23 avril 2006 (0022)
heureux sont-ils à cause de leurs vertus (rév d'arès 28/15)
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PENSÉE DU MOMENT
On
me dit que "Le Da Vinci Code", roman d'un certain Dan Brown, bientôt un
film de Ron Howard, met en scène une canaille criminelle, membre de
l'Opus Dei. Je proteste contre ceux qui font de l'argent de
monstruosités imaginaires et je pleure sur la masse qui s'en délecte.
L'Opus Dei n'est qu'une société laïque catholique de dévots en quête de
"sainteté" à l'espagnole: longues prières, austérité, discipline
(fouet), cilice, en d'autres termes, des dévots qui pensent "se
racheter" par le partage des souffrances de Jésus. Très différente est
notre idée de la pénitence, fondée sur La Révélation
d'Arès et le changement en Bien: amour,
pardon, non-jugement, paix, liberté spirituelle, etc., mais aucun
d'entre nous ne saurait mépriser des catholiques en quête de vertu
(Rév d'Arès 28/15) dans un monde où ce mot perd son sens, hélas.
J'ai
un vieil ami (j'ai quand même gardé quelques amis d'avant 1974), membre
de l'Opus Dei. Il lui arrive de faire un bref pèlerinage à Arès. Ce
n'est pas un bigot borné. Je devine qu'il vient aussi à Arès s'informer
de notre assemblée, mais nous n'avons rien à cacher. Ce n'est
pas hypocritement qu'il répond oui à la question: "Aimez-vous tous les
hommes et pardonnez-vous toutes les offenses?", parce qu'il s'efforce
comme nous de suivre le Sermon sur la Montagne. J'ignore quel
sens il donne à l'autre oui, qu'il répond à la seconde question:
"Croyez-vous que la Bible, le Coran et La Révélation d'Arès viennent
de Dieu?", mais je sais qu'il est un homme de bien; ça me suffit. Il
serait absurde d'imaginer mon ami dans une organisation criminelle ou
seulement malveillante.
Opus Dei signifie en latin L'Ouvrage ou
l'Œuvre de Dieu. Cette société fut fondée en 1928 par un prêtre
espagnol, José Maria Escrivà (photographié à côté de Jean XXIII en
1960), pour des laïcs, hommes et femmes, mariés ou non, souhaitant
vivre le quotidien du monde dans la macération généralement exercée par
le clergé et les ordres monastiques. Mis à part la doctrine, le culte
et l'idée d'expiation catholiques, que suivent les membres de l'Opus
Dei, le temps qu'ils consacrent chaque jour à la bonification
personnelle est proche du temps que les Pèlerins d'Arès, le petit
reste, consacrent, où devraient consacrer, à l'acquisition de la vertu
(Rév d'Arès 28/15) et de la piété (35/5-6) pour
devenir des hommes du temps qui vient (30/13), des moissonneurs
d'âmes.
Comme
toujours quand il s'agit d'hommes de vertu discrète, l'Opus Dei à cause
de sa discrétion même paraît louche aux gros bonnets pécheurs qui
tiennent les rênes du monde et à leurs media, marchands de sensations.
Beaucoup voient l'Opus Dei comme une secte, le soupçonne des pires
activités secrètes. Même chose pour nous, Pèlerins d'Arès.
Je ne
prétends pas que l'Opus Dei est d'accord avec les espérances de
libération spirituelle auxquelles nous, Pèlerins d'Arès, travaillons.
De même, nous divergeons de nombre de principes surannés et
contraignants de l'Opus Dei. Mais je crois que, le jour où des
rapprochements entre catholicisme et la foi arésienne seront
nécessaires, le dialogue entre gens de vertu non ecclésiastiques sera
moins laborieux. Les catholiques sont en bonne place parmi tous ceux
que cite le beau verset 25/6 de La Révélation d'Arès, dont
nous avons fait une prière. La victoire universelle de La
Révélation d'Arès ne sera pas remportée par les reniements et
désertions des croyants quittant en masse leurs religions pour
rejoindre notre assemblée, car la masse croyante n'est plus
païenne comme dans les temps anciens. Les Pèlerins d'Arès ne seront
jamais qu'un petit reste.
