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21 décembre 2010 (0114)  
Mémo de Noël

Depuis qu'Adam se fit enfant prodigue, il n'est pas revenu vers le Père encore, mais il a fait semblant : S'emparant de la Parole du Créateur il en a fait la religion et ses dérivées tout aussi jalouses de leur pouvoir et sclérosantes : politique, loi, armée, prétendues nécessaires, mais qui le sont d'autant moins qu'elles ont causé beaucoup de malheurs et que le Bonheur ne renaîtra qu'en dehors de leur domination.
Notre Père m'a fait évader de ces prisons dominatrices, mais ce n'est pas sans une longue et rude lutte intérieure que j'ai cheminé, pénitent, pour me rendre libre de tous les harnais qui me domestiquaient, jusqu'aux rivages de la Mer de Bien. Là je construis mon âme à la Lumière et je me sauve des ténèbres.
Seulement voilà, la Vérité n'est pas que l'individu seul se sauve, mais le monde.
De ces rivages c'est une Flotte d'âmes, de nombreux vaisseaux forts, qui devra se lancer pour sauver le monde, le changer en jardin de bonheur.
Qui peut juger ? Personne, parce que nous sommes tous pécheurs. Toutefois, quiconque réveille son intelligence spirituelle peut constater ceci :
Le mal persiste sur terre. La religion a échoué partout. Ses filles athées, la politique et la loi, même la moins dogmatique, vont aussi à l'échec.
Religion, politique et loi ont hébergé et géré le mal inévitablement, puisqu'elles en émanent.
Chaque religion oublie l'Amour infini du Père et se déclare vérité et voie de salut finie et finale, et chaque politique, chaque loi, se déclare de même vérité finale et seule solution. Les bonnes relations d'aujourd'hui entre religions, politiques et lois évitent au monde des guerres armées, idéologiques ou commerciales, mais renforcent leur domination.
C'est pourquoi le Père, voyant que les hommes allaient être plus dominés encore dans la mondialisation qu'il n'étaient dans la parcellisation religieuse, politique et économique, est revenu leur parler en 1974 et 1977.
L'humanité, dit-il en substance, ne pourra se libérer de la gangue du mal qui va l'enfermer toujours plus hermétiquement qu'en explosant en individualités. En explosant par la vie spirituelle.
Sachant que seules des individualités peuvent reprendre en main leurs destins, et sachant qu'il ne peut pas exister de spiritualité de masse comme il existe des religions, des politiques et de lois de masse sur quoi les dominations ont prise, le changement du monde sera l'explosion libératrice du monde par la pénitence individuelle, c'est-à-dire par l'amour, le pardon, la paix, l'intelligence du cœur et la liberté absolue mis en pratique par chacun.
L'humanité fut créée forte, intelligente et libre et peut le redevenir, si un nombre appréciable d'individus le petit reste se rend libre du harnais des idées et des peurs qui lui ont été inoculées.
Les individus peuvent recréer ce monde puisque chacun d'eux, ayant été façonné à l'image et ressemblance du Créateur, est co‑créateur du monde.
La Révélation d'Arès libère de toutes les fatalités que la raison matérialiste considère indépassables et rappelle que le pénitent non seulement trouve son salut dès maintenant, mais prépare le Salut général au bout du temps, quand le mal et la mort elle-même disparaîtront, quand la Vie sera retrouvée, la Vie qui commence par chaque vie spirituelle aujourd'hui.
La pénitence est renoncement au mal, mais non renoncement aux biens et plaisirs de ce monde ; la science et la technique appartiennent au pénitent autant qu'elles appartiennent aux rationalistes.
La foi et la prière ne nous empêchent pas de nous mêler à ce monde pour le sauver de l'intérieur.
S'il y a un sauveur dont l'avènement peut être célébré à Noël, c'est le pénitent. Jésus n'est que le plus illustre d'entre les pénitents, le christ de référence pour tous les christs que sont les hommes bons.
Joyeux Noël !
Vitrine Paris Noel 2010

Panneau de vitrine de la mission de Paris pour Noël 2010

Vitrine de Genève 2010

Une des vitrines de la mission de Genève pour Noël 2010

copyright 2010

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Commentaires:

21déc10 114C1
Merci, frère Michel, pour ce beau texte qui évoque avec une vigueur stimulante l'espérance libératrice arèsienne.
Pour les pèlerins d'Arès la fête de Noël n'est pas la commémoration de l'incarnation de Dieu, incarnation à laquelle ils ne croient pas. Mais elle peut être pour chacun d'entre nous le rappel de la nécessité d'incarner la Parole du Père en l'accomplissant — Prononcer Ma Parole pour L’accomplir, voilà la vraie piété (Rév d’Arès 35,6).
Que le Verbe de Dieu prenne chair en chacun d'entre nous par nos vies pénitentes et que le monde se métamorphose car le Père de l'univers fait de chacun d'entre nous un co-créateur, donc un sauveur du monde.
Sauver c'est re-créer Eden !
Joyeux Noël à tous !
Thierry (du Dauphiné)


21déc10  114C2
Vous n'êtes pas qu'un blasphémateur. Vous êtes LE blasphémateur.
Quand nous parlons de vous entre amis, nous disons "le blasphémateur d'Arès".
Ce blog n'est qu'un blasphème étendu et l'intelligence avec lequel il est fait et écrit n'est que la preuve que vous êtes inspiré par Satan, mais aujourd'hui c'est le bouquet.
Vous n'avez pas peur de vous attaquer à l'un des fleurons sacrés du christianisme: Noël.
Vous dites "Noël d'espoir" (je dis "d'espoir négatif") mais croyez-vous qu'il y a une autre espoir réel, actif, que celui que Dieu s'est incarné, a envoyé son propre Fils sur terre pour racheter par la croix les péchés de l'homme?
Qu'est-ce que vous laissez espérer du Ciel à vos lecteurs? Rien. Je veux dire rien d'autre que de se prendre par la main et de faire pénitence... pour en arriver à quoi? À rien, parce que l'homme est mauvais et le restera — et vous le savez bien — et les hommes bons ne sont pas des christs, mais des hommes un peu moins mauvais que les autres.
Grâce à Dieu, vous allez mourir. Vous allez sur vos 82 ans. C'est ça, mon "Noël d'espoir": l'espoir que vous n'en avez plus pour longtemps, tout au plus quelques années si vous avez la peau dure, selon l'espérance de vie d'un homme en France.
Mon "joyeux Noël" à moi, c'est que vous disparaissiez!
Jean


Réponse :
Je suis à Nice où je participai jusqu'à dimanche à la mission. C'est avec une foi joyeuse et festive que nous avons prêché, comme nous ne cessons de le faire, le salut de l'humain et du monde des humains par la pénitence (Rév d'Arès 30/11), la pénitence que prêchèrent déjà les prophètes jusqu'à Jean le Baptiste qui en lança l'appel et Jésus qui en expliqua le mode par son Sermon sur la Montagne. Je reste encore quelques jours ici pour me reposer avant de reprendre la route. Ce voyage a été assez fatigant. Vous avez raison, allant "sur mes 82 ans" je suis moins costaud qu'il y a quelques années, mais je vais vous décevoir: Je me débrouille encore assez bien.
Noël, ou solstice d'hiver, quand les jours commencent à rallonger est une fête de lumière — de Lumière qui revient — qui remonte à la plus haute antiquité et c'est traditionnelement un moment d'amour, donc, entre autres actes d'amour, un moment de pardon.
Je vous pardonne donc, avec plus de chaleur que jamais, le commentaire fâché et même — excusez du peu ! — misérable et agressif, que vous m'adressez et qui m'étonne quand même de votre part.
Je vous sais catholique très engagé, grand défenseur de la doctrine de votre église, mais jusqu'à me prétendre "inspiré par Satan" et jusqu'à me souhaiter une mort prochaine... Faut-il que vous soyez si fanatiquement traditionnaliste !
Je vous pardonne, mais de la part d'un homme comme moi "inspiré par Satan", mon pardon est infernal, allez-vous dire, le comble du "blasphème".
Passons !
C'est quand je vois des frères humains comme vous, que l'échec patent de leur religion enrage, et qui pour se consoler de cette déception ne trouvent rien d'autre que de chercher des boucs émissaires et de les envoyer à la mort dans le désert qu'ils espèrent de l'oubli, que je me dis qu'il nous faut moissonner plus de pénitents encore, plus que jamais.
Satan, que d'aucuns appellent aussi le diable, les démons, etc., n'est autre que l'arrogance, l'auto-satisfaction, l'esprit de domination ou de clocher, l'avidité, la bêtise, etc., bref, le mal au fond de l'homme qu'aucun diable n'a besoin de lui inspirer pour qu'il se manifeste hélas volontiers aussi souvent qu'inconsciemment. Ce Satan qu'il est lui-même, l'homme doit en prendre conscience et pour s'en délivrer entrer en pénitence.
C'est le Message de La Révélation d'Arès et franchement, je ne vois pas en quoi Satan, s'il est autre chose que le cœur malade et même s'il est quelque chose en plus du petit démon qu'est lui-même chaque homme, trouverait son compte à cette pénitence par laquelle l'homme s'éveille à l'amour, comprend la sagesse du pardon, fait la paix, recherche l'intelligence spirituelle et se rend libre de tous préjugés envers les autres hommes:
Tu ne jugeras pas pour ne pas être jugé (Matthieu 7/1).
À votre place, je me demanderais ce que j'ai fait de ma vie dans l'église. L'église a échoué, non du fait d'hommes comme moi qui, poussés par le Père, sont partis dans une autre direction, mais du fait de ses erreurs.
Je ne doute pas que La Révélation d'Arès est le coup le plus dur porté à cette église mourante en Europe, et qui ne survit que provisoirement dans d'autres parties du monde. Mais n'oubliez pas que La Révélation d'Arès, en dépit des gros problèmes pratique d'accomplissement qu'elle pose, est un fait. Elle est survenue, elle est là, elle est réelle. Rien ne prévaudra contre elle, ni Satan qui ne l'aurait inspirée que contre lui-même (Jésus disait déjà cela avec d'autres mots il y a 2.000 ans), ni l'église, qui passe, comme sont passées et passeront toutes religions, toutes politiques, toutes lois.
Un désenchantement peu à peu empoigne le monde.
Si vous êtes missionnaire catholique comme je suis missionnaire de La Révélation d'Arès, vous vous en rendez compte chaque jour au contact du public. Vous n'êtes pas missionnaire ? Comment cela peut-il se faire de la part d'un homme aussi armé de certitude ?
Au milieu de ce désenchantement général je crois plus opportun que jamais mon "Joyeux Noël !", que je crie après des années de silence, des années de silence parce que j'ai voulu respecter vos convictions, vous mes frères chrétiens d'églises.
Mais qu'avez-vous faite de ce temps de respect que je vous ai laissé ?
Rien! Votre église persiste dans ses erreurs et continue de décliner.
Alors, il est temps que nous sortions de nos catacombes.
Nous sommes, Pèlerins d'Arès, des pécheurs certes, mais les vrais premiers chrétiens, je le crois en toute modestie.


21déc10  114C3
Le monde et la mondialisation n'évolueront que par la pénitence !
Ce challenge a besoin d'hommes et de femmes d'une détermination forte, [des hommes et des femmes d'une] foi qui ne peut pas faire semblant.
Être pénitent(e) à chaque moment se fait, quelles que soient les imperfections ou les erreurs.
Le principal est d'avancer.
Et la recherche d'autres hommes ayant compris et accomplissant ce challenge demande de vivre cette pénitence à plusieurs, et ce n'est pas un petit défi.
Bonnes fêtes aux dynamiques moissonneurs !
Bonhomme


22déc10  114C4
Pour moi, ayant reçu une éducation musulmanne, Noël ne signifie pas grand chose.
Mais pour ceux qui se prétendent chrétien Noël doit être un symbole de paix, de pardon et de partage avec son prochain.
Et le commentateur 114c2, qui se prétend "un vrai chrétien", désire votre mort pour Noël ?
Il la souhaite parce qu'il ne partage pas les mêmes idées et les mêmes convictions que les vôtres qui sont celles de La Révélation d'Arès.
Ce n'est pas être un chrétien que de souhaiter la mort de quelqu'un juste parce qu'il n'a pas les mêmes opinions que les siennes.
Il y a beaucoup de travail à faire auprès de nos frères et sœurs humains, pour transmettre le message de Dieu.
La Révélation d'Arès m'a permis de comprendre qu'en décidant de choisir de faire le bien, de faire pénitence, le monde changera en bien, que le mal n'est pas une fatalité et que l'humain est maître de son destin.
Malika (de Lorraine)


Réponse :
Espérer la mort prochaine de "l'infidèle" ou du "blasphémateur" comme Jean, commentateur 114C2, l'espère pour moi, ou même provoquer cette mort (j'ai reçu un nombre important de menaces de mort depuis 37 ans bientôt et j'ai frôlé cette mort deux ou trois fois dans le même laps de temps) n'est pas propre à ceux qui "se prétendent de vrais chrétiens". C'est aussi propre, voire même plus souvent propre, à certains musulmans comme ceux qui ont provoqué ce massacre dans une église chrétienne il y a quelques semaines ou il y a quelques années comme les "justiciers d'Allah" lancés, suite à une fatwa, sur la trace de l'écrivain Salman Rushdie, qui aurait manqué de respect envers Muhammad.
Bref, c'est la solution barbare que de nos jours encore les fanatiques et/ou les haineux jugent appropriée à ceux qui ne partagent pas leurs radicalismes et cela dans tous les domaines religieux, politiques, etc.
Merci, Malika, pour ce commentaire.
Comme beaucoup de vos frères et sœurs d'origine musulmane La Révélation d'Arès vous permet de mieux comprendre le sens profond et dynamique du saint Coran, tout comme beaucoup de nos frères et sœurs juifs ou chrétiens comprennent mieux le sens profond et dynamique de la Bible.
La Vérité, c'est que le monde doit changer (Rév d'Arès 28/7).


