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1 janvier 2016 (0171)
Non-dualité

Le soi est tout à la fois personnel et illimité, étroitement lié au quotidien comme à l'absolu, au sacré universel, au mystère de Dieu
(Similarité entre Çamkara et la Lumière contextuelle de la Parole d'Arès)

Le vrai  sacrifice est intérieur ; il faut l'âme et non barbouiller de sang les idoles (Çamkara et Révélation d'Arès xiv/2).

Le Mal ne sera jamais vaincu par la religion, la politique, les lois, la police, les tribunaux, les armées.
Seul le Bien le vaincra, le Bien accompli par chacun de Mes Enfants, le Bien les ramène à Moi, au Tout.
Voilà résumé Ce Que dit La Révélation d'Arès.

28 décembre 2015
À mon bureau
28 décembre 2015
photo par Sœur Christiane

Des gens, assez nombreux, croient vraie La Révélation d'Arès, mais s'interrogent sur ce que je suis. Ils me demandent : "Vous diffusez et défendez ce Message apporté par Jésus en 1974, complété par le Créateur en 1977, mais vous, Michel Potay, qu'êtes-vous depuis lors ?"
Je réponds : "Je suis un témoin du Père." Cette réponse me paraît raisonnablement modeste et intègre, parce que je n'ai aucune qualité qui me permette d'être plus qu'intègre et modeste.
Des questionneurs tiquent, se demandent si je ne suis pas un faux humble, ils veulent entendre de ma bouche le mot qu'ils attendent : "Mais La Révélation d'Arès ne vous appelle-telle pas prophète ?" Je réponds : "Puisqu'elle m'appelle ainsi, c'est qu'il en est ainsi." Je ne peux qu'accepter cette appellation, mais j'en parle rarement à la première personne. Quand m'effleure l'idée que je suis prophète comme Noé, Abraham, Moïse, Isaïe, Jésus, Muhammad, je suis dans une grande confusion. Rien de l'auguste iconographie qui recouvre ces hommes prestigieux ne me semble convenir à l'homme ordinaire que je suis. Pourtant, cette iconographie n'est guère qu'un imposant trumeau doré sur la grande cheminée du monde, car ces hommes comme moi épluchaient leurs patates, mangeaient, se grattaient, pissaient, baillaient, avaient mal aux dents et j'en passe.
Quand quelqu'un me demande : "Pourquoi Dieu vous a-t-il choisi, Michel Potay ?" Je réponds : "Je ne crois pas qu'il m'ait choisi, puisque je n'ai aucune des qualités qu'on prête à un prophète. Je pense que Dieu s'est dit: Tous les hommes étant pécheurs, n'importe lequel fera l'affaire." Il a mis dans un grand chapeau les noms de tous les humains sur des petits papiers et Il a tiré au sort. C'est tombé sur moi.
Cependant, je ne peux nier que j'ai appris ce qui soude l'Enfant au Père, ce qui ne fait des deux qu'Un, qu'ont désappris nos religions qui ont fait faussement du Père un juge et de l'homme un justiciable. Je ne peux nier que je suis le seul témoin de la Sainteté, de la Puissance et de la Lumière que chaque homme pourra partager à nouveau. Je ne peux nier que je suis le témoin dont le nom franchira l'espace et le temps jusqu'au Jour où il n'y aura plus ni jour ni nuit, où la Lumière couvrira tout sans cesse, où la terre rendra ses poussières sous forme d'humains transfigurés. Jusqu'alors j'aurai peut-être mon nom dans quelque dictionnaire modeste, à moins que le monde refuse obstinément et partout de suivre l'Appel à changer en Bien (Rév d'Arès 28/7) ou me voie définitivement comme un halluciné, auquel cas ce seront, au Jour du grand Changement final, des milliards et des milliards de regards creux et blancs de spectres qui imploreront le Père quand Il descendra visiter ses Granges (Rév d'Arès 31/8-11).

