser mes annotations, mais qui
considèrent qu'il
vaut mieux que d'autres lecteurs, moins perspicaces ou plus
naïfs, ne
comprennent rien à ce qu'ils lisent plutôt que de
"s'enivrer du vin
capiteux" de mes annotations.
Cette attitude est notamment celle de certains catholiques
très dévots
qui prédirent longtemps que La
Révélation d'Arès, qui
bat en brèche la doctrine de leur église,
disparaîtrait comme disparaît une mode, mais qui la
voyant persister et
même proliférer après trente ans,
n'espèrent plus que voir au moins
disparaître l'influence que le frère Michel exerce
sur ses lecteurs en
général et donc l'enseignement
du frère Michel.
C'est aussi l'attitude de réincarnationnistes qui
tempêtent contre mon
déni de la réincarnation telle que je la lis
très clairement dans La
Révélation d'Arès, mais
qu'ils
considèrent comme un abus d'interprétation. Etc.,
etc.
Pour résumer, ceux qui souhaitent que disparaissent mes
annotations
sont généralement ceux qui considèrent
comme menacée par elles leur
tribu ou leur famille doctrinale ou métaphysique et comme
remis en
question l'inventaire selon eux achevé et imperfectible des
croyances
historiques. |
08Oct07
68C22
Lorsque je proclame la
Parole de Dieu (Le Livre),
depuis plusieurs années maintenant, je lis d'abord la Parole
avec les mots entre-parenthèses, puis les annotations (qui
m'ont toujours été d'un grand secours) puis
enfin, à
nouveau, la Parole avec ses parenthèses.
Voici deux
mois, je me
suis dit que cela pouvait aussi, être intéressant
de
faire la deuxième lecture en psalmodiant sans les
parenthéses. La Parole de Dieu pure. J'ai
découvert
le contact avec l'expression même de Dieu, entendre les vrais
mots de Dieu dans ma bouche. J'ai eu le sentiment de
redécouvrir
la Parole. J'ai été très surpris des
nouvelles
impressions que cela m'a donné.
Et voilà qu'il y a un mois je tombe — par hasard?
—
sur
le site, dont je ne donnerai pas la référence
ici,
d'une femme qui dit n'avoir jamais vraiment accepté
l'idée
que Dieu puisse s'exprimer en obligeant son témoin
à
retoucher la syntaxe.
Elle a donc fait un travail de compréhension
en s'en tenant au seul texte que vous avez donné comme
étant
vraiment de Dieu.
Le résultat est étonnant, car elle
prétend que vous auriez pu vous
passer de ces parenthèses en réexaminant le texte
d'un
peu plus près. Finalement, le résultat qu'elle
obtient
ne change naturellement pas la nature du Message, heureusement, mais
libéré de ses parenthèses le texte
apparait
limpide et ne perd en rien de son sens. Je cite deux
exemples
seulement parmi les plus évidents: "(De)
ta
lèvre, (re)tire la croûte !
Lave ta langue ! Tu as Ma
Parole." devient:
Ta Lèvre
tire
la croûte, lave ta Langue :
TU AS MA PAROLE ! Avant
(était) l'homme,
(l'argile) d'Adame. (L'homme) est long(temps
avant Adame.) L'homme couche (alors) sur l'ombre.
devient:
Avant –
l'homme
d'Adame est long ! –,
l'homme couche sur l'ombre.
Je citerai
aussi une de
ses constatations accompagnées d'une réflexion
plus
personnelle:
Elle signale
par exemple
de menus différences dans certains versets entre
l'édition
de 85 et celle de 95.
En 1989
votre lecture
des versets suivants, est : La
ronce
laisse le(s) pic(s), le mo(u)r(an)t (re)vient, la mâchoire
(se
re)lâche, le sang (redevient) clair.
L(es)
homme(s)
(de)vien(nen)t les frères (et le monde) le nuage (d')or
(où)
les nations (s')embrassent, (où) le frère ne vend
pas
le pain (et) la laine.
Dans
l'édition de 1995, cela devient:
La
ronce
laisse le(s) piques, le mort (re)vient, la mâchoire (se
re)lâche, le sang (redevient) clair.
L(es) homme(s
de)vien(nen)t les frères, (le monde devient) le nuage (d')or
(où) les nations (s')embrassent, (où) le
frère
ne vend pas le pain (et) la laine.
Elle
observe donc que, dans le temps, vous êtes amené
à
voir les choses autrement et je me dis qu'on peut penser que tant
que vous êtes vivant, le texte, tout en restant ce qu'il est,
peut évoluer sur le plan du sens.
Elle
propose de lire ces versets autrement encore:
"La
ronce laisse le pic.
Le Mort vient, la Mâchoire lâche,
le Sang Clair :
L'Homme vient!
Les Frères
Le
nuage d'or-
Les
Nations embrasent
Le Frère ne vend pas le pain, la laine."
Je me suis
obligée à vous écrire ces
réflexions quand j'ai vu que
vous abordiez ce problème. Cela faisait trop de
coïncidence
pour moi autour de cette question de la Parole libre de toute glose
et de la capacité du Créateur à se
faire
comprendre dans un bon français, pour que je garde le
silence.
Pour autant,
je trouve
toujours les annotations utiles, libre à chacun de les
utiliser ou pas. Mais je n'ai pas le même sentiment par
rapport
à la Parole du Créateur, laquelle, pourrait,
peut-être,
être libérée de ces rajouts.
Je suis surprise de mon audace, mais c'est fait
Pat |
Réponse
: "Je me
obligée à écrire ces
réflexions quand j'ai vu que
vous abordiez ce problème." Merci, mais je n'ai pas du tout
abordé ce
problème de la formulation du Livre.
Le problème dont mon entrée 0068 fait
état est celui de mes
annotations, commentaires et préfaces que certains
voudraient voir
disparaître des éditions de La
Révélation d'Arès. Aussi
suis-je soulagé que vous les trouviez
"utiles" à défaut d'être
nécessaires, semble-t-il à vos yeux.
Si la personne, que vous citez à travers quelques passages
de son site,
est un modèle de pénitence,
de travail à la moisson
des âmes,
de bonté,
de pardon,
de paix, d'intelligence et liberté
spirituelle, elle sera,
comme je l'ai dit dans mon entrée 0068, plus
justifiée que moi qui ne
suis qu'un pécheur, mais elle ne sera pas
justifiée parce qu'elle aura
tourné une phrase comme ceci ou comme cela. Ce genre de
travail est
parfaitement inutile — J'ai dû recevoir quelque
trente propositions de
versions ou de formulations du Livre en vingt-cinq ans, chacune
s'affirmant la meilleure et la plus claire, bien entendu —.
C'est du
pharisaïsme. Jésus encourageait les pharisiens
à pratiquer ou accomplir
réellement le
bien et à cesser de couper
les cheveux en quatre et poser des œufs de mouche. J'encourage
cette personne, ainsi que vous-même qu'elle semble avoir
séduite, à
faire de même.
Au reste, la formulation que propose cette personne qui
soulève votre
estime, comme la trentaine de formulations qu'on m'a
proposées depuis
1983, n'est claire que pour le lecteur qui a mes annotations
simultanément sous les yeux. Ces formulations en tant que
telles ne
servent pas plus que ne sert une pomme que vous pouvez seulement
regarder, mais non manger. Sans mes annotations, elles restent aussi
virtuelles que l'est le texte original pour qui le lit
séparément sans
explication du sens. Vous n'êtes pas seule à avoir
lu Le Livre
sans parenthèses. Des
milliers l'ont fait, le font et le feront, mais cela leur permet de proclamer
la Parole pour
l'accomplir (Rév
d'Arès 35/6) — pour
l'accomplir! — seulement s'ils en connaissent
déjà le sens. Cela
ne peut se faire sans mes annotations qui ouvrent le texte à
la
compréhension. Sans mes annotations le texte reste
fermé, quoi qu'en
dise l'auteur de la révision que vous citez.
J'ai expliqué que le Créateur, lors des
théophanies, s'exprimait par un
langage total ou primordial, qui était fait de mots entrant
par mon
oreille et du sens de ces mots entrant simultanément dans
mon cerveau.
Cette plénitude ou complétude
singulière du langage des théophanies,
langage multidimensionnel, n'est pas reproductible par la typographie
et l'imprimerie, sauf en procédant comme je l'ai fait. De
plus, la
personne en question a déplacé la ponctuation,
c'est-à-dire les
silences et les changements de ton tels que je les ai entendus. Elle,
qui n'a rien entendu, a par là torturé le texte
et l'a plus éloigné de
ma transcription originale que ne l'ont jamais
éloigné mes parenthèses.
Lisez la Parole comme vous voulez, cela ne gêne pas le
Père et ne me
gêne pas, mais ne perdez pas votre temps aux principes
vétilleux dont
m'entretient votre commentaire. Allez tout droit à ce
à quoi le Père
nous pousse par La
Révélation d'Arès: accomplir
la Parole
et changer
le
monde! |
08Oct07
68C23
À l'occasion de ce 30ème anniversaire des
Théophanies, je tiens à
rendre hommage à l' honnêteté, la
droiture, le courage, la patience,
l'amour avec lesquels le Frère Michel nous a
guidés dans notre ascension
pendant toutes ces années.
Oui, vous êtes le juste
prophète,
Frère Michel, et je n'oublierai jamais la
difficulté que vous avez eue
à accepter ce mot[, ce titre de prophète,]
alors que vous aviez déjà répondu: "Me
voilà, Seigneur," à celui qui
vous visitait. Vous avez toujours respecté la
Vérité historique des
faits et c'est votre amour pour votre frère humain qui vous
a fait
toujours adapter les annotations et vos enseignements,
pour
nous aider à
mieux avancer dans la voie du Bien.
Sans jamais juger ceux qui vous attaquaient, vous avez toujours
défendu
l'intérêt du Créateur.
Depuis 1974, vous et votre épouse, n'étant plus
rien pour vous-mêmes,
avez voué votre vie à ce magnifique Message
d'espérance pour l'humanité.
Vous êtes l'exemple vivant de la gravité
mêlée à la joie insurgeante,
novatrice, vivifiante, civilisatrice (sans mégalomanie).
Vous avez une belle foi qui fait envie et un tel amour de l'homme que,
si nous faisons l'effort d'accomplir
ce que le Père nous recommande, avec l'éclairage
de votre enseignement qui
nous fait sans
aucun doute gagner du temps pour sortir vers la Lumière,
nous contribuerons à changer
le monde en Bien.
Encore MERCI à vous cher Prophète et vous soeur
Christiane !
Chantal C. |
Réponse
:
De votre part, Chantal, qui avez été des
premiers, sinon même la
première à répondre
"Présent!" et à être totalement
disponible sans
tergiversation dès 1974, ce témoignage
m'émeut au-delà de ce que vous
pouvez imaginer. J'ai, je l'avoue, quelques larmes dans les yeux en
tapant ce mot sur mon clavier: Merci. |
08Oct07
68C24
Je suis de celles qui ont lu la première fois La
Révélation d'Arès en
m'arrêtant
plus sur les annotations que sur les Veillées et [les
chapitres des]
Théophanies. Tout simplement parce que je ne comprenais pas
le sens de
ces dernières. Pourtant je savais lire, écrire,
avais fait quelques
années d'étude après le bac, mais
c'était comme si ma formation
d'esprit m'avait rendu hermétique à un langage
qui résonne directement
sur un organe présent, mais atrophié en moi.