22déc10  114C5
Cette souffrance qui consume les cœurs blancs, noirs ou neutres ! [Cette souffrance qui] nous bleuit les bras au lieu de les serrer au delà des préjugés pour avancer ensemble dans la joie de la liberté !
On vous insulte, on souhaite votre mort, mon frère bien aimé et le Père trop Aimant nous dit d'embrasser la lèvre d'où sort le pus et qui cache l'hameçon, parce que du femier sort le jardin.
Nous sommes l'humanité et refaire la traversée de ce déserts ravagé en est le prix, celui d' une reconnaissance de cette humanité en soi abritant peur, maladie, mort, erreur et mensonge, pour le salaire d'une gratitude, une joie de la Vie donnée une fois dans ce que le tamis de nos faiblesses laisse  passer, pour épouser la promesse potentielle du joyaux futur de la transformation, du monde que chacun fait chaque jour en lui et autour de lui, à chaque instant, dans chaque choix.
Je ne peux aimer et épouser la Vie qui pointe à la lueur de l'aube qu'en ne condamnant pas mon prochain, dont je suis le prochain.
La lutte de l'amour est bien étrange. L'épée n'est pas le Bras qui la tient.
Je lutte encore. Pas de répit, car le fils de l'homme n'a nul par où poser sa tête, il doit veiller et ne jamais retourner en arrière, comme le pénitent de l'amour conjugal, filial et évangélique doit lutter, comme pour honorer le père et la mère de cette vie biologique, mais aussi cette promesse de gemme en devenir, joyaux qui croît et dont l' aboutissement gonflera la voile du vaisseau quand le moment sera venu de sourire à la voie d'or du levant que le Père tracera sur la Mer de Grâce en Son Jour. Je suis tombé, je me suis relevé et je lutte encore comme j'aime ceux qui courent à  leur perte sans la dureté de l'indifférence, plus fort dans la pénitence, comme l' humilité remplace l'arrogance et la douceur, la violence potentielle, pour qu' elle me réapprenne à écouter la poussée qui Souffle dans le cœur et rester droit devant les fils et les filles d'Adame et Aouha, père et mère dont je fus et suis descendu, pour reprendre le chemin d'Éden, dans la résolution de la victoire de la Vie sur la mort, pour inviter le Père et la Mère de la Création à entrer dans notre sang afin que la transfiguration de nos vie illumine l'étoile du Pardon et de la Paix dans notre changement intérieur.
Joyeux Noel pour tous mes frères et sœurs de la terre !
Guy I.,


22déc10  114C6
Votre parole vient à nouveau réchauffer nos âmes. Merci infiniment.
Je lis actuellement un livre intitulé "Un Cours En Miracles" C'est un livre qui, lu à la lumière de La Révélation d'Arès, réchauffe aussi mon âme.
Il y a peu de temps, je suis allé voir sur la toile un blog ou se réunissent quelques frères connaissant ce livre. J'ai eu la surprise de lire qu'il est possible de trouver son propre "salut" sans entrer dans la dualité du bien et du mal, afin d'être comme Dieu tout en étant Son Fils. Quand je leurs réponds qu'il est possible de rejeter le mal pour faire le bien pour que le monde change en bien, je passe pour un hérétique un égaré.
Je suis en train de lire ce qu'ils ont lu et je me demande comment il est possible d'être comme Dieu et ignorer la force du Bien. Être amour sans faire le bien... Comme ce monde me paraît bien étrange !
Une nouvelle fois je me trouve confronté à la spécificité des Pélerins d'Arès et de la pénitence.
Nous savons ce qu'est la pénitence et nous la laissons forger nos individualités. La flotte du Roi se rassemble derrière vous, frère Michel. Le signal est-il proche ? Votre appel à la pénitence et à la moisson est sans cesse plus fort, toujours le même mais toujours plus puissant sous votre souffle qui ravive nos braises.
Soufflez encore afin que nous nous embrasions d'amour pour l'homme notre frère !
Tony du Val de Loire.


22déc10  114C7
Qu’est-ce qu’il lui a pris à ce Jean, entrée 114C2, pour vous parler comme ça ? !
Il ne sait pas, le malheureux, que, même s’il est bien plus jeune que vous, il peut mourir  avant vous ?
Il verra alors si son dieu à trois têtes : père, fils (et) fumée (Rév d’Arès XVIII-1) le sauvera.
Certains pourraient alors avoir des surprises. Je dis bien pourraient, car nul ne sait qui est sauvé, qui n’est pas sauvé.
Il ignore également que vous avez une armée devant vous (Rév d'Arès xxxvii/12) : Nous tous !
Prophète bien-aimé, longue vie à vous et bon Noël en famille !
Dominique F.


22déc10  114C8  
Tout d’abord je vous souhaite à vous et à votre famille un très bon noël, rempli d’amour, de joie, de sincérité. 
Je le souhaite aussi à ce pauvre Jean [114C2] qui comprendra un jour ses erreurs de pensée.
ô combien vous avez raison de rappeler que Satan est d’abord en nous et qu’il ne tient qu’à nous de choisir d’être bon.
Permettez- moi une critique sur votre entrée. Je vous trouve très religieux d’en votre manière d’exprimer votre pensée, c'est-à-dire qu’il me semble que vous voulez vous fier uniquement à La Révélation d’Arès, qui, bien sûr, est véridique — je n’ai aucun doute sur votre témoignage et sur l’immense pouvoir que Dieu a de vous faire apparaître Jésus en chair et en os s'Il le souhaite pour délivrer son message d’amour aux hommes —, mais je crois que votre manière d’aborder, de comprendre La Révélation d’Arès est fonction de votre vie d’homme, de votre expérience et de votre connaissance limitée (comme chacun d’entre nous).
Par exemple, pour vous parler de mon expérience, je continue de m’intéresser beaucoup aux témoignages écrits par des médiums qui ont cette chance incroyable de communiquer avec le monde des esprits, car je continue de m’interroger et de me poser des questions où je ne trouve pas de réponse dans La Révélation d’Arès où dans la Bible où dans le Coran.
Je sais maintenant qu’aucun livre ne possède lesle  réponses à mes questions, d’autant que ce qui est extraordinaire est qu’une fois qu’on a trouvé des réponses, d’autres questions nous viennent à l’esprit et ainsi de suite.
D’après ce que j’ai compris de votre parcours, vous avez rejeté l’idée de réincarnation, c'est-à-dire la possiblité que nous aurions d’accumuler des expériences humaines dans le but de nous parfaire et de ressembler de plus en plus au fil des vies à notre créateur.
Vous voyez dans ma manière de parler que je n’ai pas rejeté cette idée malgré que Dieu lui-même semble vous avoir dit que la réincarnation n’existait pas. En fait il n’a pas dit çà, il a dit que nous n’avions qu’une vie au soleil ce qui, vous l’avouerez, est complètement différent.
Je ne cherche pas à vous démontrer que vous vous trompez. Je cherche juste à vous montrer qu’en décidant d’exclure l’idée de réincarnation de votre réflexion, vous en arrivez à extrapoler (ce que je fait aussi, je vous rassure) uniquement sur la Parole très courte et très brève de La Révélation d’Ares.
Par exemple, si je vous pose la question sur pourquoi la maladie et la souffrance chez un enfant de deux ans, vous serez d’accord, si je vous dit que La Révélation d’Arès ne répond pas à cette question.
Je ne vous pose donc pas la question, car je sais que vous n’êtes pas en mesure de me répondre.
Pourtant, vous conviendrez avec moi de ce qu’il y a d’extraordinaire dans l’aventure humaine est que j’en arrive à me poser cette question et que je cherche à y répondre contre vents et marées.
Je ne sais pas si vous avez le temps de vous intéresser à la musique, mais — par exemple — on dit que Jean-Sébastien Bach est l’ancien testament et que Beethoven est le nouveau. Je crois donc que par le courage que vous avez eu de témoigner de votre expérience vous avez fait murir un nouveau bourgeon sur lequel Dieu souffle pour qu’il donne des bons fruits et je vous rappelle que la musique de Bach a attendu patiemment plusieurs siècles avant d’être dévouverte par le grand public.
Patrick R. (des Yvelines)


Réponse :
Vous prétendez que La Révélation d'Arès ne répond pas à vos questions, mais à l'évidence vous ne la connaissez pas.
Si vous la connaissiez, vous ne consulteriez pas les médiums, ceux qui, selon vous, "ont la chance incroyable de communiquer avec le monde des esprits," À ce propos, La Révélation d'Arès dit clairement :
Tu t'adresseras à Moi seul, tous feront de même... Mets-les en garde ceux qui s'adressent à d'autre esprit que Dieu (39/4) !
Quant à la question des souffrances d'enfants en bas âge, c'est une question qui m'a été posée des centaines de fois depuis bientôt 37 ans et à laquelle j'ai répondu de nombreuses fois verbalement ou par écrit. Si vous étiez des nôtres, vous en auriez beaucoup entendu parler.
C'est dire le Fond même de La Révélation d'Arès que dire que la solidarité, la mutualité ou l'interdépendance humaine joue dans le péché et la perdition générale comme elle jouera dans la pénitence et le salut général au Jour où le temps s'arrêtera. Si même les meilleurs d'entre nous, les hommes bons ou les petits enfants, souffrent et meurent sans l'avoir mérité personnellement, c'est parce que l'ensemble de l'humanité est pécheresse.
Si, inversement, même les mauvais trouvent le salut et la rédemption, un Jour, c'est parce que, schématiquement, un petit reste suffisant de pénitents aura fait basculer le plateau du Bien de la balance du Bien et du Mal vers le salut général.
Voilà pourquoi La Révélation d'Arès ne dit pas que la Vérité, c'est que l'homme doit changer, mais dit la Vérité, c'est que le monde doit changer (28/7). Tous les hommes, qui constituent le monde, sont interdépendants.
Quant à la réincarnation, La Révélation d'Arès est très claire: Ce n'est pas sur ce schéma superstitieux que la grande chaîne de la Vie s'étend des origines de la vie à son apothéose qui surviendra à la fin des temps. Certes, nous descendons tous d'une parenté très lointaine et en subissons les conséquences par l'atavisme, mais c'est autre chose.
Je ne vais pas m'étendre ici sur un point du Fond bien connu des Pèlerins d'Arès dont à l'évidence vous n'êtes pas.
Vous suivez vos idées et je respecte vos idées, et si vous êtes un homme meilleur que moi vous serez plus sûrement sauvé que moi qui ne suis qu'un pécheur, mais vous ne serez pas sauvé par vos idées ou par vos médiums.
Ne dites pas que La Révélation d'Arès ne répond pas à vos questions. Je crois plutôt que ses réponses ne satisfont pas vos attentes.


23déc10  114C9
Cette entrée de blog est sous-estimée sous le titre de "mémo de Noël".
Elle serait mieux nommée "Manifeste de La Révélation d'Arès."
Il y a une dizaine d'années j'avais été interpellé mais pas intéressé par un propagandiste de votre mouvement à Nice. Ce qu'il me dit devait être ce que vous appelez "mission sociale" dans des réponses à des commentaires (je lis le blog en diagonale depuis deux mois), mais que j'aurais appelé "mission morale".
Un samedi d'octobre [2010], j'ai répondu à votre invitation au siège local de votre mouvement, rue Biscarra, où je vous ai écouté. Je me suis demandé s'il s'agissait bien de la même chose, pas parce que vous avez changé votre devanture (très bien) mais par l'exposé que j'ai entendu de votre bouche, Michel Potay.
J'ai compris que, tout en étant différent du catéchisme catholique, le fond de votre foi était vraiment spirituel.
J'ai été frappé par vos mots: "Pénitence... le mot paraît fossile, mais c'est tout le contraire..." dans votre petite video (c'est votre tableau noir pour enseigner, techniquement "bricolé" comme vous dites, mais très vivant). Vous avez une façon inattendue de déterrer ce mot pénitence de la mystique et des emmerdes habituelles de la religion pour en faire une source créatrice.
Vous dites même: "La pénitence peut faire des miracles..." On est toujours dans le spirituel — pénitence, miracles... —, mais on réalise que vous ne parlez pas de pénitence comme de recette de bonheur ou d'extase, mais comme une correction ou discipline intérieure voulue, pas facile, un vécu, peut-être ce qui provoque le miracle de votre dynamisme hors du commun. Avez-vous vraiment 81 ans ? Ou bien suivez-vous un traitement de jouvence (injection de cellules) ?
Je ne me suis pas fait connaître, mais je reviendrai peut-être. En vous écoutant on sent bien que vous ne parlez pas pour le plaisir d'être écouté. Vous recherchez des disciples. Vous prêchez. On sait au moins à quoi s'en tenir.
Il faut d'abord que je lise La Révélation d'Arès. Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année à vous et à votre chère épouse, que j'ai été heureux d'apercevoir (Vous me paraissez de bien honnêtes gens... je trouve déplorable tout ce qu'on raconte sur vous, mais je ne vous apprends sûrement rien).
L'observateur


Réponse :
Oui, j'ai bien 81 ans et je ne reçois aucun "traitement de jouvence".
Merci pour ce commentaire qui me touche beaucoup.
Il n'est pas facile de faire le passage. Je le sais d'autant mieux qu'après les apparitions de Jésus et son message en 1974 je mis moi-même du temps pour faire le passage entre ce que j'étais, que je pouvais libement rester, et les rivages de la Mer auxquels j'étais appelé à me rendre pour une mission qui ferait de moi, j'en avais conscience, une sorte de "mort social".
Mais il n'en serait pas de même pour vous, vous pouvez être un pénitent et un moissonneur de pénitent, un des nôtres, et vivre votre vie citoyenne habituelle.
Vous devez, bien sûr, d'abord lire La Révélation d'Arès, mais ils ne sont pas rares, les cas où la lecture et plus exactement la connaissance de ce livre n'a pas marqué le début, mais  au contraire marqué la fin du cheminement, des hésitations, des difficultés, de l'éveil. Si c'est votre cas, revenez m'écouter ! Cela vous aidera à ouvrir le livre.
Vous pouvez m'entendre à nouveau à Nice en janvier, février, mars ou plus tard.
Téléphonez au local de Nice ou passez-y, les jours de permanence. On vous donnera les dates et les heures où je projetterai à nouveau mon petit diapovideorama "bricolé" et où nous pourrons parler, le public et donc vous et moi.
Je suis d'ailleurs encore à Nice aujourd'hui pour reposer mon dos qu'en portant mes bagages j'ai "bistourné". Comme quoi je ne suis pas aussi jouvenceau que vous me croyez être. Mais ça va mieux, je m'en tirerai avec un mal de dos, rien de plus grave (j'ai déjà été opéré d'une hernie discale en 2001 ou 2002, je ne me souviens plus exactement) , je reprendrai la route demain pour Bordeaux où m'attend comme toujours beaucoup de travail, surtout en fin d'année.
Merci pour vos vœux de Noël. Je vous retourne les miens, je vous souhaite aussi pour ce Noël de voir le temps s'améliorer à Nice. Ce froid, cette pluie, ne sont pas habituels dans la région. Je vous espère en 2011.


