10Jun06 30C1
Quel beau message que celui-ci venu de votre enfance! Je n'y étais pas,
mais dans votre souvenir, je sens la fraîcheur des bords de Seine un
jour de pleine lumière et je vous vois comme si c¹était moi et un ami
face à ce char libérateur.
Vous me faites penser à ce que disait Jacques de Bollardière, compagnon
de libération, puis général lors de la guerre d¹Algérie, refusant la
torture et entraînant les appelés et les fellahs de son secteur à une
coopération pacifique: "Pour moi, l¹idée que je me fais du monde, c¹est
que la libération n¹est pas terminée, alors je continue tous les
combats de la libération." Rentrant dans l¹Allemagne ruinée avec les
armées alliées, il avait découvert alors: "Je ne me trouvais pas devant
la défaite de l'ennemi, mais, devant celle de l'Homme."
Comme vous le faites sentir, 62 ans après cette libération du nazisme
en Europe au prix de tant de dureté, au lieu d'avoir à nous retrouver,
pour faire vivre le monde,
face à une plage de débarquement qui va nous tuer, combien il devrait
être plus léger, plus efficace, plus déterminant de mener ce combat de
la libération, de la vie en soi, blindé d¹amour tous azimuts,
maintenant, sans tarder, dans les rues, par les villes et par les
occasions de tous les instants. Quand je vois des films sur ces
jours-là (comme "Saving private Ryan (Faut-il sauver le soldat Ryan?)",
atroces et cependant libérateurs, je me dis: «Va dans la rue appeler
les gens à la vie, maintenant, il est temps de monter sur
"les chars fleuris de notre pénitence pour libérer ce monde",
oui, comme vous le dites si bien!
Bernard L. |
10Jun06 30C2
Nous venons de prendre connaissance de votre témoignage. Quelle
merveilleuse manière d'exprimer le fond de ce message sublime à votre
ami et au monde. Dieu le Sublime, plein d'amour pour sa créature,
nous
donne vraiment un message puissant et un prophète à la
hauteur.
Merci vraiment pour tout ce que vous donnez à travers ce blog qui nous
nourrit pour allez vers les hommes.
Éric et Marielle |
11Jun06 30C3
Suis-je connecté avec vous!? Inspiré par Dieu via la prière!?
Sommes-nous liés les sœurs et frères par cette conscience collective
tant attendue!? Je vous faisais part, il y a quelques semaines, d'un
projet en cours de réflexion "Mission Opening": les thèmes "Liberté et
Esclavage" (un groupe de prisonniers dans la rue), suivi d'un accueil
au local. J'ai créé un tract en réflexion depuis quelque temps [... sur
le thème de] la Liberté.
Dimanche dernier le groupe "Sarments de Paix" m'a appelé pour faire
signer des pétitions. J'y suis allé en ange blanc, j'ai eu de bons
contacts, j'ai fait un tour sur les expositions sur le thème de la
Paix. Je vais vous faire transmettre deux film DVD dont la richesse
d'enseignement est incroyable; il s'agit des historiques et actions de
mouvements pacifistes: "Ghandi, Apartheid Mkhuseli Jack dont l'action
fit libérer Mandela, les allemands au Danemark, solidarnosk Pologne
Lech Valesa (impressionnant), le Chili Augusto Pinochet, etc. Ces films
relatent ces actions avec des images d'archives [de grande richesse]
[...]
