25Mai06 28C1
Merci pour cette très belle photo avec votre épouse, sœur Christiane,
toujours aussi, simple et lumineuse (Rév d'Arès 38/6). La femme
(a) la paix.(Rév d'Arès XXVII/13). Cette image rayonne
d'une force (Rév d'Arès 11/1)
au point de m'en faire pleurer, alors que je suis un homme, mais quand
Yëchou (Jésus) tremble,la femme tremble,Yëchou (Jésus) pleure, la femme
pleure (XXVIII/2). Combien d'hommes sur cette terre pleurent-ils
encore?! La femme a la part de l'homme en elle et l'homme la part
de la femme (XXVI/3-15), cette sensibilité que tout homme doit accepter
et réanimer en lui. Je pleure de joies. Je pleure aussi parce que je
sais au fond de mon être que la mort d'un être, qui qu'il soit, ne fait
pas partie du Plan Divin.
Il y a quelque années, j'ai accompagné une
jeune femme, Valérie (33ans), dans ses dernier moments de vie
charnelle. Je l'ai rencontrée dans un hôpital. Pendant 3 mois, nous,
nous sommes liés d'amitié, nous avons parlé du pardon, de la vie après
notre vie charnelle, de l'importance de nous créer une âme
avant de passer la porte de ténèbres (Rév
d'Arès veillées 17 & 18, 33/32, XXXIX/5-11) etc. Je n'avais jamais
vécu une expérience aussi merveilleuse. Il y avait entre nous de
l'amour, pas un amour de chair, mais, un amour transcendant. Je me
revois aux derniers moments de Valérie, elle partait et je ne pouvais
rien faire; dans ces moment là on voudrai que tout s'arrête, que cesse
une bonne fois pour toute le péché planétaire, Cette
expérience me fit prendre du recul par rapport à mon engagement... Pur
orgueil! De plus, je me donnai une raison pour ne pas entrer en
pénitence
à cette époque (IV/6). J'en voulais au Père et il n'y était pour rien.
Comment reprocher au Père ce qu'Il ne fait pas? Nous sommes totalement libres
de nos choix, responsable de nos actes, et nous devrons un jour en
rendre compte, dit le Père par la bouche de Jésus à Arès (4/4).
Je passais trois ans dans la vallée grasse (Rév d'Arès 26/4)
et, par la force des choses,,je mis en application l'un de vos enseignements:
être humble. "L'humilité est mère de la lucidité." Mon œil s'est
ouvert, j'ai accepté que je sois un pécheur parmi d'autre pécheurs et
que si nous voulions que le monde change en Bien (28/7) et
que cessent enfin la mort, la vieillesse, la maladie, les
injustices, les guerres, etc, nous devions entrer en pénitence
(Rév d'Arès 30.11), revêtir le manteau neuf (1/1), nous
unir dans les arts et les génies les plus divers, répandre la Paix
(38/17), moissonner [le plus de pénitents possible à
travers le monde], prier pour [nous souvenir chaque jour de ce que nous
devons] accomplir: le Plan Divin (4/10-12, 35/6),
afin qu'un jour toutes nos pénitences individuelle
combinées, que nous soyons croyants ou incroyants, fassent se lever le
Jour du Père (31.8).
Oui, Le Père dit que quatre générations ne suffiront pas (Rév
d'Arès 24/3), mais il n'est peut-être pas interdit de le faire
mentir!? Tout dépend des pénitents. Mais en attendant ce Jour,
nous serons réalistes et même très terre à terre, nous
peinerons, nos bras seront bleuis des coups
reçus (31/7),
beaucoup nous comprendrons, mais d'autres pas. Il y a une chose dont je
suis sûr, c'est que les cÅ?urs de tous les êtres humains
sont emplis de leur Créateur (4/11),
ceux qui l'aiment et ceux qui ne l'aiment pas, ceux qui croient en lui
et ceux qui n'y croient pas, même les voleurs, spoliateurs,
hypocrites,menteurs, même les négateurs (25/6), et j'en
passe.Tout humain tout au fond de son être est cette image et
ressemblance du Créateur (Genèse 1/27).