23déc10  114C10
Je suis ému et heureux de lire "mémo de Noël".
J'y retrouve le souffle frais et vivifiant de la pénitence.
Un retour aux "fondamentaux", ça fait du bien, à savoir que nous devons aimer, pardonner, changer, faire le Bien, etc.
C'est une piqûre de rappel dont nous avons tant besoin et ce, tout au long de notre vie spirituelle, pour la continuité de notre changement individuel, appelé à grandir avec d'autres, de rester et d'avancer sur le chemin de la pénitence, afin que nous ne nous égarions pas...
Grippé ou non, il existe réellement, au fond de nous, le moteur spirituel qu'est la pénitence.
Chaque jour, nous devons redémarrer cette pénitence, pareil à un vieux moteur de tacot d'antan que l'on relançait à la manivelle et ainsi de suite, par temps froid, comme par temps chaud.
Descendant d'Adam j'ai conscience que le moteur de ma pénitence tombe souvent en panne spirituelle.
De ce fait, nul besoin de faire semblant de tomber, d'en rajouter... à moins d'être maso, d'avoir un penchant aiguë, voire pathologique, pour le suicide de l'âme !
Certes, nous sommes tous pécheurs. C'est pourquoi, chaque jour, le moteur de notre pénitence doit être relancé constamment afin d'avancer petit à petit, vaillamment.
Aussi, en ayant conscience du temps qui passe et de celui d'un autre temps, encore inconnu, mais qui s'approche, il n'est plus vraiment temps, plus vraiment crédible de notre part de nous demander, de façon récurrente : "Qu'est-ce que je veux être ?" mais plutôt : "Suis-je ou, ne suis-je pas ?" Je pense à cet illustre bonhomme qui a dit: "To be or not to be, that is the question." Salut à toi, Shakespeare, si c'est bien toi l'auteur (car d'après des historiens, il semblerait que non).
"Mémo de Noël" m'aide à redémarrer le moteur de ma pénitence.
Je pense à votre précédente entrée "surpeuplement" (0113). Je peux dire que ça m'a remué l'esprit comme ça m'a enrichi spirituellement dans ma réflexion, tout compte fait.
Au début, je me disais : "Ça sent le vieux relent de préjugés, sinon enfouis sournoisement au plus profond d'eux-mêmes... Chez certains commentateurs, à les lire j'en ai eu la nausée. C'est ainsi que, de prime abord, je l'ai ressenti. Intérieurement j'ai eu un malaise pour nos sœurs et frères noirs, pour mes amis et collègues d'origine africaine et que j'avais en pensée.
J'aimerais juste dire qu'en France, notre "surpeuplement" ne sera pas comme sur la photo (0113) surpeuplé de "têtes noires" — photo qui m'a d'abord surpris, puis ému, car nous sommes la chair d'un même monde — mais surpeuplé de "têtes grises" que sont déjà et seront plus encore par millions les personnes âgées vivant en France à l'heure actuelle.
Dans un avenir proche on prévoit, en France, 20 millions de vieillards, si je ne m'abuse. Alors, je me dis que là aussi, plus que jamais, nous devrons faire preuve de pénitence, ne pas "faire semblant" de les aimer spirituellement nos chères petites "têtes grises" que l'on parque allègrement (mais financièrement, pour combien de temps encore ?) dans des Maisons de retraites (j'y ai travaillé et j'ai démissionné sans regret) sans oublier tous ces petits vieux nationaux qui poussent comme des champignons dans les rues des villes et des campagnes de l'Hexagone...
N'oublions pas qu'un jour nous allons tous devenir des petits vieux exposés à la merci des gérontophobes... Les boules !
"Qui peut juger ? Personne, parce que nous sommes tous pécheurs." écrivez vous dans cette entrée. Mais je ne peux m'empêcher d'imaginer certains commentaires aux relents xénophobes que vous avez dû recevoir et que vous avez, par sagesse peut-être, renoncer à publier.
J'aurais aimé envoyer un commentaire dans le temps prévu, mais j'ai séché sur ma feuille de brouillon avec ce thème du "surpeuplement" (0113), d'ailleurs, thème pour lequel il y a eu moins de commentaires que les précédents.
Puis est arrivé "mémo de Noël" comme un présent de Noël.
Enfin, aider à (re)démarrer le moteur de la pénitence pour des hommes, des femmes, afin qu'ils et elles puissent changer en Bien, alors, n'est-ce pas là, en effet, le plus beau des cadeaux de Noël ?
Merci Frère Michel pour vos thèmes ou entrées toujours salvatrices.
Joyeux Noël à vous, Frère Michel et à tous les pénitents arésiens, invisibles, silencieux, mais non moins actifs, afin que le monde change en Bien.
David Patati et patata.


23déc10  114C11
Jean dit en 114C2 : "Vous n'avez pas peur de vous attaquer à l'un des fleurons sacrés du christianisme: Noël."
Je ne le comprends pas, car il n’est pas besoin de chercher bien loin pour savoir que Noël a été instauré par les catholiques pour remplacer les fêtes du culte de Mithra et les saturnales romaines. Et cela [pas avant le] IVe siècle..
Je ne lis nulle part, dans les Évangiles, que les Apôtres souhaitaient son anniversaire à Jésus.
Pourquoi impliquer Jésus dans une fête païenne ?

Catholique par éducation, [scoralisé] dans un collège religieux, enseigné aussi par un "curé de campagne", j’ai compris, à ce moment là, que quelque chose clochait dans le mythe du "fils de Dieu" en lisant notamment ces versets (il y en a d’autres dans les Évangiles) :
Matthieu 4/10 Jésus lui dit : "Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul" et Matthieu 5/9: "Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu !"
Matthieu 16/27: "Car le fils de l'homme doit venir dans la gloire de son Père avec ses anges, et alors il rendra à chacun selon ses  œuvres."

Jésus dit aux Apôtres : "Et n'appelez personne sur la terre votre père; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux" (Matthieu 23/9).
Il est clair que Dieu est le Père de chacun de nous.
Il est à remarquer que l'Église Catholique donne le titre de "Père" à tous ses prêtres, et celui de "Saint Père" au Pape.
Pourquoi n’écoute-t-elle pas la recommandation de Jésus ?

Pas plus que Jean, du 104C2, n’écoute Jésus quand celui-ci dit (Matthieu 5/43-48): "Vous avez appris qu'il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous
maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."

Dans les Dix Commandements Dieu dit: "Tu ne te feras pas de statue, ni aucune forme de ce qui est dans les cieux la haut, ou sur la terre, ici-bas, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras pas devant ces dieux et tu ne les serviras pas.» Pourquoi [dans ces conditions] les Catholiques se font-ils des dizaines de statues (saints) qu’ils
adorent ?

Jean [le commentateur 114C2] dit encore: "L'homme est mauvais et le restera." Le bébé qui naît a en lui toutes les potentialités pour être bon. Ce sont les aînés qui le pervertissent. Une expression, copiée des Protestants me plaît beaucoup, c’est "Renaître en Dieu." Quand je ne mens pas, quand je partage, quand — comme vous le faites — je refuse le conflit, quand je pardonne en incitant mon prochain à ne pas se mettre en position d’avoir à être pardonné, etc, alors je me sens renaître en Dieu.

"Grâce à Dieu, vous allez mourir," dit il.
Mon frère Jean, vous allez mourir aussi. Peut-être même avant le frère Michel. Réfléchissez-y un peu !
Je ne voudrai pas être à votre place quand Jésus vous dira: "Tu as jugé et insulté un homme de bien."

Quoiqu’il en soit, si être Catho c’est être comme vous, je remercie Dieu de m’avoir offert La Révélation d’Arès.
Berni Zacharie


23déc10  114C12  
Lorsqu'on lit les évangiles, Marc, Matthieu, Luc, on voit que jamais Jésus ne critique, juge, ment, triche, vole, etc. Il appelle sans cesse à la pénitence, au pardon de toutes les offenses, à faire la paix en toutes circonstances, au non jugement, à l'amour évangélique qui n'est pas un amour sentimental, mais constructif qui nous met ainsi que  notre prochain face à nous-mêmes.
Jésus enseignait la Parole, la recherche de l'image et ressemblance, Le Royaume (Spitituel) en nous (Genèse 1/27), l'identification avec le Créateur. Jésus est celui qui a atteint le plus haut niveau de pénitence, transfiguré de son vivant (Matthieu 17/1-3).
Jésus a mis ses pas dans les Pas du Père de l'Univers en s'embrasant d'amour pour l'homme son frère, celui qui a accompli en un an, le temps d'un battement d'ailes, ce que le monde pour son salut accomplit dans les siècles des siècles (Rév d'Arès 32/4) et qui pour cela a été fait un Dieu (Rév d'Arès 2/13), le Christ de référence, Jésus le prophète de l'amour.
À mes yeux, le Frère Michel est aussi prophète de l'amour à l'image du Père de l'Univers, ce qui confirme que la matrice originelle, tout l'univers, est en chacun nous, filles et fils sacrés pouvant régner sur la mort et l'enfer.(Rév d'Arès 3/9).
Père de l'Univers Toi Seul es Saint (Rév d'Arès 12/4).
Le pire homme reste ton image et ta ressemblance. Qu'il mette ses pas dans Tes Pas (Rév d'Arès 2/12, 32/3) et il devient analogiquement saint (Lévitique 19/2). Ton analogie est un christ, ton fils, ta fille: Tu es seul Saint, mais tout homme est appelé à devenir christ" (Extrait su 3Pèlrin d'Arès 1991/92", "Pia" p.170).
Jamais, je n'ai entendu le Frère Michel dire du mal de qui que ce soit, critiquer, juger, etc.
Le Frère Michel nous montre toujours l'exemple. Il est notre modèle de pénitence  (Rév d'Arès16/1).
À sa suite, avec nos personnalités, nous nous appliquons à suivre son exemple par la pénitence, la prière, la moisson d'autres pénitents.
J'aime beaucoup l'affiche de nos sœurs  et frères suisses0160: 2.000 ans d'histoires qui séparent ces deux prophètes, deux vies, deux personnalités, deux vécus, deux éducations différentes et tous deux prophètes de l'amour.
Abraham, Jésus, Mahomet étaient des hommes vivant la vie de leur temps au quotidien. Ils ont montré que la vie ordinaire n'empêche pas la pénitence et qu'elle est le seul cadre dans lequel le peuple atteindra la transfiguration (Inspiration, Pèlerin d'Arès 1993/96, p.446) c'est ce que nous montre Mikal. Cela confirme que toutes femmes, hommes, quels qu'ils soient, pour le simple prix d'une pénitence (30/11) peuvent aussi atteindre l'état de transfiguration.
Nous allons tous mourir pécheur, oui, mais, l'important est de cesser de pécher, tous les jours de notre vie le plus possible, de résister aux tentations, de travailler sur nous-mêmes en bonifiant notre cœur, car nous aussi par la pénitence sommes des prophètes de l'amour en puissance.
Nous sommes dans un monde qui fabrique des dieux, [les dieux] de la télévision, radio, publicité, cinéma, chanson, politique, religieux, économique, juridique, gastronomique, journaliste, sportif, sociaux, etc. Ils ne sont que des idoles de l'esprit (Rév d'Arès 23/8). Nous sommes tous des pécheurs, capables du meilleur, comme du pire.
Le Père nous a créés pour une vie existentielle et non pour une vie sous la domination des uns par les autres, l’idolâtrie, l'adoration de semblables, etc.
L'homme est devenu un prédateur. Le Père l'appelle à devenir un christ (Rév d'Arès 2/13, 12/4, 32/2-3). La Révélation d'Arès invite chaque homme, croyant et incroyant à être maître de son destin, en se créant l'âme par la pénitence qui, dans sa phase active, est l'ha, véhicule d'éternité et d'infini (Rév d'Arès 17, 18, xxxix).
Non pas un homme montre la Voie ; non pas un autre homme trouve la Vie ; mais beaucoup d’hommes se succédant au tombeau montreront la Voie, une multitude dont les os ajoutés dresseraient une montagne trouvera la Vie, parce que le Père ne donne plus la Vie ; Il L’a donnée une fois, l’Oasis.(Rév d'Arès 24/3).
Frère Michel, Sœur Christiane, tous mes sœurs et frères de cette merveilleuse terre, joyeuse fête de la pénitence, fête de la Lumière !
Didier Br.


23déc10  114C13  
En répondant à Pascal G. le 23 décembre 2008 [commentaire 90C04] vous avez dit :

"Jésus ne put pas naître en décembre, puisqu'il naquit pendant un recensement de population par les Romains, lesquels ne procédaient à un recensement qu'aux beaux jours. Jésus n'avait pu naître qu'entre avril et octobre, ce que l'église antique savait très bien.
"Alors, pourquoi ce Noël de l'église le 25 décembre ?
"Cette fête de la Nativité qui apparut et se généralisa entre le 3e et 4e siècle était elle-même le prolongement — la récupération — d'une fête païenne qui avait été célébrée, sous l'égide des dieux locaux, depuis la plus haute antiquité.
"C'était le moment où les jours commençaient à s'allonger après le solstiste d'hiver (21-22 décembre). C'était en somme une fête de la lumière, fête de l'espoir qui renaissait avec les journées qui rallongeaient, et dans le monde antique, au cours de cette période, les Anciens s'offraient des cadeaux, organisaient des fêtes, etc.
"Dans les régions de l'église orthodoxe (église grecque en particulier), qui fut mon église quand j'étais dans le clergé, cette fête de la lumière avait été naturellement celle d'Apollon, le dieu solaire. Cette fête d'Apollon se perpétua longtemps après la christianisation. Mais les chrétiens grecs des premiers siècles avaient perpétué cette fête de la lumière et l'église pour les en détourner ne put rien faire d'autre que décider de fêter la naissance de Jésus à ce moment-là.
"Ce que nous, Pèlerins d'Arès, récupérons en somme c'est l'idée d'une fête de la lumière, qui pour nous devient la Lumière avec un grand L, et l'idée de l'espoir, Espoir avec un grand E, dont la Lumière est un très beau symbole.
"L'avènement de la Vérité a toujours entraîné le transfert de célébrations païennes vers la célébration de la Vérité même.
Ainsi Abraham voue à l'Éternel l'autel qui avait servi aux sacrifices païens et plus tard Muhammad voue à Dieu la Kaaba qui avait été un temple païen. Les exemples de telles transformations de rites ou lieux de piété païens en rites et lieux où se célèbre la Vérité abondent. Ces transformations symbolisent le transfert de notre chair ou matière humaine et de nos langues humaines célébrant l'erreur à l"homme nouveau parlant le langage nouveau de la Lumière du Créateur et de sa Vérité enfin trouvés ou retrouvés."