Rien de ce qui se sera passé entre 1974 et le Jour du grand Changement ne tiendra à moi, car je ne fais que transmettre ce que j'ai reçu. Le succès ou l'échec de l'Appel d'Arès tiendra aux humains. Quelques uns m'écoutent et m'aiment, ce sont les Pèlerins d'Arès. D'autres plus nombreux m'écoutent et en font à leur tête ou se moquent ou me fustigent. L'immense humanité, elle, m'ignore pour l'heure. On écrira ou discourra peut-être sur moi, mais comment ? Avec vérité ? Pour faire une légende ? Pour dire que je n'ai rien compris à ce que j'ai vu et entendu à Arès ? De toute façon, je gêne — en cela du moins je suis bien prophète —  je remets en cause les religieux comme les athées traditionnels, leurs interprétations "sacrées" ou sacrilèges. Je ne suis d'accord avec personne, parce que mon interprétation est la seule à considérer : Parole de Mikal Ma Parole (Rév d'Arès i/12)
.

Le Souffle de La Révélation d'Arès est tout autre que tout ce qui s'entend et se lit dans notre aire apostolique (Rév d'Arès 5/5-7). Il faut sans doute remonter à Çamkara* pour en trouver le dernier écho humain fort, sauf que Çamkara fut un jeune prophète et que j'en suis un vieux, qu'il fut indifférent au monde et que le Père me demande d'y baigner, qu'il ne s'adressa pas au monde émotif alors que c'est mon interlocuteur, et qu'il vécut dans un territoire mental que le Père n'assigne pas à notre mission. Çamkara, c'est la non dualité: aucune séparation entre l'être qu'est chacun de nous et le Tout, une évidence dans La Révélation d'Arès : Sois Un dans Toi (xxiv/1). Sors là où... ta main a vingt doigts comme la queue du soleil... où le fer bout dans ta main... dans les mondes où les poissons tournent dans Mon Eau (vi/1-3). Je me heurte moi aussi à tous les brahmanes, religieux, politiques, médiatiques, académiques, scientifiques, juridiques, etc. qui se sont faits spécialistes de la "vérité" qu'ils imposent. La cause en est simple: Comme La Révélation d'Arès je suis délivrance, alors qu'eux sont réclusion, réclusion dans leurs idées, lois,  dogmes, principes. Je suis et je serai probablement plus encore décrié, parfois haï. À moins que dans l'impossibilité d'effacer mon existence historique, on m'efface en me statufiant et me remisant très haut et très loin sur les étagères de la gloire pour réécrire bien tranquillement mon enseignement, en donner une version trompeuse. Voilà pourquoi je tiens à rassembler et bien former le petit reste (Rév d'Arès 24/1) qui continuera de faire circuler la Vérité dont j'ai la charge dans sa magnifique simplicité. Je crois que le petit reste déjouera les biais par quoi les pouvoirs déformeront mon enseignement et accomplira le Dessein.

Mon enseignement et à ma suite l'enseignement du petit reste, co-témoins du Père par affinité, n'est ni religieux, ni philosophique. Comme La Révélation d'Arès il est spirituel, qui signifie qu'il fait naître l'âme immortelle (Rév d'Arès 4/5-6, 17/3) par la pénitence chez les croyants ou les non-croyants, car le Bien accompli est plus fort que la religion et la philosophie. L'âme tout à la fois survit à la mort de l'homme de bien qui l'a créée et s'agrège à la Force qui changera le monde en Bien (28/7). L'âme, invincible victorieuse du mal, naît de la pénitence (30/11), le bouquet rédempteur de l'amour, du pardon, de la paix et de la libre intelligence spirituelle, déjà donné par le Sermon sur la Montagne (Matthieu ch.5 à 7), pénitence constructive sur laquelle je ne transige jamais et sur laquelle le petit reste ne transigera jamais. La pénitence est le seul habitus qu'apporte La Révélation d'Arès et qui vise l'extrême de la vie, qu'elle appelle Vie.

J'ai écrit ce que je crois et enseigne dans "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas" ("Le Pèlerin d'Arès" 1991-1992 et en annexe dans La Révélation d'Arès bilingue 1995, voir http://www.adira.net). Ce texte écrit à la hâte comme un testament à la veille d'une chirurgie dont je pouvais ne pas revenir, est un exposé assez fouillis, mais je l'ai laissé tel, de sorte qu'il a conservé son naturel.
Le problème du progrès spirituel aujourd'hui, c'est que l'ignorance largement voulue de ce que dit le Père à Arès s'ignore elle-même et trône sur ses concepts sous couvert de raison (Rév d'Arès 26/3) et de science (1/3). L'homme est de chair, d'esprit et d'âme (17/7) quand celle-ci existe, trois éléments que le péché a séparé et dispersé et que nous, Pèlerins d'Arès, nous-mêmes humains éclatés, sommes appelés à rassembler pour reconstituer de l'homme l'infinitude avec le Tout, rétablir sa non-dualité par la pénitence. Nous sommes bien au-delà de ce que la religion propose à l'homme. La Révélation d'Arès ne fournit pas de solution religieuse, sociale ou politique au mal ; elle ne préconise, donc je ne préconise aucun système de vie pratique. Tous les systèmes sont bons, pourvu que l'amour (7/5) y règne et libère l'homme de la loi des rats (xix/24). La pénitence reconstitue l'homme en son entièreté avec l'humanité, la nature et l'univers, pour que l'homme redevienne l'Enfant de l'Univers du Père de l'Univers (12/4).