Pourtant une ou deux phrases du Livre,
la rencontre avec un Pèlerin d'Arès, la rencontre
avec le témoin
m'ont fait sentir que là, il y avait quelque chose de tout
à fait
particulier, le Vrai dans
ce
que devaient être les relations entre les hommes et Dieu. Une
phrase,
une évocation dans un livre et commence alors le
début d'une longue
série d'autres phrases qui ouvrent et réveillent
en vous cet organe
atrophié. Parfois c'est une phrase de La
Révélation d'Arès,
parfois c'est une annotation, le
balancement est continuel et ne pose aucun problème
à ma conscience:
Elle seule sait ce qui lui permet d'ascensionner
vers le Bien.
Nicole et Jean-Claude |
08Oct07
68C25
"[…] Je crois surtout que les détracteurs de La
Révélation d'Arès voient
maintenant qu'ils ne l'empêcheront jamais de se
répandre et passent de
l'argument: "Cette soi-disant révélation n'est
qu'une imposture ou une
folie […]," écrivez-vous.
J'ajoute que, 33 ans plus tard, toute votre vie témoigne de
votre
honnêteté, votre droiture et votre
équilibre mental (pour le moins !!).
Vos écrits innombrables et la hauteur exceptionnelle de
votre enseignement
ne permettront plus de
vous marginaliser. Aujourd'hui déjà, personne ne
peut plus vous salir
sans se ridiculiser et c'est bien pour cela qu'on ne vous attaque plus
de façon publique.
On peut tout à fait librement refuser La
Révélation d'Arès, mais
on ne pourra plus le faire en disant
"qu'on ne savait pas."
Les ennemis vont donc redoubler d'effort et la vigilance des frères
va être sérieusement
éprouvée!
Patrick |
08Oct07 68C26
Vous écrivez : "J'ai toujours reçu des
suggestions de ne
publier La
Révélation
d'Arès que nue, sans avant-propos, ni
commentaires, ni notes,
mais
autour du
30e anniversaire des théophanies ces suggestions deviennent
pressantes."
J’ai découvert La
Révélation d’Arès
en 1986 après avoir vécu quelques
expériences qui
m’avaient ouvert à la dimension spirituelle de la
vie humaine et à
l’Existence du Créateur capable
d’intervenir dans la vie d’un
homme pour lui montrer la route tout en respectant sa
liberté de suivre
un
autre chemin. Quant j’ai ouvert La
Révélation d’Arès
j’ai reconnu Son Auteur par la
sensibilité, par le souvenir de la Marque de son Auteur qui
m’avais
touché précédemment plus que par
l’analyse du texte.
Depuis vingt ans
que
je marche sur ce sentier du milieu avec vous, je
n’ai jamais
trouvé que vos annotations posaient
problèmes.
Je regrette au contraire que vous ayez dû les
abréger pour qu’elles ne
prennent pas trop de place.
À mon sens, vos annotations sont
indispensables car
elles évitent à cette
Révélation de retourner dans la confusion
stérile
et statique des interprétations divergentes qui ont
sapé l’accomplissement
de la Thora, de L’Évangile ou de Coran. Le
Père de l’Univers à
parlé pour que Sa Parole
s’accomplisse — pour que le monde soit
sauvé — par une action
créatrice qu’Il impulse et non pour
qu’elle soit
discutée sans fin par des discuteurs qui refusent
d’accepter une Vérité
qui ne leur convient pas. Libre à eux de croire ce
qu’ils veulent,
puisque
ce n’est pas croire qui sauve, mais faire! Alors pourquoi
tant
insister pour que vous supprimiez vos annotations qui sont vitales pour
laisser
à cette Parole sa cohérence créatrice,
sa direction qu’elle montre
clairement ?
J’ai observé pas mal de
mouvements spirituels, politiques, religieux, présent et
passés. Mêmes
s’ils
ont apportés quelque chose à
l’humanité, ils ont pour ainsi dire tous
échoué sans atteindre leur but: changer
le monde pour qu’il
retrouve l’harmonie primordiale. Pourquoi ces
mouvements ont-ils
échoué? Ils leurs manquaient une
compréhension en profondeur de l’homme
et de
l’avenir que seul le Créateur pouvait donner. Il
leur manquait la
plénitude de La
Révélation et
la compréhension nécessaire de cette Révélation
(ce qui n’est pas si évident) que seul un prophète
peut percevoir.
Par
vos annotations et votre enseignement ceux qui vous ont suivi ont fait
des
progrès énormes spirituellement et humainement.
Cela prouve que votre
vision
qui est d’équilibre, de mesure,
de sagesse,
est la bonne
vision pour
montrer la Voie
qui sortira
l’humanité de l’impasse. La direction
que vous montrez dans votre enseignement
s’est révélée, au cours de
toutes ces
années, comme parfaitement juste.
Les contradicteurs de vos annotations
espèrent
se débarrasser de vous — réduire La
Révélation d'Arès
à une pensée confuse et
inactive — en se débarrassant de vos annotations
et de votre enseignement.
En
défendant le sens de la Parole
révélée, vous montrez une fois de plus
la Sagesse du
Père
qui donne toujours sa Révélation
aux hommes par un prophète
qui
incarne cette Révélation.
Allez en paix, vous remplissez bien la mission que le Père
vous a
confiée.
Daniel C. |
08Oct07 68C27
J'ai attrapé un sale virus et c'est la tête
"embrumée" que j'apporte
les dernières touches à ce commentaire.
Votre entrée [0068] m'a fait beaucoup
médité et m'a ramené loin en
arrière quand vous aviez posé la question
à l'assemblée
"Un prophète pour quoi
et pour faire quoi?".
Il me semble qu'une des raisons pour lesquelles on accepte
difficilement que vous puissiez être le seul à
détenir le vrai sens de
la Parole, qui vous a été
révélée, est que nous autres
occidentaux, de
souche chrétienne pour la plupart, n'avons pas de case pour
appréhender
la vraie nature d'un prophète.
Les musulmans au contraire ont gardé très vive en
eux la figure et la
présence de Muhammad, homme parmi les hommes,
habité par la présence de
Dieu, et dont ils se remémorent l'exemple et les paroles en
toutes
circonstances. Ils ont gardé une image vivante de ce qu'est
un prophète,
à la fois la porte et le
chemin vers la Vérité. Même si l'islam
a quelque peu figé le
vrai dans une vision morale et
ritualiste depuis, le prophète est cet homme en qui la
vérité vit: Elle
entre dans sa vessie
comme la mer
(Rév d'Arès XXI/12). Elle nage dans
sa gorge comme la
fontaine (XLVII/9). Le prophète
en est empli mais il ne
lui commande pas. Elle est
(I/4).
Et ce que l'homme du commun (dont je suis) qui la reconnaît,
honore en
cet homme, le prophète,
c'est
d'avoir accepté cette présence pour toute
l'humanité alors qu'il n'est
lui-même en tant qu'homme qu'un pécheur comme les
autres qui doit se
changer.
Cette nature si particulière d'homme-prophète,
je crois, est difficile à saisir pour un esprit occidental
qui
compartimente, cloisonne, globalise, bref, rationalise et qui ne voit
pas le lien invisible qui relie toute l'humanité
à Dieu à travers cette
porte qui mène à la Vie.
Je
la vois comme une sorte de singularité dans l'univers, un
lieu qui
échappe aux lois de la physique et du temps, où
se comprime en un point
très minuscule, les deux pôles opposés
de la Création. Un miracle en
somme. Mais un miracle qui se nourrit autant de la Volonté
du Père que de la volonté
de celui qui a choisi
librement (Rév
d'Arès 19/2) de dire oui. Les deux
volontés se rejoignent et se
fondent dans l'action effective de changer
le monde (28/7).
Une création vivante, une figure de l'impossible possible.
Un exemple
de la possibilité de l'homme d'échapper
à tout déterminisme, qu'il soit
historique, sociologique, scientifique ou autre. Un exemple
à suivre
surtout. Développer cet aspect prendrait des pages mais il
suffit
peut-être de commencer par méditer le nombre de
fois que l'Évangile
donné à Arès commence
par "Vois, homme
Michel!" ou "Écoute,
homme Michel!" pour en
mesurer la portée et le sens.
Éric D. |
08Oct07 68C28
C’est en 1991 sur feu la Cinq [chaîne de
télévision disparue] que j’ai
entendu parler de La
Révélation
d’Arès et vu pour la
première fois frère Michel. 30 ans depuis
les Théophanies et pour moi 16 ans que j’ai Le Livre
en mains.
J’ai déjà usé un
exemplaire de La
Révélation d'Arès
et la bilingue qui me sert aujourd’hui est
déjà en piteux état, sa
frange a complètement changé de couleur.
Comme j’ai plus le temps qu’un autre, je parcours
l'ouvrage en priant
presque chaque jour, je le lis complètement environ 8
à 10 fois chaque
année. Tout cela pour dire quoi? La
Révélation d’Arès
n’est pas un simple bouquin, elle ne peut être
feuilletée, effleurée du
regard, lue en travers ou bien une seule fois. Elle est Vivante,
attachante, vous rend l’intelligence
du cœur, qui devient
créatif, heureux, réaliste, actif,
sincère, responsable. C’est un Don
que le
Père nous fait. On
apprend que Dieu ne parle pas aux hommes directement, il en choisit un,
qui lui-même choisit [alors qu'il pourrait refuser] de nous
donner le
message qu’il a reçu.
Détracteurs, moqueurs, rieurs, qui valez mieux que moi sans
doute,
chacun est libre de penser et faire comme il veut, mais je peux vous
dire pourquoi j’ai accepté en totalité,
Dieu, frère Michel, ses
annotations. Si vous lisiez tout le contenu de La
Révélation d’Arès,
vous vous
rendriez compte que tout est dit depuis le début, mais comme
le propre
du Français est de tout savoir, de ne pas travailler, ni
réfléchir,
vous doutez encore de ce merveilleux mystère de la Vie
que nous
rappelle Dieu en 74/77.
Mais pensez-vous à vos défunts, à
votre disparition prochaine, à toutes
les barbaries qui ensanglantent la planète depuis des
siècles, le
matin, le soir, la mort gave la terre
(Rév d'Arès, Le Livre XXXI/5)? Ne
pensez-vous pas que cela
suffit, il faudra des générations, nous allons
encore longtemps
souffrir, mourir? Pour bien comprendre le Fond,
l’enjeu à cette époque
animée
par des esprits intolérants, jaloux, anxieux, avide de
pouvoir, tout le
contraire de ce qu’il faudrait pour vivre heureux dans nos
différentes
personnalités. Notre prophète
nous place sur la bonne Voie
à travers la lumière de son ENSEIGNEMENT.
Dieu, lui dit bien: Je
lave ton
cœur, et toi tu laves le cœur du frère
(Le Livre L/1,2).
Mon niveau est faible, pourtant en regardant en arrière,
j’ai changé,
oui, j’ai changé. La paix est
en moi, j’apprends à ne
pas préjuger, à aimer mieux, à vivre
au sein ma famille en harmonie et
avec ma famille spirituelle formée de différents
et enrichissants
caractères et niveaux sociaux, intellectuels, comme avec
tous ceux qui
voudront bien pencher leur regard sur leur cœur afin que le
monde change.