En cela La Parole révélée à Arès est extraordinaire, car à ceux qui
entrent en humilité, qui refusent librement la liberté d'être rebelle,
apprennent à résister à leur tentations. Petit à petit ils se
débarrassent de leur ego, se transforment, c.-à-d. changent,
deviennent d'autres êtres, des hommes du temps qui vient (Rév
d'Arès 30/13), des héros (Rév d'Arès XXV/4-12).
La Parole, c'est-à-dire la Sagesse, redonne
l'intelligence spirituelle (10/12). En ce jour de
l'Ascension, puissent nos contradicteurs,faire l'effort de lire La
Révélation d'Arès,
de pardonner toutes les offenses, de reconnaître que la Bible, le Coran
et La Révélation d'Arès sont des messages de Dieu et que vous êtes le prophète
envoyé à l'humanité des XXe et XXIe siècles. Le
Père, par la bouche de Jésus, dit à Arès: Qu'ils
méditent vite Ma Parole ceux qui fixent le prix de la terre, le prix du
fer et du feu, le prix de la prière, le salaire de l'ouvrier, l'intérêt
de l'argent, qui tirent de Mon Héritage pour eux seuls des profits ;
qu'ils prennent
garde avant qu'il soit trop tard ! (28/24 )
[Je
crois que] Jésus disait il y a 2.000 ans: "Faite un pas vers le
Père et
il en fera cent vers vous, vers ceux qui feront acte d'humilité [Même
s'il ne l'a pas dit, il aurait pu le dire]. Pour ne citer qu'un
exemple, le Christ [c.-à-d. le Créateur par la bouche du messager
Jésus] dit à Arès: J'appelle encore les prêtres à la Vérité. Selon
Ma Promesse, il leur sera laissé la paix, la nourriture et l'abri ;
celui qui restituera à mon peuple qui ses biens, qui sa piété,
s'éteindra heureux au milieu des siens (28/2).
Toute l'espérance [que nous pouvons tirer] de la
Parole du Père repose sur notre amour évangélique, universel.
Didier. Br |
25Mai06 28C2
Pas sans raison on dit "con comme la mort". Mourir (pourquoi dire
"crever"pour les bêtes et "mourir" pour les humains?). De tout ce que
j'ai lu dans ce blog c'est bien le plus con. Mourir (ou crever, c'est
mieux) c'est tomber dans la merde, parce qu'on se change en merde.
C'est tout ce qui "change" pour répéter le mot que le conard du
commentaire number one répète de vous dans son sermon (on dirait mon
curé). Crever, c'est devenir con à mille pour cent, on peut pas plus
con. C'est tout.
Anonyme qui sait pas signer son
nom |
Réponse
:
Mais
c'est mon sous-singe du commentaire sur les "métèques" (#0026)!
Généralement je ne publie pas les mails ou les commentaires grossiers,
mais celui-ci m'apporte, je dirais, la grossièreté en lingot. Vous avez
une façon richement imagée de dire que vous ne croyez pas à la survie
de l'homme. Vous ne semblez pourtant pas sans relations avec
l'hypothèse de la vie post mortem, puisque vous évoquez votre curé.
Vous n'allez probablement pas à la messe le dimanche, mais vous allez
sûrement aux mariages... ou au moins aux enterrements, puisque, si ma
mémoire ne défaille pas, vous me saluiez la dernière fois par "Mes
condoléances!" Pourtant, un enterrement ne doit pas signifier grand
chose pour vous. Un tas de m... dans une boîte en bois. Vous êtes
au
moins capable de courtoisie envers la famille du défunt à laquelle,
j'espère, vous ne faites pas le même commentaire qu'à moi. Après tout,
vous n'avez pas complètement tort: "Qu'on ne s'attarde pas au sort
du cadavre..., dit La Révélation d'Arès (33/29), qui
ajoute: mais au salut!" J'entends votre immédiate réplique:
"Le salut? De la c...rie!"