Adam en s'émancipant du Père (Rév d'Arès 2/1-5) par les moyens mêmes dont le Père l'avait doué, s'est rendu duel, tout à la fois image et ressemblance du Père et animal pensant roi du monde. La Révélation d'Arès appelle péché, bruit, lion de la nuit, etc. l'onde de choc qui maintient brisée l'unité de l'Adam génésiaque et appelle Fond des Fonds (xxxiv/6) le Tout auquel Adam peut revenir. Comment ? Par la pénitence, mais comme tout se meut dans l'univers la pénitence mouvra et croîtra. La pénitence des pénitences sera l'exercice le plus parfait de l'amour, du pardon, de la paix, de la libre intelligence spirituelle. Aucun humain n'en arrivera là avant des générations (Rév d'Arès 24/2). Mais, dores et déjà, à la pénitence se ramène tout ce que je dis et tout ce que dit le petit reste dans l'exercice du prophétisme. Étant homme de chair, je plonge par intervalles dans l'obscurité de l'actualité et je donne ici et là sur les événements mon opinion personnelle, mais elle n'est qu'une veine ou une artère virtuelle de mon être, mon saignement. C'est mon sang qui, à bon ou mauvais escient, coule avec le sang du troupeau humain dont je suis, enchaîné avec lui au mur d'une fameuse caverne et ne percevant les événements du monde que comme des ombres sur la paroi (Platon, La République, Livre VII). Mais toujours je finis, s'il y a un Fond à tirer de l'événement, par ne pas répondre de moi-même et dans la prière (Rév d'Arès 39/2) par percevoir le Vrai (xxxiv/1-4).

Ce Que nous dit le Père est très simple. Pas d'idéologie directrice, pas de dogme, pas de loi, pas de chef, pas d'autre plan que la bonté, la pénitence et la vraie piété (36/19). Le bonheur du monde ne résultera pas du bonheur des mots, seraient-ils mes mots, mais de la Parole accomplie par chaque humain, qui est, qu'il en soit ou non conscient, un atome du Tout .
N'essayez pas de joindre la lisibilité à l'exactitude, parce que les mots sont toujours insuffisants. Joignez la vie à l'amour et vous trouverez la Vie (24/5).

*aussi écrit Śaṃkara, Ādi Śaṅkara, Ādi Śaṅkarācārya

copyright 2016

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Commentaires :
31dec15 171C1
Dans "Jews News" on peut trouver le projet d'Israël pour ses futures frontières. Elles sont basées sur deux passages de l'Ancien Testament :
L'un, Genèse 15/18, dit: “À ta descendance Je donne tout ce qui s'étend entre la grande rivière d'Égypte [le Nil] et le Grand Fleuve, l'Euphrate." en gros du Care à Bagdad.
L'autre, Deutéronome 11/23-24: "Vous déposséderez des nations plus grandes et plus fortes que vous, tout le terriroire sur lequel vous poserez vos pieds, du le désert [d'Arabie] jusqu'au Liban et de la rivière Euphrate à la mer à l'ouest."
La carte que voici et publiée par "Jews News" [Nouvelles Juives] montre l'étendue du projet

Furures frontières d'Israël

Vous, frère Michel, vous rêvez d'unité de l'humanité en une seule nation Terre, ce que vous appelez non-dualité, mais les puissances politiques ne voient pas du tout la disparision de leurs frontières ; ils rèvent au contraire de les élargir et de les consolider. Vous allez à contre-courant de touis les mouvements des peuples.
La Révélation d'Arès accouche d'une chimère. Comment allez-vous faire pour que l'homme ne rêve plus de sa "patrie" et de conquêtes pour l'agrandir . C'est impossible. La Révélation d'Arès est un passepor de citoyen du monde, mais personne sur la Terre ne rêve de ça. On ne peut pas ne pas rêver avec vous, mais on sait bien que ce n'est qu'un rêve.
Justin L. de Haute Loire