Michel J. |
08Oct07
68C29
Ceux qui prétendent que Le
Livre
C'est la tâche que Dieu vous a confiée et c'est
vous et personne
d'autre qui étiez là au moment des
théophanies en intimité avec le
Créateur.
De mon point de vue , le fait que vous ayez pu commettre quelques
imprécisions dans vos annotations, corrigées ou
non plus tard, démontre
au contraire la grandeur de votre pénitence.
Car, comme le dit Jésus à propos de Marie
qui est rentrée dans
l'excellence du
salut, quel aurait été son
mérite si elle était venue au monde
sans pouvoir pêcher, sans pouvoir faire de fautes, sans tache?
Les doutes, les erreurs que vous pourriez commettre et les souffrances
que vous endurez sont celles de l'humanité.
Et les victoires aussi.
Olivier G |
08Oct07 68C30
Je me permets d'intervenir pour la première fois sur ce site
que j'ai
découvert par hasard il y a un peu plus d'un an, qui m'a
intrigué, qui
m'a fait chercher et lire La
Révélation d'Arès, et qui
m'a fait m'insurger contre vos
annotations qui m'ont paru aussi absolutistes et condescendantes que
les leçons d'un gourou avant que je n'en reprenne la lecture
et
découvre une âme
de valeur,
plus habitée par l'amour que par l'ambition. Mais je suis
resté
hésitant sur l'authenticité de l'homme que vous
êtes jusqu'à cet
article 0068 publié pour célébrer le
30e anniversaire de ce que vous
appelez les théophanies et en même temps pour
répondre à ceux qui vous
demande de le publier "nu" sans la moindre appréciation ou
critique (au
sens positif) de votre part.
La lecture des commentaires de cet articles 0068, certains
réellement
émouvants, m'a décidé à
vous considérer comme un homme qui, peut-être
anticonformiste mais sûrement ordinaire avant 1974, s'est vu
subitement
rattrapé par Dieu et, de ce fait, rattrapé par
l'Histoire. Je suis
assez proche de l'analyse faite par François D.,
commentateur 68C15,
qui estime que c'est l'indépendance, très rare,
que, depuis 1974, vous
avez gagnée contre le destin général
des hommes, qui irrite les
ordinaires qui par milliards voudraient qu'il n'existe jamais
d'être
extraordinaire. Leur réquisitoire contre votre enseignement ou
seulement contre
la présence de votre enseignement
dans La
Révélation d'Arès est
le fait des petits esprits qui en masse veulent que ce monde ne soit
plus fait que de petits esprits, ce nivellement par le bas qui est pour
eux la marque de l'égalité.
Je crois comme le commentateur Patrick 68C25 que c'est une affaire
entendue, personne ne peut plus contester que vous êtes un
honnête
homme et un personnage désormais historique dans l'Histoire
Religieuse,
même ceux qui ne croient pas dans La
Révélation d'Arès vont se
ranger assez vite à cet avis, les uns
après les autres. Comme Patrick 68C28 le laisse entendre,
vous serez
assez vite délivré des dénigrements et
diffamations minables de style
A.D.F.I. ou de quelques sites que je préfère ne
pas nommer, mais par
contre vous devrez sûrement affronter peu à peu
des assauts de haut
niveau, dont les formes ne sont pas encore connues. À ce
moment-là, le
problème de l'édition avec ou sans annotation
deviendra tout à fait
mineur. Seul de votre espèce actuellement en ce monde, je
veux dire
seul prophète
resurgi des
profondeurs de l'Histoire Religieuse, vous devrez assumer cette
vocation unique de prophète
avec toute la grandeur et la force nécessaires. Je vous en
crois
capable, mais ce sera dur.
Pierre M. | 09Oct07 68C31
[...] Ce que je voulais dire pour compléter ce qu'elle a
écrit
sur le sujet des annotations [de
La
Révélation d'Arès] c'est
que pour moi ce fut de loin Le
Livre, plutot que la partie des Veillées [L'Évangile
Donné à Arès], qui me
fut obscur et
c'est mon cerveau d'enfant qui tentait d'en filtrer son sens aux
premières lectures. Parce que son langage ravivait celui
qu'enfant nous mimions en jouant aux cows boys et aux indiens. C'est
dire si j'ai eu besoin des annotations du frère Michel! [...]
Jean-Claude | 09Oct07 68C32
[...] des
gens réclament une Révélation
d'Arès
sans les commentaires et notes du prophète.
Si le frère Michel est vraiment le seul à
exprimer sans erreur le sens
de la Parole de l'Éternel [...] je ne vois pas comment il
est possible
de dire à cet
homme: "Tu es la Parole de Dieu puisque tu l'expliques infailliblement,
mais ne compte pas sur ma dévotion." Cette
dévotion le frère Michel ne
la sollicite pas, de toute façon. Il ne la sollicite jamais.
La
dévotion, c'est nous qui la lui devons ou bien nous perdons
notre route.
[...] S'il en est autrement, c'est que l'interprétation du
témoin
est une interprétation parmi d'autres possibles et alors les
adversaires de l'édition annotée ont raison. En
lisant les
commentaires, je ne trouve pas de "trop-plein de dévotion,"
mais
seulement un grand respect affectueux pour un homme dont la mission est
très difficile justement parce qu'il la remplit avec
modestie. C'est
sûr, tout pénitent
est
prophète mais pas "par référence au
prophétisme" général, comme vous
dites, mais par référence au prophète
d'Arès [...]
Christian | 09Oct07 68C33
Le sujet du droit ou de l'interdiction qui vous est donné de
publier
votre enseignement
avec la
Parole d'Arès se ramène, et je crois que c'est
normal, à définir votre
nature prophétique et finalement votre nature tout court
puisque depuis
plus de 30 ans vous n'êtes
plus rien
pour vous-même (Rév d'Arès 40/6). Ces
commentaires s'ajoutent à
d'autres tout aussi passionnants dans d'autres entrées qui
vont donner
de la matière aux biographes.
Je me souviens d'un jour, il y a longtemps, où je me trouvai
dans une
réunion de travail autour de vous. Nous étions
une vingtaine ou une
trentaine et je pus constater ce jour-là que ceux qui vous
reprochent
d'être seul parce que vous auriez tout voulu gérer
tout seul sont de
mauvaise foi ou ne vous connaissent pas. Vous sollicitiez nos avis et
nous ne vous donnions pas d'avis, parce que nous ne voulions pas nous
engager dans des responsabilités (nous n'étions
pas à la hauteur) ou
parce que nous réalisions tout à coup
à quel niveau notre mission se
plaçait et nous perdions les pédales. Nous
restions silencieux et c'est
ce jour-là que je compris que si vous vouliez que les choses
avancent
vous n'aviez qu'une possibilité: montrer la route, puisque
nous ne
pouvions pas (et peut-être nous ne voulions pas par trouille
ou par
flemme) vous aider à la tracer comme vous auriez voulu qu'on
vous aide.
C'est en voyant la situation sous cet angle que je vous suis
reconnaissant d'avoir publié La
Révélation d'Arès avec
d'abondantes notes. Ceux qui vous
demandent de retirer vos notes sont des prétentieux qui
refont le monde
ou la bible dans leur tête et n'ont aucune idée
des dimensions réelles
de la tâche réelle.
Si l'absence totale d'ambition personnelle et d'esprit de manipulation
doit prendre un visage, c'est bien le vôtre. Nul ne
personnifie mieux
que vous le désintéressement (Jean-Claude va
dire: Encore un trop-plein
de dévotion!). Je crois que tous ceux qui vous connaissent
s'accordent
sur ce portrait, mais ça n'épuise pas le sujet,
c'est sûr. Vos
difficultés, pour ceux qui ont vu vos années de
formation à la vie pénitente
et à la moisson,
étaient manifestement
celles d'un homme qui à aucun moment de sa vie ne
s'était attendu à un Appel
suprême comme celui d'Arès.
Je pense donc que vos premières annotations de La
Révélation d'Arès (par
exemple
"Le Pèlerin d'Arès" trimestriel)
étaient autant écrites pour fixer pour
vous-même vos propres repères que pour founir des
pistes aux premiers
disciples. Ceux qui protestent contre ça trente ans
après n'ont pas
étudié la question; ils disent n'importe quoi.
Personne ne devient prophète par hasard ou parce qu'il n'y
avait
personne d'autre pour écouter Dieu quand Dieu voulait
parler. Vous
pourvez vous poser la question: "Pourquoi moi et pas un autre?" Tous
ceux qui vous connaissent bien savent que vous vous posez cette
question sincèrement, mais moi j'ai fini par comprendre que
Dieu à
détecté ou préparé en vous
une exceptionnelle intelligence
de la situation où il
vous a mis. Les préfaces et les annotations de La
Révélation d'Arès?
Où en
serions-nous sans elles? Votre modestie et votre sensibilité
(et votre
solitude, qui fragilise) vous font un peu souffrir de tout
ça, mais ne
vous tracassez pas pour ça!
Jacques | 09Oct07 68C34
[commentaire hors-sujet effacé] | 10Oct07 68C35
La Vérité a beau venir de Dieu, je crois que
c'est
par l'homme qu'Elle
doit passer.
Le prophète
est le "filtre"
qui rend la Parole crédible
pour les sens humains. Après tout, nul ne sait Qui est Dieu
et Ce
Qu'est Dieu, tandis que des hommes, on en côtoie
tous les jours.
On
apprend à les apprécier ou à s'en
méfier, c'est une question de senti.
Pour ma part, ce sont les Liminaires [préfaces et
avant-propos] qui ont
fait que mon coeur s'est
ouvert à cette Parole venue du Fond de l'Univers.
C'est l'honnèteté et
l'intelligence émanant des écrits du
témoin qui ont ouvert mon esprit.
Qu'il reçoive ici mon infinie gratitude!
Dominique F. | 10Oct07 68C36
Je trouve cette situation [de l'édition avec annotations ou
sans
annotations du témoin] plutôt comique d'un
coté, mais néanmoins
dramatique, tragique.
Parce que l'humanité tarde depuis le commencement
à prendre le sentier
vers le Bien,
certains
disent: "Tu te trompes, ce que tu dis ne correspond pas à ce
que je
pense, ou à mes intérêts, ou
à mes souhaits... Comment aurais-je tort?
Blablabla..." et le mal perdure.
Je savais qu'il y avait une différence entre
connaître le sentier
et être sur ce sentier,
je sais maintenant qu'il
existe une grande incapacité à comprendre qu'il y
a un sentier [vers les
Hauteurs].
En ce qui me concerne, je ne connais Frère Michel
qu'à travers ses
écrits, mais quel héroïsme!
Comment ne pas se sentir tout inefficace et englué dans le
mal ?
Comme l'a dit, semble-t-il, Albert Einstein: "Le diable est l'absence
de Dieu dans le cœur de l'homme, c'est l'absence d'amour,
d'humanité et
de foi."
L'amour et la foi sont comme la chaleur et la lumière, ils
existent.
Leur absence conduit au mal.
Ce sentier sera long, semble-t-il, pour nous, mais il s'agit cette fois
d'un avenir de bonheur, bien sûr, et vos commentaires sont
indispensables. Mais je sais aussi qu'il est irremplaçable
de
rencontrer des frères et sœurs engagé
dans cette voie.