La mission LE CHRISTIANISME N'EXISTE PAS a allumé le feu dans le groupe
missionnaire [de Paris]. Vous en avez publié une nouvelle, nous faisant
comprendre que c'est ce qu'il faut faire, y aller bille en tête, je
dirais: monter sur le parvis
de Dieu. Je suis étonné que cette mission ne soit pas renouvelée au
moins une fois par mois, pendant au moins une période de 6 mois (à
Paris et en province) pour solidifier l'unité des moissonneurs,
rallumer le feu de la moisson,
[...] voir combien de personnes viennent au local [...] Mais je parle
peut-être trop vite. Ce matin, nous avons une assemblée générale,
j'imagine que les organisateurs vont en parler!? Donner des dates
prochaines. Incontestable le feu appelle le feu. J'ai aussi été étonné
qu'après cette mission seuls les organisateurs se sont rencontrés sans
inviter les ouvriers et ouvrières présents sur le champ
missionnaire. Il y avait là une immense richesse d'expériences, de
vécu, de témoignages sur cette mission et puis les échanges, la
communication entre nous est si importante. Peut-être ont-ils
l'intention d'organiser, une rencontre!? Mais bon! C'est lorsque le fer
est chaud que le forgeron le travaille, il ne laisse pas refroidir le
fer tand qu'il n'a pas pris la forme qu'il veut.
Didier B. |
11Jun06 30C4
Il y en a [assez], franchemment [assez]! Vous répétez tout le temps la
même chose. Oui, ça varie un peu (ce coup-ci c'est un souvenir
sentimental d'une époque qu'il n'y a que les vieux comme vous qui
connaissent), mais c'est tout le temps la même chose quand même: la pénitence,
la politique et la religion qui ne servent à rien, etc.
J.-C. D. |
Réponse :
Jean-Christophe
D, je ne sais pas qui vous êtes, mais il y a deux façons de vous éviter
cette colère (mauvaise pour la santé). Première façon: Arrêter de lire
mon blog. Deuxième façon: Suivre le mouvement des femmes et des hommes
qui ont mis leurs pas dans la Pas de La Révélation
d'Arès et lire mon blog en partageant leur foi.
Nota
(publié quelques heures plus tard): Ce commentaire de J.-C. D. a
déclenché le blocage du contrôle parental sur certains navigateurs.
Plusieurs lecteurs n'ont pas pu ouvrir la présente page. Cause
probable: Le mot original "marre" maintenant écrit [assez]
entre crochets était jugé inconvenant par certains filtres à "gros
mots". Il ne devrait plus y avoir de problème maintenant. |
11Jun06 30C5
C’est très agréable, frère Michel, de vous lire. Le ton est léger même
pour relater des évènements graves. Il n’y a pas de terme qui marque
l’ironie, le mépris ou le jugement. Cela me donne du courage, parce que
je me dis que votre façon d’écrire est l’expression d’une pénitence et
que nous pouvons tous tendre à cela.
On pourrait se décourager de vous voir si haut par rapport à nous, mais
quand je regarde en arrière, c’est une joie de constater le chemin
parcouru, même si parfois je constate que la montagne que je
gravis en cachait une autre plus haute mais plus éclairée aussi. Il est
alors inconcevable d’abandonner l’ascension.
Vous
savez, ça me fait penser à ces courses en montagne où l’on grimpe le
sac sur le dos en transpirant, où chaque pas est un effort, et puis on
voit ceux qui ont gravi avant nous et qui redescendent en nous disant:
"Courage! Vous êtes bientôt arrivés. Vous verrez comme c’est beau
là-haut!"
Et je dis à nous tous "Courage! Courage, même si parfois on n’est pas
très bien avec soi-même, parce qu’on a des ratés."
Madeleine |
11Jun06 30C6
[correction apportée au commentaire précédent]
Je me suis un peu trompée. Il y a une différence entre la course en
montagne et l'ascension. En montagne plus nous montons, plus
nous fatiguons, alors que dans la pénitence plus nous montons
et plus la fatigue devient légère (Rév d'Arès VI/6). C'est
l'expérience que nous faisons tous.