Réponse :
Ce n'est pas moi qui rêve, frère Justin. C'est Israël qui rêve, si toutefois cette information folle publiée par "Jews News" a quelque fondement. J'en doute fort. À mes yeux, c'est soit un mythe, soit un bobard délibéré, parce qu'on ne voit pas comment un pays de seulement 8.500.000 habitants pourrait occuper et tenir une telle étendue contre les Arabes qui y vivent. D'ailleurs, même aux temps bibliques, Israël n'a jamais occupé un territoire aussi étendu. Le peuple juif était au contraire confiné sur un très petit territoire autour de Jérusalem.

31dec15 171C2 
Magnifique entrée frère Michel !
Elle touche aux profondeurs de l'être, elle me remue, me rappelle ce que nous devons être, un !
Sois un dans toi, nous dit le Père. Cela n'est possible qu'en mordant la Lèvre du Père (Révélation d'Arès xxiv/1-4). Sans vous cette Parole n'aurait pas été accessible au monde, car livrée à tous sans la lumière dont vous a doté le Père
(xx/1-3 et xxxiii/12/14) aurait pu mener à toutes les dérives, voirr même la révolution.
Vous êtes si humble, je ne sais pas pourquoi le Père vous a choisi, mais une chose est sûre, Il a voulu parler par d'autres en grand nombre (Rév d'Arès 2/16-19), mais ils se sont dérobés, craintifs, ils n'ont pas pu sortir du monde, monter sur Son parvis pour s'adresser à lui en Son Nom privant le monde du Souffle de Dieu sans lequel nul bonheur n'est possible.
Vous, vous avez accepté, avec toutes les souffrances, les soucis, les renoncements que cela implique, vous l'avez fait, vous l'avez fait par amour, par raison, et cela fait de vous un héros.
Votre mission, vous l'avez réussie, vous nous avez bien transmis la Parole et continuez sans cesse et cette entrée me rappelle notre responsabilité à bien la vivre pour la transmettre. Je dis bien vivre car c'est un vrai corps à corps, afin de mener le monde de génération en génération jusqu'au Jour de Dieu
[Nous devons] Retrouver la conscience lucide de notre unité avec le Père, nos frères, avec l'univers, retrouver notre identité par la pénitence. Nous sommes des fils du Père de l'Univers. Avant La Révélation d'Arès l'âme n'était pour moi qu'un mot, une idée vague, je l'aimais culturellement,je savais que c'était bien, que c'était bon être un soul man, écouter la soul music, tout ce qui pouvait faire de nous un bon citoyen,un bon croyant, mais je gardais ma dualité et choisissais le bien que je voulais faire ou ne pas faire.
Aujourd'hui nous savons que l'âme est notre vrai corps, le seul bouclier contre le mal, et que nous devons attacher beaucoup de soin à sa construction jusqu'à notre dernier souffle pour ne pas la perdre. C'est le véhicule du bonheur et notre fusion avec le Père. Devenir le bien !
J'aime beaucoup ce passage de votre entrée, c'est très beau : "L'âme, invincible victorieuse du mal, naît de la pénitence (30/11), le bouquet rédempteur de l'amour, du pardon, de la paix et de la libre intelligence spirituelle, déjà donné par le Sermon sur la Montagne (Matthieu ch.5 à 7), pénitence constructive sur laquelle je ne transige jamais et sur laquelle le petit reste ne transigera jamais. La pénitence est le seul habitus qu'apporte La Révélation d'Arès et qui vise l'extrême de la vie, qu'elle appelle Vie."
Vous êtes un grand prophète, le Père le dit, vous ne mourrez jamais (Rév d'Arès xvi/13-14).
Merci de donner votre vie pour l'humanité. En tant que petit pénitent, je sais que ce n'est pas facile même si c'est du bonheur, mais le monde porte son lot de misères, de paradoxes qui nous chahutent.
Vous êtes très beau sur la photo et la photo est bien réussie. Merci à sœur Christiane.
Daniel C. d'Ile de France