Merci encore pour ce que vous faites.
Aminadab | 10Oct07 68C37
J'ai découvert La
Révélation d'Arès
à l'endroit même où elle fut
révélée, à Arès
où j'étais en vacances en
1989. Je vins à la chapelle où les
théophanies avaient eu lieu. Une
dame me posa deux questions [...], je répondis oui et
j'entrai. En
sortant j'appris que vous étiez aux États Unis
pour l'été et que je ne
pourrais pas vous rencontrer. J'achetai le livre. Je le lus par les
annotations. Je ne lus la Parole qu'après. Agnostique, pas
du tout
ouvert au style sacré, je n'aurais rien compris en lisant la Révélation
directement. Vos
annotations ont donc été pour moi la Révélation
indirecte, mais LA
Révélation
malgré tout. Je suis de ceux qui proclament que vos
annotations sont
absolument nécessaires pas seulement pour bien comprendre la
Parole
d'Arès, mais pour y entrer. C'est sans aucun doute pour vous
ordonner
d'écrire ces annotations que Dieu vous a dit: ta parole est Ma Parole.
En 1996 ou 1997, je suis retourné prier sur la lieu de la
Révélation.
J'ai découvert qu'une nouvelle édition de La
Révélation d'Arès, dite
"américaine," existait. Je l'acherai et en sortant, le livre
à la main,
un pèlerin remarqua le livre et m'aborda. Il me parla,
disant grosso
modo: "Tu vas voir. Il [Frère Michel] a écrit des
nouvelles
annotations. Elles sont différentes de celles d'avant. Cela
prouve
qu'il n'est pas très fixé sur le sens qu'il donne
à La
Révélation d'Arès. Cela
prouve
qu'il considère les commentaires comme libres, comme il se
considère
lui-même libre de les changer."
J'ai lu plusieurs fois les commentaires de l'édition 1987 et
ceux de
l'édition 1995, je n'ai pas trouvé de
différences de sens, mais ça ne
paraît pas être le cas de tout le monde. La
polémique vient peut-être
de là.
Croche-patte |
Réponse
:
Il y a douze ans que l'édition que vous appelez
"américaine", que
j'appelle "bilingue," existe. En douze ans vous êtes le
premier qui me
cite quelqu'un qui déclare que les annotations de 1995 sont
assez
"différentes" de celles de 1987 pour laisser penser que je
ne suis "pas
très fixé sur le sens que je donne à La
Révélation d'Arès."
L'immense, pratiquement l'absolue majorité des lecteurs de
la
"bilingue" a limité ses reproches à
l'épaisseur et au poids de
l'édition 1995, mais je n'ai jamais, vraiment jamais,
entendu dire
avant vous que quelqu'un avait trouvé des
différences de sens dans mes
commentaires. Cela provient peut-être des
différences de forme, qui
auraient fait ressentir des écarts de sens à
certains lecteurs. C'est
tout-à-fait possible. Il n'existe pas de lecture qui soit
totalement
exempte de subjectivité.
En tout cas, pour moi le sens de La
Révélation d'Arès n'a
jamais changé. Il s'est seulement enrichi,
il va sans dire, depuis 1974.
Ceux qui voudraient que La
Révélation d'Arès soit
éditée "nue sans commentaires" ne font
jamais allusion à la forme de ceux-ci, mais à
leur fond. Aucun d'entre
eux ne m'a jamais dit, non plus, qu'il acceptait les commentaires de
1987 mais non ceux de 1995 ou vice versa. |
10Oct07 68C38
Je constate que vous avez supprimé le commentaire 68C34 et
votre
réponse à ce commentaire et que vous avez en
même temps réduit les
commentaires 68C31 et 68C32. Si vous commencez à censurer
les
commentaires de votre blog, vous donnez raison à ceux qui
vous
reprochent les commentaires tendancieux de La
Révélation d'Arès. Vous
montrez
que vous êtes capables de manipulation.
M.M. |
Réponse
:
Les passages supprimés dans les commentaires 68C31 et 68C32
sont des
passages hors du sujet, qui ont provoqué le commentaire
68C34 lui-même
hors sujet et ma réponse à ce commentaire
elle-même par ce fait hors du
sujet, lesquels ont à leur tour été
suivis de divers commentaires hors
du sujet et cette fois polémiques ou même
très polémiques, écrits hier
soir ou dans la nuit et trouvés dans ma boîte
d'E-mails ce matin. Je
n'ai rien voulu censurer. J'ai seulement souhaité que la
paix continue
de régner dans mon blog et j'ai effectué les
coupures que vous citez
non par esprit de manipulation ou de censure, mais par sagesse.
| 10Oct07 68C39
C'est après une période d'observation de l'homme Michel,
[l'homme] que vous
étiez au moment des apparitions de Jésus, que
Dieu lui-même se
manifeste directement à vous à l'automne 1977,
plus de 3 ans après ces
premiers évènements. C'est bien parce que vous
avez faite vôtre la
Pensée du Père au cours de cette
période que les théophanies ont lieu.
Sinon, aurions-nous Le
Livre
aujourd'hui? C'est
bien parce que vous avez faite vôtre sa Pensée que Dieu
vous consacre Prophète
à part entière: Parole
de Mikal Ma Parole.
Puisque la Parole exprime sa pensée, le Père
aurait aussi bien pu dire: Pensée
de Mikal Ma Pensée.
Votre pensée fait donc bien partie intégrante de
votre prophétisme.
L'homme Michel, prophète potentiel
au moment de L'Évangile
donné à Arès,
devient Mikal
le 2 octobre
1977: le nabi,
le juste
prophète, l'égal de Noé,
Abraham,
Moché, Yëchou et Mouhamad.
Les détracteurs de vos écrits dans La
Révélation d'Arès n'ont
pas compris ou au contraire ont trop
bien compris ce que vous représentez désormais
pour l'humanité: Sa
seule possibilité d'échapper totalement et
définitivement à la fatalité
du péché
et des puissants,
en suivant — outre le Fond
de la Parole textuelle — votre enseignement
et
votre exemple.
En pastichant une expression utilisée par les
paléontologues au sujet
de l'origine de l'homme, je dirais que le prophète
est, au plan spirituel, le
"chaînon manquant" entre Dieu et l'homme. En devenant les
prophètes du Prophète,
tous ceux et celles qui mettent
leurs pas dans les Pas du
Père et dans ls pas de Mikal
forment la grande chaîne du prophétisme qui
réunira un Jour
l'humanité à son Créateur.
Sylvaine V. | 11Oct07 68C40
Je reviens rapidement sur mon commentaire (68C7), qui n'est que le
fruit de ma pensée et ne doit rien à mon
époux.
Justice lui étant rendue, je souhaîterais ajouter
cette Parole du
Livre ou Dieu dit au prophète:
Ton
nerf est le fil jaune de Mon Nerf (Rév
d'Arès XXXIX/3), ce
qui signifie qu'un lien intime lie le prophète
à Dieu et qu'il a parfaitement compris Son Message
(sous-entendu depuis
1974). On sent que le Père met toute Sa confiance dans son prophète.
Faire confiance à celui
en qui Dieu Lui-même met toute Sa Confiance semble alors une
évidence.
Les réactions visant à refuser la
pensée du prophète
me font penser à accepter
le fruit
(les perspectives
magnifiques que la Parole offre à l'humanité: un
formidable changement
de civilisation, qui
nous ramènera en Éden, si les hommes en font
l'effort), mais refuser
l'arbre qui va produire ce changement de civilisation: le
prophétisme,
qui passe d'abord par un homme choisi par Dieu.Si on ne passe pas
d'abord par là, on n'arrivera à aucun changement,
car rejeter la pensée du prophète
revient à rejeter la Parole
de Dieu et Son Dessein
pour
l'humanité.
Françoise L. | 11Oct07 68C41
Merci, merci et encore merci pour votre courage, votre constance et
pour tout l’amour que vous portez aux hommes.
Je pense comprendre, mais cela m’agace souvent, que vous
deviez sans
cesse vous excuser d’être ce que vous avez
accepté du Père, votre
mission de prophète.
Vous avez tellement de choses essentielles à nous enseigner que
parfois je me prends
à penser que c’est une perte de temps, quand au
fond ces excuses sont
le résultat de votre amour pour l’autre et de son
intelligence.
30 années d’une évolution fulgurante,
un véritable exemple pour
l’humanité, du fond du cœur merci.
François J. | 11Oct07 68C42
J'ai cherché, mais je n'ai pas trouvé les
"messages polémiques ou même
très polémiques" dont me parle votre
réponse 68C38. Vous dites que vous
ne censurez rien, mais c'est faux.
En plus, en écartant les commentaires polémiques
vous vous situez
hautainement au-dessus des polémiques, mais le sujet de
votre entrée
0068 est lui-même polémique, parce que vous
justifiez vos explications
personnelles de la Parole tout en refusant les motifs de ceux qui
veulent cette Parole éditée sans vos
explications, parce qu'elle est la
propriété de toute l'humanité
à laquelle Dieu parle.
M.M. |
Réponse
:
Je n'ai pas publié ces messages polémiques qui,
outre qu'ils allaient
provoquer des diatribes inopportunes dans ce blog qui n'est pas un
forum, étaient hors du sujet.
Oui, La
Révélation d'Arès est
la propriété de toute l'humanité, mais
Son Auteur m'en a fait le
gardien. De même qu'un monument peut être la
propriété de toute
l'humanité, mais qu'on ne le laisse pas pour autant ouvert
au
tout-venant, foule qui souille ou saccage, squatters, profanateurs,
etc., et qu'on veille scrupuleusement sur sa conservation et son
entretien. Je suis moi-même propriété
de toute l'humanité, inséparable
du Trésor universel dont j'ai reçu la garde. Qui
dit Révélation
d'Arès dit Mikal.
Ce n'est pas moi qui ai recherché
cette situation,
prophétique au premier degré,
mais le Créateur qui m'a parlé. Je n'ai jamais
très bien compris
pourquoi cette situation irritait tant de monde, puisque La
Révélation d'Arès ne fait
de moi
ni un roi
ni un chef.
| 11Oct07 68C43
Si vous vous souvenez bien, je vous ai dit vers 1988 ou1989 que vous
devriez publier La
Révélation d'Arès
sous votre nom comme auteur et non seulement comme ayant-droit ou
protecteur du texte, comme si ce livre n'était pas de Dieu,
mais de
vous. Je vous ai dit: "Ça faciliterait beaucoup de choses."
En
particulier, ça aurait fait taire ceux qui
prétendaient déjà que vos
annotations étaient pleines d'erreurs et d'idées
personnelles, ou ceux
qui disaient que Dieu les avaient chargés de corriger vos
erreurs ou
divagations. Il y en avait quelques uns à
l'époque.
Vous avez été ulcéré quand
je vous ai fait ma suggestion, mais je crois
que Dieu lui-même n'aurait pas été
choqué que La
Révélation d'Arès soit
publiée
sous votre nom d'auteur. Il vous avait dit: Ta parole est Ma Parole.
Ceux qui
auraient soupçonné que vous n'étiez en
fait que le témoin de cette
Parole auraient très bien compris qu'elle soit
impeimée sous votre nom.