Ne pas croire au salut
est votre droit. Vous me faites penser à ces mâles dont le monde
moderne s'emplit chaque jour, dont j'ai rencontré bon nombre de
spécimens disant avec un sourire en coin: "J'crois pas à l'amour," sous
les yeux clairement enamourés de leurs épouses ou copines. La gloire du
dur de dur, c'est de nier ce qu'il a à l'évidence! Vous, vous niez la
survie, mais l'œil fixé sur le cercueil... Vous n'allez pas me dire que
ça ne soulève pas chez vous quelques interrogations?
Il y a même plus. Qu'un cercueil contenant quelqu'un que vous avez
connu, soulève votre émotion, je comprends! Mais La Révélation
d'Arès? Si La Révélation d'Arès est "c... comme la mort"
ou de la m..., pourquoi lisez-vous ce blog? Pourquoi nier La
Révélation d'Arès
avec l'œil fixé sur elle? Peut-être parce que vous vous dites: "Après
tout, ce type là-bas à Arès, il a peut-être vraiment vu et entendu
Jésus et le Grand Manitou" Eh bien oui, La Révélation d'Arès
est comme le cadavre dans le cercueil à l'enterrement. Comme lui elle
peut être rien, l'inertie, l'inexistence totale, si l'on n'y croit pas
et ne fait rien pour l'accomplir, mais elle peut aussi
signifier qu'au-delà du papier du livre ou des pixels de ce blog, elle
n'est qu'un écran qui cache la Vie, la vraie, pourvu qu'on
lui donne de son sang.quand sous la peau on a laissé
couler la Salive du Créateur (Rév d'Arès XXX/8).
|
25Mai06 28C3
Merci de parler si simplement de votre ignorance face à l'inconnu, face
à la mort.
Lorsque je découvris La Révélation d'Arès j''appris qu'Adam
avait choisi de mourir (Rév. d'Arès 2/1).
Ce message est venu confirmer cette anomalie de la mort, [notion] déjà
très ancrée en moi. Ma foi a commencé par ma volonté d'échapper à la
mort. Je me disais: "C'est possible. Si Jésus, élie, Marie et
probablement d'autres eurent leurs corps emportés directement sans
passer par la fosse, c'est possible pour moi aussi." Cet
espoir qui m'habitait est une foi d'enfant qui a un peu disparu, mais
qui revient parfois. Je ne sais pas si cette foi est réaliste ou
irréaliste, si c'est bon ou mauvais de l'entretenir.
Si je cède au
côté "rationaliste-raisonnable" de mon esprit, qui reproche à l'autre
côté, le "spirituel", de persister dans un rêve, je suis en porte à
faux avec l'absolu qui est en moi, [en porte à faux avec] ce que dit le
Père de l'univers (Rév d'Arès 12/4), que l'envie du salut est
bonne (33/15).
Je
crois comprendre, depuis peu, que dans l'au-delà je n'aurai aucun
compte à rendre à personne, pas même à Dieu. Le bilan se fera
entre moi
et ma conscience. Dans ce sens on choisit dès ce monde d'avoir une âme
et de se sauver ou ou de finir spectre. C'est quand
même difficile de savoir où on en est vraiment aujourd'hui. Pourtant
chacun est maître de son salut.
Je n'ai que 30 ans mais je sais que la mort peut venir vite, [que ce
soit] par accident ou par le temps qui passe. La Révélation d'Arès
dit : Cette vie est courte, le bonheur ne se mesure pas en années
mais en éternité (36/23).
Cette phrase est parfois difficile à intégrer [à la foi] et à accepter,
car il y a quelque chose en moi qui me fait me sentir éternelle.
Cette précarité n'empêche pas de rechercher les biens légitimes de ce
monde, mais elle relativise cette recherche, qui ainsi cesse d'être
aussi primordiale ou aussi vitale. Ce qui est vital est ailleurs, c'est
la création de mon âme et son action sur le monde [pour le changer,
28/7]. Amassez-vous
des trésors dans le Ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent
point et où les voleurs ne percent ni ne dérobent. Car là où est ton
trésor, là aussi sera ton cœur (Matthieu 6/19-21).