Réponse :
Un grand merci, frère Daniel, pour ce commentaire.
Malgré notre foi, nos espérances, nos propos devant les personnes de rencontre dans la rue, nos actions — si l'on ne juge par leurs effets d'ensemble pas très efficaces encore — demeurent insuffisantes, alors que le monde a de plus en plus besoin de nous, c'est très clair.
Manquons-nous de volonté ? Manquons-nous de conviction ? Non. Il s'agit, je pense, d'autre chose.
Le poète Ovide prêta ces mots à Médée: "Une force inconnue m'accable ; la passion me donne un conseil, la raison m'en donne un autre ; je vois le bien, je l'approuve, et c'est le mal qui m'entraîne."
Notre mission se débat actuellement contre cette contradiction. Nous laisons-nous aller à des actes incomplets, inachevés, à des propos trop mous, parce que nous avons des égards pour les gens que nous rencontrons et que nous ne voulons pas choquer ? Oui, nous sommes en retenue de parole et notre mission manque de portée, de punch ; elle est contradictoire.
Je porte probablement face à cette excessive retenue une certaine responsabilité.. Vous me dites: "Vous êtes si humble," mais c'est peut-être là que j'ai été moi ausi en retrait de ce que j'aurais dû être. Je n'ai aucun mérite dans l'humilité; je ne suis pas homme public, je n'ai pas souhaité la vie que le Père m'a demandé de mener pour Lui, et pour cette raison, malgré des efforts que j'ai constamment faits sur moi-même pour me montrer à la hauteur de ma tâche, j'ai probablement été trop caché. Mes frères, de même, tout en allant dans le rue pour la mission restent trop de même cachés derrière un voile de délicatesse, alors qu'il nous faut clamer au monde ce qu'il faut lui clamer. Cela demande, avouons-le, une certaine effronterie.
Oh certes, comme disait Socrate: "Nul ne fait mal sciemment," et nos frères ne manquent pas d'efficacité par intention, mais par nature, parce que la pénitence leur semble dicter de grands égards. Mais ce n'est pas servir la pénitence que de proclamer clair, haut et fort ce qu'il faut. Non.
Clamons la Vérité que le Père nous apporte et qui est, sans nul doute, contraire aux convictions de la masse.
J'espère qu'ils puiseront dans cette entrée une force nécessaire.

01jan16 171C3
Pourquoi nos savants nos érudits aux esprits  visiblement  et  fièrement instruits  et éclairés ne réfléchissent-ils pas sur les causes de nos maladies ?!
Près de 25 millions de personnes dans le monde vivent aujourd’hui avec un cancer, 8 millions en décèdent chaque année. En France, pas moins de 365 000 nouveaux cas annuels sont recensés. L’Institut Pasteur mobilise d’importants moyens contre ces maladies tant redoutées : une vingtaine de ses unités est en effet impliquée dans la recherche contre les cancers.
Des maladies diverses et complexes persistent sauf miracle de Dieu, mais pas sans qu’il n’ait choisi Dieu. Or Dieu dans Sa Sagesse, n’en exige pas tant de la société, puisque le salut, et donc l’avenir, lui sont promis heureux, qu’elle reconnaisse ou ne reconnaisse pas Sa Voix (Rév d’Arès 28/12), pourvu qu’elle se charge d’amour, de justice, de paix, qui peuvent précéder la vie spirituelle.
Soutenons donc l’homme à l’amour, à la justice et à la paix ?
Retrouvons l'amour ! Surmontons égoïsme, individualisme, toute l'inhumanité apprise de l'esprit de concurrence et d'enrichissement et du cynisme environnant. [Apprenons] à acquérir calme et réflexion devant l'événement et le réflexe du non-jugement ! [Apprenons] à défendre la liberté et l'égalité de tous, à garder la mesure (Rév d'Arès 7/6) dans [la pratique de] toutes ces vertus pour qu'elles soient naturelles et non compétitives.
Le Téléthon : une mobilisation exceptionnelle pour vaincre la maladie, mais je pense que cela  manifestement ne suffit pas sans la pénitence.
Des améliorations et des corrections ont été apportées à la technique, à l’écologie, à la morale sociale, à la politique, grâce à la vigilance et au travail des hommes de savoir et de progrès et des associations humanitaires. Mais je le dis pour mieux souligner qu’ils ne résoudront pas radicalement l’avenir en dépit de leurs mérites, parce que la mise en marche du bonheur exige la production d’une énergie qui manque à la technique, à l’écologie, à la morale, à la politique, à l’énergie spirituelle : [l'énergie spirituelle]. Le problème est spirituel.  L’humanité manque de l’imagination et de l’audace [nécessaires pour] abandonner cette civilisation et se lancer à la conquête des temps futurs, parce que spirituellement elle [la nouvelle civilisation] n’est pas née ("Le Pèlerin d'Arès 4/1981).
Nous sommes tous malades. "La preuve : Nous en mourons," dit Mikal évoquant le péché, source de tous les maux, qui frappent au hasard bons et moins bons, car le hasard est l'apanage du Mal; Dieu seul est l'anti-hasard, mais la masse humaine est si loin de Lui ("Le Pèlerin d'Arès" 1/1978).
Frère Michel nous appelle à faire des projets et des actions qui visent à changer cette civilisation pour installer la Vie aujourd’hui sur cette terre. La Révélation d’Arès s’oppose à la vision apocalyptique et millénariste, le destin de l’homme. Elle le précise, [le pénitent] reste fondamentalement existentiel, volontaire, conquérant. Le problème n’est pas technique. L’écosystème n’a pas empiré, il s’est amélioré. Le problème n’est pas écologique, le problème est spirituel. La politique, la morale, le sophisme [?], la technique sont des moyens pas des buts
Dieu nous lance à la conquête du monde d’amour, de paix et de justice même celui qui ne croit pas au Message.
Maryvonne C. de Bretagne-Sud