Les choses n'auraient beaucoup changé. Au lieu de
ça, vous vous trouvez
dans l'obligation d'écrire cette entrée 68 pour
répondre à ceux, des
opportunistes ou des illuminés, qui contestent votre droit
(que je ne
discute pas) d'ajouter votre enseignement
à la Parole elle-même parce qu'ils veulent le
remplacer par leur propre
"enseignement."
Jean-Yves |
Réponse
:
Je me souviens de vous. Vous étiez dans la vie une sorte de
psychologue-conseil, je crois, venu pour me parler pendant un
pèlerinage. Vous n'avez pas été le
seul à regretter que je n'aie pas
publié La
Révélation d'Arès
comme imaginée et écrite par moi. En vingt-ans,
une bonne quinzaine de
personnes m'ont conseillé la même chose de
diverses façons.
Fait par le Créateur le porteur de sa
Vérité, comment pourrais-je
envisager que la Vérité ait une meilleure chance
d'être entendue sous
l'apparence d'un mensonge, même d'un "mensonge qui dit la
vérité,"
comme disait Jean Cocteau? C'est pour moi aussi inimaginable
qu'impossible. Je ne crois pas que ce serait là une ruse
légitime dans
le sens qu'entendait Jésus en disant à ses
apôtres: Vous
serez doux comme des colombes et
rusés comme des serpents. |
12Oct07 68C44
Je souhaitais rebondir (même avec retard) sur le commentaire
68C20.
Oui, "tout à été
faussé," au point de faire croire que la
culture serait le
véhicule le plus sûr pour ''aborder
la route du monde nouveau ''
et, justement,
le sens d'une Parole qui dépasse de trés haut les
idées du monde, et
beaucoup d'illusions [se considérant]
''auto-suffisantes'' d'elles
même.
J'ai entendu Jacques Brel dire: "Je conçois
qu'on cultive des pommes de terre, mais quant à cultiver des
hommes..?!" Sa réflexion n'était nullement
méprisante. Jacques a dit vrai,
puisque la
croissance d'hommes qui sont "verts" de septicisme,
de
désagrément ,etc. même
reconnaissant la Parole du Père
qui dit entre
autre: Mikal
libère la Lumière
(=libère le sens de la Parole d'interprétations
qui la mutilent), oui
cette poussée est
bien celle d'une certaine culture. Jacques a dit vrai,
car elle [la culture?] a
surtout développé des
préjugés
résistants.
Selon moi, ce n'est pas
sur fond de culture mais bien sur une portée universelle que
Mozart a
transcendé les modes de son temps dans ses
chefs-d'œuvre et
qu'il a clamé "Amour! Amour! Amour!
voilà l'âme du génie!"
L'amour! Si frère Michel, sous l'Inspiration du Grand Souffle Naturel
n'avait explicité dans toute son
œuvre et
démontré par sa vie (intrinséquement
liéés) que l'amour devenait
créateur quand il se libérait des effluves
sentimentalistes (entre
autres), cultivées à grande échelle,
hé bien oui! cette sève
essentielle
serait encore figée sous les vernis d'une
''civilisation ''
qui se console comme elle peut de son fond barbare.
Si la culture
a ses propres ''lumières,'' n'oublions pas —
ô sagesse ! — [qu'elle a
aussi] son grand
manteau d'oublis, de mensonges, qui nous handicape, pour revêtir le
manteau neuf de notre Nature essentielle .
Robert B. | 12Oct07 68C45
Ceux qui vous demandent de supprimer vos préfaces,
commentaires et
annotations de toutes les éditions de La
Révélation d'Arès, sauf
ceux qui voudraient en fait les
remplacer par leurs propres commentaires et annotations, ne
représentent pas une attitude forcément
négative. Si ce que vous
appelez des "suggestions qui deviennent pressantes" sont aussi, comme
je le traduis, des suggestions qui deviennent nombreuses, c'est tout
à
l'honneur de la Parole de Dieu. Ce nombre prouve que beaucoup de gens
croient la Parole d'Arès authentique et souhaitent qu'elle
brille sur
le monde dans sa pureté, sa "nudité," absolue.
Ce qu'ils ne voient pas, vous l'avez bien expliqué. C'est
que si vous
livrez La
Révélation d'Arès
aux interprétations de tout un chacun, elle devient, comme
vous l'avez
dit à une certaine époque, "l'auberge espagnole"
où chacun apporte son
panier-repas, son pain, saucisson, beurre, lard. Ils oublient
qu'au début, dans les années 1974 à
1977 vous avez édité sans
annotations et que les bouddhistes y voyaient un message de Bouddha
descendu du Nirvâna, les marxistes un message de Karl Marx
outre-tombe,
les occultistes un message du spectre du Docteur Encausse, les
astrologistes un message apporté par Nostradamus
ectoplasmique, etc.
Cette façon, dont je me souviens bien, que vous aviez de
dépeindre la
situation au début des années 80 était
assez comique et m'a toujours
beaucoup amusé. Mais elle exprime une
vérité profonde.
Je crois qu'en fait vos commentaires et annotations ont produit
l'inverse de ce que craignent les puristes (je ne parle pas des
iznogoud qui veulent devenir calife-prophète à la
place du
calife-prophète). Vos annotations permettent
l'intégration de toutes
les sensibilités religieuses et spirituelles au sein de l'assemblée.
Vos annotations sont
tellement généreuses (Par là elles
gênent les doctrinaires, les vrais
sectaires). Vous avez bel et bien fait La
Révélation d'Arès celle
pour
tous les hommes, la plus universelle.
Vous pouvez être fier de votre travail. Aucun homme, s'il
n'était pas
guidé directement par Dieu, s'il n'était pas
charismatique au sens
principal, ne pourrait le faire.
Christophe (Vous devez surtout vous souvenir de ma mère, qui
n'est plus
de ce monde, mais vous l'ignorez peut-être) |
12Oct07 68C46
Je crois aussi, comme certains commentateurs, que si la suggestion
qu'on vous fait d'éditer La
Révélation d'Arès sans
votre enseignement en marge devient
pressante, c'est parce que vous vieillissez et qu'on sent que vous
entrez dans l'Histoire plus profondément quand vos propres
écrits
accompagnent la Grande Écriture née à
Arès. Je crois que beaucoup ne
dorment plus en pensant que vous êtes lié
à Elle comme Mahomet est lié
au Coran et Jésus à l'Évangile. Pour
moi, ceux qui voudraient
substituer leur interprétation à la
vôtre sont rares. C'est votre
personne qui agace la majorité des adversaires de
l'édition expliquée.
J'ai rencontré un ancien Pèlerin
d'Arès, un des années 80 ou 90, qui
croit toujours dans la Révélation,
mais qui vous hait. Je lui ai demandé pourquoi. Il m'a
répondu: "La
Révélation d'Arès, c'est
Potay. Il a toujours manœuvré pour que tout se
fasse par ses idées."
J'ai dit: "Mais il est seul. Il n'a aucune courroie de transmission
pour faire marcher les disciples de La
Révélarion d'Arès
à la vitesse de ses idées. Il n'exerce pas de
surveillance, pas de contrôle sur les groupes locaux." C'est
là qu'il a
dit: "Mais la courroie de transmission, c'est son prétendu enseignement qui
accompagne la
Parole et son courrier. Une véritable intoxication!"
Celui-là vous
déteste. Pas la peine d'en discuter avec lui, il vous
déteste comme on
dit viscéralement. J'ai senti quelque chose de malsain dans
sa
détestation, quelque chose qu'il ne peut même pas
s'expliquer à
lui-même. Je me demande si ce n'est pas la même
chose pour les autres:
L'inexplicable.
Moi, je ne m'explique pas cet inexplicable, parce que si on vous
connaît, on découvre un formidable
défenseur des libertés spirituelles,
un homme si humain, si généreux, si ouvert aux
idées des autres et si
malheureux que les autres n'aient pas d'idées pour donner
tout de suite
à l'événement d'Arès la
force qu'il mérite. Vous laissez les autres
libres de mener la mission qu'ils veulent. J'ai lu des tas de tracts
des missions d'Arès, aucun ne portait votre nom. On ne peut
pas être
plus modeste. Dire: "La
Révélation
d'Arès, c'est Potay," c'est dire une
contre-vérité flagrante,
inexplicable.
Alain C. | 13Oct07 68C47
Une des raisons pour
lesquelles des hommes rejettent vos préfaces et annotations
me semble
liée à une incompréhension du
prophétisme et par là-même à
une
incompréhension du rôle du prophète.
Ils vous perçoivent avec
le regard du monde, de cette culture qui n'a pas prévu de
catégorie prophète:
un frère qui conduit sans diriger, qui
oriente sans
influencer, qui recadre sans enfermer, etc.
Mais il n'y a pas
qu'incompréhension sur le rôle du prophète,
il y a
incompréhension de leur propre rôle. C'est un peu
comme si les branches
de l'arbre décrétaient qu'elles n'avaient plus
besoin du tronc par quoi
la sève nourricière monte jusqu'à
elles. Les branches ne peuvent pas se
passer du tronc. Le tronc n'a pas de sens sans branches.
Il y a
complémentarité entre la terre
nourricière, le tronc et les branches,
comme il y a complémentarité entre la Parole
révélée, le prophète
qui reçoit et transmet ce message et tous ceux qui
acceptent par
la suite de prolonger ce message dans le monde en l'accomplissant.
Jeff | 13Oct07 68C48
Je ne suis pas Pèlerin d'Arès au sens actif, mais
je suis votre blog
avec intérêt. Je suis frappé par la
qualité croissante des commentaires
depuis plusieurs entrées du blog. Cette qualité
est particulièrement
notable dans cette entrée [0068]. Cette entrée,
notons-le, soulève un
problème particulièrement sensible, celui du
parallélisme entre La
Révélation d'Arès et la
pensée
de son témoin, il faut le dire. Le problème a pu
motiver certains
lecteurs qui ne s'étaient pas encore manifestés.
J'ai noté que [vous
disiez que] le compteur de votre hébergeur pointait vers une
fréquentation de 620 à 1300 visites/jour, ce qui
est beaucoup. Ces
compteurs ne sont jamais justes, tout le monde le sait, mais le chiffre
global est d'ordre élevé. Votre blog de
qualité intéresse beaucoup de
monde également de qualité, c'est logique, mais
ce qui me semble plus
notable encore, c'est qu'un nombre croissant de commentateurs semble
vivre sa foi ou sa sympathie hors de des groupes locaux
constitués. La
conclusion qui vient à l'esprit, peut être
inexacte, est que les
groupes constitués, que vous appelez missions ou assemblées,
vivent sous des
influences plutôt piètres qui ont fait refluer les
recrues de qualité.
Phénomène banal en France aussi bien dans les
associations de pêcheurs
à la ligne ou de boulistes que dans les cercles
scientifiques,
intellectuels ou religieux où les plus actifs ou
dévoués ne sont pas
toujours ceux qui voient le plus clair. Il est quand même
dommage que
ce même phénomène se manifeste chez les
Pèlerins d'Arès qui auraient
besoin d'une union de toutes leurs forces.