Madeleine |
11Jun06 30C7
Lorsqu'on a vu "La Passion" de Mel Gibson, effectivement, on peut se
dire, comme vous l'évoquez, frère Michel, que "rien n'a changé en dépit
des corrections tentées par la religion et la politique". Et, comme ce
patient qui consulte toujours son médecin pour le même mal, en
remettant sa propre santé entre les mains d'un autre, alors que lui
même (ce patient) sait ce qu'il est bon de faire pour ne pas toujours
tomber malade, on comprend mieux que l'homme reste dépendant de la
religion et de la politique. "Irresponsable de lui même sans rien
changer à lui même et au système." Le système est là pour le secourir,
l'assister, pour le prix de sa liberté.
Moi, je trouve cela monstrueusement cher payé et j'ai envie de vous
dire, bien aimé frère Michel, que les "chars fleuris de notre
pénitence", dont vous parlez, sont en route. Nous sommes ces chars,
nous tous auprès de vous, et nous nous rapprochons toujours davantage
de vous, en suivant maladroitement encore votre exemple, votre courage,
votre immense travail pour le Père et pour l'homme qui est son image
et ressemblance (Genèse 1/27). Nos rangs grossiront, toujours à
vos côtés, et nous lèverons enfin cette armée terrestre d'amour,
de pardon, de paix, de liberté
spirituelle.
Nous nous sommes engagés pour cela et d'autres encore s'engageront à
vos côtés, à nos côtés, pour grossir l'assemblée
des recréateur d'Eden et de sa félicité sans égale. Comptez sur nous
pour vous rappeler la félicité d'une nouvelle libération, de LA
Libération par le changement.
Puissions-nous vous donner
à nouveau cette joie de retrouver la Lumière et la félicité et nous
aurons fait en grand pas vers LUI.
Thierry B. |
11Jun06 30C8
Éclaircir son coeur par le pardon, l'amour inconditionnel de tous les
autres, quelle joie!
Projeter son regard au delà des préjugés, des idées pré-pensées qu'on
nomme culture, quelle fraîcheur pour l'intelligence!
Penser, agir, en s'envigageant absolument responsable de l'état du
monde, quelle belle conscience!
Les efforts fournis par celui qui choisit de changer en bien
ont certes un prix connus du Père et de lui seul, mais ils ont aussi un
salaire: le sentiment de grandeur, de joie profonde (Rév
d'Arès 30/11), d'unité avec toute l'humanité, bref un bonheur sans
fin, ressenti au fond de soi et vécu par les autres. La joie,
le bien, forment une force plus rapidement contagieuse que le mal,
parce que naturels pour l'homme.
Annie L-J. |
12Jun06 30C9
Merci beaucoup pour votre leçon de Vie!
Voilà du concret!
Danielle A. |
13Jun06 30C10
Quand
j'étais enfant, et cela me dura jusqu'à un âge avancé de l'adolescence
— voire jusqu'à mes premières années d’âge adulte —, je pensais que la
liberté s’exprimait par la rebellion envers toutes formes d’autorité,
par la recherche des interdits, la rencontre avec des [situations]
limites, qui parfois auraient pu être dangereuses pour ma vie et ma
liberté physique. L’école buissonière était plus intéressante que les
règles. À 14 ans je décidais de quitter ma famille pour vivre ma propre
vie; fort heureusement ça ne dura que quelques semaines de galère, mais
en même temps ce fut une riche expérience.
Ce que cette longue
période de rebellion et de rejet m’apprit, c’est que par ce chemin-là
il n’y a pas de solutions pour le bonheur. Bien au contraire, à travers
quelques rares plaisirs rien de concret ne peut aboutir. Par contre,
j’y ai trouvé le goût de la recherche de moi-même. Cette partie de
ma
vie m’a fait rechercher plus tard [la réponse à cette question:] "Mais
que suis-je venue faire sur cette terre? Quelle est ma tâche? Que
dois-je réaliser?"
J’ai compris aujourd’hui qu’en restant dans la rebellion,
l’intellectualisme — qui est aussi un système, une prison qui enferme
l’homme dans la pensée et l’éloigne du vécu —, la contradiction de tout
et la médiocrité d’une vie non choisie, je m’enfermais dans une forme
d’attitude et de vie plus proche de l'infantilisme, dont vous parlez
dans "Liberté et Infantilisme" (Le Pèlerin d’Arès 1989), que d’autre
chose.