C'est
à moi de déterminer mon rapport à la société, ce qui est important dans
ma vie, à quoi je donne la priorité, ce qui habite mon esprit et mon
cœur chaque jour. Quels sont les soucis qui prédominent (Matthieu
6/25-34, Vaincre l'inquiétude)? Est-ce que je prends le temps
d'être avec les autres, le temps de les aimer ?
Toutes ces paroles de Sagesse nous montrent la voie [du salut].
Il faut vraiment "vouloir" vivre ces paroles pour les métaboliser[, La
Révélation d'Arès dit: pour les accomplir]
et voir tous les bienfaits que cela apporte. Je pense que si nous nous
abandonnions totalement, en toute confiance, à la Sagesse, en acceptant
de ne pas vouloir sans cesse tout maîtriser de la vie, le Père
viendrait s'installer dans notre cœur, dans notre chair, et il nous
ferait voir dés aujourd'hui par notre œil du dedans
(Rév d'Arès II/10) un monde qui peut se transcender. Ainsi nous échapperions
peut-être à la fosse comme Elie (Rév d'Arès 2/10).
Mais cela demande tant de simplicité d'âme que notre
complexité contemporaine est trop "rebelle" pour se soumettre ou
envisager cette foi d'enfant (Rév. d'Arès. 33/8).
Je
m'imagine vieille, proche de la mort, en paix, tellement pleine de
sagesse, d'amour, que j'en aurais déjà perçu les merveilles du Créateur
de mon vivant et que sans crainte je quitterais ce monde en emportant
mon corps jusque chez les anges et les justes en attendant le Jour
de Dieu. En attendant "l'Eden" dans lequel j'aurais dû naître si Adam
n'avait pas fait ce choix de la mort (Rév d'Arès 2/1).
Les
"adams" et leur descendants m'ont volé mon héritage, les dons [divins
qui sont en moi] et le monde, spirituels. Le bonheur donné par Dieu. à
cause de ça il y a aujourd'hui beaucoup de souffrances sur la terre.
Chaque jour, des hommes issus d'une génération depuis longtemps
déspiritualisée, je dirais même déshumanisée, perpétuent le mauvais
choix d'Adam. Il y des gens sur la terre pour qui l'enfer et la mort
sont déjà quotidiens. Ils sont soumis à la malveillance de démons
qui sont tout simplement leurs frères humains, leurs égaux. Ce n'est
pas tout voir en noir que de voir cette réalité. Il suffit de se
pencher sur le monde, d'aller au-delà de notre propre vécu, surtout si
nous sommes heureux, pour s'apercevoir que beaucoup de nos semblables,
eux, sont malheureux.
Je me dis que le choix d'Adam, ce n'est pas mon choix. Alors, si ce
n'est pas mon choix, pourquoi ne pourrais-je pas échapper à la
fosse? Pourquoi pas une génération d'hommes et de femmes qui
feront le choix de la Vie (Rév d'Arès 24/3)?
Il
m'arrive d'être clairement décidée à ne pas mourir. Je dis : "Je veux
arriver vivante dans ma tombe !" Je me dis encore: "Je ne veux pas de
tombe du tout, je veux voir les Hauteurs Saintes et être
reliée à Dieu dès ce monde pour me protéger en Lui en attendant son Jour." Comme
Jésus et comme élie (Rév.d'Arès veillée 32 et 2/10).
Mais
je sais que ce lien avec Dieu ne se créera pas, si je ne me lie pas
d'abord à mes frères humains. Ce n'est pas le plus simple. C'est facile
de "croire" mais "créer", accomplir réellement le bien, [ce
bien] que le Créateur attend [de moi], c'est autre chose. Il attend que
je donne un baiser à la lèvre même de l'homme qui me déplaît
car c'est du fumier que sortira son jardin.
Avoir l'amour évangélique actif, cet amour qui éclaire l'homme sur ses
faiblesses, cet amour qui s'oppose au mal pour que le bien naisse.
Avoir cet amour-là est un travail de changement intérieur
profond, qui demande courage. Donc je me dis que la question de savoir
si j'ai déjà une âme est incertaine. ça me sort de mon rêve (Rèv.
d'A. II/14).