Bernard B. |
Réponse
:
"Les Pèlerins d'Arès auraient besoin d'une union
de toutes leurs
forces," cela ne fait aucun doute. Mais que vous attribuiez ce manque
d'union à une "influence plutôt piètre"
— en somme, le règne des
médiocres — dans les groupes et assemblées,
me peine profondément. Ceux qui quittent les assemblées
ainsi affligées selon
vous, refusant à ces assemblées
leur influence heureuse, voire même excellente, prennent-ils
la fuite,
parce qu'ils n'ont pas la patience
d'être écoutés, ce qui peut
être long? On ne peut se conduire dans un
groupe de Pèlerins d'Arès comme on se conduit
chez un employeur où l'on
peut se sentir légitimement sous-employé et
sous-payé. Servir les
intérêts d'un employeur n'a rien de comparable
avec servir les intérêts
du Créateur dans une entreprise grandiose, transcendante, de
re-création (changement)
du monde.
Pourquoi ne pas mettre votre supériorité, vraie
ou surfaite, à
l'épreuve? Que penseriez-vous si je faisais comme vous en me
détournant
de mes frères "piètres"? Or, je reste
à leurs côtés. Je les aime et les
encourage. Je crois en eux comme le Père croit en eux. Je
reste
persuadé qu'il y a des solutions pour tout, y compris pour
que l'union
des frères "supérieurs" et des frères
"inférieurs" se fasse. Il faut
qu'elle se fasse. En fait, il n'y a ni supérieurs ni
inférieurs, il n'y
a que des complémentaires.
C'est une question d'amour. Si vous êtes de ceux qui ont
quitté un
groupe parce qu'ils s'y sentaient sous une "influence
piètre,"
rejoignez ce groupe avec humilité et efforcez-vous de lui
apporter
(toujours avec humilité) tout ce que vos
compétences peuvent lui
apporter. Au Nom du Créateur je vous en remercie par avance.
| 13Oct07 68C49
Il y a 30 ans, miracle
du Créateur qui se manifeste directement à sa
créature et met son espoir dans l'homme
Michel qui, ayant accepté de
devenir son prophète, nous
émerveille et nous place face à
nous-mêmes:tous pécheurs, tous
responsables de l'avenir du monde.Par vos
hauteurs de vue et discernements de faucon (XLV /14et26), par
votre humilité, honnêteté, amour
combattant, efforts et dépassements,
c'est Éden annoncé.
Quand vous joignez annotations, notes et
commentaires à La Révélation
d'Arès, je n'ai pas mis un seul
instant en doute la légitimité de ce que vous
écrivez. C'est le Père lui-même
qui vous témoigne de ses appuis, soutien et
confiance tout
le long du Livre : Écris
le Livre, l'œil ouvert (I/10)... Et ce que tu auras
écrit (33/10)...
Garde la parole; lie ton
poignet (avec) (XXVIII/26)! Tout cela remplit
mon cœur de joie et
de sérénité.
Cependant je
ne peux m'empècher de pleurer sur les attaques des
contradicteurs qui
ouvrent en moi mes propres incohérences. Tout ce que vous
écrivez en
annotations éclaire notre conscience et nous permet
d'avancer dans le
difficile travail de changement.
Quels consolation et apaisement que
l'exemple du juste prohète (XXXVII/2) qui
a mis ses pas dans
les Pas du Créateur et dont l'accomplissement
est un des plus beaux que
l'humanité ait connu. Vous avez réussi,
Mikal, l'ami (XXXIX/16),
à
force de travail, d'amour pour le Père et pour ses
créatures, à trouver
en
vous la Vie spirituelle (Je
lave ton coeur (et toi,)
tu
laves le coeur du frère, L/1).Chacun peut
à tout moment s'ouvrir et
choisir avec vous de trouver le bonheur avec Dieu pour le monde:
Le merci est bien peu à côté de tout ce
que nous vous devons ainsi qu'à
votre épouse.
M.-R. J. | 13Oct07 68C50
Votre blog est très suivi parce qu'il est à lui
seul, tant par vos
réponses que par les interventions qui
répercutent souvent le miel
que vous nous dispensez, un enseignement
riche que l'on reçoit
tel que la figue qui se
fend sous le
soleil.
En réponse au commentaire 68c46, j'aimerai
préciser, et tous ceux qui connaissent
le
prophète comme on connaît
ses enfants (Coran) savent que vous n'êtes
rigoureusement le chef
de personne dans le sens
d'autoritarisme, de poseur de dictats, de dominateur mais, au
même
titre que le prophète Yéchou
[Jésus], vous parlez avec
autorité
(Bible), parce que vous avez reçu en vous le
sens de la Parole
du Créateur et que votre rôle est de nous
l'expliquer et de nous la
rappeler sans vous
lasser de parler,
en plus d'autres tâches qui vous sont clairement
assignées par La
Révélation d'Arès. Tout cela est très clair
en lisant
le spécial "Le
Pélerin d'Arès" trimestriel (n°30) qui a
marqué votre acceptation de
votre rôle : "Le Prophète." La Parole ne va pas
sans le prophétisme
donc sans le prophète
donné à
telle ou telle époque. Et lorsqu'on applique vos "conseils",
car vous
suggérez seulement et n'ordonnez rien, on finit par
constater la même
chose que vous et ainsi le-reste-vient
est Mikal. C'est par la vécu (vie spirituelle)
qu'on perçoit les
choses car "Il n'y a rien de compris qu'accompli!"
C'est de cette manière que Mikal
nous donne la Vie et c'est peut-être cela que
certains
n'apprécient pas car ils pressentent que vous conduisez la
marche vers
le monde
changé, dans la
direction de certitude. Ils pressentent qu'on voit
déjà au loin le
Royaume du Bonheur planétaire!
Par conséquent, cela ennuient tous les pouvoirs (la culture
du
pouvoir), qui à divers
degré gravitent dans le système du mal et leurs
consciences ne peut
plus l'ignorer dès l'instant où il y a un prophète
parmi le monde avec ce
qu'il induit de Grâce par sa présence. Alors,
demander la Parole sans
les annontations, sans vos explications, n'est pas innocent.
Heureusement, vos écrits resteront toujours l'arbre à la pointe
toujours verte.
Merci !
Danny G. | 14Oct07 68C51
Je suis vraiment touchée par le commentaire 68c23 de Chantal
C, tant ce
qu’elle dit, dégage une confiance absolue en
l’homme que le Père a
choisi pour être son prophète.
Et ainsi transmettre Sa Parole, notamment par les annotations
accompagnant L’Évangile
donné à Arès
de 1974 ainsi que Les
Théophanies
de 1977.
Aidant ainsi ceux pour qui la Parole n’est pas simple
à comprendre dès
la première lecture. Parole
de
Mikal, Ma
Parole! C’est pourtant clair...
Pas besoin d’être philosophe pour comprendre cette
simple phrase, que
le Père clame
dans Le Livre.
Même un enfant la comprendrait.
Patricia C. |
Réponse
:
Ceux qui contestent mon devoir d'accompagner La
Révélation d'Arès de
notes
explicatives, les sincères qui souhaitent que cette Parole
demeure nue
ou les illuminés qui voudraient que mes notes soient
remplacées par les
leurs, croient absolument en chaque terme de cette Révélation
et notamment dans ces
mots que vous citez: Parole
de Mikal
Ma Parole.
Mais ils ne l'interprètent pas comme moi, ou comme vous, ou
comme un
enfant. Ils comprennent ces mots différemment, par exemple:
"La Parole
que Mikal a entendue mot à mot est bien Ma Parole," ou bien:
"La Parole
qu'éditera Mikal sera Ma Parole et rien de plus," etc.
| 14Oct07 68C52
C'est la fin du Ramadan, et le Président de la
République est venu en
personne à la grande mosquée de Paris pour
partager le repas de fête de
l'Aïd. Des beaux discours ont été
échangés, mais aucun de ces discours
n'a évoqué l'homme, vous frère Michel,
qui a sûrement fait le plus
depuis bientôt trente-quatre ans pour faire
connaître le Coran aux
Français non musulmans. Personne n'a rappelé que La
Révélation d'Arès cite
à
plusieurs reprises Muhammad
comme prophète.
On veut absolument vous ignorer. On veut que vous disparaissiez.
Vos écrits sont liés à la Parole
d'Arès. Ils sont son attelage. Sans
eux elle aurait pourri sur place comme une charrette sans cheval. Tout
le monde sait que cette Parole tôt ou tard roulera partout
comme grand
classique religieux, mais on veut absolument que vous en soyez
dételé,
alors que c'est vous qui depuis trente-quatre ans portez le collier et
la tirez. Vous ne plaisez pas. Parce que vous êtes un vilain
cheval pas
flatteur ou une mule qui ne s'est pas laissé fouetter et
guider? Je ne
sais pas. En tout cas, on veut y mettre un autre cheval.
Il y a très peu de choses à faire pour adapter La
Révélation d'Arès à
la
tradition de l'Islam, alors que vous la maintenez [La
Révélation
d'Arès] fermement attachée à la
tradition judéo-chrétienne qu'elle lave
(Je lave ton
cœur) des dogmes
menteurs. Avec vous la situation ne fait ni l'affaire des
judéo-chrétiens ni l'affaire des musulmans, parce
que vous nuisez aux
uns et aux autres, vous n'encouragez personne à
être catholique ou
musulman, vous montrez une troisième direction, nouvelle.
Les églises
et le judaïsme en arrière-plan se sentiraient
délivrés d'une Parole
très critique si l'Islam s'accaparait la Parole
d'Arès et l'islamisait
totalement. Je sais qu'il y a des gens qui y songent dans le monde
musulman.
Ne cherchez pas d'autre raison aux déclarations de ceux qui
veulent que
vos écrits soient dételés de La
Révélation d'Arès. Les
grandes religions bénéficieront toutes de
votre disparition. Elles n'ont pas vu assez clair et ne l'ont pas
provoquée [votre disparition] par la violence, la
compromission ou la
diffamation fatale
quand il était temps, alors que maintenant elles feraient de
vous un
martyr, un héros.
Elles ne
peuvent plus que ruser de façons variées. Pour
commencer elles essaient
de vous convaincre de disparaître de vous-même en
vous culpabilisant
comme gloseur (dans
leurs marges pas
une glose), en tablant sur votre grande modestie pour vous
convaincre d'éditer [La Révélation
d'Arès] sans enseignement
prophétique.
Ahmed B. | 14Oct07 68C53
En réfléchissant à la hargne dont le
prophète Michel peut être l’objet,
je trouve l’explication suivante : Même
celui qui M’a rejeté
avant de Me connaître sait Qui Je suis quand Je lui parle,
dit
Dieu à Arès par la bouche de Jésus (Rév
d'Arès 1/09). Ceux que La
Révélation d’Arès
dérangent n’osent pas diriger directement leur
hargne vers le Créateur de l’univers,
par une sorte d’instinct de
survie, ils ont gardé
souvenir de
Lui (Rév d'Arès 1/10), alors
même qu’ils sont furieux de ce que
le Créateur expose.
Par contre, ils ont bien compris que si le frère Michel en
venait, de
guerre lasse, ou pris par une terrible dépression,
à nier la réalité
des évènements d’Arès et de
son Message, alors frère Michel pour ainsi
dire tuerait Dieu, et les détracteurs se
réjouiraient du retour au
statu-quo, en se sentant innocents de cet assassinat.