J’ai vraiment ressenti une profonde et immense joie le jour ou j’ai
compris que la (et ma) liberté s’exprimait à travers mon choix
consenti, conscient, conscit (Rév d'Arès XXII/14), entre la Parole
du Père, l'enseignement de ses prophètes et la
capacité — enfin! — de recevoir l’aide promise et d’être guidée dans ma
tâche.
Nous n’avons pas votre force, frère Michel, mais ce que nous
avons, c’est la chance et le privilège d’être contemporains d’un prophète
vivant et la certitude que la Voie que nous suivons dans l’accomplissement
du Bien nous libère et libérera le monde.
Katia G. |
14Jun06 30C11
J'ai failli laissé passer cet article. Je finis ma carrière en service
de nuit en ce moment et le jour je n'ai pas les yeux en face des trous.
Triste, l'article! Il n'y a que toi pour ignorer que les SS et la
gestapo étaient le fléau de Dieu, la punition envoyée à la France pour
la punir de son arrogance et d'aimer la belle vie. Dieu ne voulait pas
que ça dure trop, les bon-à-rien [...] qui avaient décanillé en
Afrique, en Angleterre, en Urse [URSS], revenaient pour bien
re-pourrir la pays en 40 ans avec les cocos, les socialos, les
profiteurs de droite et de gauche. Ton char de combat dans le bois de
Boulogne, si les Boches avaient encore eu leurs Tigres et Panthères, il
n'aurait pas fait le poids devant les 88 [calibre de l'artillerie
allemande] [...] Pour ton copain
Bébert, ne cherche pas! Il se tire une retraite mais pas par
répartition à la caisse des anges. Il se la tire à tes frais, aux
miens, c'est sûrement devenu un parasite comme 30 millions de Français.
C'est ça que les nazis ne voulaient plus [...]
Anonyme |
Réponse :
Vous
êtes probablement le sous-singe, déjà manifesté pour Ahmadi-Najad. Je
publie ce commentaire pour montrer à ceux qui n'y croient pas qu'il
existe encore des esprits comme le vôtre, et encore! j'ai coupé les
parties antisémites de votre littérature, parce que je suis juif (outre
que je suis sous-singe), étant un descendant spirituel d'Abraham. Tout
vrai chrétien devrait se considérer comme juif de la branche Jésus. |
14Jun06 30C12
[suite du commentaire précédent] Je n'aurais pas pensé que tu étais
juif. Il y a bien trois mil ans que Dieu ne parle plus à un prophète
juif. Les juifs l'ayant trahi, il s'est tourné ailleurs. D'où Mahomed,
mais comme ces circoncis du croissant l'ont trahi aussi, et en moins de
temps, il m'avait semblé normal qu'il s'adresse à un Occidental. Mais
un occidental juif [...] Pas étonnant que tu étais tout gai (peut-être
es-tu gay aussi?) en voyant les chars de combat US bourrés de juifs
(même le général Arsène Hover était juif sans en avoir l'air) qui
débarquaient pour rejoindre les staliniens (Staline était juif, de
notoriété publique) à Berlin. Entre nous, les nazis avaient bien raison
de se méfier des juifs [...]
Anonyme |
Réponse :
En
somme, les nazis n'étaient qu'une minorités de sauveurs de la planète à
peu près entièrement envahie par les juifs. Même Arsène Hover était
juif?! Je croyais qu'il s'appelait Eisenhower. Staline juif? Mais il
avait fait ses études au séminaire, il se destinait au sacerdoce...