Stéphanie M. |
Réponse
:
Votre commentaire par
son contenu global répond à votre question: "Ai-je une âme?"
Si vous êtes pénitente, vous en avez une. La Révélation
d'Arès ne nous donne pas de degrés de certitude ou d'incertitude,
parce que chacun étant invité à accomplir le bien selon ses
moyens, il lui suffit de faire ce qu'il peut, ni moins ni davantage, et
il est sur la Voie. Quand vous avez des doutes, relisez Matthieu
6/25-34, que vous citez justement, le fameux: Regardez les
oiseayx du ciel... le Père ne les nourrit-il pas? Et la confiance
revient. |
29Mai06 28C4
La
mort est vécue de bien différentes façons. Ici en Angleterre elle prend
des proportions dramatiques, voire névrotiques. Malgré le fait que les
anglais aient un sens de la vie léger, au service des autres, ouvert,
curieux du monde, joyeux, leur vie est en majorité construite autour du
culte de la famille et si un membre décède, leur vie s'entoure d'une
forme de tristesse qui, je dirais, leur coupe les ailes.
J'ai été
élevée une partie de mon enfance à Madagascar où tout est différent: La
mort se vit dans la joie (complètement inconcevable pour la plupart des
occidentaux), la famille se réunit pour un immense pique-nique autour
de la tombe du défunt. Après ce repas pantagruélique la famille et les
invités dansent et fêtent le départ vers une nouvelle vie du défunt.
Mes 8 ans d'enfant en ont gardé un souvenir poignant et qui sans doute
ont donne une vision et une direction déjà particulière a ma vie.
De
la même manière, les Malgaches pleurent à la naissance d'un nouveau-né
pour toutes les difficultés et épreuves qu'il rencontrera dans sa vie,
aussi dans l'espérance que le malin ne tentera pas trop ce nouveau
vivant et qu'il ne faillira pas à sa destinée.
En effet, la mort
est vécue de différente façons et peut-être que la vision, la réflexion
la méditation de notre propre mort et de celles des êtres qui nous sont
chers ainsi que celles des hommes qui nous sont inconnus peuvent
déterminer une meilleure vie pour nous.
Un
jour de funérailles on ne fera pas mémoire de Mon Sacrifice, mais on
ouvrira le voile du Tabernacle pour contempler Ma Victoire, car le cœur
des croyants défaille devant la mort. On rappellera dans la liesse Mes
Promesses et Mes Fins (Rev d'Arès 33/36)
Personnellement je
vois la mort dans l'espérance qu'elle m'apportera la chance et la joie
d'être un ange pour mes frères humains, ce que j'essaye de réaliser
avec grandes difficultés de mon vivant.
Merci, frère Michel, pour cette superbe photo avec sÅ?ur Christiane
(quel beau visage !). Dans la Joie du Père,
Katia G. |
Réponse
:
Je fais
simplement observer que l'entrée #0028 parle du salut, non de la mort à
proprement parler. |
29Mai06 28C5
On trouve le terme salut dans plusieurs veillées de La
Révélation d'Arès:
L'Eau
du Salut (Rév d'Arès 19/1)... Ai-je fixé un prix à mon salut?. Ne
l'ai-je pas livré à tous pour la peine d'une pénitence (Rév
d'Arès
28/25)... Tu pourras dire: "J'ai vu Dieu,le Dieu de mon salut;
maintenant j'ai confiance, car j'ai vu le salut du pénitent et sa Force
(Rév d'Arès 37/3).