Voilà pourquoi le prophète
est soumis à cette incessante et lâche pression
des détracteurs, voilà
pourquoi ceux-ci enragent de sa vigilance, de sa bonté
ferme, de sa
loyauté sans faille.
Voilà pourquoi je joins ma voix à celles de tous
ceux qui lui apportent
leur soutien, non pas niais et flatteur, mais
réfléchi et
inconditionnel.
Ce commentaire aidera peut-être les détracteurs
à comprendre que plus
rien aujourd’hui ne pourra réduire La
Révélation d’Arès
à néant. Le travail opiniâtre de
frère Michel
a ré-enraciné Dieu dans le monde.
Détracteurs, interrogez-vous sur ce que Dieu veut, sur les
raisons
nombreuses qu’Il a de tonner comme Il tonne, non pas sur les
allées et
venues d’un homme qui fait tout ce qu’il peut.
Olivier dL. | 14Oct07 68C54
Cette entrée, comme certains commentaires, pose aussi la
question
importante du
rapport de liberté entre le prophète
et ses frères humains. En
l'occurence, la liberté de pensée par rapport aux
annotations.
Pour la plupart de
nos frères humains, surtout les Français
conditionnés sur le sujet de
la
religion à peu réfléchir
et peu s'informer, les
choses sont simples: Nous sommes une secte, vous êtes un
guru, les
pélerins sont des adeptes plus ou moins
terrorisés ou manipulés qui
suivent aveuglèment Mikal,
n'osent rien remettre en question, et
certains d'entre eux constituent déjà une
hiérarchie relayant votre
pouvoir.
Il n'est pas inutile
de rassurer (ou d'inquiéter...) ceux qui pensent cela.
En ce qui me
concerne, et je ne suis pas le seul, la soumission au prophète
est
un effort contre nature, car je suis viscéralement
indépendant mais
elle
résulte d'une cohérence logique.
Si on réfléchit, d'abord à la question
de l'existence de
Dieu pour conclure à son existence, pour
découvrir ensuite
qu'il s'agit du Dieu créateur, personnel, aimant, qui nous a
fait son image
et ressemblance, donc le Dieu des Prophètes,
puis pour vous accepter
comme prophète
dans la
lignée des autres et accepter donc le Message que vous
apportez où le rôle du prophète
s'avère central et incontournable, la
soumission à votre autorité
prophétique est une conséquence logique de
notre démarche libre.
Dans ce contexte, pour le petit
reste, l'existence et le contenu de vos
annotations dans
les
diverses éditions de la Parole devient rapidement un sujet
anecdotique
et ceux que cela trouble ne sont pas allés ou bout de leur
réflexion,
quelle qu'en soit la raison: Ce sont eux qui sont dans
l'incohérence
dont nous accuse le commentateur 67C39. Nous restons toujours libres de
notre décision de travailler dans le petit reste,
libres de
notre vie spirituelle, de notre prière,
de nos pénitence
et vie
missionnaire, libres
de notre
détermination à aller de l'avant, mais elle nous
aide
en général à dépasser les
petites divergences de vue que nous pourrions
avoir avec l'enseignement
du prophète:
Nous les mettons sagement sous
le boisseau, nous y réfléchissons et
avec humilité retrouvons
peu à
peu l'intelligence
spirituelle, celle
qui nous fait
préférer l'accomplissement
collectif à la
cogitation personnelle ou aux conjectures
débattues en
petits groupes.
Les inquiétudes sur
le risque de hiérarchie ne sont pas fondées,
mais y
répondre demande un certaine connaissance du petit reste.
Certains
pélerins sont plus visibles, parce qu'il sont physiquement
proches du prophètes,
parce
qu'ils s'occupent de l'accueil au pélerinage, parce
qu'ils sont au bureau de certaines associations, parce qu'ils
travaillent directement avec vous... Je respecte leur travail,
j'apprécie leur contribution ou leur effort, mais ils n'ont
aucune
autorité sur moi, et si quelqu'un
veut prendre leur place,
les bonnes volontés de personnes vraiment
compétentes et travailleuses
ne sont à ma connaissance jamais
écartées. Ces frères "visibles " ne
seront jamais l'ébauche d'une hiérarchie. Nous y
veillerons, car la
Parole nous impose une grande vigilance à cet
égard et je ne les
ressens pas du tout comme des ambitieux. Si certains aspirent plus ou
moins secrètement à être en vue pour
prendre un pouvoir plutôt que pour
servir, ils se discréditeront rapidement.
Le petit reste
survivra à
votre
disparition et ne dégénérera pas en
religion et les ennemis de Dieu ont
des raisons de s'inquièter.
Il est difficile par
contre de faire comprendre à ceux que nous missionnons que
nous ne
sommes ni une religion ni une secte, surtout parce que nous avons un
homme contemporain comme
référence. Notre expérience
de liberté
dans la soumission à votre autorité
prophétique est réelle mais aussi
impartageable que celle
de la prière libre
qui nous
soumet à l'Écriture. Seul l'engagement dans
l'amour de
couple peut en donner une idée: Nous nous conditionnons
à l'autre mais
notre liberté grandit en élargissant son domaine
d'action.
J'insiste donc
toujours sur le rôle du Père dans notre foi
personnelle et notre action
collective et je ne parle quasiment jamais des raisons objectives et
tout
à fait valables qui nous poussent à vous
respecter et à vous aimer
comme homme.
Même dans les
échanges internes, je suis circonspect face aux
allégations enflammées
d'allégeance au prophète
qui
cachent parfois d'autres pensées. Je crois
que la fraternité chaleureuse, nous devons
réellement la montrer à tous
nos frères humains (et nous avons là de
très gros progrès à faire).
C'est cet effort
nécessaire qui réduira les
risques de
mauvaise interprétation de notre
attitude chaleureuse et paisible
à votre égard.
Antoine B. | 14Oct07 68C55
Je m'inscris totalement en phase avec le commentaire 68C53, de
façon ni
passionnelle, ni "niaise, ni flatteuse" comme le dit le commentateur.
Les détracteurs du frère Michel qui veulent le
différencier de La
Révélation d'Arès, sont
bien
comme ces hommes qui croient encore pouvoir se ménager Dieu
"un jour"
tout en éliminant un de ses Messagers pour
ménager leurs prérogatives
immédiates. Ils sont comme ces hommes qui n'ont pas encore
compris (ou
peut-être pas encore entendu) ce que dit la Parole du
Créateur depuis
toujours, que quiconque
tue un
homme, c'est comme s'il tuait toute l'humanité (le Coran),
ces
hommes qui n'entendent pas que l'appel depuis Noé
jusqu'à La
Révélation d'Arès en
passant par
Moïse, Jésus, Mouhamad ou Mikal, est toujours le
même, par tous les prophètes
et qu'il n'est pas encore accompli!
Bernard L. | 14Oct07 68C56
J’ai hésité à apporter un
commentaire à votre entrée 68, parce
que j’aurais simplement confirmé
l’importance qu'ont été pour moi les
annotations. Ce que d'autres commentateurs ont fait mieux que j'aurais
pu le faire.
Mais en me retrouvant bien dans le commentaire 68C52 de Ahmed B, j'ai
eu envie d'y ajouter mon expérience.
De culture religieuse, s’il n’y avait pas eu les
annotations, je pense
que je n’aurais pas dépassé la Bible
qui serait restée pour moi
le livre de référence. Je ne suis
même pas certaine, s’il
n’y avait pas eu les liminaires et les notes et
réflexions sur les
heures passées en présence de Dieu, que
j’aurais lu La
Révélation d’Arès
jusqu'au bout.
À l’époque où je
l’ai lue, je lisais des livres de pensées
positives
qui étaient largement plus doux, plus
réconfortants, que L’Évangile
donné à Arès
où, quand
je l’ai lu pour la première fois, j’ai
eu l’impression de recevoir des
coups de bâton, une correction. Les liminaires et les notes
et
réflexions sur les heures passées en
présence de Dieu enlevaient de mon
esprit tout doute quant au côté Vrai
du Livre
et quant à
l'intégrité de l'homme à qui cette
Parole fut révélée.
Madeleine | 15Oct07 68Cx57
Certains veulent La
Révélation d’Arès
sans les annotations du frère Michel. Pour L’Évangile
donné à Arès passe
encore, qui bien qu’Il parle en paraboles est
explicite. Mais pour Le
Livre,
je ne vois pas comment on pourrait se
passer des notes du prophète
à moins d’interprétations scabreuses: Le
grouillis le bras le
boyau... ou Ma
Lèvre
sous ton pied lourd...
Et beaucoup d’autres
versets sont incompréhensibles sans
l’éclairage du prophète.
Et Dieu ne dit-Il pas au
verset XVII/14: Voilà ta tête, ta peau,
Ma Maison. Le Père
habite non seulement Sa Parole mais aussi le prophète
qu’Il a
choisi. De multiples références qu’on
ne peut pas toutes citer ici
donnent au prophète
une place
primordiale pour transmettre au monde le Message.
Il peut y avoir plusieurs
raisons à ce refus des annotations. J’en vois au
moins trois:
L’orgueil
du lecteur qui croit comprendre le sens de La Parole mieux que le prophète
et ainsi
se sent libre de l’interpréter à sa
manière ce qui
peut lui éviter de se remettre en question et
d’agir.
La peur de se laisser
dominer par un autre homme, l’abusé
devient prudent (Rév d'Arès 28/5). Peut-être
[celui qui a peur]
n’a-t-il pas compris la différence entre un chef et un prophète.
Un prophète
n'est pas un chef,
il ne donne pas d'ordres, il
montre seulement la bonne direction, libre
à chacun de la suivre ou non.
L'ambition de récupérer la Parole pour son propre
compte,
comme l’ont fait et le font encore les princes du culte et
les princes
des systèmes.
Si chacun interprète la
Parole à sa façon, sachant que nous sommes tous
imprégnés et influencés
par notre culture, nous avons tendance à comprendre la
Parole à travers
notre filtre culturel. C’est pourquoi un bouddhiste va y voir
le
bouddhisme, un communisme va y voir le communisme, etc.. En fait nous
avons tendance à relever les passages qui confortent nos
croyances et à
oublier les autres, au lieu de nous libérer de nos
croyances. C’est
pourquoi Dieu dit au prophète
(IX/8): La Lumière est prise
dans le piège d’homme. Mikal libère la
Lumière. Le frère Michel La libère
des interprétations étroites que nous pouvons en
donner. Dieu en fait
non seulement le transmetteur mais aussi
le
gardien de Sa Parole: (Rév
d'Arès
7/5) : Tu
es le porteur de Ma Parole, le gardien de Mes instructions, qui ne
gouverne ni ne juge... (XIX/25): Gardien de
l’Eau.
Je remercie ici le prophète
qui a
toujours donné à la Parole un sens
émancipateur,
libérateur et l’a préservée
des interprétations étroites qui nous
enfermeraient. Tous ceux qui rejettent les annotations devraient
réfléchir à leur rejet et ils
s’apercevraient que leurs interprétations
pesonnelles les enferment plus que les annotations du
prophète qui nous
libère et
nous responsabilise.
Il y a une logique qui
échappe clairement à tous ceux qui rejettent les enseignements du
prophète tout en acceptant la Parole.