Je viens de lire dans un journal gratuit (journal d'annonces) un texte presque identique, tellement presque identique que je le crois emprunté à votre blog, à moins que vous ayez vous-même emprunté le texte de votre blog [réponse 90C04] à un article ou à un livre qui est alors la source commune.
C'est sans importance, de toute façon. Vous-même maintenant vous récupérez la fête de Noël à votre tour pour le profit des Pèlerins d'Arès après avoir récupéré le Dieu de l'église pour le profit de votre Révélation d'Arès.
Vous fondez une nouvelle religion, ni plus ni moins, et comme toutes les religion, la vôtre est une récupération de religions qui vous ont précédé qui avaient elles-mêmes été des récupérations.
Si Dieu existe, il n'y a évidemment aucune surprise dans le fait que chaque religion soit la récupération du Dieu de la religion précédente. C'est toujours le même Dieu cuisiné de façon plus ou moins différentes qu'on retrouve dans son assiette.
Mais Dieu existe-t-il ? Pourquoi la science se refuse-t-elle à étudier ce qui vous est arrivé en 1974 et 1977 ?
Je crois que vous ne racontez pas d'histoire, je crois que les faits que vous avez relatés sont vrais, mais est-ce que pour autant Dieu existe ?
Vous semblez en douter vous-même. Dans votre entrée 0065 du 6 août 2007 vous écrivez :

Quelqu'un qui craint si peu qu'on le confonde avec un autre qu'il se désigne simplement par Moi ou Je (2/13, XXXVIII/3, etc.). C'est Dieu, oui... et non! Dès que des mots humains paraissent, le mot Dieu notamment, tout se brouille : Jésus fut fait un Dieu (2/13), mais n'est pas Dieu (32/2), et le flou s'accroît… C'est un Christ qui est Dieu né de Jésus, ce qui, pris au pied de la lettre, paraît dire que Dieu est né de l'imagination d'un homme nommé Jésus d'une femme nommée Marie (32/2). En fait, il s'agit d'autre chose, que l'intelligence d'homme, faible lumignon, ne peut plus comprendre (32/5).
"Sages étaient donc les chrétiens antiques avec leur intuition que Jésus avait quelque chose à voir avec Dieu, mais qui se bornaient à cette intuition. Insensée fut donc l'église qui changea l'intuition, où nage la Vérité vivante, en dogme — trinité (23/7, XVIII/1, croix rédemptrice(XXXI/1) —, où la Vérité n'est plus qu'épave attendant son renflouage.
"Le renfloueur est arrivé, c'est La Révélation d'Arès.
"Si l'église, laplus belle récolte de Dieu (14/2-3) avant qu'il moissonne les Pèlerins d'Arès, entend l'Appel (4/4), elle ramènera lentement à la surface l'intuition, la foi d'Abraham, de Jésus, la foi dans le Bien (XXXIII/1) et dans sa servante, la beauté des propos et des actes (12/3). Nous croyons que le Créateur n'a pas vainement parlé à Arès et que la religion s'abandonnera, d'une façon ou d'autre autre, aux mille soleils du Souffle qui fondent (2/14) l'obscur langage du dogme en un langage d'intelligence (23/4), la Vie qui pour l'heure se cache encore sous ledésert des mots (24/3-5).
"
L'idée même de Dieu, aujourd'hui largement réfutée, est la première concernée par ce renflouage.
"En attendant, nous allons voir qu'il n'est pas toujours faux de dire que Dieu sort de l'imagination, mais que Dieu n'en est pas moins vrai.
"Avant 1974 je croyais savoir ce qu'était et qui était Dieu. Depuis que j'ai reçu La Révélation d'Arès je ne sais plus. Je sais seulement, à travers ma faible jugeote spirituelle (32/5), certaines choses qu'il dit comme: La Vérité, c'est que le monde doit changer (28/7),et certaines choses qu'il fait comme trop aimer (12/7) l'homme et créer l'univers sans s'arrêter : Je cours (encore et tout en courant) Je fais mille nouveaux soleils (XXII/12), mais je le soupçonne d'être, de faire et de pouvoir nous donner beaucoup plus."

J'ai discuté de ce texte avec un prêtre catholique, qui m'a dit à peu près ceci : "Michel Potay est un pauvre homme qui a sûrement foi en Dieu, mais qui est tombé dans une aberration telle qu'il ne sait plus qui est Dieu, le Dieu de la Bible qui s'est incarné en Jésus pour la rédemtpion du monde. De toute façon, Dieu n'est pas son souci. Son souci est sa propre personne de Michel Potay qui s'est dit que l'église déclarerait qu'elle se mettait à l'étude de sa Révélation dite d'Arès. Il espérait comme ça être vénéré vivant comme un nouveau prophète biblique et pouvoir circuler dans le monde avec une auréole sur la tête."
Qu'est-ce que vous en pensez ?
G. G.


Réponse :
Ce que je pense de ce que vous a dit ce prêtre catholique ?
J'ai entendu prononcer à mon propos beaucoup d'hypothèses: imposture volontaire ou imposture involontaire sous diverses variantes, mais je n'avais pas encore entendu cette variante-là, peut-être la plus stupide de toutes.
Selon ce prêtre j'aurais inventé "la Révélation dite d'Arès" dans l'espoir d'être honoré de la considération, voire même de la vénération, de l'église qui se serait, selon mes sinistres calculs, officiellement mise à l'étude de mes inventions que seraient l'événement d'Arès et son Message ?
Ce pauvre prêtre n'avait pas lu La Révélation d'Arès, parce que, de même que celui qui la prétend inspirée par Satan verrait bien en la lisant que Satan n'en tirerait aucun profit, il n'y a pas un seul lecteur sérieux qui verrait l'église en tirer profit de son côté, sauf évidemment le profit de se réformer de fond en comble ou même de disparaître, ce que sa nature absolutiste même lui interdit de faire pour le moment du moins.
Cela dit, votre commentaire soulève un certain nombre de questions auquelles il répond lui-même en citant deux entrées de mon blog. Les questions soulevées sont, de toute façon, du type inépuisable: "Dieu existe-t-il ?" Votre commentaire reprend ici la trace laissée par quantité d'agnostiques. Il faudrait plus que l'espace d'une réponse dans ce blog pour reprendre un tel sujet. Je dirai quand même ceci :
La question que soulève La Révélation d'Arès n'est pas: "Dieu existe-t-il ou non ?" Quiconque a bien lu cette Parole voit que le premier souci de son Auteur n'est pas de décider les hommes à croire en Lui, mais de voir les hommes échapper au mal qu'ils ont eux-mêmes généré et généré contre eux-mêmes et retrouver le bonheur pour lequel ils furent créés. Autrement dit, La Révélation d'Arès est avant tout la Parole généreuse d'un Père toujours prêt à s'effacer pourvu que son enfant trouve le Bien. Cet effacement du Père trop aimant (Rév d'Arès 12/7) devant les hommes, devant nous aussi donc, est même tel que nous pourrions, d'une certaine façon, nous considérer, nous Pèlerins d'Arès, plus près des agnostiques réfléchis que de croyants primaires confits en dévotion et certitudes sans se poser de questions. Pour nous le Fond n'est pas connaissable en ce monde, mais un point d'orientation, le lieu vers lequel il vaut mieux se diriger.
Nous sommes donc plus proches de vous que vous ne pensez peut-être, sauf que sans tout savoir de Dieu et de la Vérité, nous avons pris la direction indiquée par La Révélation d'Arès en toute sérénité, tandis que vous semblez toujours hésitant de votre côté, vous en êtes toujours à piétiner à la croisée des chemins.
Suivez-nous ! Nous avons pris la bonne direction.


24déc10  114C14
Il m'est indispensable de réagir aux déclarations de guerre de Jean : 114C2
Nous autres, chamans, prenons rarement la parole sur les sites tels que le vôtre. En effet, contrairement à ce que croient bon nombre d'ignorants, les chamans — les guérisseurs — ne sont pas liés à une religion. Nous ne sommes pas prêtres non plus. Ce n'est pas notre rôle, mais dans l'univers, nous avons, au regard de l'Éternel, notre place. Que cela plaise ou non ! Nous ne sommes en fait que les gardiens de l’équilibre de la vie, et face aux destructeurs, notre tâche n'est guère aisée ; nous ne sommes que des guérisseurs des âmes.
Je n'utilise le terme de chaman que parce qu'il est devenu, au fil des temps, le plus représentatif de tous les autres noms utilisé pour définir ce que nous sommes ; c'est à ce titre que j'interviens ici.
Nous autres, nous "n'adorons" point d'idoles ou de "dieu(x)". Nous nous contentons de faire ce pourquoi le Créateur de toutes choses nous a placé ici bas, à savoir préserver la vie et faire s'élever les âmes.
Pour ce faire, nous demeurons le plus souvent entièrement dévoués, cœur, corps et âme au créateur de l'Univers.
Nous étions là au commencement des temps, contrairement aux religions, et nous serons là à la fin, pour vous aider à passer le cap de la fin des temps cachés dans les temps [?].
Pour nombre de croyants, nous sommes des hérétiques comme le furent déclarés en leurs temps les indiens des Amériques, les peuples d’Afrique noire, d'Asie, d’Australie et d'ailleurs, aux croyances si éloignées — en apparence — de la religion chrétienne. Mais quand on pense que la religion chrétienne, loin de s'en tenir à critiquer — et massacrer — nombre d'hérétiques, s'en est pris à ses propres rejetons ! Je n'en veux pour exemple que le massacre des protestants, des bogomiles, des cathares, et même des plus fidèles serviteurs de la foi chrétienne : les templiers.
Réétudiez l'histoire, rappelez-vous de l'histoire, M. Jean, avant qu'elle ne se rappelle à vous: La mère qui mange ses enfants.
Comme il est aisé de rejeter l'anathème sur ceux que l'on ne comprend pas et que l'on voit s'éloigner, peu ou prou, des canons de la "vraie foi" ! Comme il est aisé de vouloir la mort de ceux qui vous font peur, parce qu’ils sont autres, différents en leurs pensées ! Même si les formes que prennent les pensées sont comme l'univers, infinies...
Alors quand je lis qu'un "chrétien" souhaite le mort d'un autre homme, quel qu'il soit, je ne puis que prendre ma plume à l'encontre de celui-ci, n'est ce pas, Jean ?
Est-il donc si difficile de ne pas craindre qu'une opinion religieuse diverge de la vôtre ? À croire que "l'autre", quel qu'il soit, vous fait peur ! 
On ne veut tuer, en la haine, que ce que l'on ne connaît pas.
Où est, en vous, l'Amour prôné par celui que vous appelez le Christ et que nous appelons "Grand frère" ?
Dois-je vous rappeler ce qu'est l'Amour ? Cet Amour qu'il prôna !
[...]
Bonnes fêtes de noël à vous tous, Pèlerins, bon noël frère Michel.
White Tiger Shaman (Chaman Tigre Blanc)


Réponse :
J'ai dû écourter votre commentaire, non par esprit de censure, mais parce qu'il est terriblement long et parce que la très longue tirade sur l'amour que vous adressez à Jean ne l'intéresserait et ne le convaincrait pas, car il a de l'amour le point de vue de sa théologie qui, comme son commentaire 114C2 le prouve, n'est ni le nôtre ni le vôtre.
C'est la première fois que ce blog reçoit un commentaire de shaman, encore que le shamanisme qui est le vôtre, Tigre Blanc, ne me paraisse pas vraiment venu des rivages du fleuve Amour au fin fond de la Sibérie. Autrefois, quand j'étais dans l'église, j'étudiai le chamanisme des psychopompes Toungouzes, Tchouks, Ostiaks, etc. Mais je sais que, par analogie on a appelé également shamanisme, quoiqu'improprement, les pratiques des medicine-men amérindiens. J'ignorais par contre que le mot avait fini par s'appliquer aux guérisseurs de nos régions européennes.
Il me semble, par ailleurs, que les Indiens d'Amérique et leurs shamans n'ont jamais été considérés par l'église comme des hérétiques, mais comme des païens pratiquant la sorcellerie. Les hérétiques sont les déviants ou les réformateurs d'une même religion, ce qui n'était pas le cas des Améridiens et de leurs shamans qui n'étaient pas chrétiens.
La défense que vous prenez de ma personne à l'encontre de ce pauvre Jean me touche.
Ceci dit, merci, Tigre Blanc, pour vos bons vœux de Noël. Je vous adresse les miens, chaleureux.