La victoire universelle viendra par des échanges de richesses
spirituelles et par une ré-étude collective des Sources sauf celles
clairement écartées comme Jean et Paul (Rév d'Arès 16/12,
35/12) et quelques autres.
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commentaire |
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26Avr06 22C1
Je ne connais pas l'Opus Dei. Je n'ai ni avis, ni commentaire à son
endroit.
J'ai
par contre lu le "Da Vinci Code" et je comprends qu'une masse
importante de gens ait lu ce polar. D'abord il repose la question du
mensonge des églises et de leur attribution d'un pouvoir temporel au
détriment d'une vérité spirituelle, même si, bien évidemment dans le
contexte d'un polar, vérité et mensonge sont nécessairement en partie
fiction. Ensuite il met en valeur le féminin comme porteur symbolique
de vérité, de changement avec l'union de l'homme et de la femme, en
opposition à des comportements masculins d'oppression et de domination
au cours des siècles. Enfin, il cherche, par la fiction, à trouver une
autre valeur à investir dans le Christ. Bien sûr cela reste très
réducteur comme évocation d'une foi et d'une mise en marche
possible
de l'être humain, facilement rabaissé dans ce roman à des manigances
d'adoration du pouvoir et du corps ou le contraire. Mais cela a le
mérite de permettre pour quelqu'un de scandalisé (Rév d'Arès 28/4)
par les pouvoirs religieux comme [par les pouvoirs] du monde et sans
recherche spirituelle affirmée, de pouvoir commencer à imaginer une
possibilité d'investir notre héritage culturel chrétien d'une toute
autre manière que les pouvoirs officiels religieux l'envisagent
(d'ailleurs ils l'ont compris, ce livre a été mis à l'index).
Imaginer n'est pas discerner ni réaliser, mais c'est une étape
permettant de réfléchir et c'est déjà un bon point. Alors, certes
heureux les vertueux, mais heureux les scandalisés qui
sauront se lever de leur scandale pour accomplir la voie du
Christ sans institution ni trompette.
David B. |
28Avr06 22C2
Il
est certain que quand des gens ont un comportement de grande piété, ont
l'air recueilli et pratiquent une totale discrétion, ils peuvent être
soupçonnés d'activités secrètes criminelles, comme vous dites. Mon
grand-père, qui avait été veuf ralativement jeune, était un catholique
très pieux, membre du tiers-ordre franciscain. Un jour un meutre fut
commis dans sa rue, le meurtre d'un pauvre gosse qui, du reste, est
resté inexpliqué, je crois (un peu l'histoire mystérieuse du petit
Grégory, vous vous souvenez?). Eh bien, il [le grande-père] fut arrêté,
interrogé, inquiété, et un journal titra même: "Meurtre Rituel Rue
Telle-et-Telle?" Les gens du coin trouvaient mon grand-père suspect
parce qu'il semblait "raser les murs" et "regardait toujours par terre
comme un faux jeton" et "n'allait jamais chez le marchand de vin." En
fait, c'était un homme qui avait choisi d'éviter au maximum de juger et
de dire du mal des autres et qui mangeait de façon frugale, et cela
l'avait amené à ce comportement totalement effacé et austère.
Finalement mon grand-père fut lavé de tout soupçon, le curé, qui était
encore très influent à l'époque, ayant confirmé son appartenance au
tiers-ordre franciscain. Mais les gens, quand on leur a révélé: "Cet
homme est du tiers-ordre francicain", ont interprêté ce terme (c'était
un quartier populaire sans culture religieuse) comme équivalent de
"secte" ou de "société secrète" et certains se sont mis à raconter que,
certains soirs, à la nuit, on voyait mon grand-père sortir avec une
cagoule. Jusqu'à sa mort il fut considéré comme un cinoque malgré tout
suspect (C'est sûrement lui qui a tué le gosse, mais on n'a jamais pu
le prouver, ou bien: Ce type est couvert par l'archevêché, qui a le
bras long, etc.). Les gens ordonnaient à leurs enfants de
l'éviter,
parce que les enfants, c'étaient les seuls à qui mon grand-père
souriait.