Réponse :
Merci, ma sœur Maryvonne, pour ce commentaire.
Il est plutôt contradictoire, mais ce qui le motive, c'est l'élan généreux de votre cœur, et l'on oublie que vous commencez par une réclamation péremptoire : "Pourquoi nos savants nos érudits aux esprits  visiblement  et  fièrement instruits et éclairés ne réfléchissent-ils pas sur les causes de nos maladies ?!" pour finir par dire le contraire: "Le problème n’est pas technique. L’écosystème n’a pas empiré, il s’est amélioré. Le problème n’est pas écologique, le problème est spirituel."
Je n'ai pas trouvé le mot auquel vous pensiez à la place de "sophisme" ; je me suis contenté d'une point d'interrogation [?]. Un sophisme est une affirmation fausse sous une apparence de vérité et faite avec mauvaise foi (à la différence du paralogisme qui est une affirmation fausse, mais faite de bonne foi). Ce n'est sûrement pas ce que vous vouliez dire.
Ce qui est spirituel est ce qui crée l'âme et le seul moyen connu de cette création est la pénitence.
Je vous souhaite une bonne année 2016, ma sœur Maryvonne.
Devenez une pénitente moissonneuse en vous dévouant à la mission de nos frères lorientais, car, comme vous le rappelez ici, seule la vertu que l'on trouve par la pénitence vaincra la maladie et la mort.

01jan16 171C4
Venir prendre le Feu, la force (Rév d'Arès xxx/19-23, xLi/7), c’est se rapprocher de soi-même, mais aussi de l’autre.
Nous sommes une seule chair et Dieu Est Un (Bible Deutéronome 6 /4, Coran innombrables références).
Sois un en toi (Rev d’Arès xxiv /1-4) !
J’espère que la reprise du Pèlerinage d’hiver (Rev. d’Arès xLviii /9-10) ne prendra pas deux générations et même que vous inaugurerez sa reprise avant de vous absenter (on ne meurt pas on s’absente).
Avec Dominique B. et Salvator B. réunis pour la fin d’année, je souhaite une année 2016 sans rage ni haine. Nos souhaits de Bonne Année s’adresseront encore longtemps à un monde religieux, dogmatique, politique, légaliste avant de devenir spirituel (société spirituelle uniquement faite de Paix, de Pardon, de Liberté, de Bien, donc de pénitence (Rev d’Arès 30/10-11).
Ce petit commentaire est peut être hors sujet, toutefois la période s'y prête.
Alain M. d’Île de France

Réponse :
Merci, frère Alain, pour ce commentaire et vos bons vœux !
Le Pèlerinage d'Hiver dont nous avons fait plusieurs essaus en quarante ans ne pourra se faire que quand une communauté assez importante de frères et sœurs vivra à Arès, car le Pèlerinage demande du monde si l'on y veut la paix et la sérénité nécessaires pour la prière et la méditation et

01jan16 171C5
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Réponse :
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00xxx00 171CXX
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