24déc10  114C15
Je souhaite à tous les hommes de cette terre paix et réflexion pour trouver la face cachée de l'iceberg, c'est-à-dire leur cœur.
Voici une chanson en arabe dédiée à la mère de Jésus, chantée par la grande chanteuse libanaise Feirouz, de confession chrétienne.
http://www.youtube.com/watch?v=SrKPP4FU8fE&feature=list_related&playnext=
1&list=MLGxdCwVVULXfVqfCFSaJkBdpmEDg-Z1mR
En écoutant cette merveilleuse chanson une grande quiétude se créée.
La chanson dit : "Ya oum Allah,  toi la mère de Dieu."
Les paroles sont un dialogue de cœur à cœur avec Myriam [Marie], la femme courageuse qui a su avec intelligence vaincre sa peur.
À l'adresse de Myriam, elle chante :
"Toi le trésor du Miséricordieux", parce qu'elle fait partie du grand projet du Plus Juste.
Je souhaite faire ce rappel à cause de tous ceux qui sont en train d'attiser la haine entre les Musulmans, les Chrétiens et les Juifs.
Mouhammad était un frère des plus sincères avec les descendants d'Abraham et maintenant, grâce à Mikal [Michel], l'humanité réussira à retrouver le chemin qui mène à l'accomplissement du dessein du Matriciel.
Un Joyeux Noël à toute l'humanité,
Hakima


24déc10  114C16
Bien que tou[te]s les [entrées de] blogs contiennent une part de votre pensée spirituelle, je pense à tort ou à raison que, depuis le l'entrée de blog 100, Mikal lave ses frères ; il donne l'Eau  (Rév.d’Arès I/14).
Ce[tte entrée de] blog 114 et la réponse au Commentateur 114C2, me semblent un condensé important de tous vos dires et sa conclusion est un nouveau rappel pour les frères : "Il est temps que nous sortions de nos catacombes" et que nous cherchions obstinément le petit reste que Je t'envoie rassembler et que nous le voyions accomplir la Parole Que Je te livre (Rév d’Arès 24/1).
Malgré l’Appel d’Arès relayé par ses moissonneurs, malgré le fait que la plupart des gens prennent conscience que la politique, les religions, les prédications télévisuelles des mystiques — si c’est pas passé à la télé, c’est nul ! — peu d’hommes de foi comprennent que le mal ne reculera pas dans le monde, s’ils ne font pas alliance fraternelle entre assembles (Rév d’Arès 35/11) nettoyées des princes, de leurs prêtres et de leurs docteurs, que Je n'ai pas établis sur elles (Rév d’Arès 7/4).
Vous écrivez dans cette entrée 114: "Certes, ce n'est pas sans une longue et rude lutte intérieure que j'ai cheminé, pénitent, pour me rendre libre de tous les harnais qui me domestiquaient, jusqu'aux rivages de la Mer de Bien." Il est certain que cette première génération met beaucoup de temps pour se déculturer, mais j’espère que nos enfants sauront plus facilement séparer le bon du mauvais de la culture.

Mais l'homme traite ce danger à la légère,
parce qu'il voit le visage du péché et du Mal
aussi doux et séduisant que le visage du Bien.(entrée de blog 100)

Ce(tte entrée de) blog 114 est notre présente feuille de route !
B. R.


24déc10  114C17
Je ne sais pas si la pénitence est le Bien incarné (panneau du local suisse).
D'accord pour la pénitence, nécessaire, mais parler de Bien incarné !
Qu'entre chez eux le fort, l'illuminé ! (Rév d'Arès 23/2)
Croire et/ou aimer Dieu, c'est s'obliger à l'humilité permanente.
Récemment, je relisais: "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas" (appendice de La Révélation d'Arès éd.1995 dite bilingue), texte d'une soixantaine de pages qui s'adresse au néophyte mais autant au frère en manque de repères et de sens, aux médias, aux sociologues, aux administrations, aux religieux, aux journalistes, etc ...
Longtemps, les pèlerins d'Arès se sont posé la question : "Un prophète, pourquoi et pour faire quoi ?"
Certains trouveront une réponse en lisant ce présent blog.
Pour ma part, j'ai trouvé une amorce de réponse à cette question, en posant une autre question : "Dieu pourquoi, et pour faire quoi ?"
"La quête de Dieu ne peut qu'être infinie".
Actuellement, je réutilise le mot Ha [âme], le seul qui me fasse envie. Cet état qui permet d'analyser en profondeur les problèmes et ainsi de trouver la solution créatrice que l'on sera soi-même, individuellement, capable de mettre en oeuvre.
Et cette fin de l'épilogue de Frère Michel dans "Dieu recréé" ("Le Pèlerin d'Arès" 1991/1992) : "Par là nous sommes, pour ainsi dire, créateurs de Dieu lui-même"
Encore du blabla, diront certains, mais un blabla que j'offre quand même aux autres pour ce Noel 2010 où je n'irai ni réveillonner à Réveillon ni en avion sur de belles plages ensolleillées du bout du monde et pour finir passer lamentablement les fêtes de Noël
allongé dans les coursives des aéroports. Non, je mangerai seulement des crêpes au sucre en continuant d'essayer d'avancer dans ma réflexion.
Ah oui, il est beaucoup question d'explosion dans votre texte, Frère Michel.
Voici une expression qui ne figure pas encore dans les dictionnaires ; "Je m' ex-plod la tête", que j'offre aux jeunes, qui sont, comme chacun sait, l'avenir.
Guy P. (de région parisienne)


Réponse :
Mon frère Guy, ne vous en prenez pas à notre mission suisse !
C'est moi l'auteur de la phrase: "Le Créateur appelle le Bien incarné pénitence" dans leur vitrine.
Plutôt que fêter l'incarnation de Dieu dans l'enfant Jésus le jour de Noël, ce qui est faux, n'est-il pas opportun de rappeler que, s'il y a une incarnation à fêter ce jour de Noël, c'est l'incarnation du Bien dans le pénitent ?
Car, quand je fais pénitence, que fais-je d'autre qu'incarner le Bien en moi ?


24déc10  114C18  
"Jésus n'est que le plus illustre d'entre les pénitents, le christ de référence pour tous les christs que sont les hommes bons," écrivez-vous, ce qui fait sursauter certains esprits conditionnés par une croyance, maintenus — maintenus par qui et pourquoi ? on peut y réfléchir mais ce n’est pas le but de ce thème — dans l'idée de la supériorité de leur croyance sur l’action de Bien, d’amour  , de bonté, d’intelligence du cœur, comme on le voit  dans le commentaire 114C2.  

Pourquoi donc cette attitude, ces certitudes religieuses, partisanes, qui font soupirer ou hocher la tête à un agnostique ou un athée, ou font pleurer un Chrétien qui aime son prochain comme lui-même ?  

Pourquoi ces certitudes dont les conséquences ont déjà été tellement dramatiques dans le passé — passé pas si vieux — de l’inquisition, des guerres de religion. Restent-elle encore présentes tout en restant aussi dramatiques pour le monde d’aujourd’hui qui s’enfonce de  plus en plus dans l’individualisme, l’inhumanité, la division contraire à la Parole de Dieu qui est union, amour, bonheur ensemble ?

Parce que l’esprit humain a perdu son intelligence, sa liberté et sa force comme vous le dites encore — "L'humanité fut créée forte, intelligente et libre et peut le redevenir..."

Le cercle vicieux du mal a enlevé l’intelligence, et ce mal est entretenu par la force de l’habitude, de la tradition dont les systèmes de croyances ne sont pas étrangers, mais dont il faut s’extraire et d’une seule façon : en faisant  le bien sans esprit de récupération, de domination, sans esprit de clan, sans esprit partisan, c’est cela que nous demande La Révélation d’Arès.

Le cercle vicieux du mal est entretenu parce que court encore l’idée, depuis des générations, de la nécessité d’institutions, de systèmes pour que le bien se fasse entre les humains. Et ces systèmes détournent, comme  le prouve ici même le commentaire 114C2.
On peut  regarder ailleurs, par exemple, dans les lois athées, les politiques qui sont censées organiser le bien de la société.
On y retrouve sous une forme différente la division, la haine, le rejet, la violence.
Le bien ne se fait pas par une religion, une politique, une loi , qui dit ce qu’il faut faire et penser, mais par la volonté individuelle de ne pas faire le mal.

La direction de certitude que vous transmettez, c’est celle là, l’action de bien plus que la foi quand elle est passive, l'action de bien n’empêchant pas la foi [créatrice], bien entendu .

Je pense que l’on ne croit pas assez fort, assez  profondément que l’action de bien que l’on fait entraîne une action de bien chez l’autre, que l’action de bien que l’on fait est chez l’autre une réparation d’une blessure infligée par des circonstances malheureuses, qu’elle déclenche à son insu, une réflexion ou une approche profonde de la nature de l’humain, qu’elle lave les fautes, les erreurs que l’on s’inflige mutuellement à cause des croyances que l’on a tous, chacun croyant en quelque chose même si c’est moins extrême que le commentaire ci dessus   .

Pourquoi par intuition aime-t-on les gens qui font la charité ? Parce qu’ils témoignent de la bonté et qu’au fond on sait que cela est juste, vrai, beau, bon et qu’au fond de notre conscience on n’échappe pas aux besoins absolus de vrai, de juste, de bon, de  beau inscrits au fond de nous. Même malgré le pire, il faut le croire et s’en faire une règle de vie. C’est plus facile quand on l’a vécu. Ce qui n’empêche pas de dénoncer ce qui détourne de l’essentiel .

Croyez vous qu’il n’y ait que les marchands de divertissements, de sexe, qui nous détournent ? Il est permis d’en douter face à certains commentaires que l’on a lus ci-dessus.

Noël,  étymologiquement nouvelle lumière, qu’elle soit la plus éclairante pour tous !

Charlie


25déc10  114C19
Hier dans votre réponse à L'Observateur 114C9 vous disiez: "Je suis d'ailleurs encore à Nice aujourd'hui pour reposer mon dos qu'en portant mes bagages j'ai "bistourné"...  Je reprendrai la route demain pour Bordeaux où m'attend comme toujours beaucoup de travail, surtout en fin d'année."
Vous devez être rentré à Bordeaux à l'heure tardive où je vous adresse ce commentaire. J'espère que la route s'est bien passée (j'ai téléphoné: on m'a dit que les autoroutes du Sud étaient OK, pas de neige!) et que vous allez passer ce Noël en famille.
Il n'y a pas très longtemps que je m'intéresse à votre mouvement.
Le blog m'aide à me faire une idée de son fonctionnement, et je note que vous vous déplacez beaucoup pour la mission depuis un certain temps, notamment dans le Sud-Est.
Mais je pensais que vos déplacement étaient assurés par des frères plus jeunes et plus vaillants. Ce n'est pas le cas.
Nice est quand même loin de Bordeaux (près de 900 Km) et conduire à 81 ans, surtout en hiver, sans personne pour porter vos bagages, changer une roue si vous crevez, faire face à des intempéries, ce n'est pas très prudent. C'est un peu le monde à l'envers chez vous: c'est "le vieux" (vocabulaire militaire) qui a la corvée des voyages.
Vous dites: "Le fils de l'homme n'a pas où reposer la tête", mais Jésus avait 30 ans quand il disait ça.
D'un autre côté, je comprends que la mission se fait sur place suivant les spécificités de l'endroit et de la population et que ce ne sont pas des problèmes qu'on peut régler par téléphone ou par emails.
Il y a quand même quelque chose qui me fait l'effet de clocher dans votre organisation.
C'est, j'ai l'impression, l'occasion plus que jamais de vous adresser mes meilleurs vœux de santé, de force, de mission réussie.
Éloi


Réponse :
Merci de vous soucier de ma santé pendant mes déplacements, mais je ne me déplace pas toujours en voiture.
Quand je vais à Paris, par exemple, je prends le TGV. De toute façon, en train, en avion ou en voiture il faut toujours assumer les bagages. Il n'y a plus depuis longtemps de porteurs ou bagagistes en France dans les aéroports, les gares ou les hôtels. On n'est pas aux USA où on trouve à peu près partout des porteurs pour vous aider.
En France, quand il nous faut, sœur Christiane et moi, emporter des bagages pour plusieurs jours, des vêtements de rechange, des livres et de la paperasse pour travailler, des dossiers, etc. nous ne pouvons pas éviter de les rouler et de les porter nous-mêmes (pour les mettre dans le coffre de voiture et les en sortir, les monter dans la chambre d'hôtel, etc.) et un tour de reins survient inévitablement de temps en temps.
Tant qu'il ne s'agira pas d'une sciatique paralysante comme celle que j'eus en 2001 ou 2002 (toute la jambe droite paralysée; j'ai définitivement perdu le réflexe du jarret et la sensibilité du pied droit malgré l'opération) et qu'il ne s'agit que de maux de dos, de lumbagos, etc. ce n'est qu'embarras et douleur temporaires.
Non, je ne suis pas encore à Bordeaux ce soir.
Nous sommes en effet partis de Nice ce matin, mais nous devons faire étape.
Nous ne passerons pas Noël en famille, mais priorité à la mission !
Si surviennent des problèmes de dos (ou d'autre sorte: vertiges de Ménière, angine de poitrine, hypertension, ah! ah ah! j'ai l'impression de chanter: "J'ai la rate qui s'dilate, j'ai le foie qu'est pas droit, etc...") ou si une crise d'arthrite surprend ma pauvre Christiane, ce sont des peines dont nous préfèrerions nous passer, mais que nous considérons comme devant être supportées quand c'est pour la mission.
Dans les années 1986-1988, l'idée de "La Maison des Faucons" était d'amener vers moi une noria lente mais régulière de frères et sœurs. Le projet ne s'étant pas réalisé, c'est l'inverse qui m'a été imposé: La solitude et l'obligation pour moi d'aller vers les frères et sœurs.
Les deux plus gros problème: L'impossibilité de visiter tout le monde et, lors d'urgences, d'aider en plusieurs lieux à la fois, les coûts aussi, mais surtout les pertes de temps que les déplacements induisent, parce que j'ai toujours beaucoup de travail chez moi. C'est mon lot
De ce fait, j'apprécie davantage vos bons vœux et je vous adresse les miens en retour.
J'en profite aussi pour vous suggérer de ne pas trop traîner les pieds avant de rejoindre une de nos missions, si vous avez en projet de vous engager auprès de nous. Notre "organisation" a besoin de monde, de toujours plus de monde.
Dites-moi où vous habitez, envoyez-moi un courrier.  