Mais, bien sûr, l'église est également dans les mains des juifs. Comme
les Pèlerins d'Arès, tous juifs, juifs de la branche Jésus, comme j'ai
dit. Dans ces conditions, vous anonyme sous-singe, qui êtes un des
rares purs sous-singes humains de la planète, pourquoi lisez-vous mon
blog (blog, probablement un mot hébreu)? Je me sens confondu par vos
révélations. Je savais que le Créateur nous aimait, nous les pécheurs,
mais aimer des juifs, c'est sûrement le comble de l'amour. D'où la
Bible... évidemment!
Quant à être gay, suis-je gay? Pourquoi pas
cette révélation après toutes les autres? Malheureusement je me sens un
peu vieux pour me vérifier sous cet angle-là. Ceci dit, vous faites
quelques erreurs, outre celles que je viens d'énumérer, notamment
concernant les prophètes juifs: Jésus en était un, il n'y a pas trois
mille, mais seulement deux mille ans.
Si quelque jour, que j'espère prochain, vous entrez en pénitence,
commencez par étouffer votre racisme, puis éliminez-le complètement,
mon frère anonyme. Rappelez-vous ce que dit La Révélation d'Arès:
Il n'y a qu'une seule race. Des divers traits de nature de
La Révélation d'Arès, son universalité est sûrement un des plus
sublimes. |
15Jun06 30C13
L'homme est oublieux. Merci pour votre beau témoignage. J'ai visionné,
il y a quelques jour le film d'Olivier Hirschbiegel "La Chute", qui
raconte les dernières heures d'Hitler et la chute du IIIe
Reich. Un film instructif, terrible, bouleversant. Nous savons que
toutes guerres sont le fruit du péché individuel et collectif, mais
tout de même j'ai des difficultés à comprendre pourquoi des êtres
obéissent aveuglément à un ou plusieurs individus en devenant eux-mêmes
des monstres barbares tombant plus bas que l'animalité. Dans le film,
la femme du premier ministre d'Hitler [il s'agit probablement de Mme
Goebbels], tue ses enfants tous en bas âges, 5, 6, 8 et 10 ans, pendant
leur sommeil. On les força à boire du somnifère, ensuite la mère fit
craquer des ampoules de poison dans leur bouches, ses enfants qui
n'avaient pas choisi, furent victimes des choix de leur parents, de
leur idéologie [...] On comprend pourquoi en 1974/1977 Dieu à Arès
relance l'Exode spirituel. Tout système hiérarchique est pervers, on
désigne un chef qui à son tour en désigne un autre, etc. "Le pouvoir
corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument." À moins d'être un
sage, difficile de résister à certaines tentations de pouvoir, luxure,
argent, sexe, drogue, prestiges, honneurs, etc. Avoir un pouvoir sur
des êtres, des responsabilités parfois poussent des êtres à des
extrêmes, l'histoire le confirme, tant dans notre quotidien que dans
toute guerre. On comprend pourquoi Dieu à Arès dit: Tu ne seras le
chef de personne (Rév d'Arès 16/1).
Nous avons été créés pour vivre ensemble dans la paix, le bonheu,r pas
pour nous soumettre à nos semblables qui eux aussi sont des pécheurs.
De quel droit, du reste, nous seraient-ils supérieurs?! [...]
Finalement, nous sommes les esclaves enchaînés aux systèmes, politique,
religieux, économiques, sociaux, etc. mais, aussi les prisonniers de
nos éducations, cultures, par un conditionnement de dogme, de loi, nous
sommes les prisonniers de notre esprit, de nos péchés. Ceux qui ont
déjà commencé à se changer en bien, à entrer en
pénitence,
à briser les chaînes, à vaincre orgueil, vanité, manie de juger, etc.,
à ceux-là la question "Un prophète pourquoi et pour faire quoi?" ne se
pose plus. Le pleuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande
lumière. Sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre une lumière a
resplendi... (Isaïe 9) [...]
L'homme est oublieux et sans cesse, le(s) prophète(s)
répète(nt) et répète(nt, appellent au changement en bien,
cherchent un langage pour être compris, répandent la paix,
montrent l'exemple. Nous devons établir des relations d'amour, de
respect, de partage, de pardon, de paix entre tous les peuples, être au
service des faibles, des petits. Nous devons convaincre à la pénitence.