à la lumière de l'enseignement du frère Michel, béni
de Dieu (Mikal est béni par Youou, Rév d'Arès XXX/24)
on apprend qu'il n'y a pas de règlement de compte entre le Créateur et
l'homme. Leur relation est tournée vers l'avenir. Autrement dit, le
Père ne revient pas sur le passé."Ne rebrousse pas chemin;ne
reviens pas sur tes pas, homme Michel,l e péché que tu y as abandonné
est embusqué dans l'ornière de ta trace comme un serpent (Rév
d'Arès 39/6). Dieu attend que chacun de nous use de sa liberté
spirituelle (un des cinq dons divins faits à l'homme) pour décider
de vaincre peu à peu le péché, changer en bien, inviter
d'autres à changer leurs vies et reconquérir l'image
et ressemblance que donne la pénitence
Il tète la force dans Ma Force (Rév d'Arès
VII/5). Le salut, produit de notre volonté, est une
dynamique, un mouvement où se rencontrent le Créateur et la créature si
l'on peut dire. Le Mont sur le Fond se (re)ferme (Rév d'Arès
XLIV/1). L'on apprend aussi que si l'homme retrouve la vie
spirituelle, il vaincra la mort spirituelle et la mort physique.
(Si) Ma Main (et) sa main tien(nent) (ensemble) la houe, l'homme a
mille ans (et) mord encore (Rév d'Arès XX/7).
Merci d'avoir choisit de mettre une photo de votre couple. Vos sourires
sont le reflet de la joie et de l'amour.
Nicaise |
30Mai06 28C6
Frère
Michel, il me semble que vous avez écrit ce texte à l'occasion du décès
de maman, je le reçois au fond du cœur, il répond aux questions sur la Vie
que maman a pu se faire ici, pour que, dans l'autre monde son sort ne
soit pas trop pénible. Je vous remercie. Ainsi, ce sera une aide pour
tous ceux qui perdent un proche.
Cela fut brusque. En 18 heures la
maison fut vidée de sa présence. En même temps, la mortification que je
lui dédie fait que maman est encore là, quel paradoxe! [Il y a des
années et des années après mon accident,] le jour de ma sortie
d'hôpital, mon papa était décédé et, quelques mois plus tard, nous
avions emménagé dans cette nouvelle demeure, où j'accueillis maman.
[Elle vécut là jusqu'à ce que] son AVC, dernièrement, provoqua une
hémiplégie gauche, lui laissant la parole. Elle était en paix,
avec un
brin d'humour et sans aucune peur. Je pus l'embrasser, mais sans penser
une seule seconde qu'elle mourrait! Alors que la mort est rappelée sans
cesse dans La
Révélation d'Arès, que l'on doit toujours y
être préparé et qu'il nous faut la vaincre.
J'avaisaccompagné
sa dépouille, en allant à la chambre mortuaire de l'hôpital. Puis seul,
assistant à la mise en bière, je fus soulagé, ma douleur, ma souffrance
se dissipèrent au moment où les employés de ce service déposèrent le
couvercle sur le cercueil. Maman n'était pas à l'intérieur; j'avais
compris enfin que son dernier souffle avait expulsé son esprit ailleurs
et que le sort du cadavre (Rév d'Arès 33/29) ne m'importait
plus. Maman, qui avait si peur de la mort, est tout de même morte. Je
m'entends encore lui dire: "N'aie pas peur, tu n'es pas dans cette
boite!" Pensée puérile... Que ceux qui me lisent me laissent cette
faiblesse d'enfant!
Les funérailles furent accomplies [à l'église].
Il fallait ça pour que la famille, mes relations, les personnes, qui
savent que je suis dans un "mouvement suspect" voient qu'un Pèlerin
d'Arès peut organiser cette cérémonie à l'église et en même temps être
bien compris sur ses intentions, en ayant pu donner à lire des textes
courts plutôt arésiens, qui ont été entendus, du moins je l'espère. Je
désirais rassembler à ce moment-là les esprits vers une grande idée du
Bien,
par l'effort individuel de chacun, pour une fraternité entre les
hommes, un monde meilleur. Mais plus que cela encore, le départ de
maman a dévoilé en moi une foi plus forte, une plus vive
compréhension de la vie spirituelle, de la compassion, de
l'indispensable amour de tous les hommes, du non-jugement, de la douceur
—surtout la douceur
qui me manquait parfois avec maman , de la paix et de l'envie de
mettre de plus en plus mes "roues"[, les roues de ma chaise
d'handicapé,] dans les Pas de Dieu (Rév d'Arès 2/12).