25déc10  114C20
Je me joins à tous ceux qui souhaitent une plus grande lumière, pas seulement celle des antiques, qui se réjouissaient toujours de la voir revenir avec le mouvement des astres.
Que cette lumière ne soit pas seulement celle de l'esprit, quand les discuteurs n'ont pas passé le nez à travers les rideaux de leur pensées, pour découvrir qu'un peuple est là, à attendre qu'ils se mettent enfin à jouer sérieusement comme des enfants...
ceux que le père aimerait voir briller de joie non feinte... Comme des héros qui se lèvent pour se joindre à la fête, de sorte qu'entre la scène et la salle, il n'y ait plus de différence... Qu'il n'y ait plus de scène ni de salle, en fait, pour jouer le spectacle de la délivrance... Pour que les acteurs abandonnent leurs artifices séculiers, leurs faux-semblants.
Je souhaite que la lumière qui vient soit assez brillante ! Qu'elle brûle et que disparaisse le voile de nos illusions !
Je ne doute pas de cette lumière. Elle est celle du regard créateur, celle qui expose les tueurs de prophètes sous la lumière informatique de ce blog, par exemple, celle qui explose d'une force encore impensée.
Je pense à ce Jean, le "bien nommé" ?!
Jean était le prénom de mon père. Celui du Baptiste aussi, lequel a marché devant Dieu avec l'esprit et la puissance d'Élie, le premier échappé au vœu d'Adam (Rév d'Arès 2/10) et donc à la mort en renonçant à faire semblant d'être dieu lui même pour ramener le cœur des pères vers leurs enfants (Luc 1/16 entre autres).
Mon père biologique a tenté lui aussi de "s'effacer" dans son éducation, pour laisser à ses enfants le maximum de liberté...
Mais un jour que je l'interrogeais à ce sujet, il m'a dit qu'il était toujours lui-même libre de choisir la colère (ou non).
Je l'ai vu un jour à l'œuvre : Réalisateur d'un film sur la prison la plus honteuse de France, le bagne de Cayenne, des dizaines de figurants s'amusaient d'une scène tragique, le meurtre d'un bagnard par un garde-clef qu'un maton venait d'armer de son revolver. La "prise" de son était impossible : Dès que le coup de feu éclatait, des rires fusaient, nerveux ou innocents. Mon père n'a pas élevé la voix, il a juste lancé un cri d'indignation, sincère, et tout le monde s'est tu, instantanément.
Gloire à tous ceux qui s'indignent ainsi, à l'instar du commentateur chaman ! [114C14]
Gloire aux obscurs soigneurs des steppes, de Sibérie orientale ou du fin fond de la forêt amazonienne : Tant qu'ils panseront les plaies, les peuples se plairont à penser à eux.
Vive les "tigres blancs", lancerait ma fillotte qui les aime autant qu'un bon bol de chocolat chaud demain matin.
La lumière s'étend, jusqu'aux gens, aux Jeans, fussent-ils mort ou vivants.
Grand bien leur fasse !
Si mon père est mort aujourd'hui, ça ne l'empêche peut-être pas de voir ses enfants, avec la lumière de son cœur.
Cette lumière est celle qui se partage quand, seul devant son écran un soir de Noël, on découvre que la solitude nous rapproche de tous les solitaires de la terre.
De mon frère jumeau peut-être lui aussi éveillé.
Cette lumière est celle qui nous rapproche de toutes les faims du monde, quand on jeûne un soir de réveillon.
Civilisation, figuration, ça rime avec réveillon.
Mais au diable les coulisses ! Plus besoin de pièce spéciale pour mettre des masques, façonnés dans le papier mâché des idées rabachées, agonisantes, les étincelles des défendeurs de papis-noëls blanchis sous les harnais.
Plus besoin d'artifices pour harnacher l'amour du poulain agile, pour arrêter la folie du Vent lévé à Nazareth (Rêv d'Arès 10/10, 25/7), la lumière qui s'approche à la force des sommations.
Et les balles, les glands de fer seront bien réels pour les acharnés, les tueurs invétérés de leurs frères sous le tranchant de leurs langues de bois
(rions un peu !)
Oui, que les prétendus paternalisants de tous poils, jeunes ou vieux, antiques ou modernes, se tournent vers leurs enfants ou disparaissent avec l'air, la pluie et la Lumière nouvelle !
Qu'ils deviennent enfants eux-mêmes, avant de sortir des sornettes, de taper des inepties. Un prophète ne meurt pas, de toute façon. S'il meurt, il s'allonge, se repose et avance, là où les faux prophètes courent toujours et se démènent en tous sens sous les coups redoublés des trompettes (c'est pour la rime avec sornettes).
Que cette soirée allume aussi les cœurs des musulmans, de France et d'ailleurs !
La plus grande fête musulmane ne glorifie t-elle pas aussi le "désourcillement" d'Abraham ? Païen rompu à l'exercice sacrificiel, il a cru satisfaire son Père en renonçant au fruit de sa paternité, laquelle était sacrée dans les mentalités d'alors...
Il a fallu la lumière et la parole d'un ange pour réorienter son bras.
Gloire à Sarah, Ismaël, Isaac, et paix dans les familles musulmanes !
Pour n'oublier personne, gloire à la lumière du buisson (Exode 3/2) et paix dans les familles de Judée, d'Amérique ou de la rue d'à coté (l'une des plus anciennes communautés juives d'île-de-France).
La lumière de cette nuit est bien faible, il n'y a que la fenêtre de mes voisins musulmans qui brille. Tout le reste est noir aussi loin que porte mon regard.
Nul doute que la lumière des festivités se reflète en pâle lueur jaunâtre dans les lourds nuages au-dessus des toits de ma ville.
Je voulais partager ma méditation sur cette civilisation/figuration, sur l'illusion d'exister simplement parce qu'on a, un jour ou l'autre ici ou là, fait un brin de figuration.
Parce qu'on a alors peut-être reçu des autres, un court instant, l'image d'un état prophétique que le Père souhaite nous voir tous vraiment incarner...
entre la scène et la salle,
entre la veille et le sommeil
entre le 24 et le 25 décembre 2010.
Un hôte parmi d'autres pour accueillir et être accueilli par cette lumière désormais avenue.


25déc10  114C21  
Dans l’entrée 112, vous nous rappelez l’existence du Surnaturel dont la "fugacité n’est qu’apparente," qui "se matérialise et se dématérialise, mais qui désaltère notre espérance sans discontinuer." L’évènement d’Arès fait partie du message lui-même dont il ne faut pas oublier l’Auteur qu’il faut avoir le courage de nommer : Dieu lui-même.
Dans l’entrée 113, vous pointez le drame d’une humanité en voie de surpopulation s’enlisant dans le matérialisme et la pauvreté, s’acheminant vers une survie qui réduit "les gens aux expédients, leur attente politique à la quête de quelque main de fer et leurs soucis métaphysiques aux espoirs superstitieux et païens", le monde du grouillis (Rév d’Arès iii/02) où "survivre serait si essentiel que l’existentiel et le spirituel y seraient impossibles."
C’est à l’aube de ce monde que "le Père, voyant que les hommes allaient être plus dominés encore dans la mondialisation qu'il n'étaient dans la parcellisation religieuse, politique et économique, est revenu leur parler en 1974 et 1977," dites-vous dans votre entrée 114 où vous expliquez que "l'humanité ne pourra se libérer de la gangue du mal qui va l'enfermer toujours plus hermétiquement qu'en explosant en individualités. En explosant par la vie spirituelle."
Dans ces trois entrées qui se succèdent, l’intelligence de votre enseignement coule comme de l’eau de source.
Ne sachant pas si vous avez intentionnellement choisi la succession des thèmes que vous abordez, je me dis que l’intelligence trouve toujours les chemins pertinents qui relient entre eux des aspects de la vie qui semblent étrangers les uns aux autres, mais qui tiennent tous de l’Unité de la Création.
L’intelligence est cohérente.
En cette fin d’année civile, qui se termine, pour les milliards d’humains de la civilisation occidentale, par des fêtes surréalistes au regard de l’amoncellement des problèmes qui se profilent, je veux vous remercier de tout ce que vous m’avez permis de comprendre et d’approfondir durant cette année : La nature de la peur, l’intérêt du scepticisme constructif dans la foi, la Vie du christianisme simple et vrai à faire naître, l’intelligence et l’amour qui savent reconnaître et méditer le courage et l’authenticité spirituels partout où ils éclosent, la puissance de l’existentialisme pénitent, l’importance du tract et le rapport entre le tract et le missionnaire, le "prêt" d’âme par Dieu — quelle découverte ! — et d’autres leçons du grand Livre de Sagesse que vous ouvrez devant nous à peu près tous les mois depuis bientôt cinq ans.
Votre enseignement m’a aidé à faire pénitence et à changer ma mission.
Grâce à votre présence virtuelle et pourtant bien réelle, je sais que l’âme est l’intelligence du pénitent (Rév d’Arès 12/10, 23/4) et que si elle pousse celui-ci sous le Souffle de Dieu vers les Hauteurs Saintes (Rév d’Arès 33/27), ce n’est pas parce qu’elle est d’une certaine matière ou énergie, mais parce qu’elle reconnaît et comprend le Créateur, ce que ne peut pas faire l’intellect seul, même s’il peut déduire l’existence de Dieu par le raisonnement.
Cette compréhension qui tient de la Lumière, plus vécue que raisonnée, s’applique d’ailleurs à tout de manière spirituelle. Ainsi, perdre l’âme, c’est perdre l’intelligence, c’est se remplir d’obscurité (Rév d’Arès 16/16, 38/5) et d’ignorance (Rév d’Arès 23/4, 34/2), c’est devenir aveugle (Rév d’Arès 4/7), avec les conséquences catastrophiques que nous voyons déployées dans le système d’Adam.
Grâce à vous je comprends mieux aussi la bonté du prophète : Une bonté qui n’est pas celle du "brave type", mais une bonté qui vient de Dieu, une bonté exigeante qui place le bonheur de l’homme au niveau du projet existentiel que Dieu formula pour l’humanité à l’origine, la Vie spirituelle, l’Oasis donnée une fois pour toutes (Rév d’Arès 24/3). Alors forcément, quand Dieu descend dans le grouillis pour rappeler Ses Fins (Rév d’Arès 33/36), retracer les sentiers qui mènent à la Mer Qu'on trouve les Hauteurs (Rév d’Arès 28/26, 20/4), cela n’a pas grand-chose à voir avec l’idée que nous nous faisons de la bonté, à travers la charité ou de l’équité à travers la sécurité sociale ou la retraite.
Sa Main blesse l'homme, mais l'homme vit (Rév d’Arès XLi/11). Comme c’est à travers vous que Dieu parle à Son Peuple (Rév d’Arès 23/3, 26/15), vous avez l’air d’un "facho réac" qui conteste au peuple ses avantages acquis. Mais pour moi aujourd’hui, prophète Mikal, vous êtes spirituellement un des meilleurs hommes qui soient sur cette planète.
Ces trésors dans le ciel (Mathieu 6/20), je vous les dois et d’autres encore. Je vous remercie de les avoir déposés dans mon esprit et mon cœur. Ils sont la sève revitalisante de mon arbre de Vie, pour l’occasion un sapin de noël illuminé de la joie de vous souhaiter une très belle fête de noël en famille.
Joyeux noël et paix sur la terre à tous les hommes !
Désidérius Faber


Réponse :
Votre commentaire m'émeut. Il m'émeut beaucoup.
Un beau nombre de frères et sœurs me disent par lettre ou de vive voix que mon blog les aide à y voir plus clair ou même qu'il leur est "précieux", mais très peu développent comme vous le faites ici les raisons de leur reconnaissance.
Ai-je "intentionnellement choisi la succession des thèmes abordés" dans ce blog ?
Non, mais c'est sûrement une succession naturelle.
Jusqu'au terme de ma vie charnelle il me faudra, de toute façon, aborder tous les thèmes auxquels La Révéation d'Arès nous reporte et qui ne sont pas dénombrables, puisqu'elle est universelle et parce qu'elle apporte un nombre infini de réponses au nombre infini de questions que la vie quotidienne autant que l'actualité mouvante placent sous nos regards.
Quels rapports y a-t-il entre notre éphémérité charnelle, notre aridité spirituelle, nos étriquées et mesquines libertés de penser et d'agir, et les Vie et Liberté absolues que la Parole du Père nous invite à retrouver ? Si jamais tâche doit être rivée à cette question, c'est bien la mienne.
De même que La Révélation d'Arès ne se lasse pas de reprendre sous diverses formes et angles les thèmes du mal et du bien, du péché et du salut, je ne dois pas me lasser de reprendre pour mes frères, frères de foi ou simplement frères humains, tous les thèmes qui se présentent dans l'actualité, celle des événements de monde comme celle de ma propre vie.
Les échanges entre nos problèmes d'hommes et les réponses de l'Absolu sont d'une irréversibilité continuelle, interminable et je sais, connaissant l'instabilité et la difficulté d'attention de l'homme, que ce que je dis aujourd'hui sous une forme qui échappera à certains leur deviendra clair demain sous une autre forme ou parce qu'ils traverseront une zone de meilleure attention. La variété des thèmes n'est qu'apparente, en fait. C'est la variété des perceptions qui est innombrable.
Il faut que sans cesse je cherche un passage entre la Pensée du Père et l'impensé humain.
N'avez-vous pas remarqué, dans votre mission, que la chose la plus frappante chez les hommes et femmes que vous rencontrez, c'est qu'ils ne pensent pas ? Ils répondent tout de suite — et c'est ce tout de suite qui révèle l'impensé — "Oui" ou "Non", etc., parce que chacun s'est fixé, un jour, un mode de réflexes face aux problèmes de fond et suit ce mode sans n'y plus repenser.
Ce ne sont, en fait, que les "réflexes conditionnés" que l'éducation et la publicité (pour ne parler que d'elles) s'efforcent de fixer pour leur profit.
Rouvrir le pensée active, créatrice, de l'homme, remettre sa pensée, sa créativité, en marche n'est pas une mince affaire pour notre apostolat, notre moisson.
Les sceptiques et les cyniques dont ce monde est farci ne se demandent plus depuis longtemps s'il sera jamais possible de sortir des perspectives consacrées par l'habitude qu'on a enveloppées sous le paquet étiqueté "raison", qui ont forgé ses envies, ses violences, ses erreurs, ses mensonges qu'elle ne discerne même plus. Ainsi me sembla-t-il, à moi-même en 1974, qu'il n'y avait que le Père, les Créateur, pour croire qu'on pouvait se sortir de cet état de fixité réflexe. Ce fut pour moi une souffrance interrogative de presque quatre ans, jusqu'à la mi-1977: "Le fait de l'apparition et du message de Jésus est là, mais le fait ne résout pas les problèmes, énormes, qu'il induit. Que vais-je faire ? Comment vais-je le faire ?"
Ma souffrance entre 1974 et 1977 venait d'une très grande difficulté à sortir du marxisme qui, dans un premier temps, avait nourri ma jeunesse et du credo d'église qui, ensuite, avait nourri ma maturité, les deux fondés sur l'idée que l'Histoire dans un cas, la Parole de Dieu dans l'autre cas, ne s'éclairaient que de l'intérieur d'elles-mêmes et que seule une formation particulière (de militant communiste ou de croyant bien catéchisé) permettait de les déchiffrer. Il me fallut du temps pour comprendre ce que La Révélation d'Arès me disait, à savoir que l'homme restait l'image et ressemblance du Créateur, c.-à-d. créateur lui-même, un homme toujours tout neuf (Rév d'Arès 1/1), un créateur de l'Histoire jusqu'à la capacité d'arrêter l'Histoire si nécessaire — or, c'est nécessaire —, et un créateur de la Vie spirituelle.
C'est de cette dualité que nous devons réveiller la conscience au fond de l'homme. C'est d'un créateur de lui-même et d'un recréateur de ce monde que nous devons refaire l'homme.
C'est cela qu'à travers des thèmes plus facilement abordables par l'esprit commun je m'efforce de réveiller chez les lecteurs de ce blog.
Merci pour vos bons vœux de Noël, mon frère.