Quant
au racisme, nous savons depuis longtemps que nous sommes tous parents,
[quoique] tous différents, tous [avec] un corps d'animal, des yeux, des
cheveux, de couleurs différents, des os, muscles, nerfs, groupe
sanguin. Nous sommes les reflets les un des autres, images et
ressemblances de Dieu (Genèse 1/27), des miroirs vivants
[...]
Lorsque vous dites: "Jésus, je te l'avoue, quand je te vis la nuit du
14 au 15 janvier 1974, j'éprouvai une émotion aussi intense, mais pas
l'immense bonheur de ce jour d'août 1944. Parce que ta présence
physique me fit soudain ressentir mon obscurité, ma honte (Rév
d'Arès 1/1), le
mal que j'incarnais comme homme de cette génération..." Pendant toute
l'occupation [1940-1945], vous avez dû en voir des choses pas belles.
Je me rappelle de cette personne agée qui se faisait frapper par un SS,
dont vous nous avez fait témoignage, lors de votre enseignement
à Paris. Vous qui savez ce que c'est vraiment d'être un pécheur,
pour avoir vu le séjour des morts, vous qui avez vu la
puanteur de votre âme lors des apparitions de
Jésus. Vous qui êtes conscit, le juste prophète...
Je n'ai encore qu'une approche intellectuelle de tout ça, pécheur,
je suis. Ça je sais, je l'ai accepté, même si la honte
devait me faire manger la poussière, j'aimerais comprendre dans ma
chair ce que vous avez vécu en 1974, ressentir mon obscurité, que je
perçois petit à petit à travers la porte ouverte vers la Lumière. Je me
dis que si je devais vivre une telle situation, cela me ferai
certainement avancer plus vite dans la voie de la pénitence,
car, nous sommes envoyés au monde qui doit absolument changer en
Bien
et nous devons vous faire connaitre à ce monde de votre vivant. Votre
témoignage est primordial ainsi que celui de la sœur Christiane, de vos
filles, petits enfant un jour. J'appelle mes sœurs et frères clamer la
Parole, à s'adonner davantage à la mission, bille en tête.
Didier.B. |
16Jun06 30C14
Quand
je lis le commentaire de ce frère anonyme [voir 30C11 et 30C12
ci-dessus], peut-être est ce une sœur, je ne peux retenir mes larmes.
Je ne connais pas ce langage, mais, je vous remercie de l’avoir publié
N’ayant pas été une enfant de la guerre et ayant toujours combattu pour
une paix universelle, où les nations deviennent une seule et même race,
il m’est difficile de découvrir un pareil discourt .D’ autant [plus
difficile] qu’il vous est adressé, à vous qui prônez la paix et l’amour
entre les hommes.
Patricia |
Réponse :
Oui,
cet anonyme pourrait être une femme qui, parlant de travailler en
"service de nuit", serait par exemple une infirmière, mais sa façon de
s'exprimer générale est plutôt celle d'un homme.
Ceci dit, j'ai
reçu quelques critiques de certains qui, sans souhaiter être publiés,
pensent que je n'aurais pas dû publier ce genre de commentaire. Vous,
vous m'en remerciez au contraire et ainsi vous adoucissez mon trouble.
J'ai en effet estimé utile qu'on sache que les néo-nazis et autres
fascisants ne sont pas que des groupuscules isolés au crâne rasé, dont
la presse rend compte de temps en temps, mais sont des gens rencontrés
un peu partout, mais heureusement pas chez les Pèlerins d'Arès —
J'ignore d'où sort cet anonyme —. Je dis "frère" ou "sœur" à ces
gens-là comme je le dis de mes ennemis ou à mes ennemis.