Je
n'aime pas la mort, je veux la combattre encore plus, je vais mourir
pécheur, sans pour cela être rongé par le pian (Rév d'Arès 23/1).
Chaque jour vers 19 heures je monte dans mon bureau pour y prier, maman
se plaçait sous la véranda —c'est l'endroit où elle est tombée, la
paralysie l'affaissant sur le côté , elle m'écoutait prier. Ce mardi
16 mai, maman m'a écouté prier, peut-être priait-elle avec moi? Son
accident a eu lieu à 20 heures, juste à la fin de ma prière, c'est au
début de la nuit qu'elle s'est endormie. Je suis sûr que maman a pu, à
travers ma bouche, bénéficier de l'écoute des Parole de
Dieu, qui, presque chaque jour, depuis 10 ans au moins arrivaient
à ses oreilles.
J'ai
défailli devant sa mort. Frère Michel, vous m'avez été d'un grand
réconfort. Ma sœur vous remercie de votre soutien spirituel et amical.
Je remercie mes sœurs et frères de ma région. Je remercie Dieu
pour la Grâce
qu'Il accorda il me semble à maman en lui permettant de ne pas se voir
partir, car sans avoir pris connaissance de La Révélation
d'Arès,
comment partir serein? Quel heureux hasard, quelle belle mauvaise
habitude j'avais eu de toujours zapper les émissions de télévision,
pour tomber sur vous! Merci mon frère d'avoir accepté de donner à la
partie du monde concerné ce nouveau Message de Dieu.
Michel J |
30Mai06 28C7
Nos efforts déployés pour être absolument
bon engendrent une Force capable de soulager
l'esprit des lourdeurs du péché [tant] durant notre vie
terrestre [que durant] notre vie post mortem. Même qualité d'énergie.
être [un homme ou une femme de bien tant qu'on est] corporellement
vivant permet d'agir directement sur la matière, de changer
sa vie (Rév d'Arès 30/11) et donc son humanité, de créer ainsi un
monde à notre image, comme le Père créa son premier fils (Rév
d'Arès 2/1) à la sienne (Genèse 1/26-27).
[Une fois qu'on est mort,] la perte du corps entraîne une souffrance,
comme toute séparation, comme tout deuil ou divorce, comme la
souffrance de Dieu face à la perte de l'homme. Il est compréhensible
que même le vertueux ressente douloureusement toute dislocation,
lui
qui justement sait ce qu'est d'être total. Le
vertueux est l'uni (Rév d'Arès XXXVI/12)
et même s'il entre directement dans la lumière, il se soumet,
certainement lui aussi avec souffrance, à la perte de son
corps. Le
vertueux post mortem Å?uvre sans doute plus que tout autre aux
retrouvailles de Dieu et de l'homme, à la respiritualisation de l'homme
par l'homme. Nul repos pour les braves ici- bas et là-bas
Annie L-J. |
08Jun06 28C8
Quel bonheur de vous voir tous les deux sur cette photo!
Je vous souhaite 10.000 années de bonheur, même si le bonheur
ne se mesure pas en années mais en Éternité.
Que
le Père vous entoure chaque jour de Sa Tendresse, vous deux qui, depuis
son Appel, le servez de tout votre cœur, de toute votre âme et de
toute
votre force.
Chantal C. |
11Mai07 28C9
Aujourd'hui, je relisais le chapitre VI [du Livre, 2e partie
de La Révélation d'Arès: les Théophanies 1977,] et les
annotations qui disent: "Dieu emporte le prophète
dans le lieu des béatitudes, où la vie ne dépend pas de l'air..., où la
force et la résistance de la chair transfigurée se puisent à l'énergie
spirituelle. Ce verset décrit la résurrection ou l'état ressuscité des
justes qui vivront ce moment heureux un jour."
Je me pose, depuis un certain temps, les questions suivantes: Jésus,
Marie, Élie et tous les justes qui ont leur corps dans
l'au-delà peuvent-ils déjà vivre cela? Ont-ils accès à ce lieu des
béatitudes? J'imagine que oui.