26déc10  114C22
Comme toujours votre entrée est très bien rédigée, mais je ne vois pas son rapport avec Noël.
Je sais que vous en croyez pas que le Dieu incarné Jésus est né le 25 décembre et même vous ne croyez pas qu'il est Dieu incarné. Alors ?
Je pense que la bonne entrée aurait été celle par laquelle vous dénonceriez le mensonge de Noël et par la même occasion tous les mensonges sur lesquels est basée notre civilisation "chrétienne".
Je verrais le 25 Décembre comme la fête de la Vérité par la dénonciation de tous les mensonges.
Je ne vous dis pas Joyeux Noël, mais Joyeuse Vérité !
Jean-Paul E.


Réponse :
Dans ma réponse à Desiderius Faber (114C21) je rappelle ma "souffrance interrogative de presque quatre ans (depuis avril 1974) jusqu'à la mi-1977(, quand je me répétais chaque jour): "Le fait de l'apparition et du message de Jésus est là, mais le fait ne résout pas les problèmes, énormes, qu'il induit. Que vais-je faire ? Comment vais-je le faire ?"
Après que j'eus accepté la mission qui m'étais confiée, acceptation à laquelle je m'étais résolu pendant l'été 1974, je me trouvai confronté à une armée de questions tant fondamentales que pratiques comme: ' Vais-je rester dans l'église, entreprendre de la réformer de l'intérieur ou dois-je en sortir ? "
Décider d'en sortir me prit du temps. Ensuite, d'autre questions se posèrent, chaque réponse entraînant d'autres questions dans leur sillage bouillonnant, nombreuses et difficiles.
Parmi les moyens d'accomplir la mission que j'avais acceptée il y avait notamment l'alternative suivante: "Vais-je mettre l'accent sur ce qu'il faut accomplir ou sur ce qu'il faut bannir (Rév d'Arès 23/4) ? Autrement dit, vais-je plutôt appeler au changement de vie (Rév d'Ars 35/11) et au changement du monde (28/7), ou vais-je plutôt dénoncer les erreurs et mensonges religieux et politiques, ou vais-je faire les deux simultanément ?"
J'optai finalement pour le changement, le positif: Voilà ce qu'il faut faire pour trouver le salut personnel et pour sortir le monde du mal !
Je décidai de mettre la pédale douce sur le rejet du système, de ses abus et mensonges, le négatif.
Cette position, je ne l'adoptai pas forcé par mon état de totale faiblesse sociale et mon manque total de moyens et par la prudence qu'ils me dictaient, parce que le seul fait d'avoir accepté la mission me paraissait déjà le comble de l'imprudence, la témérité ou la folie extrême, et que je n'en étais plus à me demander ce qui pouvait le plus me nuire ou le moins me nuire.
Je l'adoptai, parce que j'estimai suffisants les rejets du système prononcés par le Père lui-même par la bouche de son messager Jésus (L'Évangile Donné à Arès), d'une part, et parce que je pensai que la meilleur expression de l'amour évangélique était celle du Sermon sur la Montagne (Matthieu ch.5 à 7) qui dit à l'homme de bien comment il doit vivre et ne perd pas son temps à condamner ceux qui vivent autrement, d'autre part. La grande intelligence de Jésus fut de rester, à tous les moments de sa mission, en rapport direct avec les réalités de son temps.
Rester en rapport direct avec les réalités de mon temps, c'est ce que je fais moi-même: Noël est une de ces réalités.
Je m'efforce donc de donner à Noël un sens de vérité et de créativité inspiré directement par la Parole d'Arès. C'est le meilleur moyen de faire disparaître sans douleur et sans faire de mal à nos frères chrétiens d'église le mensonge que Noël recouvre.
Notre calendrier, où se situe Noël, est ce qu'il est. Il représente une institution tellement incrustée que la Révolution Française elle-même tenta en vain de le changer, mais dut y revenir après une courte période de "calendrier révolutionnaire". Il faut vivre avec les hommes, sinon le réformateur se prive lui-même des repères qui lui permettent de faire comprendre aux hommes leurs erreurs. Le calendrier et ses fêtes carillonnées forment un phénomène empirique qui d'ailleurs aujourd'hui ne prétend plus recouvrir une vérité ou des critères de rigueur. Les Français prennent un congé le 15 août, fête de la Vierge, alors que 90% d'entre eux n'y croient plus. Le sens des dates carillonnées s'avère donc provisoire par nature est donc toujours révisable.
Pourquoi ne profiterions-nous pas nous-mêmes de cette révisabilité ?
Mon frère, profitez-en pour acheter un peu de sagesse !
Bon Noël de sagesse !


26déc10  114C23
Le Père de l’Univers avait bien raison de vous dire: "Ne te lasse pas de lui parler (à Mon Peuple), sur Mes Montagnes entraîne tous ceux que tu peux ! (Rév d'Arès 26/15)."
Et merci aux utopistes co-créateurs qui ont pensé et créé l’internet.
Même si tous est loin d’être bon sur le web, il vous permet à vous, prophète du Créateur, de parler aux hommes éparpillés sur la planète.
Grâce à l’instantanéité et à l’interactivité du web, vous pouvez mieux faire comprendre ce que le Père est venu nous enseigner.
Cette entrée est Belle (Rév d'Arès 12/3) et les commentaires aussi.
Joyeux Noël à vous et à toutes les sœurs et frères !
Béni soit le Créateur qui vous a envoyé et longue vie au prophète !
Daniel C.


26déc10  114C24
(Si) l’homme (M’appelle), Je lave la tache dans l’œil, J’écarte les dents (de l’homme). (Rèv.d’Arès xxi/7).
Autrement dit, Dieu, le Père aimant attend que l’homme décide de revenir librement vers Lui.
Il (l’homme) retrouve le Bien, la filiation, il se divinise.
La Révélation d’Arès et l’enseignement du prophète, le frère Michel, disent à l'homme: Entre en pénitence !
Les efforts [de pénitence] accomplis font de lui peu à peu, à l’exemple de Jésus, qui fut un grand pénitent, son propre sauveur et une espérance pour l’humanité.
Comment puis-je réfléchir sur Noël, cette fête de la lumière, qui est censée commémorer la naissance de Jésus, sans méditer sur son message pour l’accomplir ?
Nicaise


26déc10  114C25  
Ce lendemain de Noël, que j'ai passé comme beaucoup à discuter de fadaises et autres bêtises avec une famille que je ne rencontre qu'aux grandes occasions, je me retrouve seul et je médite sur des choses profondes comme le commentaire d'Éloi et sur la réponse que vous lui avez faite.
Peut-être penserez-vous que le souci qu'Éloi a de votre santé que menacent les corvées de voyages que vous êtes forcé de faire et surtout de faire seul n'a rien de profond.
Ce n'est pas mon avis.
Comme Jean-François Meyer, spécialiste des nouvelles religions, je crois que l'assemblée des disciples de La Révélation d'Arès, les Pèlerins d'Arès, dispose de tous les ingrédients qui font une religion: une Révélation, un Pèlerinage, mais à mes yeux il manque un ingrédient de grande dimension: le chef.
Je sais que vous me répondrez que Dieu vous demande de ne pas être un chef [Rév d'Arès 16/1], mais faut-il entendre cette instante recommandation à la lettre ? N'importe qui s'intéressant à ce qui se passe autour de La Révélation d'Arès se rend compte qu'il manque là une des pierres d'angle de tout édifice.
Le résultat est cette bizarrerie qui intrigue beaucoup. Vous êtes le seul Pèlerin d'Arès que je dirais corvéable de toute votre assemblée où personne sauf vous ne semble obligé à rien, alors que vous devriez être au contraire le mieux servi. Dans l'armée on disait: "Un chef ne doit pas travailler," en voulant dire : Il doit rester disponible pour observer et penser, il doit donc être sans cesse aidé, assisté, sinon qui verra clair dans les manœuvres de l'ennemi et dans la stratégie ou la tactique à adopter pour le battre ?"
Votre tâche ne devrait être rien d'autre que guider, pas de porter des valises, de changer une roue crevée, de s'exténuer au volant, etc. Surtout à votre âge ! Pourquoi les autres Pèlerins d'Arès ne viennent-ils pas à vous ? Pantouflage ?
Vous parlez de temps en temps de cette "Maison des Faucons" où il semble que vous auriez pu, sans perdre le contact avec votre fraternité, vous épargner toutes ces corvées, que vous appelez euphériquement "pertes de temps", mais qui usent l'homme. À qui est venue l'idée de la "Maison des Faucons"? À vous semble-t-il. Pourquoi le projet n'a-t-il pas été réalisé ?
La réponse est simple, il me semble. Cela ne pouvait pas être réalisé tout bonnement parce que dans ce monde on n'a rien quand on n'exige rien.
Et vous n'avez rien exigé. Vous avez testé ce que vous appelez dans un "Pèlerin d'Arès" la "conscience collective" et vu se confirmer qu'elle n'existait pas, qu'elle ne pouvait pas s'exprimer, qu'elle ne pouvait même pas comprendre le sens du projet "Maison des Faucons", parce que vos frères sont à peu près tous des libertaires, mais des natures d'esclaves comme tous les humains, anciens ou modernes, incapables de changer de nature du jour au lendemain.
Si je vous lis attentivement je devine que cette conclusion ne vous a pas échappé, même si vous n'en parlez jamais.
Je lis aussi dans La Révélation d'Arès cette recommandation: Tu te reposeras, car la fatigue ôte l'esprit à l'homme [Rév d'Arès 35/8]. Comme cette recommandation ne vous a sûrement pas échappé, sûrement pas plus que que: Tu ne seras le chef de personne [16/1], je me demande si, tout compte fait, votre mission prophétique vous oblige vraiment à toutes ces corvées de voyage.
J'avoue que ça me tracasse, mais je ne vois pas la solution, que vous aviez très bien vue dans le projet de "La Maison des Faucons". Cette infrastrucure n'existant pas, rien ne peut se faire sans elle. Sans fourmilière la vie des fourmis est menacée, condamnée. Je devine que vous en avez pris courageusement votre parti, mais que ça vous tracasse autant que moi.
Je me console en pensant que, tout bien considéré, Jésus s'est trouvé dans la même situation.
Mais vous avez vu le résultat ? L'église !
S'il devait se tenir des états généraux ou plutôtun symposium des Pèlerins d'Arès, ce devrait être le n°1 de l'ordre du jour.
Jérôme


Réponse :
Je ne vais pas revenir sur la question de "La Maison des Faucons", sur quoi je me suis déjà beaucoup exprimé, notamment dans "Frère de l'Aube" et dans ce blog par-ci par-là.
Lieutenant-colonel de réserve, vous parlez de "natures d'esclaves" à propos des Pèlerins d'Arès et concluez, en gros, qu'en m'interdisant de "botter le cul" de mes frères pour les forcer à créer "La Maison des Faucons" ou en m'interdisant de créer cette infrastrucrure sans leur accord, je me suis privé de ce que vous appelez une "pierre d'angle de l'édifice" que j'ai à construire.
Vous vous trompez. Ce n'est pas aussi simple.
J'aurais pu créer "La Maison des Faucons" sans l'accord de l'assemblée, mais alors celle-ci ne se serait nullement sentie obligée de former la noria des frères et sœurs se succédant auprès de moi, tout au long de l'année, pour recevoir mon enseignement et débattre avec moi des problèmes spirituels et pratiques auxquels ils seraient confrontés. "La Maison des Faucons" serait restée vide la plupart du temps.
Je ne crois pas que mes frères aient des "natures d'esclaves". Le problème est autre et plus compliqué.
Le problème que posait alors — et que pose encore, quoique moins, sauf localement (par exemple à Strasbourg où il me tracasse particulièrement) — l'assemblée était celui de sa grande hétérogénéité.
La Révélation d'Arès n'était encore pour le gros de mes frères que ce que l'étoile Polaire est pour des marins dispersés et/ou plus ou moins perdus sur la mer des idées et des tribulations sociales. Ils se dirigeaient vers cette étoile, mais de loin, venant de toutes les directions possibles, naviguant sur les rafiots culturels et idéologiques les plus disparates. Ils se voyaient à peine les uns les autres, vivaient chacun et chacune de son côté des circonstances très différentes: tempête ou calme plat, venaient des contrées les plus diverses ou même contradictoires de l'espérance.
Ce n'était pas leur "nature d'esclave", mais parce qu'ils se méconnaissaient les uns les autres et méconnaissaient La Révélation d'Arès qu'ils ne pouvaient ni chercher ni moins encore trouver un consensus autour d'une idée comme "La Maison des Faucons", une maison de l'unité. Ils n'étaient pas mûrs pour l'unité.
Leur seul point commun était l'idéal, souvent vague, mal défini pour la plupart d'entre eux, que représentait La Révélation d'Arès. Pour concevoir la nécessité d'une réalisation pratique bien définie comme l'infrastructure nécessaire pour user de moi sans m'user ou me gaspiller, si vous me permettez cette expression, il leur aurait fallu devantage de points communs bien définis, idéaux et pratiques. Ce n'était pas le cas. Ils étaient eux-mêmes, malgré l'air assuré de certains, dans le trouble moral inévitable en périodes de recherche et de découverte.
Puisque je suis toujours coincé entre Nice et Bordeaux pour me reposer le dos avant de repartir demain, empêché de vaquer aux "corvées" (comme vous dites) de bureau qui m'appellent, je vais m'étendre un peu sur le sujet.
Je le fais d'une façon inattendue, voire suspecte, puisque je vais me comparer à un homme à qui, dans l'Histoire, Dieu confia — d'autres diraient : Satan confia — une tâche ingrate, si ingrate qu'elle lui valut un nom honni : Julien l'Apostat.
Qu'est-ce qui valut à un empereur byzantin, Julien, le surnom flétrissant d'Apostat ?
Le fait que, bien qu'ayant été élevé chrétien, il décida un jour de ne pas laisser à l'église la dignité religieuse suprême, vu qu'elle était loin de montrer l'exemple des vertus qu'elle prêchait. Il restaura, à côté de l'église, la tradition des dieux protecteurs de Rome, abrogea toutes les mesures discriminatoires prises contre les païens. Cela équivalait à retirer à l'église et aux évêques leurs privilèges et à réintroduire dans leurs droits de conscience tous les schismatiques chrétiens et toutes les croyances de toutes sortes, agnostiques, etc. Il prononça ces sages paroles: "Je pense qu'il faut éclairer les hommes qui déraisonnent, mais non les punir." Julien l'Apostat mourut malheureusement à la guerre contre les Perses (puni par Dieu, dirent les bien-pensants naturellement) bien avant d'avoir achevé son œuvre de justice envers toutes les consciences.