Claude G. |
Réponse
:
Cette
réponse est plutôt une
information: Un tiers ordre (mot peu couru de nos jours) est une
confrérie dont les membres, vivant dans le monde, des laïcs donc,
s'efforcent de tendre à la perfection catholique par la pratique d'une
règle sous la direction et conformément à l'esprit d'un ordre
religieux. Le tiers ordre franciscain est un des plus connus. L'église
catholique considère-t-elle l'Opus Dei comme un tiers ordre? Je ne
crois pas, puisque ses membres ne suivent pas une règle inspirée d'une
règle monastique ou conventuelle, mais une règle à part, celle de José
Maria Escrivà. Cependant, la comparaison est bonne, le but poursuivi
par les membres de l'Opus Dei ressemblant beaucoup au but poursui par
les membres de tiers ordres. |
05Mai06 22C3
Je
suis très étonné que vous accordiez votre confiance à un organisme
catholique qui fut un des soutiens les plus actifs, bien que des plus
secrets, du général Franco pendant sa dictature en Espagne. On ne sait
pas trop, par ailleurs, quel rôle funeste l'Opus Dei a joué dans
l'entourage de Mussolini en Italie à l'époque fasciste. [...] On peut
multiplier les soupçons que tous les gens de bien, les vrais, peuvent
avoir des activités occultes de l'Opus Dei. Je suis très déçu de la
sympathie que manifeste ce blog à l'égard de l'Opus Dei, une sorte de
police secrète de Rome [...]
André T. |
Réponse
:
Je n'ai
pas d'informations
me permettant d'affirmer que l'Opus Dei a été une cellule catholique
supportant de façon policière, ou complice, ou criminelle, la dictature
de Franco et de Mussolini (vous oubliez Salazar au Portugal et Hitler
en Allemagne). En Espagne c'était toute l'église catholique, dont les
évêques siégeaient de droit aux cortès, qui soutenait le général
Franco. En Italie presque toute l'église soutenait aussi Mussolini.
Quant à la France, où je vécus adolescent pendant toute l'occupation
allemande, j'ai de même vu l'église plutôt du côté du maréchal Pétain.
L'Opus Dei aux membres catholiques très bigots ne faisait pas autre
chose que ce que faisait à peu près partout la hiérarchie catholique
pendant la tourmente de 1935 à 1945. Je ne prends parti ni sur ni pour
l'Opus Dei, j'essaie seulement d'y voir clair à travers ma propre
expérience, j'essaie de rendre justice à des hommes qu'on a noircis,
qui ne semblent pas mériter cette mauvaise réputation. |
18Mai06 22C4
Tout ce rafut au sujet du roman "Le Da Vinci Code" démontre un
comportement de société qui m'a semblé bien expliqué dans l'article de
la journaliste Patricia Briel, article dont j'ai mis en gras certains
points intéressants. tels que "Tout se passe comme si, dans les pays
occidentaux tout particulièrement, la crédulité publique était
déchaînée par le retrait du christianisme et plus généralement par
l'affaiblissement des religions institutionnelles," remarque le
philosophe [?].
L'érosion du christianisme n'a pas favorisé l'émergence d'un athéisme
lumineux, mais il a fait surgir une nouvelle mythologie sans colonne
vertébrale. En réponse je dis que nous devons compenser ce "retrait du
christianisme" par notre mission et notre pénitence
arésiennes de tous les instants.
Miadwa |
21Mai06 22C5
Merci
d'avoir affiché mon commentaire [voir commentaire précédent] et pardon
pour avoir omis de donner le nom du philosophe mentionné. Son nom est
: Pierre-André Taguieff, philosophe et politologue français.