Puisqu'il existe différents états de survivance après la mort et, si
j'ai bien compris, puisque les âmes sans leurs corps,
en attente du Jour ne vivront cet état qu'une fois le Jour
advenu,
[cela signifie-t-il que ce sera] après la résurrection de leurs chairs?
[C'est-à-dire, cela sera, je suppose,] comme il est expliqué dans les
annotations de XXXIX/15: "Dans la vie future,dans l'avenir promis à
l'humanité, si elle répond à l'Appel de Dieu, certains concepts seront
renversés. Aujourd'hui l'humain subit la pesanteur et ne peut vivre
sous l'eau, mais en Éden restauré le dense (lourd) Vent divin
portera l'homme dans l'espace, et dans l'Eau l'homme ne se
noiera pas. Cette nouvelle nature humaine a pour nom transfiguration."
Et les magnificences infinies (4/6), est-ce autre chose?
Cécile D. |
Réponse
:
Concrètement
je n'en sais guère plus que ce que vous avez lu dans mes annotations de
La Révélation d'Arès.
Lorsque le Père de l'Univers (Rév d'Arès 12/4), le 2 octobre
1977, me transporta "à travers les lieu des béatitudes," qui me parut
être ni plus ni moins que son Univers, je n'y vis personne,
ni Jésus, ni Marie, ni Élie, ni même le Père
ou Créateur lui-même, dont je ne vécus pas d'autre manifestation que le
bâton de Lumière d'où sortaient alors les Paroles du Livre et les
extraordinaires phénomènes lumineux et sonores qui accompagnaient
l'apparition de ce trait de Lumière intense, mais guère plus haut
qu'une canne.
C'est seul que je vécus l'expérience de ce transport dans l'Univers
non pour mes mérites, qui étaient faibles, mais pour que je fusse
témoin de ce qui attendrait le pénitent — pénitent que je
commençais tout juste à être à l'époque —, si je mourais après avoir
suffisamment changé ma vie (Rév d'Arès 30/11), c.-à-d. après
que ma pénitence serait assez avancée, ce que personne ne
sait jamais vraiment: Qui peut savoir qui est sauvé, qui n'est pas
sauvé? (Rév d'Arès 11/3).
Cette expérience du transport dans l'Univers fut merveilleuse
dans sa première partie, mais très éprouvante dans sa deuxième partie:
le retour sur terre (Rév d'Arès VI/5-6), ce qui me laissa
comprendre que la résurrection au Jour du Créateur (Rév
d'Arès 31/8),
serait pendant un certain temps (quelques minutes? quelques heures?
quelques jours? quelques années?) un moment difficile. Cette
expérience, je la vécus uniquement pour que je la raconte, un
témoignage de plus, à ajouter aux Parole qui m'étaient données.
Ceci dit, on peut effectivement imaginer que le Jésus transfiguré, qui
m'étaient apparu 45 mois plus tôt, vit dans ce lieu des béatitudes,
mais il ne m'en avait fait aucune confidence. Ce n'est qu'une hypothèse
raisonnable.
Reste ma confiance infinie dans l'Amour du Père,
confiance qui me laisse espérer que l'état où je me trouverai après ma
mort ne sera pas trop pénible, surtout si mes frères font
mortification pour moi (Rév d'Arès 33/32-34).
À propos de Marie, je rappelle que dans
La Révélation d'Arès, Marie n'est pas une personne déterminée comme
Jésus ou Élie, mais la personnification — parce que
l'homme a besoin de repères concrets pour comprendre les mystères de l'Amour
— de la phase compassion, la phase partage des souffrances des
hommes, qui est Mère par complémentarité de Père.
Ainsi Jésus naquit-il d'une femme qui probablement s'appela Marie,
mais dont le nom seul a été emprunté par le Créateur pour qu'un peuple,
qui sortait, et qui d'ailleurs sort toujours, du paganisme et qui
avait, et qui a toujours, besoin de représentation concrètes trouvât un
pont entre ses limites de compréhension et une Vérité qui
dépasse ces limites-là. |
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