Quel rapport cela a-t-il avec moi, sinon le fait que je sois aussi, au yeux de l'église et des bien-pendants, un apostat ?
Michel l'Apostat ?
Julien l'Apostat était empereur tandis que je ne suis pas grand chose, mais commune nous est la tâche de considérer tous les hommes comme égaux en conscience, quelles que soient leurs croyances, aussi longtemps que la grande et absolue simplicité de la Vérité n'est appliquée par personne.
Je me trouvai, pour faire cohérer mon cercle minuscule de Pèlerins d'Arès vers 1986-87, dans la situation même ou Julien s'était trouvé pour faire cohérer son immense empire dans les années 360 ou 370.
Tout comme Julien avait compris qu'il ne devait pas imposer une religion par-dessus les autres, s'il voulait redonner à son peuple une morale évolutive et unifiante, je compris, quand il fut question de "La Maison des faucons," que je ne devais pas, au nom de l'intelligence et de la sagesse, insister et forcer les choses, si je voulais garder dans notre assemblée un courant spirituel évolutif et unifiant.
Même s'il m'est souvent arrivé, de 1987 à aujourd'hui, de maronner contre l'inexistence de "La Maison des Faucons", cela a été de ma part bien plus de la mauvaise humeur que de l'inconscience. C'est sans doute dans cette période de projet avorté que (tout en maugréant contre elle) j'ai le mieux compris la sagesse du: Tu ne seras le chef de personne (Rév d'Arès 16/1).
Dans les années 80, quand je vis — ce qui était prévisible — l'incapacité de l'assemblée de décider par un consensus la création d'une infrastructure d'unité autour de moi, je vis, comme sûrement Julien l'avait vu autour de lui seize siècles plus tôt, que cela venait de l'hétérogéinité des idées et des espérances et qu'il fallait leur donner le temps de laisser se faire une porosité entre elles, celle de l'amour et de l'aspiration au bonheur, avant de se relancer à l'assaut d'un Idéal supérieure, unique et magnifique.
Je compris, peut-être plus ou moins confusément, mais je compris, que nous n'étions encore que quelques Pèlerins d'Arès,  mal dégrossis, et qu'autour de nous les frères et sœurs, alors très nombreux, formaient un magma de terres rares, prometteuses, mais dont les richesses étaient encore à séparer de la gangue générale, et qu'il fallait fédérer l'amour et non tenter de fédérer des croyances, mixture qui n'a jamais rien donné de bon.
Je compris alors ce que, je crois, Julien l'Apostat avait compris, à savoir qu'un échec peut quelquefois être une victoire de l'intelligence. Je compris que le silence de mes frères et sœurs, leur apathie inconsciente face au projet "Maison des Faucons", étaient une victoire, plus que n'aurait été une décision autour d'une même et seule idée qui ne pouvait n'être que forcée. J'entrepris de laisser à mes frères le temps de comprendre ce que leur disait La Révélation d'Arès et je me suis ensuite efforcé, au cours des années, de le leur faire comprendre.
Un travail lent et ardu, surtout à distance, parce que je suis malheureusement loin de tous mes frères.
Et le temps a passé vite et maintenant j'ai 81 ans et "La Maison des Faucons" n'existera sans doute jamais, mais je crois que, comme Julien l'Apostat, j'ai eu le courage et la patience sages de réunir les hommes dans des espérances hétéroclites pour que, le temps aidant, sans rien forcer (la force tue la sincérité comme l'amour), ils trouvent enfin un jour la Vie unique dans la Vérité et la Liberté absolues, dont la conquête demande du temps.
Les "corvées" que je m'impose sont simplement un effet de ma patience et de ma prudence.
Ces "corvées" vous choquent, mais elles sont finalement un moindre mal comparé au mal qu'aurait été une "Maison des Faucons" imposée.


27déc10  114C26
Votre Réponse à Jean-Paul E. (commentateur 114C22),  fertilise (23/5) ma petite tête.
Vous dites : "J'optai finalement pour le changement, le positif : Voilà ce qu'il faut faire pour trouver le salut personnel et pour sortir le monde du mal !"
Bien que lisant La Révélation d'Arès et pas mal de vos écrits (33/10), je n'avais pas clairement perçu — je suis vraiment un faible lumignon — cette direction "positive" que vous donnez à votre enseignement.
C'est pourtant évident :
Positif = réaliste = constructif = homme du temps qui vient.
?égatif = critiques = immobilisme.
Vous avez par amour et sagesse pris la bonne direction.
Vous entraînez le mouvement en avant.
Je vous remercie par ça. Ça m'éclaire. Je vais m'efforcer d'être plus positif.
En ces fêtes de Noël, vous m'offrez là un cadeau qui — pour rire un coup — ne vient pas de la hotte du Père Noêl mais du Blog du Frère Michel.
Joyeuses fêtes de Noêl Frère Michel, et pour la nouvelle année je vous souhaite, vous qui êtes seul dans vos tâches et qui n'êtes pas bien riche, d'avoir plus d'aide, ainsi que de vivre encore longtemps parmi nous.
Xavier H (de Provence)


27déc10  114C27
Je trouve votre "mémo sur Noël" ainsi que l’entrée précédente sur le surpeuplement d’une très grande force spirituelle
Je déplore que ce frère catholique [114C2] vous méprise et vous haïsse à ce point. C’est hélas parfois les conséquences du fanatisme religieux ou politique qui a pris le pas sur la vraie vie spirituelle.
Heureusement que ce ne sont pas la majorité des catholiques et des chrétiens qui pensent ainsi.
Cela montre aussi la pauvre connaissance que certains ont des évangiles ou Jésus enseignait d’aimer même nos ennemis, encore que je sais que vous n’êtes pas l’ennemi des chrétiens ni des catholiques, mais que vous essayez depuis des années de leur faire comprendre que les systèmes dont se sont dotés les hommes, qu’ils soient politiques ou religieux, vont à l’encontre de la vie spirituelle et de leur bonheur.
C’est ce que le Créateur est venu vous révéler à Arès et vous soulignez bien que pour vous cela n’a pas été facile.
Alors, on peut comprendre que pour nos frères chrétiens qui n’ont pas vu Jésus ni Dieu, ce n’est pas facile à admettre d’abord et ensuite pas facile à vivre.
Mais c’est à nous d’être patients, car quand Dieu parle, tôt ou tard la vérité fleurira dans les cœurs.
Le plus tôt sera le mieux.
Si nous savons faite preuve d’amour et de patience à l’égard de nos frères chrétiens, comme vous le faites constamment, je ne doute pas qu’ils deviennent la plus belle récolte (Rév d'Arès 14/3).
En ce moment, je pense beaucoup à vous et à sœur Christiane bloqués quelque part entre Nice et Bordeaux à cause de votre mal de dos. N’y a –t-il pas un frère dans les parages qui pourrait vous aider ?
À défaut, je vous envoie à tous les deux, par la pensée toute la force de mon amour fraternel pour que vous retrouviez rapidement des forces et la santé pour poursuivre votre périple.
Je vous suis tellement redevable pour tout ce que vous m’avez enseigné depuis tant d’années et que vous continuez encore, malgré vos 81 ans, à apporter à travers ce blog et vos courriers.
J’aurais aussi aimé qu’il y eu une "Maison des Faucons" pour recevoir votre enseignement de vive voix ; c’est tellement plus vivant.
Ah, si les hommes qui vous critiquent injustement, vous connaissaient ! Ils changeraient vite d’avis, et je crois bien que s’ils écoutaient leur cœur, ils  feraient comme Paul (persécuteur des premiers chrétiens) sur le chemin de Damas et qu’ils se repentiraient et pleureraient.
C'est ce que je souhaite à ce frère Jean [114C2] en cette période de Noël, moment propice à la réconciliation et à la paix, avant que celles-ci soient présentes chaque jour dans le cœur des hommes quand ils seront pénitents.
Denis K.


27déc10  114C28  
Puisse la nouvelle année 2011 qui pointe son bout du nez apporter  l'espérance d'une civilisation basée sur l'envie d'une Paix Universelle.
Que dans le cœur d'un bon nombre de femmes et d'hommes s'installe ce besoin d'aimer,de pardonner,de faire la paix,
de se libérer de tout préjugé,de retrouver peu à peu l'intelligence du cœur,
afin que tout ce qui apporte le malheur sur cette terre disparaisse un jour définitivement .
Et que le Bonheur et la Paix deviennent perpétuels sur la Terre, notre "Oasis"de Vie.

Patricia (des Alpes) qui transmet le fichier suivant :

Je pense à vous.
Dans ce fichier, les femmes sont à l'honneur,  ce sont de belles  photos.
On peut se sentir proche d'elles.
Je vous embrasse et vous souhaite à tous  de bonnes fêtes de fin d'année.

https://docs.google.com/viewer?a=v&pid=gmail&attid=0.1&thid=12d28505fadabc65&mt=
application/vnd.ms-powerpoint&url=
https://mail.google.com/mail/?ui%3D2%26ik%3Da3bf4034f4%26view%3Datt%26th%3D
12d28505fadabc65%26attid%3D0.1%26disp%3Dattd%26zw&sig=AHIEtbREm3TjNSU8XsQJrpXeZqkMJlOi2w


Denise (du Lyonnais)


11jan11  114C29  
Je vous ai adressé un commentaire le premier janvier et aujourd'hui 10 janvier vous ne l'avez pas publié (c'est votre droit, il n'en vaut peut-être pas la peine), mais je m'aperçois que la page de commentaires n'a plus avancé depuis le 27 décembre.
C'est mon inquiétude qui prend le relais de mon étonnement.
J'espère que votre santé ne vous donne pas de soucis et que tout va bien pour vous.
J'en profite pour vous adresser mes bons vœux pour 2011 d'abord de santé (vous entrez dans votre 82e année) et aussi de satisfactions dans votre mission que j'imagine de plus en plus difficile à votre âge.
Savorgnan


Réponse :
Ma santé n'est pas la cause de la panne de mon blog.
Ma santé va bien à proportion des problèmes dus à l'inévitable usure d'un vieux bonhomme, côté cœur, côté diabète (depuis peu), côté maladie de Ménière (vertiges), côté rachis, parfois mis à mal par les bagages qu'il faut se coltiner en voyage, etc. J'assume, rassurez-vous. Ma fille Nina m'aide au bureau, mon épouse Christiane m'aide en voyage. Comme Christiane est polyarthritique, autre genre de handicap, nous nous trouvons parfois dans des situations dont nous avons jusqu'ici pris le parti de rire — le manchot et le cul de jatte rigolards devant une charrette qu'ils doivent pousser — mais nous arrivons à nous en sortir.
Je n'ai pas publié votre commentaire, non parce qu'il n'en valait pas la peine, mais parce qu'il n'avait réellement d'intérêt que si j'avais la possibilité d'y répondre.
Or, ma réponse à votre commentaires m'aurait pris le temps d'une rédaction bien réfléchie et ce temps m'a totalement manqué.
Je n'ai pas comme la plupart des hommes ce privilège, que parfois j'envie, de pouvoir répondre à la légère. Même quand ma réponse a le ton badin, je veille — autant qu'il m'est possible — à ce que j'écris, conscient que tout ce que j'écris tend a former une somme déjà considérée comme basale par beaucoup et qui le sera sans doute de plus en plus.
Ceci dit, nombreux sont les commentaires à cette entrée 114 que j'aurais pu et même probablement dû publier non seulement depuis le 27 décembre mais depuis son origine: le 21 décembre.
En cette fin d'année j'ai été très pris par diverses tâches, des déplacements, des soucis administratifs, etc.
Mon blog redémarrera sitôt que je pourrai lui consacrer du temps.
De plus, sœur Christiane et moi nous reprenons la route demain pour le Sud-Est où m'appelle la mission que je m'attache depuis plusieurs mois à aider le mieux que je peux jusqu'à ce qu'elle reprenne force et à nouveau s'assume et même fasse beaucoup mieux seule qu'avec moi. Ces déplacements mensuels, qui n'étaient pas prévu dans mon planning, me prennent aussi du temps, mais c'est ma mission autant que ce blog l'est.
Merci pour vos bons vœux. Je profite de l'occasion pour remercier tous ceux et celles nombreux qui m'ont aussi présenté leurs vœux dans des commentaires que je n'ai pas pu publier  et pour leur adresser les miens tout aussi chaleureux de belle année 2011 spirituelle (et missionnaire pour ceux attachés à al mission) ainsi que de santé, bonheurn et réussite.


00Xxx00  114C29
Text
Signature


Réponse :
Xxxx xx xxxx xxx xx x xxxxxx xx xxx xxxxx xx xxx xxx.