Miadwa |
04Jun06 22C6
Vous dites "La victoire universelle viendra par des échanges de
richesses spirituelles et par une ré-étude collective des Sources sauf
celles clairement écartées [par La Révélation d'Arès] comme
Jean et Paul et quelques autres (Rév d'Arès 16/12, 35/12)."
Il me tarde que ce jour arrive!
En
attendant l'Opus Dei est très conservateur, donc très restrictif,
pour
ne pas dire arriériste sur les droits des femmes. Ce sujet me touche
beaucoup.
Bien sûr, les médias exagèrent et salissent, mais ce
conservatisme et [cette] dureté envers les femmes sont avérés:
Regardez
l'église elle-même. En attendant, doit-on fermer les yeux sur cela, se
taire en attendant que cette victoire n'arrive[, cette victoire]
que vous citée et à laquelle je crois et espère?
De plus, c'est un sujet de conscience: Doit-on se positionner pour ou
contre ce qui me paraît extrême? Ou bien n'est-il pas important de se
positionner clairement sur la façon dont les droits des femmes sont
regardés chez les Pélerins d'Arès afin d'éviter toute complicité? Même
si on doit défendre le changement de personnes dont on n'aime
pas les idées, ne faut-il pas se positionner?
Maryse |
Réponse
:
La
Révélation d'Arès est tellement claire concernant l'espérance que
le Père place particulièrement dans la femme pour le changement du
monde et l'avènement du Jour
de la transfiguration générale, je ne vois pas de nécessité de se
positionner, sinon en invitant le monde à lire cette Parole
attentivement. Il est toujours possible, en certaines circonstances, de
citer les passages de La Révélation d'Arès spécifiques de la
célébration de la femme comme agent capital du retour du monde à la vie
spirituelle, comme (9/1-5) ou (XXVII/6-14). Ne pas oublier que dans La
Révélation d'Arès l'allégorie de la compassion du Créateur
envers la créature est une femme, à laquelle cette Parole donne
le nom de Marie, qui ainsi comme d'autre mots:
pénitence, etc.,
change de sens, n'étant plus une personne déterminée qui aurait comme
les anges une place particulière au Ciel (et dans les églises sous
forme d'icône ou de statue), mais étant l'effet universel de l'Amour
même du Père dans sa phase (parmi l'infinité de phases de l'Amour du
Père) de compassion pour les malheurs et souffrances des hommes, que
leur mental et leurs langages assimilent à l'idée de maternité ou de
féminité.
Concernant
l'Opus Dei, je n'ai pas connaissance que cette confrérie catholique
laïque applique aux femmes une discrimination particulière, mais
peut-être, étant née au coeur de la culture espagnole, a-t-elle, des
années 30 aux années 50, placé la femme en retrait comme c'était le cas
dans bien d'autres pays d'Europe. |
04Jun06 22C7
(Commentaire venu du même commentateur, Maryse)
L'opus Dei n'est peut-être pas aussi rigide que je le
pensais et vous l'écrivais [Voir commentaire précédent].
De plus, comme il prend de plus en plus d'importance dans le monde, on
parle de l'Opus Dei comme d'une secte (en Belgique notamment).
Comme je vous l'ai dit je suis très sensible au sort des femmes et de
leurs droits. Et j'espère que les Pèlerins d'Arès défendent la femme et
les droits qu'elles ont chèrement acquis.
Désolée d'avoir répondu sans m'être renseignée.
Voici l'article que je viens de lire et que je vous retransmets:
L'Opus Dei
et les femmes du 27 Avril 2006
(déclaration de) Marlies Kacking (en photo), directrice centrale de
l'Opus Dei:
"[...]
Je ne vois pas la raison qu'il y a, quand on parle du laïcat et de sa
tâche apostolique, de ses droits et devoirs, etc., de faire une
distinction ou discrimination à l'endroit de la femme. Tous les
baptisés, hommes et femmes, participent également à la dignité commune,
à la liberté et à la responsabilité des enfants de Dieu. Si l'on
excepte la capacité juridique de recevoir les ordres sacrés [...]"