En publiant ces deux commentaires de l'anonyme raciste j'ai aussi
trouvé une double occasion de rappeler au monde que les Pèlerins d'Arès
ne sont pas des antisémites contrairement à un bobard qui court avec
d'autres bobards comme celui récemment repris par la Mivilude
selon
lequel nous serions des "guérisseurs". Il m'arrive d'être abordé
pendant le Pèlerinage par un visiteur qui me dit quelque chose comme:
"Voilà enfin des chrétiens purs qui ne fricotent pas avec les juifs..."
À quoi je réponds: "Au contraire! N'avez-vous pas lu: Tu feras
alliance fraternelle avec les assemblées des synagogues (Rév d'Arès
35/11)?" Et
j'ajoute: "Vous tombez mal, je suis juif. Je suis juif de la branche
d'Abraham et de Jésus..." Imaginez un peu la tête du visiteur! |
16Jun06 30C15
Je partage complètement l'esprit du commentaire de notre sœur Patricia
(30c14). J'ai lu hier les commentaires du frère anonyme et vos
réponses. Quel enseignement pour nous tous! À la lecture de
vos réponses, je suis fière d'être Pèlerin d'Arès. À
travers vous, frère Michel, je ressens l'Amour et la Patience
de Dieu pour sa créature.
Merci, frère Michel, d'utiliser les commentaires de notre frère
l'anonyme pour nous amener toujours plus haut dans l'amour pour notre
prochain. Vous êtes vraiment un exemple pour moi, le
chemin que je suivrai jusqu'à ma mort. J'ai envie de dire à notre
frère anonyme: Dieu nous dit dans La
Révélation d'Arès (36/23): Crie partout "Cette vie est courte;le
bonheur ne se mesure pas en années, mais en éternité;chacun à juste le
temps du repentir, car les regrets du spectre ne font que s'ajouter à
ses tourments! Écoutez la Parole Que j'ai reçue et sauvez-vous!"
Marielle |
17Jun06 30C16
Les arguments d'Anonyme qui, même s'ils sont aujourd'hui minoritaires —
heureusement! — ont quand même le mérite d’être exprimés. Celui qui les
exprime, qui d'une certaine façon a le Créateur au fond de lui, crie
plus qu’il n’écrit, [il crie] sa grande frustration. Hitler était un
grand frustré, si on se réfère aux travaux des historiens, frustré de
ne pas être reconnu comme peintre, humilié comme Allemand par les
braves français entre autres qui imposèrent à l’Allemagne une
très
lourde dette après la première guerre mondiale, ne l’oublions pas. Même
anonymement quelqu’un sur son clavier crie sa souffrance. Si le
diagnostic qu’il fait sur l’homme et le remède qu’il préconise est
aberrant, simplement parce que l’histoire en a démontré l’impasse, mon
frère Anonyme pousse le raisonnement plus loin. [On ne naît pas]
chrétien ou juif au sens spirituel du mot, non au sens d’identité
civile, celle-ci ne pouvant qu’être imposée ou culturellemnt héritée,
donc non voulue en conscience [...] On ne naît pas juif, on le devient
[par la culture familiale] [...], ce qui ne se fait pas sans effort,
donc pas sans souffrance.
La race humaine s’est abâtardie et la faiblesse que nous portons en est
un [?], sinon la pire des conséquences du choix des Adams de se
détacher du plan d’intelligence que le créateur avait prévu pour tous
les hommes. On peut être tenté, contre toutes les faiblesses, de
sortir la grosse artillerie, de classer par catégorie les bons et les
mauvais dans un tableau, de couper les têtes corrompues en oubliant la
sienne. [Mais] qui est parfait[? Qui] peut s’imposer comme norme?
Anonyme, mon frère, ose porter le fardeau des générations un seul
instant[! Ose] seulement y jeter un coup d’œil et tu sentiras ce que
veut dire pénitence!
Les camps de travaux forcés et autres sévices ne donneront jamais à
l’homme la conscience de ses racines célestes[, ces racines] que
l’homme porte en lui. Je comprends tes coups de gueule, mais ils
témoignent d’une grande faiblesse, celle de l’impatience.