Puisque Le Créateur Lui-même, auquel nous croyons,
confie la garde de
Sa Parole au prophète,
et l’honore de Sa Confiance, comment pouvons-nous faire moins
que le
Créateur?
Denis K. | 15Oct 68C58
Personne ne nie que le frère Michel a fait un
honnête, je dirais même
excellent, travail de transmission. Le problème est
ailleurs: Un
prophète transmet, mais n'interprète pas. La
fonction d'interprétation
est réservée par L'Éternel
à quelqu'un d'autre ou même à plusieurs
autres. Les cas les plus connus sont: Celui de Moïse et
d'Aaron. Moïse
reçoit les instructions de l'Éternel, mais c'est
Aaron qui les traduit,
ou les interprète, pour le peuple. Celui de Jésus
et des apôtres. Jésus
donne la Parole qu"il reçoit du Père et les
apôtres l'interpréteront
pour le monde, qui eux-mêmes auront leurs
interprétateurs désignés par
Dieu comme Paul, qui n'a pas connu Jésus. D'ailleurs,
Jésus lui-même,
quant il apparut et parla au frère Michel en 1974 se limita
à la
transmission d'un Message du Père et n'ajouta aucune
interprétation
personnelles, aucune dont le témoin ait parlé, en
tout cas.
Comme il est évident que les commentaires du
frère Michel dans La
Révélation d'Arès ne sont
bien
que des commentaires, je veux dire, ses avis personnels sur la Parole de Mikal = Parole de Dieu
(ta
parole = Ma Parole) qu'on lit sur la page en
vis-à-vis, ce sont
des interprétations, ni plus ni moins. Personnellement, je
ne suis pas
d'accord avec beaucoup d'entre elles, mais cela ne m'empêche
pas de
comprendre qu'il dut protéger la Parole par ses
interprétations, bien
que discutables, contre des interprétations bien pires et
même
catastrophiques, surtout de 1978 à 1985. Mais maintenant les délires, les gros
dangers,
semblent bien écartés. Il faut maintenant que
frère Michel laisse les
vrais inspirés donner au monde le Vrai,
le sens exact de La
Révélation
d'Arès. Il en est temps.
BRP |
Réponse
:
Pourquoi signez-vous d'un acronyme: BRP? Pourquoi ne vous laissez-vous
pas indentifier? Si vous croyez sincèrement à ce
que vous dites, dites
aussi qui vous êtes et quelle interprétation vous
proposez!
Votre commentaire a le brillant de la raison, mais n'est, au mieux,
qu'un paralogisme et, au pire, une grave tromperie.
Aaron au cours de l'Exode parle parfois, pas toujours, pour
Moïse parce
que celui-ci n'a pas la parole facile (on l'a même dit
bègue), mais il
n'est pas chargé d'interpréter Moïse. Au
demeurant, si l'on considère
l'épisode fameux du veau
d'or (Exode
32) comme le résultat d'une tentative
d'interprétation par Aaron
de ce que Moïse avait transmis, ce pauvre Aaron
s'avère tout à fait
inapte à la juste interprétation de la Parole!
Quant aux apôtres, leur interprétation de la
Parole transmise par Jésus
est désastreuse. Elle les conduit sur les
friches (Rév d'Arès 5/2-5), des
terrains humains impropres à la
refloraison de la Vie
spirituelle. De plus, Paul,
qui en effet ré-interpréte à sa
façon les interprétations
déjà très
approximatives des apôtres, amorce le
développement du christianisme
dogmatique tel qu'on le verra dans les églises, tel que La
Révélation d'Arès le
dénoncera.
Paul ne laisse derrière lui qu'un livre
d'homme (Rév d'Arès 35/12), mais pas
un Livre
de Dieu.
J'affirme que le Père m'a très clairement
chargé de donner le sens de
sa Parole. Si vous connaissez bien La
Révélation d'Arès, vous
ne pouvez pas le nier. À moins que vous
vous soyez autosuggestionné, que par je ne sais quel
phénomène mental
ou obsession vous vous soyez persuadé du contraire. Je vous
plains
beaucoup pour cette aberration, alors. |
15Oct 68C59
Pour
répondre à Bernard
B. (68C48):
Quand
je suis arrivé à l'assemblée après
avoir
lu La
Révélation d'Arès, je me
suis retrouvé un peu dans votre situation.
J'ai été très
déçu par les Pèlerins
d'Arès que j'ai rencontrés. Pendant
18 mois j'ai fait ma route seul. Puis, peu à peu, j'ai
compris que ce
Message Sublime ne pouvait pas se vivre seul dans son coin, que
j’avais
besoin des autres, que les autres avaient besoin de moi et que
c’est
ensemble qu’on devient moins piètre.
[non signé] | 15Oct07 68C60
La Révélation
d'Arès a historiquement ceci de
prodigieux qu'en dehors d'elle, il n'existe pas (jusqu'à
preuve du
contraire) un texte sacré qui soit le « mot
à mot » même de Dieu, sans
compter le témoignage considérable de son
témoin. C'est pourquoi
beaucoup se passionnent pour elle et continueront de le faire. Mais on
peut se passionner pour cette
Révélation sans se
préoccuper de son sujet
central, [c.-à-d. sans] l'accomplir!
La Révélation d'Arès parle
de ceux-là: ils sont ces oiseaux malades ou
gloutons qui rejettent
la graine sans profit (Rév d'Arès 13/3). En
fait, nous sommes tous
des oiseaux malades, à la
différence qu'il y a ceux qui
acceptent de s'en rendent compte et de faire l'effort de se soigner
pour devenir les serviteurs du temps qui vient (
Rév.d'Arès 16/10)… et
il y a les autres. Le problème, si je
puis dire, est que
cet
accomplissement, au sens qu'en donne La
Révélation d'Arès, est
rigoureusement inaccessible hors de l'enseignement de
son
prophète. On peut évidement penser le
contraire, mais on se range
dès lors avec la multitude qui écoutait
[Dieu, mais qui] est restée
assise avec ses chefs et ses prêtres (Rév
d'Arès 28/12). Ne pas accepter le
prophète est
sans objet car
La Révélation d'Arès ne
s'adresse fondamentalement qu'à ceux qui
feront le choix de n'être plus rien pour eux-mêmes,
qui l'acceptent
comme un tout, inconditionnellement. Personne ne peut taire ou
diviser la Parole (Rév. d'Arès 15/6) sans
se déchirer soi-même.
Patrick | 16Oct07 68C61
C’est en proclamant La Parole dans Le Livre
ce matin que je
suis tombée, pas au hasard, sur cette phrase dite par le
Créateur: (XL-5) Plante ton pied ! Ici prend son
essor ta
parole
(, elle ira) où mille œils voient. Ta parole (est)
Ma Parole.
Cette phrase est si claire de Vérité.
Alors, mettons notre
confiance dans Mikal, que le Père a
choisi pour ouvrir nos
cœurs et installer le Bien. Patricia C.
| 17Oct07 68C62
Je pense à ceux qui ne sont pas d'accord avec les
annotations de Mikal
et avec le fait que La Révélation
d'Arès soit vendue comme une
simple livre [voir entrée #0067], alors que le livre le plus
vendu au
monde dans toute l'histoire de la littérature est la Bible!
La deuxième
position revient au chef d'oeuvre de Saint-Exupéry, "Le
petit Prince"!
Il y a dans la Bible des annotations qui permettent aussi de se situer
dans le temps et de mieux comprendre les situations sociale du temps.
[Sont également vendues en librairie] les traductions du
Coran, comme
la très riche traduction de Cheikh Si Amza Boubakeur
(décédé), qui fut
le seul à répondre à Mikal
qui lui avait envoyé L'Evangile
donné à.Arès [en 1974].
[Dieu met en garde Mikal contre] ceux qui ne sont
pas en accord
avec lui. Notamment Le Livre dit: Garde(-toi)
! Le roi
blanc avale l’Air, (il re)jette l’Air hors (de)
toi. XXXII.5 (De ton)
œil chasse la mouche ! (Le Livre XXXII.4) +
annotations attachées à
ces versets qui sont très clairs.
Voir aussi: Sois assis dans Ma Maison (et) va sur la route.
Dors,
le(s) frère(s sont) vigile(s) ; l’œil
(s’)ouvre, tu es (le) vigile
de(s) frère(s). (Le Livre XXVIII.27 ) + les
annotations de ce
verset.
Didier Br. | 17Oct07 68C63
Le 17 septembre 1977 le Créateur parle directement
à un prophète
(Mikal) [et il lui parlera jusqu'au 22 novembre, disant
notamment]: Quand Mikal parle la poussière
(devient) le miel. Le
miel fait le fort. Parle (Rév d'Arès XII/4),
et aussi : Écris le
vrai! (XX/2)
Le prophète ne peut pas mentir, il a
conscience de sa
responsabilité pour le monde, comme nous aussi [avons
conscience de
cette responsabilité pour le monde].
J'ajoute juste un petit mot après tous ces Écrits
magnifiques [donnés à Mikal
à l'intention] du peuple de Dieu. Je veux dire
toute l'importance des annotations de notre frère
aîné (Rév d'Arès
16/1) dans La Révélation
d'Arès. Pendant de nombreuses
années, je lisais autant la Parole que les annotations pour
essayer de
bien comprendre ce que le Créateur voulait de moi, qui
étais d'origine
catholique. Les dogmes mensongers m 'avaient lavé le
cerveau[,
m'avaient enlevé] la Vérité. Mais nous
avons toujours besoin de la
Vérité. Avec La
Révélation d'Arès j'ai
ressenti tout de suite
que la Vérité était là,
mais sans les annotations, il ne m'aurait pas
été impossible d'avancer dans ma pénitence.
Je remercie notre Créateur et notre prophète
bien aimé [de
faire en sorte que] que nous puissions nous sauver et aider ce monde
dans la voie du Salut. C'est la seule solution pour
recréé Éden
sur terre, même si ce n'est pas tous les jours facile. nous
progressons
tous ensemble.
Simone L. | 14Nov07 68C64
Je suis d'accord avec Jean-Pascal T. (68c10) et ceux qui pensent que La
Révélation d'Arès ne doit
comporter aucune glose:
Leur langue sera sans artifice; leurs marges seront pures de
toute
glose (Rév d'Ares 10/10). C'est pourquoi il n'y
a pas de gloses, mais la parole de Mikal, la
Parole de Dieu à travers Mikal. Dieu précise... que dis-je?.. Il
insiste :
Ta parole (est) Ma Parole. Justice de juste. (XXXI/10),
Ma Parole ta parole (Rév d'Ares 14/5),
Parole de Mikal , Ma Parole ! (I/12),
Ma Salive (est) sur ta langue. (VIII/11),
Le Bon (est )Mon Vent, Mikal (est) Mon Vent. (II/5),
Ton oeil (a) le Feu ; l'homme voit l'Île Bleue (au)
loin.(XIV/13),
C'est clair comme de l'eau de roche !
La Révélation d'Arès forme un tout indissociable
où la Parole prononcée par le Pere lui meme , la
Parole à travers Jésus ou à travers
Mikal, est une Parole unique, une Vérité unique.
Tout ajout ne venant pas du Prophète est une glose.
Xavier | XXXxxXX 68Cxx
Texte.
Signature |
Réponse
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Xxxx xx xxxx xxx xx x xxxxxx xx xxx xxxxx xx xxx xxx. |
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