(déclaration de) Xavier Echevarria, évêque-prélat de l'Opus Dei:
"Je rends souvent grâce à Dieu quand je vois que les femmes de l'Opus
Dei travaillent dans tous les secteurs de la société. Elles gèrent des
coopératives et des hôpitaux, travaillent dans les champs et les
usines, sont titulaires de chaires universitaires et enseignent à
l'école ; elles sont juges, politiciennes, journalistes, artistes,
d'autre se dévouent exclusivement et avec autant de passion et de
professionnalisme au travail du foyer. Chacune suit son propre chemin,
consciente de sa dignité, fière d'être une femme, et gagne le respect
de tous, jour après jour".
(déclaration du) Professeur Élisabeth Fox-Genovese (Chili) :
"L'Opus Dei détient un record enviable en matière d'éducation des
pauvres et d'encouragement des femmes, qu'elles soient célibataires ou
mariées, à accomplir les occupations qu'elles ont choisies. Finalement,
l'Opus Dei existe pour apporter à tout travail, du plus humble au plus
prestigieux, dignité, respect, sainteté et sens [...]
(déclaration de) Maria Valdeavellano, secrétaire régionale de la
Prélature aux états-Unis:
"Les femmes jouent un rôle dans le gouvernement de l'Opus Dei à chaque
niveau, local, national et international, y compris pour l'élection du
Prélat".
Maryse |
10Jun06 22C8
Vous dites: "Je ne vois pas de nécessité de se positionner, sinon en
invitant le monde à lire cette Parole attentivement. Il est toujours
possible, en certaines circonstances, de citer les passages de La
Révélation d'Arès spécifiques de la célébration de la femme comme
agent capital du retour du monde à la vie spirituelle, comme (9/1-5)
ou (XXVII/6-14)."
Le monde étant borné et voyant le sort que l'on fait aux femmes, il est
facile de justifier les mauvais choix que l'on fait envers elles en
prétextant être dans le vrai parce que, soi-disant, Dieu ou tel écrit
sacré le dit ou cela est dit au nom de la tradition, etc.
Regardez ce que se passait dans l'assemblée de Paris avant
votre enseignement. C'est après votre enseignement
qu'il y a eu une autre vision de la femme et seulement après
l'enseignement.
De plus, Dieu vous dit d'écrire pour les générations qui viendront,
sous-entendant donc qu'il y aura oubli d'une certaine partie de
l'histoire ou incompréhension (ici par rapport aux femmes
également).
De plus l'histoire du péché originel a fait et continue de faire de la
femme l'éternelle coupable. Au nom de l'humanité et
surtout de la connaissance vous n'avez pas le droit de ne rien
expliquer sous prétexte que ce respect et valorisation de la femme est
en filigrane dans toute La Révélation d'Arès et que les
Pèlerins expliqueront en temps voulu.
Hier ceux que vous croyiez grands croyaient tout comprendre
également et se trompaient.
Enfin n'oubliez pas, lorsque tout va mal, la femme est la première
à en
pâtir ; donc il est important de rétablir une réalité je dirai
historique (malgré que la femme en tant qu'être humain soit aussi
imparfaite que l'homme).
Merci
Maryse |
Réponse
:
Nous
voilà ici loin de
l'Opus Dei. Vous n'êtes pas dans le sujet, mais bon! Vous ne faites que
confirmer ce que je vous répondais le 4 juin (22C6), il faut lire La
Révélation d'Arès, que ce soit dans le livre ou à mes lèvres (l'enseignement).
Quant à la théorie du "péché originel" donnant à la femme la
responsabilité première de la chute, elle n'existe pas dans La
Révélation d'Arès,
qui représente au contraire une magnifique réhabilitation de la femme
par rapport à la "tradition" religieuse. Par ailleurs, je ne sais pas
si, statistiquement, la femme est "la première à pâtir lorsque tout va
mal". Je crois que tout le monde pâtit, mais nous sortons complètement
du sujet. |
00Xxx00 XXCX
Text
Signature
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