On est tous des malades, qui devrons guérir s'ils veulent évoluer.
Enfin, la belle vie qu’aimait la France!
Si vous rejetez cette belle vie, c’est que vous êtes la victime
inconsciente d’une religion et d'une morale, qui ont cherché longtemps
à castrer la vie de ses plaisirs sans comprendre qu’ils sont aussi
vitaux que l’air et l’eau. C’est l’excès ou l'égoïsme qui peuvent les
gâter et donc finir par les pourrir. Mais du fumier peut
aussi renaître le jardin. C’est pourquoi il faut baiser la
lèvre de celui qui porte le pus, qui a le ver ou même qui cache l'hameçon
(Rév d'Arès XXXIII/8) pour vous pièger; une autre façon de dire tu
aimeras ton prochain comme toi-même.
Jean-Claude D. |
17Jun06 30C17
En lisant votre message "bonheur de la liberté ou liberté de bonheur?",
je dois dire que celui-ci va nous aider à surmonter les faibleses
de notre temps. Grâce à de tels messages, placés au coeur de la pénitence,
nous devons comprendre la nécessité de faire pénitence et
donc de bâtir nos âmes. La nécessité de faire le bien, d'être
rempli d'amour, d'être apôtre de la paix... Un vrai sursaut est
nécessaire et urgent.
Jésus enseignait, il y a plus de deux milles ans, que si
notre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens nous
n'entrerons point dans le royaume des cieux (Matthieu 5/20).
La haine venant des personnes dont nous pouvons être victimes ne
doit pas nous auroriser à les haïr. C'est pourquoi, Nabi (Rév
d'Arès XX/1-8), je trouve que votre réponse à cette personne
Anonyme est une bonne chose, parce qu'Anonyme se nourrit de vos paroles
sans le savoir (Rév d'Arès 13/3)
La foule des hommes fera de même autour de toi,
mais elle se nourrira pourtant de tes paroles sans savoir.
Vous êtes la bonne pensée, Nabi!
René O. |
18Jun06 30C18
Merci pou votre message. Je connais votre blog que je consulte
régulièrement. Que dire ? C'est toujours merveilleux de vous lire ;
chacun de vos papier est marqué par la profondeur et la simplicité:
L'essentiel, rien que l'essentiel avec cœur!
Je termine en ce moment ma formation d'instituteur. Inutile de dire que
ce que j'entends à l'IUFM (Institut Universitaire de
Formation des
Maîtres) n'est pas de la même Eau. Aussi, plus d'une fois
ai-je ouvert votre blog dans l'espoir d'y trouver un nouvel article.
Merci Frère Michel pour cette Fraîcheur qui réjouit l'âme en même temps
qu'elle l'enseigne!
Laurent R. |
18Jun06 30C19
Depuis l'ouverture de votre blog je me suis souvent posé la question de
l'impact de son contenu sur le monde. Je comprends mieux aujourd'hui à
travers tous les commentaires, qu'ils soient positifs ou négatifs, son
inestimable valeur humaine.
Je souhaite que vous nous fassiez entendre d'autres voix pour nourrir
notre réflexion, pour que jamais nous ne puissions nous
retrouver
dans une bulle.
Chantal F. |
07Sep06 30C20
Je suis très surpris et agréablement par cette évocation d'une
partie
de votre enfance. Personnellement je n'ai pas connu la guerre et je ne
tiens pas à y être confronté. Ah! la guerre, maître mot régnant dans
nos télés, dans la bouche surfaite des politiciens qui récupèrent toute
vie spirituelle dans leurs habits de sinistres [augures] pour accentuer
nos peurs.
Mais nous avons la Lumière de La Révélation d'Arès
pour nous guider et remplir nos cœurs de paix pour tous les peuples de
la terre et je vous remercie pour le témoignage que vous portez au
monde.
Philippe D., Bretagne
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